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Un deuil peu commun...

Chapitre 4

Dilemme.

Trash
Cécile avait les mains sur son plan de travail, dans sa cuisine. Ou plutôt, elles semblaient se raccrocher à cette plaque de marbre, comme celles d’un noyé, fuyant les flots ravageurs de l’océan après un naufrage, à sa planche de survie ! Et c’est vrai que ce qui se passait à ce moment-là, dans son esprit, était en quelque sorte une tempête, mais affective et psychologique !
Cécile souffrait, elle aurait voulu appeler à l’aide, tel le naufragé hurlant, pour couvrir le bruit des flots tumultueux, à l’adresse d’un chalutier passant par là... mais elle était seule, seule, dans la barque solitaire de son existence qui semblait chavirer à chaque instant. De multiples pensées envahissaient son esprit, des courants contraires qui la propulsaient dans un maelstrom de confusion mentale ! Elle était là, telle la sirène qui allait circonvenir et dominer de toute la puissance de sa féminité, les deux hommes, présents dans le salon à côté, naufrageurs de son âme, ou simplement passagers solitaires et involontaires, embarqués eux aussi dans les remous dangereux d’une mer, à l’approche des récifs de l’existence ?
Cécile se regardait dans la porte du réfrigérateur américain à doubles battants, dont le vernis noir lui renvoyait son image, tel le reflet de la sirène, se mirant dans l’eau calme d’une crique : maquillage un peu outrancier, avec des yeux dont les contours étaient soulignés par un crayon noir brillant, rouge à lèvres rouge carmin, bottes en cuir noir à talon haut, qui lui montaient au-dessous du genou, jambes gainées de bas résille... cela faisait "plus pute", ainsi que l’avait exprimé son mari, révélant le souhait de son pauvre père, déchiré par le chagrin.
Et puis l’incongru, une jupe noire très courte et très moulante, qui lui mettait en valeur sa chute de reins et ses cuisses galbées, et laissait voir les jarretelles qui retenaient les bas. Elle savait que la jupe était juste assez longue pour dissimuler la touffe de poils blonds vénitienne de son pubis. Un mouvement un peu haut d’une cuisse, et les deux hommes auraient la vision époustouflante de son sexe aux lèvres charnues très rouges ! Car évidemment, Cécile n’avait pas eu le droit de revêtir un quelconque sous-vêtement, pour épargner sa vertu !Et pour couronner le tout, le fameux chemisier blanc de la cérémonie de crémation, sauf qu’il n’était attaché sur le devant que par un nœud des deux pans, laissant entrevoir son nombril et ses seins en grande partie !
Une pute, une petite salope de bas étage, une nymphomane pernicieuse... voilà en quoi son beau père l’avait transformée, en à peine une semaine de présence à la maison ! Mais comment avait-elle pu en arriver là ? Elle ne se souvenait plus.
Elle ressemblait au naufragé ayant quitté le navire confortable et sage, de sa vie de petite bonne femme amoureuse de son mari, qui se retrouvait sur la grève d’un territoire inconnu, sauve, mais effrayée par les dangers, qui semblaient l’attendre dans la jungle de ses pulsions sexuelles profondes. L’île déserte de sa débauche future, avec l’attrait de plaisirs immoraux et cachés dans les fourrés inextricables et luxuriants de sa psyché profonde, et de ses désirs impurs ! Tel le naufragé, choqué par le désastre de son existence, la jeune femme, chamboulée par une catastrophe imprévue, en l’occurrence ce deuil soudain de sa belle-mère, essayait de retrouver la mémoire, de trier ses pensées, de les ordonner, comme pour trouver un schéma cohérent à tout cela, vu du haut de la colline de ses fantasmes, son futur royaume de "Robinsonne Crusoé" de la perversion !

