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La détresse de l'aide soignante

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Ma dernière journée à Rochefort avait commencé avec un SMS de Julie, à six heures et quelques du matin. La photo qu’elle m’envoyait la montrait dans sa salle de bain, une main dans une petite culotte en dentelle rose. « J’ai hâte de te voir » me disait le message. Je me suis ensuite rendormi avec une belle érection, et me suis réveillé deux heures plus tard quand la cause de cette érection est entrée dans la maison de Raymond. J’émergeais à peine qu’elle se mettait à genoux à côté du canapé sur lequel je dormais et relevais ma couette pour prendre mon sexe en bouche.
— Tu es déchaînée, ce matin.— J’étais en manque, m’a-t-elle répondu avant de reprendre ses activités buccales.
J’ai refermé les yeux, et avec une main sur sa tête, j’ai savouré ce début de journée, jusqu’à jouir en grognant dans sa bouche. Julie a tout avalé avec un sourire, et m’a nettoyé consciencieusement le sexe.
— Tu m’as pris par surprise, lui ai-je dis en souriant, mais tu n’auras plus rien avant ce soir.
Julie s’est alors levée, et après avoir essuyé sa bouche du dos de la main, est montée s’occuper de son patient. Elle est repartie une demie heure plus tard alors que je prenais mon café, me souhaitant une bonne journée avec un grand sourire.
Comme je l’avais promis la veille, j’ai passé toute la journée avec Raymond. A midi, je l’ai invité dans une brasserie réputée, où l’on a mangé comme des rois. On a passé deux heures à table, à se remplir la panse tout en nous remémorant les souvenirs d’antan. Après quoi nous avons fait une longue balade digestive. Malgré les températures assez basses, le soleil brillait et nous chauffait légèrement la peau et le cœur. On a erré sans réel but en continuant à parler de tout et de rien. Il m’a dit avoir été très content de m’avoir avec lui ces quelques jours, et qu’il n’avait pas été si heureux depuis longtemps, malgré les passages quotidiens de Julie chez lui. Un clin d’œil, venu ponctuer cette déclaration, m’a mis les larmes aux yeux. Ah je l’aimais, mon Raymond. Peu apte à dévoiler mes sentiments, j’ai réprimé ces quelques larmes en changeant de sujet de conversation. Vers quinze heures, Raymond m’a dit être fatigué et nous sommes rentrés. Il a fait sa traditionnelle sieste devant la télé, tandis que je préparais déjà mon sac pour le lendemain, et arrangeais un peu la soirée qui arrivait.
J’étais encore en train de m’organiser quand Julie est arrivée pour s’occuper de Raymond. Elle est venue me trouver dans la cuisine après avoir fait son devoir, et m’a demandé ce qu’on allait faire ce soir.
— Tu verras, lui ai-je répondu. C’est une surprise. Tu as dis à ton mec que tu allais découcher ?— Oui je lui ai envoyé un texto pour lui dire que j’avais une soirée avec une amie.— Très bien, alors voilà le plan. Tu vas rentrer, te doucher, te préparer. Je te laisse choisir mais je te veux en tenue classe. Tu prends ton collier, ton plug, et de quoi dormir à l’hôtel, et tu viens me chercher à vingt heures précises. Et je m’occupe de tout le reste. Compris ?— Oui monsieur, c’est compris.
Je l’ai embrassée et l’ai laissée partir.
Bien sûr, elle était là à vingt heures précisément. J’ai embrassé mon grand-oncle, l’informant que je ne passerais pas la nuit ici, mais que je serais là le lendemain, avant de prendre mon train. Julie m’attendait devant sa voiture, garée juste devant la maison. Elle était belle, bien maquillée, bien coiffée d’une longue tresse qui retombait sur son épaule. Sous son gros manteau, je pouvais distinguer le scintillement d’une robe à paillettes qui lui arrivait à mi-cuisses. Je savais que ce que je voyais en-dessous était des bas, et non pas un collant, car Julie avait bien compris la consigne, et n’aurait pas trouvé un collant assez classe. Pour terminer, elle portait une paire d’escarpins noirs qui lui donnait encore plus d’élégance et de charme. Je lui ai pris les clés, et Julie a pris place côté passager.
