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Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ".

Chapitre 8

" Et poussière, tu es poussière, tu retourneras poussière ! "

Trash
Rodolphe “quitta” le monde, écœuré par toutes les tribulations qu’il avait vécues avec sa femme: ce déferlement de luxure et de dépravation, il prit une décision...
La nuit passée dans cette cave de banlieue l’avait vraiment surpris et dégoûté en même temps. Au début, il devait s’avouer que voir sa femme nue, au milieu de tous ces hommes libidineux, l’avait beaucoup excité. Mais la fréquence des hommes qui avaient sailli sa femme de façon aussi incongrue et vulgaire l’avait impressionné et écœuré...
De plus, tous les soirs, Rodolphe se retrouvait dans le rôle du mari cocu, voire “cuckhold”, qui était obligé de dormir dans la chambre voisine de leur chambre conjugale... et chaque fois, c’était la même “symphonie” ! “L’Homme” avait imposé à Rodolphe l’infidélité de sa femme avec un jeune serviteur de sa propre maison. Et donc tous les soirs, le jeune homme de 23 ans se retrouvait dans le lit de son épouse, à baiser la maîtresse de maison autant qu’il le voulait. Son jeune âge et sa chance d’avoir une partenaire sexuelle si haut de gamme firent qu’il pouvait chaque nuit lui donner entre 3 et 6 orgasmes... Madame n’était jamais rassasiée ! Par pure perversité, Rodolphe s’était amusé à les compter: sa femme n’arrêtait pas de l’étonner !
Et à chaque fois, évidemment, elle gueulait sa jouissance à n’en plus pouvoir, Rodolphe était certain qu’elle le faisait exprès, et qu’elle forçait un peu le trait... quoique ...
Enfin un soir, cela alla trop loin et en définitive, ce fut ce qui emporta sa décision... cette salope de l’enfer le fit participer !

Tout commença à table : Corinne avait congédié le personnel de maison, et c’est elle qui servit les deux hommes dans le salon, assis sur un fauteuil. Seulement, elle le fit dans une tenue peu en adéquation avec ses fonctions d’un soir, ou alors dans certains films pornos !La lumière était tamisée et Rodolphe faisait contre mauvaise fortune bon cœur, quand son épouse entra avec deux verres de whisky, vêtue, enfin si l’on pouvait dire cela, d’une guêpière noire qui s’arrêtait sous ses seins, agrémentée de bas couture gris ; évidemment, elle ne portait aucune culotte qui eût pu masquer son pubis rasé...
Le jeune homme caressa l’entrecuisse de Corinne quand elle lui donna son verre, et lui mit carrément deux doigts dans sa fente, quand elle se baissa, tournée vers son mari pour lui donner le sien ! Elle eut un gloussement fort peu opportun.
Ecœuré, Rodolphe but son verre d’un trait tandis que le jeune serviteur prenait la maîtresse de maison, et la femme de Rodolphe sur ses genoux, pour commencer à l’embrasser fougueusement et lui caresser les seins et le sexe.
Corinne en pâmoison, gémissait et couinait sous les caresses du jeune homme ; son mari se perdait dans la contemplation de la superbe copie du radeau de la méduse de Géricault, qu’il avait fait réaliser par un jeune peintre prometteur. Il se dit que lui même était un peu dans la position de l’équipage... en pleine perdition et sans espoir. Et puis, en regardant le marin presque nu qui balançait le foulard comme pour dire au revoir, ou pour faire des signes à un éventuel autre bateau de secours, une idée commença à poindre dans son esprit ...

Étant passée à table, dans la salle à manger, Corinne apporta les potages ; le jeune fit dégouliner une partie du liquide avec la louche, sur les seins de la jeune femme, pour ensuite lui lécher la poitrine avec force bruits de succion... Corinne riait aux éclats. Le reste du dîner fut du même acabit.
Enfin, cerise sur le gâteau, le jeune fit allonger Corinne sur un pouf dans le salon, pendant qu’il fumait un cigare de son patron. Et ayant disposé sur une desserte divers ustensiles de cuisine et des légumes, ainsi que le beurrier, pour un usage dont Rodolphe ignorait l’intérêt, mais dont son subconscient lui faisait craindre le pire... pire il y eut ; toutes les limites furent dépassées pour ce pauvre Rodolphe.