Il est vrai qu’elle aimait bien son beau père, cet homme charmant, charmeur, qui ne faisait pas ses 63 ans ! Comme elle aurait voulu voir chez son mari cette décontraction simple, cette assurance débonnaire, ce charisme qui attirait toutes les femmes jeunes ou matures ! Elle devait s’avouer qu’elle n’était pas insensible à son charme ténébreux. Mais Cécile était une femme fidèle, simple au-delà de toute précaution. Pas d’aventures, même pas l’idée de se retrouver dans le lit d’un autre homme, fût-il aussi séduisant que son beau-père !
En un sens, parfois elle en venait à jalouser le père, et à maudire le fils de n’avoir pu hériter de tout ce charme ! Aussi Cécile n’était pas "une flèche au lit"... Errol Flynn avait préféré abandonner son arc, n’utilisant ses flèches que pour y faire griller des pommes au-dessus du feu, au lieu de les envoyer, tel Cupidon dans le cœur des hommes disponibles... Elle faisait le strict minimum syndical au lit, tel un Philippe Martinez ayant trop abusé du pastis, lors d’une réunion du parti avec ses camarades de lutte !
Mais son mari paraissait s’en accommoder. Aussi les porte-jarretelles des débuts du mariage, les nuisettes affriolantes avaient-elles été rapidement remisées dans le plus haut tiroir de la commode, gentiment remplacées par des chemises de nuit qui auraient laissé de marbre un Rocco Siffredi après un mois de jeûne sexuel !
Et pourtant elle se savait une très jolie femme, avec un corps d’enfer, mais un sexe qui en avait oublié tous les réflexes de la chair !

Et la petite vie routinière, avec les repas pris avec son mari, les coïts bimensuels ; les joies d’avoir suivi la scolarité brillante de son fils, à présent étudiant dans la ville de Montpellier, lui avaient fait oublier les vagues dévastatrices du plaisir, qui avaient autrefois envahi la caverne marine de son sexe. Mais c’était comme ça, le Titanic voguait sur une mer étale, calme, froide, au clair de lune de la routine sans percevoir aucunement l’iceberg pernicieux, qui allait faire voler en éclat ce voyage matrimonial chiant à en mourir !
Et puis la catastrophe ! Le coup de téléphone, tel l’appel au secours de la vigie, qui vous laisse les bras ballants, les larmes aux yeux et la conviction que plus rien ne sera comme avant ! Et puis la crémation de la belle-mère, égérie de son beau-père, sans qui la vie ne valait plus la peine d’être vécue, selon lui.
Le voyage de deux heures pour amener le beau-père chez eux, dans leur petit foyer calme et sans histoire, avec la résolution d"entourer le malheureux, de le consoler au mieux de ses possibilités, mais en ayant la conviction que tout cela ne mènerait à rien : Cécile avait senti l’aile de la Mort se refermer sur le pauvre père de son mari !
Alors, elle savait que son mari, bon artiste, mais handicapé par une empathie, et parfois une neurasthénie profonde, perdrait tout goût pour la création artistique... s’il devait subir un second deuil aussi rapproché ! Et alors que deviendrait-il, et elle ? Elle n’avait pas envie de reprendre un travail ; elle était, malgré ses nombreuses qualités, dont une gentillesse désarmante et une profonde bonté pour les autres, affublée d’une fainéantise abyssale ! Elle, ce qui lui plaisait, c’était de tenir la maison, de recevoir son petit mari devant une bonne table, de se coucher tranquillement tous les soirs. Avec néanmoins une vie sociale excitante : des vernissages où elle brillait, elle, la femme et l’égérie de l’artiste, des soirées bourgeoises chez des amis, des invitations officielles par les autorités, cérémonies dans lesquelles elle se mélangeait avec délectation, au monde des médias, de la politique locale et des grands bourgeois.
Voilà ce qu’elle aimait avant tout... et tout cela, son "Titanic de sérénité" allait venir se fracasser sur l’iceberg du deuil de son beau père ! C’était inacceptable, elle se promit de faire tout ce qui était en son pouvoir pour maintenir le beau-père en vie, et ainsi protéger son mari !
Alors sa décision fut prise en un instant, elle allait se dévouer corps et âme au bonheur de son beau père... enfin plutôt dans le sens contraire, d’abord l’âme, puis le corps... mais elle ne le savait pas encore à ce moment-là !