— Où on va ? m’a demandé Julie alors que l’on quittait Rochefort.
— A Saint-Rogatien ! Tu connais ?— Pas vraiment, non.— Moi non plus.— Et qu’est-ce qu’il y a à Saint-Rogatien ?— Une soirée à laquelle je nous ai inscrit. Mais maintenant tu arrêtes de poser des questions, tu sauras tout d’ici une demie heure. Et remonte ta robe. Je veux voir ce que tu as en-dessous.
Julie s’est exécutée et a relevé sa robe jusqu’à sa taille. Elle m’a ainsi dévoilé ses bas, comme je le pensais, mais également un joli porte-jarretelles noir, assorti aux bas et à un petit string en dentelle noire également.
— Tu peux enlever tous tes sous-vêtements, lui ai-je dis en essayant de fixer les yeux sur la route. Tu n’en auras pas besoin ce soir.
Julie m’a regardé avec un brin d’inquiétude, avant de défaire chaque attache de son porte-jarretelles, manipulation nécessaire pour enlever le petit sous-vêtement. Puis elle a abaissé les bretelles de sa robe pour pouvoir retirer son soutien-gorge, dévoilant son collier par la même occasion, et a fourré ses sous-vêtements dans la boîte à gants. Il nous a fallu une trentaine de minutes pour atteindre notre destination. Saint-Rogatien était un petit village à l’est de La Rochelle, et l’adresse que j’avais entrée dans mon GPS était celle d’un ancien corps de ferme réaménagé et perdu au milieu des champs. A l’avant de la bâtisse, un terrain recouvert de gravier servait de parking, et accueillait déjà une vingtaine de voitures. Après m’être garé, je suis sorti et suis allé ouvrir à ma partenaire.
— Il y a l’air d’avoir du monde, à cette soirée, m’a dit Julie, de plus en plus inquiète.— Ne t’en fais pas, tout va bien se passer.
J’ai attrapé la laisse dans mon sac et l’ai accrochée à son collier, puis j’ai attrapé le masque, encore tâché, qui traînait toujours sur la banquette arrière. Julie l’a mis sur son visage et m’a dit en se levant :
— Marc, s’il te plait, dis moi ce que c’est comme soirée. Je commence à paniquer.— Aucune raison de paniquer, je suis là, et je serai toujours avec toi.
J’ai tiré sur la laisse pour qu’on puisse enfin se diriger sur l’entrée, et ai finalement décidé d’en dire un peu plus à Julie.
— Je fais partie d’un cercle très privé, ai-je commencé, un cercle d’amateurs de plaisir qui organise des soirées de temps en temps. Il y en a un peu partout en France. On est tous sur un groupe caché, sur Facebook, et c’est là qu’on a les infos.— Mais il se passe quoi dans ces soirées ?— Les gens viennent pour prendre leur pied, librement. En couple ou à plusieurs, ça dépend. Mais il n’y a pas de tabou, ici. Chacun fait ce qu’il veut.— Tu vas me faire coucher avec d’autres personnes ?— Je ne sais pas. Tu en as envie ?— Non. Je ne sais pas. On verra...
L’inquiétude de Julie s’était légèrement estompée quand nous sommes arrivés devant l’entrée. J’ai sonné, et un homme immense, une vraie armoire à glace, nous a ouvert. J’ai prononcé les mots "corne de brume", le mot de passe, puis nous avons pu rentrer. Il y avait, dans l’entrée, un comptoir où une hôtesse aux seins nus nous a pris nos manteaux et autres affaires personnelles. Elle nous a ensuite invité à passer l’épais rideau rouge qui nous mènerait à la fête. C’est dans l’ancienne grange que tout se passait. Il y avait environ une cinquantaine de personnes, disséminées dans cet espace de cent mètres carrés. En voyant se qui se tramait en ces lieux, Julie s’est approchée un peu plus de moi, se cramponnant à mon bras. De part et d’autre de l’allée centrale qui traversait toute la grange, le propriétaire des lieux avaient installés de petits salons, à savoir un ou deux canapés et une table basse à chaque fois, où les gens s’asseyaient, buvaient, et s’adonner à tous les plaisirs. Ainsi, il y avait à droite en rentrant une femme suçant avidement le sexe de son partenaire tandis qu’un troisième larron la besognait en levrette, et à notre gauche, une femme nue fouettait la poitrine d’une autre femme nue. Et ainsi de suite, jusqu’au bout de la grange.
