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Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ".

Chapitre 2

L'entretien...ou comment Corinne Levasseur devint " Clara la trainée"...

Divers
Corinne était nerveuse en voiture... Elle n’arrêtait pas de klaxonner pour un oui, pour un non. Dans son cabriolet Mercedes SLK 350, sport A, elle écoutait en boucle “California” de Mylène Farmer. Cette chanson exerçait sur elle comme une magie. Elle se voyait bien dans le rôle du double de Mylène, dans la rue, dans le clip vidéo. A chaque fois qu’elle y pensait, elle sentait son sexe s’épanouir dans son string...

Corinne était nerveuse, elle ne savait vraiment pas dans quoi elle mettait les pieds, mais elle était aussi exceptionnellement excitée... pour la première fois un événement venait éclairer son existence, si morne et dépressive. Alors qu’allait demander ce Jérôme Dafre ?
En plus il était mignon le mec, elle s’était renseignée sur son Facebook : grand, les cheveux mi-longs brun roux, les yeux verts. Presque une gravure de mode. Elle se disait que s’il lui demandait de se foutre à poil dans son bureau, elle le ferait sans aucune hésitation !

Mais le top, cela serait qu’il la baise, mais mal, brutalement, en lui parlant de façon vulgaire et obscène... mais tout cela devant son mari effaré et impuissant. Elle jouirait alors et en rajouterait des tonnes, en regardant son connard, de mari qui l’avait presque “échangée” contre une dette fiscale. Elle le regarderait droit dans les yeux et lui dirait : “ regarde ce qu’il me fait ce salop, comment il me baise et toi tu restes là, à mater comme un rat !”Et elle jouirait, elle crierait, elle gueulerait qu’il ”la prenne bestialement”, que “sa bite est énorme”, qu’elle “n’avait jamais pris son pied comme ça” ! Elle le sucerait comme une pute de bas étage, lui demanderait de la souiller, de lui éjaculer sur le visage, les cheveux, les seins. Et enfin elle lui demanderait de l’enculer jusqu’à la garde. Et Corinne était tellement énervée contre son mari qu’elle exigerait que ce soit lui qui prenne la queue de l’inspecteur et la dirige dans son petit trou... quelle belle vengeance ce serait...
Oui, Corinne imaginait tout cela et elle sentait son string s’imbiber de sa cyprine, tellement elle mouillait. Elle était très loin de penser que tous ses souhaits seraient exaucés et réalisés au centuple !
L’hôtel des impôts... Corinne descendit de voiture la boule au ventre.Suivant une série de couloirs sombres, elle parvint dans la section des “enquêtes financières d’évasion fiscale”. Elle avait l’impression d’entrer dans les bureaux de la Gestapo, 70 ans plus tôt... une porte vert foncé, un néon défaillant... son stress augmenta encore, elle frappa timidement.
“ Entrez !
— Monsieur Dafre, je viens de la part de mon mari vous apporter cette pièce à conviction. Mon mari reconnaît l’entière...
— Silence ! Donne-moi ton prénom. (Le ton était sans concession)
— Corinne levasseur ...
— Faux, dès à présent tu t’appelles Clara la trainée ! “


L’inspecteur général était confortablement assis dans un fauteuil très agréable, derrière un grand bureau en chêne. Derrière lui, une bibliothèque et un tableau représentant une scène horrible où l’on voyait des femmes blanches, nues se faire égorger et poignarder par des guerriers maures, sous le regard blasé de leur maître...”la mort de Sardanapale” d’Eugène Delacroix, le ton était donné !
Corinne avait été invitée à s’assoir, d’un geste de Jérôme Dafre, quand un intervenant apparut dans la pièce. Un homme d’environ un mètre 80, les cheveux longs réunis en un catogan, le regard dur. L’homme était pas mal du tout mais il dégageait une aura maléfique.Quand il croisa le regard de Corinne elle sut qu’elle serait son objet à jamais... la petite bourgeoise hautaine se découvrait soumise, et elle venait de rencontrer son maître ...Elle répondit d’une petite voix.
“ Bien monsieur.
— Bon alors Clara je vous explique la situation ; votre mari est dans une merde noire, entièrement par sa faute, et son esprit du lucre. Il vous a donné à moi. Et moi je vous donne à ce monsieur, que vous pouvez appeler “l’exécuteur testamentaire”, ou “l’Homme”, qui m’a rendu un énorme service naguère... de plus je n’ai pas le goût d’organiser des jeux pervers pour me venger, pour vous faire payer votre dette... lui si !
— Donnée ?! Non mais ça va pas non ? Et puis quoi encore ! Je pars de ce bureau de pervers.
-(L’inspecteur appuya sur son interphone). Elizabeth, pouvez-vous envoyer le recommandé pour M. Levasseur... il va pouvoir commencer à rembourser... “
Corinne qui s’était levée, furax, se figea sur place et devint blême...
“ Non, je vous en supplie, on peut négocier quand même !
— Je vais vous faire écouter cette bande... après croyez-moi, vous n’aurez plus envie de négocier, vous vous donnerez corps et âme à “l’exécuteur”. Cela a été enregistré 20 minutes avant votre arrivée, vous veniez de quitter votre mari :
— Monsieur Dafre ?
— Oui monsieur Levasseur je vous écoute, un souci avec votre femme ?
— Non au contraire, elle s’est habillée très sexy pour vous plaire, une robe moulante vert émeraude, qui lui dessine une silhouette de rêve. Elle s ‘est maquillée vraiment “femme fatale”. Vous allez adorer !
— D’accord, mais je ne l’ai pas invitée que pour prendre un café...
— Nous nous comprenons. Écoutez mon cher Jérôme, je vous l’envoie en toute connaissance de cause. Faites-en, ou profitez-en comme bon vous semblera. La seule condition est que je ne veux rien savoir ; mais je ne pense pas que ce soit elle qui viendra se vanter de ses exploits !
— J’ai un blanc-seing alors ?
— Tout à fait, ce qui m’importe c’est de recouvrer mon argent, et ma fiabilité sur les marchés boursiers... le reste est accessoire ! “

