Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 211 J'aime
  • 17 Commentaires

La détresse d'un cocu.

Chapitre 2

Une soirée plutôt détendue

Hétéro
La réponse que ma sœur Coralie m’avait faite lors de mon appel à l’aide avait été l’estocade.J’avais l’impression d’avoir vieilli de dix ans en quelques jours. Et ce sentiment profond de désespoir m’avait rendu complètement inapte à bosser. Au bureau, mes collègues ne comprenaient pas pourquoi un élément sur lequel on pouvait généralement s’appuyer, avait commis plusieurs bourdes plus ou moins préjudiciables au cours de la même semaine. J’eus même droit à une convocation de ma hiérarchie qui s’inquiétait elle aussi des répercussions de mon état mental sur mon travail.Je ne pus évidemment communiquer la raison de mon désarroi à mon employeur mais je pris néanmoins la décision d’aller consulter un médecin pour me faire prescrire des anti-dépresseurs espérant que ces pilules m’aideraient à franchir le cap délicat dans lequel je m’étais fourvoyé.
J’éprouvais toujours des sentiments très forts pour Stéphanie que je ne pouvais me résigner à mettre dehors alors qu’elle se comportait sans pitié à mon égard. Franck venait une à deux fois par semaine à mon appartement pour passer la nuit avec ma copine qu’il baisait à plusieurs reprises avant qu’ils finissent par s’endormir tous les deux dans mon lit.Les cris de plaisir de Stéphanie étaient de véritables coups de poignard dans mon dos et pourtant à chaque fois que je l’entandais forniquer avec mon beau-frère, je me mettais à bander et je n’avais d’autre alternative que d’aller me masturber dans les toilettes. Une fois que j’avais joui, j’étais à nouveau envahi de tristesse et il m’arrivait régulièrement de pleurer en silence sur le canapé du séjour.
@#####@
Après plusieurs semaines de ce supplice, je finis par me dire qu’il était temps de réagir. N’ayant pas de véritable ami sur qui compter, je pris la décision, après mûre réflexion, de rappeler Pierrette une de mes ex avec laquelle j’avais conservé de bons rapports après notre rupture. Nous nous étions en effet séparés d’un commun accord sans arrière pensée belliqueuse et sans qu’une quelconque infidélité en soit la cause. Pierrette exerçait la profession d’infirmière urgentiste et elle n’ignorait pas grand chose de la misère humaine.
Lorsque j’exposai le motif de mon appel à mon ancienne petite amie, je ne peux pas dire que je fus accueilli à bras ouverts.— Tu es quand même sacrément gonflé! On ne s’est pas vu depuis au moins six ans et ton premier coup de téléphone après tout ce temps est motivé par tes déboires amoureux. Tu as de la chance que je sois bonne poire et à nouveau célibataire depuis plusieurs mois parce que je n’aurais pas attendu aussi longtemps pour t’envoyer paître.Après quelques échanges animés, Pierrette finit par accepter de me revoir :— Je veux bien qu’on aille prendre un verre ensemble mais je ne vois pas très bien en quoi je pourrai t’aider.— Au moins, passer un moment avec toi me permettra de penser à autre chose qu’à mon infortune.
Je me mis d’accord avec Pierrette et nous décidâmes de nous retrouver le lendemain peu après dix-huit heures dans un bistrot de Saint Germain des Prés.
Évidemment, même si je pus constater qu’elle avait fait quelques efforts pour se mettre en valeur, Pierrette me sembla bien ordinaire lorsque je comparai mentalement son physique avec celui de Stéphanie. Sans compter que les kilos accumulés au cours des six dernières années avaient eu tendance à se concentrer au niveau de son cul et de son ventre.Je me gardai bien de lui faire la moindre remarque sur cette évolution peu avantageuse m’interrogeant malgré tout furtivement sur ce qu’elle avait bien pu penser en me revoyant pour la première fois depuis l’époque de notre rupture.Je décidai néanmoins de ne pas trop me focaliser sur l’image de couple bien peu glamour que nous pouvions évoquer aux inconnus des tables avoisinantes et je commandai aussitôt deux cocktails pour rompre la froideur de nos retrouvailles.
Après le second mojito, Pierrette était beaucoup moins sur la défensive et nous étions tous les deux relativement détendus.— Mon pauvre Luc, je n’ai pas l’intention de te faire la morale ou de te reprocher quoi que ce soit, mais j’ai l’impression que tu t’es mis dans une situation très inconfortable.
— Ce n’est pas faux. Je suis tiraillé entre mon cœur et ma raison. Figure-toi que même ma sœur ne veut pas intervenir auprès de son mari pour le pousser à mettre fin à sa relation avec Stéphanie.— Ta sœur fait sans doute partie de ces épouses soumises et admiratives de leur conjoint. Mais elle doit avoir des circonstances atténuantes. Le confort matériel apporté par ton beau-frère en est généralement une excellente.
