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Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ".

Chapitre 4

Un homme pris au piège de sa cupidité !

Trash
Rodolphe, ayant recouvré ses esprits, après le départ de sa femme, bondit sur le téléphone et exigea de parler à son inspecteur général des impôts.

“ Ouaiiis ?
— M.  Dafre,  ce n’est pas possible, je ne comprends plus rien, qui est cet homme que vous m’avez envoyé ?
— L’exécuteur testamentaire…
— Oui ça je sais, il me l’a dit. Mais pourquoi est-il parti avec ma femme, habillée de façon fort malséante ? Et je vous en veux beaucoup, vous êtes venu me narguer...c’est déjà assez humiliant comme cela !
— Tu veux dire habillée comme une pute , ah ah ah !
— Mon Dieu, mais vous n’avez pas le droit d’agir comme ça ! Corinne est une dame de bonne famille. Elle ne peut se promener ainsi dans la rue !
— T’aurais préféré qu’on la fasse sortir à poil ?
— Vous...vous êtes un monstre !
— Non c’est toi le monstre petite fiotte ! D’abord, si t’avais deux onces de virilité et d’amour propre, t’aurais pas laissé ta femme réparer tes conneries à ta place, sale bourgeois de mes couilles. Tu te rends compte que ta femme est à nous maintenant, et qu’elle entièrement consentante. Quand elle a appris ce que tu avais fait, je suis sûr que sa décision a été instantanée. Et ah j’oubliais, encore un truc. Ta femme, on n’ a même pas été obligé de lui mettre la pression par rapport à ton affaire… d’abord elle ferait n’importe quoi, et je dis bien n’importe quoi, pour conserver sa place dans votre monde pourri, et elle est prête à toutes les bassesses pour garder ton fric de merde, sale ordure. En un sens je ne sais pas qui est le plus pourri des deux !
— Comment pouvez-vous me parler ainsi...je ...je vais en référer au ministre !
— Et ben vas y, tu lui diras aussi que tu dois à l’état 6 millions d’euros ! Les huit millions de tout à l’heure, c’était une blague...on a aussi de l’humour dans les impôts !
— Mais c’était 4 millions.
— Et bien je viens de doubler l’amende! Et pour de vrai ce coup-ci ! Et écoute sale porc, continue de me briser les couilles, et je te fais cracher tout ton patrimoine . TU M’ENTENDS CONNARD ! TOUT TON SALE FRIC ! Pour le coup, quand tu vivras dans le caniveau comme un clodo, elle en deviendra vraiment une, de pute ! Et tu sais quoi… tout le monde pourra la baiser sauf toi ! Elle est pas belle la vie ? Alors tu redeviens raisonnable ?
— Oui M. Dafre.
— Bon. Encore un détail, ta femme est une nymphomane refoulée…
— Pardon ?
— Oui tu as très bien compris ...une grosse salope si tu préfères ! Tu ne t’en étais jamais aperçu ?
— Non, nous avons toujours eu des rapports sexuels classiques...elle ne m’a jamais rien dit .
— Mais pauv’ truffe ! Des rapports classiques ! Et tu crois qu’elle allait te dire : “ mon chéri je m’emmerde trop au pieu avec toi et ta p’tite bite, tu voudrais pas me payer deux ou trois gigolos, ou m’emmener dans une boite à partouze ?” Réfléchis connard !Enfin grâce à toi elle va pouvoir vivre tous ses fantasmes en live, et crois moi elle va en voir passer des bites et des chattes aussi d’ailleurs !
— Mon dieu vous n’allez pas lui imposer la bisexualité ?
— Oh non t’inquiète mon gros ! Elle sera trop contente de se gouiner ta petite bourgeoise chérie...je sais même pas si on va pas la faire baiser par un chien… la zoophilie ça te branche ?
— Arrêtez, arrêtez, par la grâce de Dieu, je ne veux plus rien entendre, vous ne pouvez pas la présenter à toutes ces horreurs ! Pitié je vous en conjure !
— Bon d’abord, c’est son cul pas le tien, elle en fait ce qu’elle veut, et ensuite t’a oublié la dette fiscale? Récupérer 2 millions, sa crédibilité sur les marchés et voir sa petite femme adorée vivre ses fantasmes et s’éclater la chatte, ça vaut bien un petit accroc à ton amour propre , non ?
— “ Voir “ que voulez vous dire ?
 - Mais que je suis bête, j’oubliais ! Tu connais pas la meilleure ! C’est toi qui sera mon reporter sur le terrain !
— Comment ça un reporter ?
— Hé bien tu vois dans cette aventure, il y la “pute”, l’exécuteur testamentaire et le reporter, houaf ! On croirait un film de Sergio leone ! Pour filmer les exploits de madame…exploits totalement gratuits, je précise ! Pour une fois que votre couple fera un truc qui ne rapportera pas de fric ! Une grande première pour toi, ah ah !
— Je...je ...je ...ne peux imaginer ce que vous me demandez !
— Mais si, c’est toi qui va filmer les ébats de ton épouse, si honnête si prude, et chaque soir à 21h00 précises, moment où je bois mon petit whisky et fume mon cigare dans mon fauteuil, tu viendras me raconter les exploits, ou plutôt je devrais dire “sexploits” de ta chère et tendre...ahaha ! elle est bien bonne, “ sexploits “ ? Non ?
— …
— Bon je vois que tu n’as pas d’humour, c’est pas grave ! Bon allez, je te quitte ma poule; ah, au fait tu as 15 minutes pour rejoindre l’aire d’autoroute n=° 12 sur la A1… “

