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Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ".

Chapitre 3

"Auto-supplice" dans la salle de bain...

Trash
Corinne suivant les instructions de son “bourreau”, rentra dans la salle de bain, dont elle laissa la porte intentionnellement ouverte. Elle quitta son peignoir en soie, qu’elle laissa choir sur le sol et se retrouva nue, en bas noirs et porte-jarretelles de la même couleur. Elle disposa son téléphone portable sur la petite table de coiffeuse, et vérifia que l’objectif englobait bien toute la baignoire. Elle prit alors le rasoir coupe chou que lui avait confié “l’Homme”, et sans utiliser le moindre savon, commença à se raser le petit triangle de poils roux. Elle y allait doucement, sa peur de la lame tranchante et effilée ne la quittait pas. A côté d’elle sur le rebord de la grande baignoire carrée, elle avait disposé le smartphone, qui lui avait été confié, et avait composé le numéro... elle n’entendait rien, simplement une légère respiration, puis :
“ Clara tu te fous de moi ! Tu dois te raser franchement, je veux que toute ta toison disparaisse en moins de 30 secondes... sinon passé ce délai, ta prochaine “mission” sera encore plus désagréable et dégradante, tu peux me faire confiance !— Oui Monsieur, je vais le faire. “

Maladroitement et fébrilement, Corinne, s’activa sur la tonte de son sexe, avec un rasoir ultra tranchant et sans savon... une gageure pour quelqu’un qui ne sait pas s’en servir ! Bientôt, utilisant le mauvais angle, alors que le temps passait à vitesse grand V, elle se fit une estafilade qui lui tira un gémissement de douleur. Certes une bonne partie de poils avait été retirée, mais une fine égratignure commença à perler d’un sang bien rouge. Sidérée par la vue de son propre sang, Corinne s’arrêta...
“ Dépêche-toi, tu n’as plus que 20 secondes... et tu dois aussi faire entre les cuisses, tout contre ta vulve !— Mon Dieu, mais j’ai mal, je n’y arrive pas ! Je vais encore me taillader le sexe !— Tu te souviens de ta réflexion, sur les petits péruviens qui avaient perdu leur foyer et leurs parents, lors de la dernière soirée de dons organisée par ton connard ? Tu avais dit :“ mais qu’est-ce qu’on en a à foutre de ces petits pouilleux du bout du monde ! Je ne comprendrai jamais pourquoi mon mari organise ces soirées de bienfaisance”...Et bien grâce à moi, tu partages à peine 0,0001 % de leur douleur ! Sympa non ? Allez grouille toi connasse, tu n’as quasiment plus de temps. Arrête avec le pubis. Mets-toi sur le rebord de la baignoire, cuisses très bien écartées et rase-toi près de la vulve. Maintenant ! “
Corinne sursauta et faillit se donner un coup de rasoir sur cette partie si sensible. Au bord des larmes, elle obtempéra et réussit à enlever les quelques poils qui entouraient ses lèvres, non sans une nouvelle égratignure très douloureuse, qui se mit aussitôt à saigner. Éberluée, elle constata les deux rigoles de sang, qui s’écoulaient sur la faïence blanche de la baignoire.
“ Bon on verra ça plus tard, incapable ! Ah, sans ses domestiques on n’est plus rien, n’est-ce pas "madame multi millionnaire" ? Bon maintenant tu désinfectes. — Avec quoi je n’ai rien ? Pas d’antiseptique. — Je vois un flacon de Chanel n=° 5.— Quoi ? Mais vous êtes fou ? C’est de l’alcool à presque 80 degrés...— Et bien super alors. Tu verses tout en une fois ! “

Horrifiée, Corinne se vit prendre le flacon, grand format, dévisser le capuchon et décida de se le verser en une fois rapidement, pour limiter son supplice. Elle poussa un hurlement d’agonie, quand le liquide atteignit les plaies de son anatomie si sensible.
Les larmes aux yeux, elle jura silencieusement et maudit l’homme ...
“ Et connasse ce n’est pas moi qu’il faut maudire, c’est ton connard de mari ! C’est de sa faute tout ça. Tu payes pour lui ! Tu lui demanderas de te parler de Lionel Béranger...— Non, c’est vous le salop, vous êtes un sadique, vous prenez votre pied à faire souffrir les femmes ; et qui c’est celui-là d’abord.— C’était mon père, il s’est suicidé à cause de ton ordure de mari. Tout ça pour votre sale fric de merde... tu lui demanderas si je mens, dans deux heures... en attendant j’ai pitié! Demande au serviteur qui va arriver de te badigeonner le sexe avec de la Biafine. Ah, un truc aussi, je veux qu’il te fasse jouir ! Et n’oublies pas que tu fais tout ça de ta propre volonté ! Un mot de toi et tout s’arrête...— Jouir ! Mais vous êtes complètement cinglé ! Non... on continue... je ne sais plus !— Bon alors on révise les options, parce que j’en ai marre de tes atermoiements ! Ou tu le fais, option 1. Ou tu sors vers une heure du matin, nue sous ta nuisette, sans aller te coucher, tu auras gardé tes bas, et une voiture viendra te prendre...— Ce sera qui ?— Mustaffa et sa bande... ils te feront tourner toute la nuit dans une cave de banlieue et te ramèneront à ton petit mari. Je suis sûr que ça le fera bander, d’imaginer sa femme se faire "démonter" toute la nuit par une cinquantaine de mecs... il aura même la vidéo !— Mon Dieu !— Ce serait plutôt "Inch’ Allah" dans ce cas précis ! Option 2!Ton mari paye sa dette à l’état, il fait 6 mois de prison, avec la couverture médiatique adéquate, ses actionnaires le lâchent. Vous êtes ruinés, et tu te retrouves dans le caniveau. Et crois-moi que j’indiquerai à tous ceux que tu as méprisés en 20 ans, de venir se venger de toi... et ça en fait du monde ! Option 3...Alors que choisis-tu ? “