Le jeune homme lia les deux mains de Corinne au pied du sofa, proche du pouf, et pendant que Rodolphe sur son fauteuil, derrière les protagonistes, regardait la scène d’un œil éteint, commença un drôle de manège. Il commença par recouvrir ses doigts de beurre, et en enduisit le sexe et le trou du cul de Corinne, faisant bien pénétrer ses doigts.Alors, tel un prestidigitateur sortant des objets magiques de son chapeau, il prenait l’un des divers objets sur la desserte, le présentait à Corinne un grand sourire aux lèvres, et le faisait pénétrer dans l’un des deux orifices beurrés et offerts de la jeune femme, liée et allongée sur le ventre, à moitié nue sur son pouf.
Une cuillère de bois fut introduite dans le sexe de Corinne, puis dans son rectum, d’abord côté manche, puis côté cuillère. La jeune femme commença à gémir sourdement ; ensuite suivirent pelle à tarte, fourchette, couteau au bord arrondi, louche, côté manche dans son cul, mais côté louche dans son sexe. Corinne cria un peu au début, mais elle était tellement excitée de s’exposer ainsi devant son mari, elle mouillait tellement, et le beurre la lubrifiait si bien, que l’engin fut enfin englouti dans son vagin, lui déclenchant des râles de plaisir écœurants à l’oreille de Rodolphe !
Puis le jeune homme passa aux légumes : carotte, concombre, pomme de terre, aubergine, à chaque fois de plus en plus grosse ; un coup dans la chatte et un coup dans le cul. A chaque fois, Corinne criait, ahanait et jouissait après quelques crispations de son beau visage.Enfin, le jeune homme commença à la baiser par la chatte, puis l’encula profondément, sans aucune difficulté. Au milieu de ses cris d’extase, Corinne cria à Rodolphe :
— Rodolphe, viens, rejoins-nous, je veux te sucer, regarde bien comment il me défonce... ahhhhh ! “
Et servilement, déboutonnant sa braguette, il obéit, et se fit sucer par sa femme qui se faisait enculer par le jeune, sous les cris d’excitation et les râles de plaisir de sa femme. Quand il éjacula dans sa bouche, il fit l’erreur de croiser le regard du jeune, qui prenait sa femme de si vulgaire façon. Il y vit un mélange de triomphe, de sadisme, de vice le plus pur, d’une perversité insondable... il avait l’impression de croiser le regard du diable en personne. Et quand s’étant soulagé dans la bouche de son épouse et se rhabillant, il croisa le regard de son épouse déchue, il y vit la même chose. Sortant à reculons, titubant sur une chaise, se raccrochant à un grand chandelier, qu’il fit tomber contre l’insert de la cheminée, dont la porte en verre éclata, il s’enfuit sous les rires des deux amants.
Puis, enfermé dans les toilettes, dégueula tout ce qu’il put !

Alors, la nuit, sans fermer l’œil, pendant que sa femme se faisait sauter et re-sauter par le sagouin, il prit une décision... tout ici avait été souillé par cette démone qui vivait avec lui : ustensiles de cuisine, légumes, chaises, pouf, pièces...Certes, il portait l’entière responsabilité de tout cela... mais il était temps de siffler la fin de la récréation !

Épilogue:
Un courrier atterrit sur le bureau de l’inspecteur des impôts, il l’ouvrit, étonné, et y découvrit avec une grande stupéfaction la “profession de foi” de son “client”... et son repentir, accompagné d’un chèque de 10 millions d’euros. Rodolphe expliquait que cette situation dans laquelle il voyait sa femme se débaucher chaque fois un peu plus, et y découvrir un plaisir tragique, que lui pauvre mari raisonnable, n’avait pu lui offrir, lui avait définitivement érodé les nerfs.Il n’en pouvait plus de ce jeu pervers, dans lequel sa femme exprimait une sexualité morbide et dégradante. D’autre part, les longues nuits sans sommeil, consécutives aux turpitudes de son épouse, qui avait des relations sexuelles suivies (et très bruyantes avec le jeune serviteur) lui avaient permis de comprendre l’échec du sens de sa vie. Accumuler la puissance financière pour briller aux yeux de sa femme ne lui avait servi de rien... la preuve !
Aussi il avait décidé de tout lâcher : honneurs, puissance, rang dans la société, argent.Il donnait tout, tout ! D’abord, en remboursant sa dette fiscale, plus un reliquat, qui, il l’espérait lui permettrait de mettre un terme définitif avec le fisc. Le reste de l’argent et tous ses titres bancaires en France ou à l’étranger seraient accordés à des associations caritatives diverses, pour aider les gens qui étaient vraiment dans le besoin... quant à toutes ses entreprises, il en remettait le gouvernement à ses salariés !
Tout l’empire de Rodolphe Levasseur était désormais géré en prise directe par ses salariés !Voilà qui allait provoquer un tremblement de terre au sein du CAC 40 ! Et certes, cela n’avait pas plus à tout le monde... certains craignant “une contagion sociale”, et des demandes pressantes de leur propre masse salariale.
En tout cas, le non-dit était oppressant : et si les salariés en autogestion dirigeaient mieux les sociétés de Rodolphe que les grands patrons d’à côté ? Avaient de meilleurs résultats que les sociétés voisines sur les places financières ? Cela devait lui assurer de bonnes décennies de franches rigolades par la suite !

