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Un deuil peu commun...

Chapitre 3

Pari réussi !

Trash
— Bien, alors tu as ta main entre tes cuisses, tu te tripotes le berlingot pour te faire jouir... mais tu vas imaginer que tu n’es pas seule, dans ce trou plein d’eau. Qui pourrait être avec toi ? Laisse aller ton imagination, parle sans contrainte ! — Oui beau papa. Il y a trois types qui m’ont observée depuis la route, en train de me faire du bien. Ils ont sauté la clôture et se sont mis nus, avant de descendre l’échelle, pour me rejoindre. Ce sont trois beaux blacks avec des bites énormes. Je les entends dire qu’ils ont envie de baiser la jolie femme blonde, qui se branle dans l’eau...ça fait trop longtemps qu’ils ne se sont pas tapé une blanche salope !
Ils vont me prendre tous les trois... humm... avec leurs queues magnifiques, que je peux apercevoir, car ils ont une lampe de poche très puissante. Ils me matent en train de me masturber dans le buisson d’algues ; cela les excite beaucoup, et ils se massent leur braquemart démentiel.
— Tu aimes leurs queues, comment sont-elles ? — Magnifiques, énormes, beau papa, des bites d’au moins vingt centimètres. Leurs glands sont énormes. Je n’ai qu’une envie, c’est de pouvoir les toucher, les prendre dans mes mains, et qu’ils me les mettent dans ma petite chatte... je suis tellement excitée ! — Bien, que font-ils à présent ? — Ils m’entourent ; deux me soulèvent de l’eau, tandis que le troisième s’assoit dans l’eau, la bite bien dure et droite. Ses copains me positionnent la chatte sur son gland et ils m’empalent dessus. Je leur dis que j’ai un vers dans la chatte qui me chatouille. Alors celui qui m’a empalée me dit qu’il va d’abord l’assommer, et le noyer de sa semence. Il me prend par les hanches, et me soulève comme une poupée de chiffon, ma chatte de plus en plus dilatée par l’engin énorme... ooooh... ouiiii, c’est trop bon !!! — Et les deux autres ? — L’un a dirigé sa queue vers mon visage, et je l’engloutis voracement, tandis que l’autre me caresse les seins avec les algues, et me pince les tétons. Ooohhh, je vais jouir !! Oui, oui, allez-y défoncez moi !!"
Je matais ma femme, en train d’être absorbée dans son délire sexuel ! La main entre les cuisses, ramenant vers son sexe des algues et des roseaux, pour se masturber, elle soulevait son bassin sous le coup de la jouissance, l’autre main lui malaxant les seins avec violence. Ses yeux étaient fermés, et elle ahanait et gémissait, comme si elle réalisait vraiment son fantasme, d’être prise par trois blacks en même temps. Le flot de mots hard et crus était absolument inédit pour mon épouse, qui ne m’avait pas habitué à de tels débordements. J’étais simplement sidéré, par la façon qu’elle avait de se donner du plaisir dans cette eau marécageuse, tout en relatant par le menu, les péripéties de son fantasme à mon père !
Tout cela était tellement étonnant et excitant ! J’avais l’impression qu’elle n’arrêtait pas de jouir, assise, cuisses et sexe grand ouverts, parmi ces algues et ces roseaux, le cul planté dans une couche de vase, libérant par moments des jaillissements de bulles de méthane.
Encore une fois, mon père était arrivé à ses fins ! Pourtant cela n’avait pas été simple de convaincre mon épouse, hygiéniste et dépourvue de prime abord, de tout imaginaire érotique un tant soit peu poussé, d’abord d’entrer dans une eau marécageuse, froide et stagnante, en étant toute nue, et cela dans l’obscurité la plus totale. Mon père avait réussi à la persuader de pénétrer dans un buisson d’algues visqueuses, et de roseaux, dont certains dépassaient les deux mètres, mais avec un réseau très fourni de racines sous l’eau. Evidemment, il y avait également des insectes, des vers et autres petits batraciens, grenouilles, salamandres, tritons qui vivaient dans cet enchevêtrement végétal subaquatique. Et mon père avait donné l’ordre à ma femme de s’y accroupir, cuisses grandes ouvertes, et la fente de son sexe dilatée, puis de s’y allonger carrément, avec ordre de se masturber à l’aide des branches de roseaux, de leurs racines, et des algues.
Si dans un premier temps, Cécile avait même trouvé un certain plaisir, à venir marcher dans le réseau d’algues et de roseaux, qui lui chatouillait agréablement ses nymphes, s’assoir dans cet amas quelque peu putride, à cause des émanations de méthane, sans avoir la vision de quoi que ce soit, l’avait terrifiée et elle avait refusé. Bien évidemment, elle craignait qu’en se masturbant sous l’eau, et en dilatant sa petite chatte avec ses doigts, des insectes ou autres quelconques créatures n’en profitent pour faire de son nid douillet leur résidence principale. Et justement, c’était cela qui excitait mon père : inciter ma femme à s’enliser dans la vase, et sentir des créatures venir rôder dans les environs de sa vulve si fragile, son trou du cul dilaté, menacés par ces créatures de la nuit !