Jérôme Dafre avait raccroché, laissant un Rodolphe abasourdi dans son fauteuil .Il repensa instantanément au dialogue avec sa femme avant qu’elle ne sorte, 10 minutes plus tôt. Il avait été choqué de la voir accoutrée ainsi...une véritable péripatéticienne ! Sa Corinne, toujours pudique et bien élevée, une femme tellement comme il faut  ! Comment avait-elle pu accepter de s’habiller comme...comme une pute ! Rodolphe n’osait même pas penser le mot !Corinne était descendue de l’escalier, vêtue et maquillée de façon outrageuse, un mauvais sourire aux lèvres. Elle apostropha son mari avant qu’il n’ait eu le temps de bafouiller quoi que ce soit :
“Mon chéri , je sors ce soir ! Je serai accompagné par ce monsieur, que tu peux considérer comme mon Maître !
— Ton... ton Maître ?! Mais quelle est cette comédie Corinne ?
— Ah, au fait, tu as tout faux, je ne suis plus Corinne, mais Clara la Trainée, ainsi que mon Maître te l’a expliqué… Cette comédie, mais voyons mon chéri, c’est le résultat de ce que tu as décidé avec l’inspecteur Dafre ! Tu pensais peut être qu’il se contenterait de prendre un verre avec moi ? Tu m’as quasiment “”vendue” ordure ! Et tout ça pour ton fric de merde ! Remarque je commence à y prendre du plaisir à cette situation...si tu savais ce que j’ai fait dans la salle de bain ? “

“Non, non pensait Rodolphe , elle ne va quand même pas m’assener qu’elle a fricoté avec le jeune serviteur ? Pas elle, pas ma femme. Et pourquoi ces vêtements, ce ton provocateur ? “ Le cerveau du mari dépité tournait à 100 à l’heure. Il était sidéré, il n’arrivait pas à croire que tout cela était bien réel ...
“ Et bien je me suis fait doigter la chatte et masturber par Kevin...il sait y faire le petit salop pour un novice. Le pied que j’ai pris, je te dis pas ! Et la prochaine fois il me baisera ! Ah, au fait, tu ne dors plus avec moi, il te remplace ! Mais tu auras la chambre à côté de la nôtre, comme ça tu pourras tout entendre ! Veinard !Encore une chose, et qui va déterminer ma conduite pour les prochaines semaines...connais tu un homme nommé Lionel Beranger ?
— Je ne comprends pas ce que cette histoire vient faire ici ?
— Tu le connais alors, et tu as provoqué son suicide ?
— Non, on ne peut pas le dire comme ça …
— Si espèce d’ordure , on peut le dire comme ça ! Tu l’as ruiné en ne respectant pas ta parole de lui acheter sa production. Sa femme est partie et anéanti, il s’est tiré une balle dans la tête ! Espèce de fils de pute !
— Mais qu’est ce que vous en savez, vous, “ l’exécuteur testamentaire “, vous y étiez ?
— C’était mon père, ordure. Et je vais te faire payer la dette d’Honneur que tu lui dois, tu peux me croire. Tu vas vivre un enfer ! Et ça démarre ce soir ! Ou alors tu fais un chèque de 4 millions d’euros !
— Huit ! j’ai décidé de rajouter un petit quelque chose, on va dire que c’est le prix de la vanité. Et pauvre con, tu as les couilles dans le broyeur et tu la ramènes encore  ? Tu verras  dans peu de temps tu raseras la moquette ! “

C’était Jérôme Dafre qui venait de rentrer dans le vestibule silencieusement, et qui avait écouté  le dialogue précédent .

“ Alors Clara contente de ta nouvelle identité  ?
— Oui Monsieur, je vais enfin trouver un sens à mon existence ! Même si j’ai un peu peur…
— Tu sais à qui il faut t’en prendre ?
— Cet immonde porc, mauvais coup, mauvais mari, pleutre, assassin ! Tu me dégoutes crevure ! Je vais penser à toi quand je vais me faire défoncer ! “

Elle cracha sur son mari qui ne fit pas un geste. L’inspecteur souleva la robe de cuir, pour faire apparaître le pubis glabre, devant les yeux horrifiés de Rodolphe.
“ Et mec, tu as vu la chatte de ta femme, elle s’est rasée toute seule, avec quelques dégâts collatéraux, à voir ?  Tu sais, tu peux encore tout arrêter !
— Nnnn...nnon ...on continue.
— Enculé jusqu’au bout ! “

L’inspecteur  laissa Clara disqualifier son mari, et lui passa un doigt sur les deux fines cicatrices roses du pubis. Celle-ci couina de plaisir. Alors il porta son majeur dans la fente, qui accepta facilement cette intromission, et le retira gluant de mouille.
“ Et bien dis donc elle mouille bien ta femme ! Tiens goûte connard !” Et il introduisit son doigt de force dans la bouche de Rodolphe, qui suça servilement le doigt .
Dégoutée par tant de bassesse, Clara quitta la maison, suivie des deux hommes. Rodolphe n’avait pipé mots, trop abasourdi par la situation...

Rodolphe repensant à la scène se mit à vomir sur sa moquette...il était pétrifié et anéanti .
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