— Faisons déjà un tour, dis-je à Julie en la tenant par le bras pour le réconforter.
Nous avons marché un petit peu, attrapant au passage deux cocktails sur un plateau qu’un jeune serveur seulement vêtu d’un nœud papillon nous a tendu. Une fois arrivés au bout de la grange, c’est comme si nous avions tout vu du sexe dans ses moindres détails, toutes ses subtilités, tous ses penchants. Ici, un vieil homme se faisait sodomiser par une jeune fille à couettes, là une femme attachée à une planche se faisait prendre dans tous les sens. Tous étaient très occupés. Julie, elle, avait l’air perplexe.
— Qu’est-ce que tu en penses ? lui ai-je demandé.— Je ne sais pas. C’est à la fois très flippant et très excitant. Qu’est-ce que tu veux me faire ici ?— Ne t’inquiètes pas, je ne vais rien te faire de mal. Dans un premier temps je vais juste montrer ma chienne à qui le veut. Je veux que tous ces gens me jalousent en te voyant. Après, suivant ton excitation, on verra ce qu’on fait. Ça te va ?
Julie m’a regardé avec un petit sourire avant de faire oui de la tête.
— Parfait. Mets toi à quatre pattes alors.
Elle s’est exécutée lentement, s’est mise à genoux dans un premier temps en regardant tout autour d’elle, avant de poser ses mains devant elle. Je tenais toujours la laisse fermement dans ma main. Je lui ai caressé le crâne, comme on le ferait à son animal de compagnie, avant de relever sa robe au-dessus de ses fesses. J’ai alors écarté celles-ci pour vérifier que son plug était bien en place, puis je les ai claquées.
— Allons-y, ai-je simplement dit.
J’ai ensuite tiré sur la laisse, et Julie m’a suivi en marchant à quatre pattes. Les gens autour de nous la regardaient, certains commentaient la beauté de son cul sans se cacher, d’autres allaient jusqu’à y poser la main. Mais c’était le jeu de la soirée, et Julie l’avait bien compris. Aussi, elle n’a rien dit et s’est contentée de me suivre du mieux qu’elle pouvait. Je me suis arrêté près d’une table où une place était libre. Julie est restée à quatre pattes à côté de moi, silencieuse, tandis que je me présentais au couple d’une quarantaine d’années assis à côté. Tous les deux regardaient Julie avec beaucoup d’attention, aussi j’ai fais les présentations.
— Je vous présente Julie. Ma chienne depuis quelques jours seulement, mais terriblement docile en plus d’être terriblement belle. Voyez plutôt.
Tirant sur la laisse, j’ai fais venir ma belle soumise un peu plus près. D’un geste rapide, j’ai fais sortir ses seins de sa robe, avant de les saisir et de les malaxer pour en prouver la qualité au couple face à nous. En tirant sur la laisse dans l’autre sens, j’ai forcé Julie à faire un demi-tour, et ainsi j’exhibais à présent son cul, écartant ses fesses, les claquant par moment.
— Mais le plus dingue avec elle, ai-je continué à l’attention du couple, c’est qu’elle adore sucer.
Joignant le geste à la parole, j’ai ouvert mon pantalon et en ai sorti mon sexe, encore en état de semi-érection. Julie s’est approchée de moi, comme par automatisme. Elle adorait ça, certes, mais elle savait aussi ce que j’allais lui demander. Aussi je n’ai rien eu à dire, et elle a saisi mon sexe, d’abord entre ses doigts, puis entre ses lèvres. Elle s’est amusée à passer sa langue de partout sur moi, de mes testicules à mon gland, et une fois entièrement en érection, elle m’a prise dans sa bouche, puis dans sa gorge. Elle s’étouffait sur mon membre mais ne s’arrêtait pas, elle voulait faire bonne impression. Autour de nous, d’autres personnes s’étaient rassemblées pour nous regarder, tandis que le couple à côté de nous s’était mis au travail également. La tension sexuelle montait d’un cran à chaque minute. J’ai fini par attraper Julie par sa natte, et bientôt ce n’est plus elle qui me suçait, mais moi qui me branlais avec sa gorge. Les sons de sa bouche était aussi répugnants qu’excitants, et tout autour de nous j’entendais des encouragements à l’égard de ma chienne. J’ai dû y aller trop fort à un moment, quand Julie, le nez dans mon pubis, s’est étouffé et a laissé couler sur mes testicules un flot de salive épaisse. Loin d’être dégoûté, le public l’a encore plus encouragée. Julie me regardait avec des yeux qui me suppliaient de la laisser respirer, aussi j’ai retiré mon sexe de sa gorge, l’essuyant au passage sur ses joues déjà dégoulinantes.