Certes, Cécile avait regimbé, se transformant en petite fille qui ne veut pas prendre sa douche... mais mon père joua d’abord les croquemitaines, lui promettant diverses mauvaises expériences à suivre. Puis il joua la carte du misérabilisme, rappelant qu’il n’était qu’un pauvre homme veuf, ayant perdu l’amour de sa vie, et que Cécile justement, faisait revivre les expériences passées du pauvre homme avec sa femme. Appuyant bien sur la touche sensible, il réussit à convaincre Cécile, qui après avoir longuement sniffé le Popper, s’accroupit dans le buisson d’algues et de roseaux, pour enfin s’allonger dans la vase malodorante.
Elle ressentit alors des vers et autres insectes grouiller autour de son corps, mais obéit à l’ordre de mon père d’ouvrir son sexe en grand avec ses doigts... mon père voulait absolument que ma femme soit avilie au maximum, et suive à la lettre ses ordres les plus vicieux... et le salaud avait réussi ! Ma femme, excitée par le Popper, et la situation incongrue et perverse, perdait toute notion de pudeur et d’amour-propre, et se livrait avec plaisir à ses fantasmes les plus profonds et cachés ! Et elle relatait toutes ses sensations à mon père, minute après minute :
— Beau papa, je sens des trucs sous mon cul, dans la vase, ça grouille de vie. Je me branle la chatte, ma fente est ouverte ! Je sens des trucs qui passent sur mon pubis, entre mes cuisses. Ah ! Mon Dieu il y a comme un vers qui est sur ma chatte, il longe ma lèvre. Ah... il me pénètre. C’est... c’est, hiiiiii ! Mon Dieu ça me rentre dedans ! Ah mon Dieu, il me chatouille, humm... mais c’est plutôt agréable en fin de compte. — Continue à te branler ! Alors mon père avait débuté l’évocation du fantasme de Cécile, qui maintenant, les yeux fermés, le bassin se soulevant, les seins parfois effleurant de leurs tétons tendus à l’extrême, la surface de l’eau, vivait complément en jouissant ce gang bang imaginaire. Enfin, elle poussa une clameur rauque et s’écroula dans la vase parmi les algues !
Après avoir demandé à ma femme de se placer à genoux, sur un petit éboulis de terre et de boue au bord de la paroi, il lui demanda de se masturber à nouveau, en se tartinant les muqueuses et les cuisses, les seins avec cette boue gluante. Cécile devint bientôt tout marron rouge de cette boue grasse et collante ! Après avoir de nouveau joui, mon père lui demanda de sortir du trou. Ma femme se retrouva nue, toute mouillée et souillée de boue, à 4h00 du matin, à environ dix minutes de chez elle à pied, alors qu’une petite brise se levait ; évidemment, se vêtir du peignoir blanc aurait été une gageure !
Aussi, c’est totalement nue, et couverte de boue et d’algues que Cécile emprunta le petit chemin qui la ramena chez elle, passant devant des maisons. A un moment, elle fut illuminée par la clarté de la lune déchirant les nuages. Et de loin, je vis cet étrange équipage de ma femme, marchant nue et souillée de boue, avec son beau- père derrière elle, qui ne se gênait pas pour passer des mains complaisantes sur son petit cul appétissant ! Ma femme riait alors, et gloussait en disant des " beau-papa, arrêtez, vous n’avez pas honte de profiter de la situation !"
De mon côté, j’avais suivi l’autre route plus rapide, mais plus passante aussi, pour me glisser très vite dans mon lit, faisant semblant de dormir ! Après une douche pour le moins nécessaire, Cécile se coucha avec moi dans sa robe de nuit sempiternellement anérotique... la salope !
Je m’endormis des étoiles plein la tête, après la performance sexuelle exceptionnelle de ma frigide de femme en temps normal, et j’attendais le lendemain avec impatience... ma femme aurait-elle le cran de venir nous servir, mon père et moi, nue, seins et touffe à l’air, en bas et porte-jarretelles ?
Le lendemain matin, ma femme n’était pas très fraîche... elle avait peu dormi et vécu des aventures inattendues ! Elle prit de nouveau une douche pour extirper les derniers grains de boue tenaces sur son corps ! Moi j’attendais le soir avec impatience ! Mon père réussirait-il son pari ? En tout cas, je savais exactement quoi dire à mon épouse peu avant le repas du soir. Quand la commission fut effectuée, ma femme dont le visage se referma sombra dans un profond mutisme... les choses paraissaient mal engagées pour son exhibition vespérale ! Mais quand mon père, à l’heure du thé, demanda un cordial, et s’écroula en larmes en fixant la photo de sa chère disparue, la carapace de refus de mon épouse vola en éclats, et regardant mon père avec empathie, elle changea sa décision, d’autant plus qu’elle remarqua qu’elle possédait toujours la petite fiole de Popper dans sa poche !