Dans l’avion qui l’amenait au Togo, Rodolphe ne s’était jamais senti aussi bien, il avait éclaté de rire en lisant la une de tous les journaux financiers qui étaient sa bible chaque matin, avant son café. Toute la place de Paris était en ébullition, non pas tellement par le poids de ses entreprises qui était ridicule par rapport aux “gros” du CAC 40, mais par “l’ignominie” d’un patron, donnant le contrôle de ses sociétés à ses ouvriers pour une autogestion !
Ce qui faisait aussi beaucoup rire Rodolphe, c’est qu’il avait octroyé toute sa fortune à des œuvres caritatives... et sa “douce et fidèle femme” Corinne se retrouvait donc sans le sou !Elle qui aimait tant l’argent, et qui avait assuré toutes les demandes de “l’Homme”, à la fois par pure perversité, pour faire chier son mari, mais surtout pour conserver la jouissance (c’était le cas de le dire) de son petit confort, et de la fortune de son mari. Manque de bol, Rodolphe avait fait ce que personne n’attendait de lui: devenir pauvre !Ce qui était également le cas de sa femme !
Rodolphe, par une source d’information qui lui était restée fidèle, sut que sa femme avait déclaré une grosse colère, une haine grandiose à son encontre ; elle avait quasiment ruiné tout le mobilier de la belle demeure, et s’était répandue en invectives sur son dos, auprès de tous leurs amis... amis qu’elle ne conserva pas longtemps, puisque par sa déchéance financière, elle n’appartenait plus à “leur monde”. Seule son amie Gisèle conserva de l’affection pour elle.

Alors se retrouvant dans le caniveau, Corinne se reconvertit dans ce qu’elle savait mieux faire : le sexe ! Elle se créa un personnage de femme bourgeoise délaissée, et ruinée par son mari et tourna dans des films pornos où elle connut un franc succès... puis, s‘étant quelque peu “refaite”, elle avait retrouvé un niveau de vie correct, elle se mit en ménage avec son amie Gisèle, goûtant avec délectation les charmes du saphisme : autant Rodolphe pouvait être chiant et nul au lit, autant Gisèle la faisait jouir sans entrave et l’amenait à ses célèbres parties fines en ville. Voilà quelle avait été sa vengeance envers ces salops d’hommes !

Rodolphe participait au creusement d’un puits dans le sahel, puits qui permettrait au petit village d’à côté de se pourvoir en eau potable toute l’année. Dans la mission catholique dans laquelle il officiait bien humblement, son dévouement pour les peuplades du lieu était devenu proverbial. Les prêtres qui le connaissaient affirmaient sans rire, qu’il était déjà accessible à la sainteté. Ce à quoi, il leur répondait avec un petit clin d’œil, qu’ayant connu les affres de l’Enfer, il espérait au grand maximum avoir une petite place sur le paillasson du Paradis !
Les enfants qui le regardaient creuser avec ardeur sous le chaud soleil d’Afrique, suant et couvert de terre, lui dirent que sa gentillesse et son dévouement lui assureraient un jour une grande richesse... sur ce, il leur répondit que la seule richesse valable sur cette terre était la richesse du cœur, ayant expérimenté, à son détriment toutes les autres !

Fin
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