— Encore ! Encore ! criaient les gens autour de nous.
J’ai regardé Julie. Malgré son visage déjà dévasté par cette première fellation de la soirée, elle avait un petit sourire en coin. Je ne la connaissais pas depuis très longtemps, mais je savais ce que cela voulait dire. Elle était d’accord pour continuer. Attrapant à nouveau la laisse, je l’ai forcée à s’allonger sur la petite table basse derrière elle. Elle était sur le dos, les seins toujours outrageusement sortis de son décolleté. J’ai sorti de ma poches deux pinces à linge, que j’avais prises avec moi car j’étais sûr que ce moment arriverait. J’allais les mettre sur les tétons érigés de Julie quand un homme m’a interpellé.
— Attendez, ce sera mieux avec ça ! m’a-t-il dit en me tendant deux pinces métalliques reliées par une chaîne.
J’ai accepté en souriant, avant d’emprisonner les tétons de Julie entre les mâchoires des deux pinces, non sans un grognement de la part de ma belle. Petite subtilité du gadget, à mi-chemin entre les deux pinces, sur la chaîne, se trouvait un anneau, qu’il était possible d’accrocher au collier de la chienne. Ainsi la chaîne était tendue, et les pinces tiraient constamment sur les pauvres tétons meurtris. Julie gémissait et m’excitait, je n’ai pas pu m’empêcher de gifler ses seins à plusieurs reprises, faisant rougir sa peau. Tandis que de ma main droite je martyrisais ainsi sa poitrine, ma gauche avait glissé entre ses cuisses et après l’avoir forcée à les écarter en grand, j’ai commencé à titiller sa fente. Je n’ai pas été surpris de la trouver plus qu’humide. La situation était excitante pour tous les deux, comme pour tout le monde autour de nous d’ailleurs. Le couple assis sur le canapé à côté de nous avait fait tomber le bas, et se masturbait l’un l’autre. D’autres hommes autour de nous avaient aussi sorti leurs sexes et se masturbaient frénétiquement au-dessus de nous.
— Elle aime le sperme ? a demandé un de ceux qui se masturbaient.— Oui... a répondu Julie.
J’étais assez surpris qu’elle ait pris l’initiative de répondre elle-même à cette question. Mais la chienne en elle avait visiblement pris le contrôle total de son corps et de son esprit. Encouragé par cette réponse, l’homme s’est branlé encore plus vite, jusqu’à éjaculer abondamment sur le visage de ma belle.
— Attendez !
C’était l’homme qui m’avait donné les pinces. Lui aussi tenait son sexe en main, mais il l’a lâché pour attraper son sac. Il en a sorti un gag-ring. L’anneau, assez large, en caoutchouc, a été placé dans la bouche de Julie, puis l’homme a relié ensemble les lanières de cuir à l’arrière de sa tête, et la bouche de ma belle était ainsi maintenue grande ouverte.
— Voilà, a dit l’homme. Comme ça elle n’en loupera pas une goutte.
Une nouvelle salve d’applaudissement s’est faite entendre, et les hommes ont repris leurs masturbations. Avec trois doigts enfoncés dans son vagin, j’ai regardé Julie recevoir des giclées et des giclées de sperme sur le visage. Les hommes se succédaient les uns après les autres pour venir se répandre dans sa bouche, contrainte à être ouverte, et tout autour. Un quatrième doigt s’est enfoncé en elle, la faisant grogner de plaisir, prêt à la fister à nouveau comme la veille. Mais plus haut, j’avais l’impression que la situation devenait ingérable. Le visage de Julie était recouvert de sperme, et de plus en plus d’hommes affluaient. Au grand malheur de Julie, j’ai dû retirer mes doigts de son sexe et l’ai relevée en tirant sur sa laisse.