De plus, au moment de préparer le repas du soir, elle recourut à “l’élixir de volonté”, dont mon père l’avait abreuvé légèrement la nuit passée ; un petit verre de cognac ! En effet, j’avais expliqué à mon père, avoir remarqué les effets fantastiques de l’alcool sur l’exacerbation de la libido de mon épouse. Encore fallait-il qu’elle acceptât d’en boire un petit verre. Et en l’occurrence ,ce fut le cas ! Je rechargeai donc mon espérance de voir enfin ma femme s’exhiber nue devant nous, au moment de l’apéritif ! Confortablement installé dans le fauteuil, je me remémorais avec délectation la demande que je lui avais faite précédemment !
" Mon père nous quitte demain... pour sa dernière soirée ici, il m’a fait part d’une demande aussi incongrue qu’irréalisable de ta part !
— Ah bon, que veut-il encore ? Qu’est-ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir ? Tu sais, je veux qu’il nous quitte avec de merveilleux souvenirs dans la mémoire, qui je l’espère, pourront lui faire surpasser son deuil ! — Eh bien... oh et puis non, c’est trop compliqué. — Mais, dis-moi ? — Non ! Impossible, il a dépassé les bornes cette fois-ci ! — Quoiqu’il me demande, je le ferai ! — Eh bien... d’abord, il m’a révélé et montré, preuves à l’appui, que la petite séance photo de la dernière fois n’avait pas été si innocente que cela !
Dis-je, en marquant une pause pour voir l’effet sur ma petite épouse menteuse ! Celle-ci piqua un fard et ne sut plus où me mettre.
— Heu... quoi ?! — Ne fais pas l’innocente, tu t’es montrée nue devant lui dans des postures scabreuses dans la forêt, au bord de la rivière. — Oui... mais c’était à distance ! Il ne pouvait pas bien me voir, il n’avait qu’une impression d’ensemble ! — Ah bon ?? Tu as oublié qu’il avait un zoom ! — Mon Dieu !! Et... et ?? — Tiens regarde, voilà ce que cela donne ! J’espère que tu auras honte ! Lui dis-je, en montrant un tirage papier sur lequel on la voyait distinctement, accroupie, le sexe grand ouvert, au-dessus de la souche, attendant de s’empaler la chatte sur une branche ! — Mon Dieu ! Mais c’était pour la bonne cause ! Ton père a pu un peu oublier ce deuil très éprouvant pour lui ! Et tant pis pour la morale !” dit une Cécile troublée que son beau-père ait pu ainsi la trahir, en montrant ses photos de nu à son fils.
Et si, pensa-t-elle, il montrait le film de la “performance”, dans laquelle elle s’était branlée comme une nymphomane ? Car elle commençait à comprendre qu’elle était tombée dans un piège, et que certainement, tous ses exploits de la nuit dernière étaient visibles dans les moindres détails ! Trahie, mais excitée par le fait que cet homme la tînt sexuellement, et qu’il l’exhibait pour lui-même et à son fils... et qu’elle rêvait de se soumettre entièrement à lui, Cécile sentit une chaleur se développer dans son ventre. Elle regarda son mari et lui dit :
— Ton père n’est peut être pas parfait, et moi non plus, mais toutes mes actions sont humaines et désintéressées. Je ne sais pas comment tu prends la chose, mais je constate que tu ne lui dis rien, comme si tu prenais du plaisir à cette situation étrange ? Quoi qu’il en soit, même si je devais venir vous servir à poil, rien que pour lui faire plaisir et égayer son deuil atroce, je le ferai... rien que pour le maintenir en vie !” — C’est exactement ce qu’il veut ! " lui répondis-je, blasé, en décrivant exactement le scénario imaginé par mon père. Ma femme eut le regard sombre et son visage se ferma. Elle semblait avoir atteint ses limites psychologiques !
Et puis deux heures plus tard, devant l’infinie tristesse de mon paternel, elle m’avait glissé à l’oreille : " je le ferai !"
Alors j’attendais en compagnie de mon père, la pécheresse, qui allait faire une bonne action, tout en révélant son côté salope et exhibitionniste... je n’étais pas dupe !
La tension était palpable entre nous deux, mon père et moi ! Nous nous demandions toujours si la femme de l’un, et la bru de l’autre allaient oser s’exhiber sexuellement ainsi ! Et puis j’eus un coup de sang quand je vis arriver mon épouse ! Mon père, dans son fauteuil, tournait le dos à l’entrée de la pièce, il ne pouvait donc deviner ce qui se passait, à part en saisissant mon expression sidérée... mais voyant mon regard, il comprit avec une immense satisfaction qu’il avait gagné son pari et la partie ! Désormais il savait que sa belle-fille allait se plier avec soumission et envie, à chacun de ses caprices sexuels... et j’imaginais sans peine qu’il en avait à revendre !
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