Corinne ne répondit rien, mais demanda à Kevin, le petit serviteur de 21 ans, qui se tenait près de la salle de bain, alerté par le hurlement de sa maitresse, mais n’osant intervenir, de venir la rejoindre. Quand il vit sa maitresse, nue, en bas, les cuisses largement écartées, assise sur le rebord de la baignoire, le pubis en sang... il eut un mouvement de recul ...
“ Mais, mais madame que vous est-il arrivé ?— Ce n’est rien Kevin. Tu vas me nettoyer et ensuite tu me mettras de la Biafine. "

N’y croyant pas : voir madame à poil, le sexe bien ouvert, et madame lui demandant de la soigner à cet endroit si délectable, lui sembla tenir du miracle ... il prit une serviette, la mouilla et délicatement essuya le sang qui commença à se tarir. Puis il se mit à badigeonner le pubis d’un doigt tremblant.
“ Kevin vas-y, ne fais pas ton timide ! Tu n’as jamais vu le sexe d’une femme ?— Non madame ...”
La réponse surprit Corinne, et à la fois pour se venger de son mari, qui après tout était le véritable auteur moral de son supplice, et en tirer un certain plaisir, elle décida de se venger.

Rodolphe, assis à son bureau, reçut un appel téléphonique:
“ Allo, monsieur, ici l’inspecteur général Dafre. Je voulais vous annoncer que tout s’était très bien passé avec votre épouse. J’accepte de lever l’interdit et je vous diminue la globalité de la dette de 50% !— Mon Dieu quelle heureuse nouvelle, je ne vous remercierai jamais assez !— Oh mais ne vous inquiétez pas, c’est votre épouse qui le fait pour vous. A au fait, elle quitte votre domicile ce soir, pour une durée indéterminée, mais elle reviendra avec le compte rendu exact, de tout ce que nous lui aurons fait faire ...— Mais je ne comprends pas... ce n’était pas prévu comme ça !?— Tu pensais peut-être que j’allais me contenter d’une tasse de thé avec ta femme et quelques gâteaux secs ? Contre 4 millions d’euros ? Ça fait cher le petit gâteau tu en conviendras ! Bon moi je n’ai pas le temps de m’en occuper, alors j’ai confié ton épouse à quelqu’un de confiance ... elle est entre de bonnes mains. Ah au fait, on m’apprend qu’elle fait un petit malaise, tu devrais monter dans ta salle de bain ! “
Dans une incompréhension totale, Rodolphe monta les marches aussi vite qu’il le put, pour parvenir dans le couloir où se trouvait la salle de bain. La porte en était ouverte et des râles de jouissance en sortaient. Il jeta un petit coup d’œil furtif et découvrit l’impensable.Kevin le serviteur de sa femme était en train de la masturber. Elle avait les cuisses écartées, et Kevin lui passait de la crème sur le sexe, en même temps qu’il la pénétrait de trois doigts ... et sa femme jouissait à gorge déployée, comme jamais elle ne l’avait fait avec lui !

Penaud, sans demander son reste, il retourna dans son bureau où le téléphone posé sur le bureau était encore en ligne.
“ Alors tu comprends mieux le deal ? Quand ta femme reviendra, elle prendra ce serviteur comme amant et il dormira dans votre lit. Vire-le ou tente quoi que ce soit contre lui et tu connais la suite ... d’ailleurs c’est toi qui l’inviteras à honorer ta femme, jusqu’à nouvel ordre. Ah, dernière chose tu filmeras leurs ébats ! "

Rodolphe se mit dans son fauteuil, se versa une généreuse rasade de whisky, et chose impensable pour lui, cherchant sa réserve de tabac, il se roula une cigarette !Puis deux heures après, on sonna a la porte. S’attendant aux pires cataclysmes, Rodolphe descendit l’escalier. Un homme en blouson de cuir noir l’attendait dans le vestibule :
" Mais qui êtes-vous monsieur ?— Je suis l’Homme, ou l’exécuteur testamentaire si vous préférez...— Mais vous avez dû vous tromper, personne n’est mort ici !— Si, ta femme... Corinne la bourgeoise, femme de bonne famille, est morte. (Et levant triomphalement le bras, pour designer la personne qui descendait silencieusement l’escalier dans son dos), à sa place est née Clara la trainée ! “ Ses derniers mots furent prononcés avec une voix forte et enthousiaste.
Sidéré, Rodolphe se retourna et ce qu’il vit le fit tomber à la renverse.Une rousse magnifique descendait l’escalier, un mauvais sourire aux lèvres. Elle portait une robe de cuir extrêmement moulante, avec une ceinture de maillons en laiton. La robe s’arrêtait en haut des cuisses, elle laissait apparaitre un porte-jarretelles blanc, des bas de la même couleur, ainsi que de là où se trouvaient les deux hommes, la vision du pubis dénudé et glabre. En haut, le décolleté pigeonnant, laissait entrevoir une bonne partie des seins, le visage était très maquillé.

Quand il se releva difficilement, Rodolphe put constater qu’il n’avait pas rêvé... cette "prostituée" qui quittait son domicile pour quelque obscure et lubrique raison était ... sa femme !
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