— Ça suffit ! ai-je crié. On lui laisse un peu d’air maintenant !
Une femme m’a donné un mouchoir afin que je puisse essuyer, du mieux que je le pouvais, le visage dévasté de Julie. Du sperme coulait de partout sur son visage, sur ses seins, sa robe. J’ai défait les lanières du ring-gag pour qu’elle puisse enfin retrouver l’usage de sa bouche, puis l’ai prise dans mes bras.
— Désolé, lui ai-je chuchoté, je pensais pas que...— Non, Marc, j’en veux encore, m’a-t-elle répondu.— Hein ?— Encore ! S’il te plaît !
Mon Dieu, j’avais créé un monstre. Elle n’était plus du tout Julie, l’aide-soignante en détresse, mais réellement Julie la chienne. Et bien certes. Qu’il en soit ainsi.
— Très bien, comme tu voudras, ai-je répondu en lui remontant le ring-gag. Messieurs, c’est votre jour de chance !
D’un geste brusque, j’ai retourné Julie, qui s’est retrouvé à quatre pattes sur la table basse. Une première fessée est tombée, rapidement suivie d’une deuxième. Quand j’ai expliqué à l’assistance que Julie ne demandait qu’à sucer, les hommes ne se sont pas fait prier, et le premier à venir dans sa bouche grande ouverte a été l’homme qui lui avait passé le bâillon. Pendant ce temps, j’avais pénétré son vagin avec rapidité et une facilité déconcertante, tant elle mouillait. Comme pour la punir d’être si excitée, je claquais son cul avec force, laissant distinctement les traces de mes mains sur sa peau blanche. Julie n’était même pas en mesure de réagir à cause du pénis qui allait et venait à sa guise dans sa bouche. Mon sexe à l’intérieur du sien a aussi redoublé d’intensité, et je la baisais maintenant avec force. Les encouragements de toute la foule autour de nous n’arrangeaient pas les choses. Plus ils en demandaient et plus on leur en donnait.
Trois hommes s’étaient déjà succédé et répandus dans sa bouche quand je me suis retiré d’entre ses cuisses poisseuses, et que je l’ai tirée par la laisse pour la faire se lever. Certains râlaient de ne pas avoir pu se faire sucer, mais continuaient d’applaudir quand j’ai commencé à pincer et claquer ses seins. Julie, la bouche dégoulinante de salive et de sperme, gémissait et se contorsionnait de plaisir.
— Tu en veux encore ? lui ai-je demandé.
Ce à quoi elle a répondu oui en hochant la tête.
— Monsieur, ai-je dis en désignant l’homme du couple sur le canapé. Vous voulez vous faire cette chienne ?— Euh, oui, bien sûr, a-t-il répondu en regardant sa femme pour avoir son approbation.
J’ai ordonné à Julie de le déshabiller et de le sucer sans le faire jouir, puis de le chevaucher. Elle s’est exécutée avec le plus grand des plaisirs, et très vite elle s’est retrouvée à aller et venir sur un membre d’une belle taille. Mes sentiments étaient partagés. Je ressentais cette fierté immense de montrer ma chienne à tout le monde, et même si tout le monde, à cet instant, en profitait, tous savaient que j’en étais le seul et unique propriétaire. Mais en même temps, un brin de jalousie s’emparait de moi. Une jalousie qui me poussait à être plus bestial. Aussi, alors qu’elle montait et descendait sur le sexe du quarantenaire, je prenais un malin plaisir à fouetter son cul et ses cuisses à l’aide d’une cravache. Puis j’ai eu à nouveau envie de rentrer dans la partie. Ma main a glissé le long du dos de Julie, jusqu’à ses fesses chauffées et rougies. J’ai retiré le plug qui était resté coincé entre ses fesses, et suis venu coller mon sexe à la place.
— Ce soir, ma chienne, tu vas te sentir remplie comme jamais, ai-je dis en poussant lentement mon sexe dans son anus.