Corinne avait les larmes aux yeux, son mari venait de l’abandonner... l’échanger contre un service... et tout ça par sa faute à lui ! Elle n’en revenait pas ! Cet hypocrite avait fait la fine bouche quand elle lui avait présenté sa tenue. Il lui avait dit qu’elle n’était pas convenable comme ça, mais qu’il la laissait sortir ainsi la mort dans l’âme. Mais quelle ordure ! L’Homme, un grand sourire aux lèvres, faisait le tour de Corinne comme un fauve qui apprécie déjà sa proie ; il lui respira même les cheveux.
“Ça décoiffe hein. Une belle pute ton mari... mais je dois avouer que tu en es une belle aussi... dans un autre registre."
Corinne se leva comme un ressort:
“Tenez, voici déjà un acompte pour régler la dette : je continue ? “
Corinne avait passé ses mains sous sa robe moulante, attrapé le string et tiré violemment dessus, l’avait descendu avant de le lancer sur le bureau de l’inspecteur ; celui-ci dégoûté, le prit du bout de son stylo et le lança à l’Homme.
“ Elle te plait ?
— Hummm, j’adore déjà sa petite chatte ! Es-tu poilue ?
— Tu veux voir ? “
Et Corinne montant sur la chaise, dégrafa le haut de sa robe, et langoureusement la fit glisser sur le sol. Elle était nue, en bas couture et porte-jarretelles blanc devant les deux hommes...

“ Pas mal, pas mal ! Donc j’en déduis que tu vas obéir à toutes mes demandes ? Tu sais que je suis un maître particulièrement vicieux ?! Si tu es OK, tu descends de ta chaise et tu viens te poster devant moi, la tête penchée. Tu ne dois absolument pas croiser mon regard... Compris ?
— Oui Monsieur ! “

Et Corinne s’exécuta, debout, nue devant l’Homme, elle attendait son bon vouloir. Pendant ce temps l’inspecteur général, assis dans son fauteuil regardait la scène d’un air amusé. L’Homme tendit sa main vers le pubis de Clara, anciennement Corinne, et négligemment, comme s’il palpait un melon dans un supermarché, lui toucha son triangle de poils pubiens.
“ Faudra me raser tout ça... je vais te donner de quoi et souviens-toi, savon interdit !”
L’homme sortit un rasoir coupe-chou très effilé, ainsi qu’un petit téléphone portable, et donna ses instructions à la femme. Celle-ci, les yeux embués de larmes commençait à regretter son excès de zèle... mais en même temps une douce chaleur envahissait son bas ventre. Corinne était la “chose” d’un homme, l’esclave d’un maître pervers et elle adorait ça, en même temps qu’elle avait peur !

Lorsqu’elle rentra chez elle, elle avait recouvré son calme, son mari la croisa et lui demanda avidement comment s’était passé l’entretien:
“ Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ma chérie. Alors comment cela s’est-il passé ?
— Tu croyais qu’il allait me baiser ? Ben non... pas ce coup-ci en tout cas. Bon tu me laisses, tu ne sauras rien de moi, j’ai ordre absolu de me taire. De toute façon un Homme viendra t’expliquer tout ça... Bon je dois me raser la chatte !”

Rodolphe, abasourdi par les mots vulgaires de sa femme, crut qu’elle plaisantait !
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