N’ayant trouvé aucun argument satisfaisant à opposer, je m’abstins de contredire Pierrette qui semblait prendre son rôle improvisé de conseillère à cœur.— Écoute Luc, je pense que tu as besoin de te changer les idées et de rencontrer des personnes qui te feront oublier momentanément tes soucis personnels. Je suis invitée le weekend prochain à une petite fête organisée par un couple d’amis dans leur maison située en vallée de Chevreuse. Je te propose de m’y accompagner. Seront présentes plusieurs femmes célibataires avec lesquelles tu pourras peut-être échanger de manière constructive. — Pourquoi pas. Ça sera toujours mieux que de rester seul chez moi à me morfondre. De toute façon, Stéphanie a prévu une sortie à laquelle je ne suis pas convié.
Je ne m’étais pas étendu outre-mesure sur les réelles circonstances de cette sortie car je n’avais pas envie d’avouer à Pierrette que ma copine avait un rencard avec un macho black qui remplacerait sûrement Franck dans mon lit le samedi soir suivant.
Je passai la soirée du vendredi seul regagnant mon lit après un repas frugal. Et je m’endormis comme une masse bien aidé par un cachet de somnifère. Lorsque j’émergeai vers dix heures le lendemain, j’entendis du bruit en provenance de la salle de bains. Stéphanie était en train de prendre une douche. Lorsque je la vis revenir dans la chambre entièrement nue, je ne pus m’empêcher d’admirer son corps magnifique et son beau visage qui me laissait toujours espérer qu’elle n’était pas tout à fait indifférente à mon égard. Je la saluai donc avec émotion.— Bonjour ma chérie, je ne me lasserai jamais de te regarder. Tu es si belle.— C’est gentil, répondit-elle sur un ton détaché. Je vais préparer le petit déjeuner. Tu veux du café ?— Volontiers. Et je ne serais pas contre une tartine de miel. Il doit rester du pain d’hier soir. — Ok, lâcha-t-elle en enfilant son peignoir en satin beige avant de quitter la chambre.
Je rejoignis Stéphanie quelques minutes plus tard. Elle était installée à la table de la salle à manger échangeant des messages avec son smartphone. Je m’approchai d’elle et posai mes mains sur ses épaules. Elle tchattait avec un certain Bradley et ma présence ne semblait pas la gêner du moins du monde.Lorsque je voulus glisser ma main dans son décolleté pour pétrir ses seins, elle eut un mouvement d’humeur et me rembarra sans ménagement.— Tu ne vois pas que je suis occupé! C’est pas le moment de me tripoter.— C’est jamais le moment, je répondis vexé.— Qu’est ce que tu veux que je te dise? Tu ne me fais pas mouiller. Moi j’ai besoin d’un vrai mâle, un type sûr de lui avec une grosse bite. Pas une couille molle qui est incapable de me faire jouir.— Ce que tu me dis est vraiment dégueulasse.— Mais ouvre les yeux mon pauvre Luc! Tu croyais vraiment qu’une nana canon comme moi allait se contenter longtemps d’un mec comme toi. En fait, tu es semblable à nombre de mes ex. Tu aimes être traitée comme une merde et savoir que ta copine est une belle salope accro aux gros engins te fait bander.
La déclaration de Stéphanie était d’une telle violence que je fus incapable de répondre. Ce qui l’encouragea à en rajouter.— Tu vas être content car ce soir, je vais inviter Bradley à me sauter dans ton lit. Si tu te comportes comme une bonne petite lopette obéissante, tu pourras le regarder me planter son énorme queue noire dans tous les orifices.
C’en était trop pour moi. Malgré mon humiliation, je m’étais mis à bander et je préférai quitter la pièce pour aller me réfugier dans la salle de bains.
@===========@
Lorsque je sortis de la douche, j’étais un peu rassénéré. Comme j’entendais Stéphanie rigoler au téléphone. Je décidai de m’habiller rapidement et de quitter discrètement l’appartement pour aller me balader.
Ensuite, vers dix-huit heures, je me rendis chez Pierrette qui m’attendait pour m’emmener chez sa copine. Elle n’était pas seule. une femme blonde d’une quarantaine d’années plutôt enrobée lui tenait compagnie.— Bonjour Luc, me salua Pierrette en me proposant une place sur le canapé à côté de la blonde plantureuse. Je te présente Cindy, une collègue, qui comme moi s’est fait larguer par son Jules il y a quelques mois.La blonde apporta aussitôt quelques précisions à la déclaration de sa copine :— En fait, c’est plutôt moi qui l’ai viré. Il était un peu trop jaloux à mon goût et ma manière de m’habiller lui déplaisait.