Elle avait arrêté ses mouvements sur l’autre sexe, et grognait en me sentant la posséder. L’autre homme s’était arrêté lui aussi, et tenait les fesses de Julie écartées pour me faciliter le passage. Alors les mains sur ses hanches, j’ai sodomisé Julie jusqu’à coller mes testicules contre celles de quarantenaire. Puis j’ai attrapé Julie par la laisse et l’ai tirée vers moi. J’ai embrassé son dos, mordillé ses épaules, passé mes mains sur son ventre et sa poitrine. Je voulais lui rappeler, si nécessaire, à qui elle appartenait, que bien qu’elle ait deux sexes en elle à cet instant, un seul comptait réellement. J’ai commencé à aller et venir en elle, une main sur sa laisse et l’autre sur son cul, que je giflais régulièrement. L’homme en-dessous d’elle a repris aussi ses mouvements du bassin, et je le sentais bouger à travers la fine paroi qui séparait les deux orifices de Julie. Les grognements de celle-ci se sont alors transformés en cris. Cris rapidement étouffés par le sexe d’un opportuniste qui a saisi l’occasion de s’emparer de sa bouche. Julie était ainsi prise de toutes parts. Chacun de ses orifices s’est retrouvé rempli, et ça n’avait absolument pas l’air de la déranger. Quand l’homme dans sa bouche s’est retiré après avoir joui en grognant, un l’autre l’a remplacé. Après ça, deux autres se sont succédé. Julie encaissait comme une pro. Puis c’est l’homme en-dessous d’elle qui a eu envie de jouir, et sous mes ordres, il s’est retiré pour éjaculer sur sa robe, tout comme celui dans sa bouche qui a éjaculé sur son visage.
C’est le moment que je choisis pour mettre fin aux festivités. Je n’avais pas encore joui, et Julie non plus, mais je voulais la sortir de cette situation qui dégénérait. Autour de nous, il y avait une vingtaine de personnes, principalement des hommes. Tous avaient leurs sexes sortis, bandés, prêts à prendre la bouche ou le sexe de ma belle à leur tour. Julie a poussé un gémissement de frustration quand j’ai retiré mon sexe et l’ai faite assoir sur l’un des sièges vacants. Je me suis ensuite adressé à notre public.
— Désolé messieurs, c’est fini pour le moment. Je crois que vous en avez tous assez profité, non ?
Certains ont grogné, mais ils ont majoritairement applaudi la prestation de Julie. Celle-ci, le souffle court, me regardait avec un air absent, un regard vitreux. Elle était comme en transe. Tandis que la foule commençait à se disperser, je me suis agenouillé près d’elle et ai dans un premier temps retiré le ring-gag.
— Ça va ? lui ai-je demandé.— Oui... Oui très bien. J’ai encore envie. J’ai envie de jouir.— Plus tard, c’est promis. D’abord on va te débarbouiller un peu. Suis moi.
Julie a regardé l’état de sa robe, et son état général, et a souri en voyant le sperme qui recouvrait sa poitrine. Puis elle s’est levé et a pris son plug avant de me suivre en direction de l’accueil. L’hôtesse m’a indiqué où se trouvaient les toilettes, et nous nous y sommes engouffrés. J’ai passé un long moment à nettoyer son visage avec une serviette passée sous l’eau chaude. Il faut dire qu’il y avait une sacrée quantité de semence.
— Tu as fait forte impression, ai-je dis en passant la serviette autour de sa bouche.— Je crois, oui. Tu as aimé ?— J’étais fier. Et j’aime te voir aussi chienne. Mais j’ai eu un peu peur pour toi.
Julie a souri, puis a pris ma main dans la sienne pour la serrer. La serviette est descendue sur sa poitrine, souillée également. J’ai voulu retirer les pinces de ses tétons, mais Julie m’a demandé de les lui laisser. Elle disait aimer cette sensation. Je n’ai rien trouvé à y redire, je trouvais que ça lui allait très bien.
— On y retourne ? lui ai-je demandé.— Oui, avec plaisir.— On y va mollo, on profite, et si tu es sage, je te ferai jouir.
Julie m’a embrassé fougueusement, et nous sommes sortis des toilettes au moment où un homme et deux femmes entièrement nues entraient dans l’une des cabines. De retour dans la salle, nous étions devenus des célébrités. Les gens nous souriaient et nous félicitaient, certains me demandant s’il y aurait d’autres occasions pour profiter du corps de Julie. Face à ma réponse négative, ils partaient, déçus. Nous avons passé une bonne demie heure assis, à boire et manger ce que les serveurs et serveuses nus apportaient sur leurs plateaux. Julie, devant l’inutilité de sa robe, avait retiré celle-ci, et se tenait là, avec pour seuls vêtements ses bas effilochés et son porte-jarretelles, la chaîne reliant son collier et ses tétons, ainsi que son plug qu’elle avait replongé entre ses fesses. Cependant je la voyais qui ne tenait pas en place. Ses mains, posées sur ses cuisses, étaient, comme des aimants, attirées vers son entre-jambes. Elle me regardait à chaque fois, et n’osait pas se toucher sans mon autorisation, mais je voyais bien que l’envie était là. Il faut dire qu’à côté de nous, une femme prodiguait une fellation des plus excitantes à un homme avachi entièrement nu dans son siège.
— Marc, tu crois que j’ai été assez sage ?— Possible, oui, lui ai-je répondu en me levant. Suis-moi, je crois que j’ai vu un endroit qui pourrait te convenir.
J’avais remarqué un "stand", où l’on pratiquait le bondage. Étant très mauvais en nœuds, je n’avais jamais réussi à pratiquer cet art comme il faut, mais je trouvais ça terriblement excitant et visuellement passionnant. Aussi, j’ai pris à partie le couple qui s’y adonnait plus tôt, et leur ai expliqué que je voulais attacher ma chienne avant de la faire jouir. Intéressé par la manœuvre, l’homme, d’une trentaine d’année, a accepté et pris ses cordes d’une main, et la laisse de Julie de l’autre. Comme elle me regardait, inquiète de voir la laisse passer d’une main à l’autre, je lui ai dis de ne pas s’en faire, et que j’allais rester à côté tout le long. L’homme s’est mis au travail avec une concentration et une précision d’orfèvre. Ses cordes sont passées tout autour du corps immobile de Julie, l’emprisonnant peu à peu. Une première corde attachait ses bras dans son dos, joignant ses poignets entre eux, et passant, à l’avant, autour de ses seins. Cela faisait ressortir sa grosse poitrine, dont les pointes, toujours mordues par les pinces, dardaient avec fierté. Il l’a ensuite faite allonger sur la table basse, sur le ventre, ne laissant dépasser que ses seins, qui pendaient maintenant dans le vide. Une fois derrière elle, il a pris ses jambes, les écartées et les a repliées. Il a pris une autre corde, et a alors entrepris d’attacher ensemble ses chevilles et ses poignets. Julie était maintenant dans une position où elle ne pouvait absolument plus bouger, et n’avait d’autre choix que d’exhiber son entre-jambes ouvert à tout le monde.
C’est alors qu’est rentrée en scène la compagne de l’homme. Une petite brune de vingt-cinq ans à peine est arrivée derrière Julie armée d’un énorme vibromasseur branché sur secteur. Mis à sa puissance maximale, toute l’assistance pouvait entendre son vrombissement. Dès qu’il a été en contact avec son sexe en chaleur, Julie s’est mise à gémir en remuant son bassin. La puissance était telle qu’elle avait du mal à contrôler les réactions de son corps. Et la jeune brune savait y faire. A chaque fois que Julie s’approchait un peu trop près de l’orgasme, elle retirait le vibromasseur d’entre ses cuisses, et la fessait violemment à la place. Puis elle reprenait. Pendant près d’une dizaine de minutes, Julie a enduré le supplice de l’orgasme qui ne venait pas. Elle suppliait ses bourreaux, me cherchant du regard. Mais j’étais derrière elle, comme une dizaine de personnes, à regarder la jeune fille la torturer. La jeune brune a ensuite lentement retiré le plug d’entre ses fesses, et après avoir passé deux doigts sur sa fente dégoulinante, a enfoncé ceux-ci dans le rectum de Julie. Puis elle a à nouveau collé le vibromasseur à son clitoris excité. Julie hurlait de plaisir, son corps était devenu bien trop sensible à présent, totalement envahi par le plaisir. A peine a-t-elle senti lorsque la fille a enfoncé un troisième doigt dans son anus. Elle la pilonnait à présent d’un côté tandis qu’elle la faisait vibrer de l’autre. Un autre doigt est rentré, et seul le pouce restait à l’extérieur à présent. Le public l’exhortait à enfoncer sa main entière, mais Julie était sur le point de craquer, aussi la jeune fille m’a regardé. D’un hochement de tête, je l’ai autorisée à la faire jouir.