Je dus admettre que la dénommée Cindy n’avait en effet pas froid aux yeux ni ailleurs car malgré ses généreux bourrelets, elle n’avait pas hésité à porter une robe plutôt courte profondément décolletée sur ses gros nichons naturels, ainsi que des escarpins à plateformes qui la grandissaient d’au moins quinze centimètres. Ajoutez à cela un maquillage digne d’un camion volé et Cindy avait tout de la chaudasse en manque.— Bonsoir Luc, me dit-elle en me faisant la bise. Pierrette m’a raconté que tu avais repris contact avec elle suite à une déconvenue amoureuse. Je ne sais pas si c’est une bonne idée mais comme elle a l’air de t’apprécier, ça pourra peut-être t’aider à remonter la pente. — Je te remercie pour ton message plutôt bienveillant. En tout cas, toi, tu as l’air à l’aise dans tes baskets. — C’est vrai que j’ai passé l’âge de me prendre le chou. Tu vois, j’aime avant tout bouffer, boire et baiser. Et comme beaucoup de mecs aiment les nanas bien en chair, je ne prive d’aucun des trois.Pierrette reprit alors la parole pour s’adresser à son amie— En attendant, vas y mollo sur la bibine, parce qu’on a envie d’arriver entier à la fête.— T’inquiètes ma chérie. Je sais me tenir.
Les filles me proposèrent de prendre la place du passager avant et cela me permit de mater à loisir les grosses cuisses de la conductrice dont la robe masquait à peine son string en dentelle noire que j’avais pu apercevoir lorsqu’elle s’était installée au volant.
@===========@
L’ambiance de la fête organisée par les amis de Pierrette était plutôt bon enfant et comme Cindy semblait apprécier ma compagnie, je profitai des premiers slows de la soirée pour la peloter. Constatant qu’elle ne se gênait pas pour frotter son minou contre ma braguette, je ne tardai pas à lui rouler des pelles. Çà me faisait un bien fou de pouvoir tripoter à loisir une nana aux formes épanouies comme l’amie blonde de mon ex. La nuit était déjà bien avancée et Cindy était de plus en plus chaude. N’y tenant plus, je la pris par la main et l’emmenai discrètement à l’étage. Nous trouvâmes rapidement une pièce qui devait servir de chambre d’amis et après avoir fermé la porte, j’aidai ma conquête à retirer sa robe. Comme elle ne portait pas de soutien gorge, elle se retrouva aussitôt en string et talons hauts. Je me mis à poil en quelques secondes et je poussai Cindy sur le grand lit de manière à qu’elle se retrouvât étendue sur le dos, les jambes bien écartées.Subjugué par la vue offerte par Cindy, je ne mis guère de temps pour bvenir plonger mon visage entre ses grosses cuisses charnues. J’écartai alors le triangle de son string dévoilant sa fente à l’odeur mêlée de sueur et de crevette. Ces effluves m’excitaient comme un dingue et je me mis à bouffer la chatte de Cindy comme un mort de faim. La blonde bien en chair appréciait mes caresses et ses manifestations bruyantes de contentement ne tardèrent pas à nous faire repérer. Car alors que je faisais coulisser mes doigts dans le minou bien juteux de Cindy, un invité débarqua de manière impromptue dans la pièce, la bite à la main. Sa queue était énorme et tout en se branlant, il s’approcha du visage de Cindy. Les yeux de la femme se mirent à briller en découvrant le mâle triomphant et alors que je m’appliquais à la faire jouir avec ma langue, elle repoussa mon visage et fit comprendre au type qu’elle voulait qu’il la saute. Le mec sortit une capote xxl de sa poche et pendant qu’il l’enfilait sur son braquemart tout raide je lui laissai ma place. Cindy maintenait ses jambes écartées. Le gars arracha le string de la blonde et il approcha son bassin du sien avant de planter son dard monstrueux entre ses cuisses. Cindy était tellement trempée qu’elle n’eut aucun mal à accueillir la bite énorme dans son minou. L’homme se mit à la limer, d’abord lentement puis constatant qu’elle était suffisamment lubrifiée, il accéléra le rythme de ses coups de queue. La blonde plantureuse gémissait de plaisir tandis que je regardais le couple baiser en me masturbant. Cindy me fit un signe et je vins vers elle pour qu’elle puisse choper ma queue et me branler. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sentis que j’allai venir et je repris ma bite en main et fis en sorte de lâcher la purée sur les grosses mamelles de la blonde. Son baiseur se lança aussitôt dans une chevauchée fantastique qui amena ma copine vers un orgasme terrible. Le gars extirpa ensuite son manche de pioche de la chatte qu’il venait de défoncer et il retira sa capote avant de gicler une quantité impressionnante de foutre sur le ventre dodu de Cindy.
Diffuse en direct !
Regarder son live