L’orgasme de Julie a été violent, et bruyant. Son corps entier, malgré les liens, a été secoué de spasmes, tandis que son sexe débordait de son jus, à la limite de l’éjaculation. Après ça, elle a été dans les vapes pendant deux ou trois minutes, durant lesquelles notre public nous a encore une fois applaudis. L’homme a progressivement retiré toutes les cordes qui emprisonnaient Julie, et je me suis approché d’elle. Tenant sa main, je l’ai embrassée sur le front.
— Marc, m’a-t-elle dit d’une petite voix, on peut rentrer maintenant ?
Avec un sourire, je l’ai aidée à se relever. Après avoir remercié tout le monde et dit au revoir, nous avons récupéré nos affaires à l’accueil et sommes retournés à la voiture. Julie s’est endormie presque immédiatement, je n’avais même pas encore démarré la voiture. J’ai regardé son corps, toujours nu, et après avoir retiré les pinces de ses tétons, je l’ai recouverte de son manteau pour qu’elle n’attrape pas trop froid. J’ai dû la réveiller une demie heure plus tard, lorsque nous sommes arrivés à l’hôtel. Son manteau ne cachait pas vraiment l’absence de sa robe, et ses cheveux, son visage en pagaille, ont fait tiquer le réceptionniste. Mais qu’importe. J’ai récupéré la clé et nous sommes montés dans la chambre. J’ai dû forcer Julie à prendre une douche, sans quoi elle aurait pu s’endormir telle quelle, encore souillée par cette soirée de débauche. Dans la baignoire, alors que je faisais couler l’eau, elle a porté sa main à mon sexe.
— Marc, m’a-t-elle dit avec sa voix endormie, tu n’as pas joui, toi.— Non, c’est vrai.— Je suis trop fatiguée pour faire quoi que ce soit, mais baise ma bouche.
Comment refuser une telle invitation. Debout dans la baignoire, les mains plaquées contre le mur en carrelage, j’ai fais aller et venir mon sexe dans sa gorge. Elle ne toussait presque plus quand je m’enfonçais jusqu’à coller mes testicules contre son menton. J’ai joui directement dans sa bouche en pensant qu’il me serait difficile, dès le lendemain, de vivre sans cette belle aide-soignante qui m’était entièrement dévouée.
Le lendemain, justement, mon train partait en fin de matinée. J’avais donc du me lever tôt, car je voulais prendre le temps de faire l’amour à Julie encore une fois avant de partir. Puis elle m’avait accompagné chez Raymond pour récupérer mes affaires, et le saluer une dernière fois. J’avais les larmes aux yeux, je ne savais pas quand est-ce que j’allais le revoir. N’aimant pas les adieux déchirants, j’ai fais au plus vite, et Julie m’a cette fois accompagné à la gare routière. Elle aussi, je pouvais le lire sur son visage, était triste de me voir partir. Sur le quai, devant le bus qui me ramènerait à mon train, je l’ai prise dans mes bras. Nous nous sommes embrassés comme un couple normal, langoureusement et avec une pointe d’amertume.
— Merci pour tout, lui ai-je dis en tenant ses mains.— Tu veux rire, merci à toi surtout. Je ne me suis pas sentie aussi vivante de toute ma vie.— Tant mieux. Tu t’es révélée de la plus belle des façons.— Grâce à toi.— Peut-être. Mais maintenant j’ai besoin que tu me fasses une promesse.— Tout ce que tu voudras, tu le sais très bien.— Quitte ce gars qui te sers de mec, et viens chez moi. Je te promets bien plus qu’une petite semaine de plaisir. Oh, et envoie moi des photos de temps en temps, aussi.— Ça fait deux promesses, ça. Mais oui, je te le promets.
On s’est regardés tandis que le moteur du bus se mettait en route, et on s’est embrassés une dernière fois, sur le quai de la gare routière de Rochefort.
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