Cécile pleurait doucement en se mirant dans la porte du réfrigérateur. Elle aurait dû être fière de son apparence, mais la honte était trop forte ! Elle ne pourrait pas ! Pas devant son mari ! S’il n’y avait eu que le père... Elle se remémora comment tout avait commencé, une semaine plus tôt, lors de la séance photo...
Le père lui avait fait prendre des poses, avec le soleil derrière elle, pour trouver les plus beaux moyens d’expression de son corps. Cécile était flattée d’être pour la première fois de sa vie, l’objet de l’intérêt d’un artiste photographe. Elle se dit que, bizarrement, son mari ne lui avait jamais proposé d’être son modèle. Mais là, elle allait pouvoir révéler la quintessence de son aura féminine, et l’incandescence de sa beauté de femme.
Et puis le père lui avait dit qu’elle était un modèle parfait, mais qu’il était dommage que le soleil ne dévoilât pas un plus, la vivacité des formes de son corps. Il lui demanda alors innocemment, si elle ne voulait pas retirer ses sous-vêtements, pour que l’appareil puisse prendre les ombres de ses seins et les courbes de ses cuisses, révélées par le soleil.
D’abord gênée, elle faillit refuser, et puis elle se dit que tout cela n’était que de l’art, et cela semblait tellement faire plaisir à son beau père. Alors celui-ci, une fois retourné, elle se débarrassa de sa culotte et de son soutien-gorge. La sensation d’être nue sous sa robe, dans cette clairière inondée de soleil, avec le clapotis du torrent derrière elle, et dévouée au regard de l’artiste, lui procura une joie ineffable... une joie et une sensation délicieuse, qui se diffusa dans son ventre et ses seins, dont les mamelons se mirent à se tendre ; Cécile refusa d’admettre qu’elle commençait à être sexuellement excitée, rangeant ses sensations dans le "tiroir" d’une émotion esthétique bien réelle.

Elle s’était alors offerte au regard du photographe et de son appareil ; et puis le père avait changé de carte SD, et la voix un peu plus rauque qu’avant, lui avait demandé, alors qu’elle était pieds nus dans le torrent, la robe légèrement relevée au-dessus des genoux, pour ne pas la mouiller, si elle accepterait de s’offrir un peu plus à "Dame Nature"? Cécile ne comprit pas tout de suite où il voulait en venir, mais quand il lui demanda de se mettre de profil, et de relever la robe au-dessus de son ventre, elle sentit à nouveau une chaleur se diffuser dans celui-ci. Heureuse d’être ainsi la Muse d’un homme qu’elle admirait tant, et qu’elle voulait consoler, toute idée malsaine lui déserta l’esprit. Et au vu de la distance entre eux deux, elle se dit qu’après tout, il n’y aurait pas de mal à offrir la vision de son corps, pour une œuvre de charité humaine ! Tout cela, évidemment, dans un contexte purement esthétique !
Alors que son beau-père la félicitait et lui donnait des " Aphrodites sortant des eaux ", "la sirène de l’océan", "l’incarnation de la féminité idéalisée" elle avait le rouge aux joues, et ne pensait même plus à ce qu’elle faisait, suivant aveuglément les ordres de l’artiste ! Elle se retrouva ainsi complètement nue, "protégée" par la distance entre les deux, ne songeant absolument pas au zoom numérique de très grande précision de l’homme perfide, qui la prenait en photos sous toutes les coutures, et dans le moindre détail.
S’asperger les seins avec de l’eau froide, pour les faire "bander" un peu plus, ainsi qu’il le lui demanda, se coucher sur un rocher avec l’eau qui déferlait sur son sexe et sa poitrine offerte. Puis sortant de l’eau et se rapprochant dangereusement du bonhomme, pour enfin offrir sa vulve à l’écorce de l’arbre qu’elle enlaçait amoureusement, en se frottant contre, telle une chienne en chaleur, ou s’accroupir, sexe grand ouvert au-dessus d’une souche, avec ses nymphes qui effleuraient une branche sur laquelle elle semblait devoir s’empaler... tout cela ne la mit pas en garde, tant elle dérivait sur les flots d’une jouissance esthétique et artistique. Elle semblait droguée, hypnotisée par les compliments et les paroles lénifiantes du "jeune retraité" !
Le lendemain, celui-ci lui assura que les derniers clichés avaient malheureusement été perdus par le fait d’une défectuosité de la seconde carte SD... Cécile en conçut comme une frustration profonde. Un sourire aux lèvres, le père lui assura qu’il avait l’idée d’une "performance artistique" peu commune, qui se déroulerait dans un endroit incongru en pleine nuit. Mais de cela, elle ne devait pas parler à son mari. Cécile, toujours aussi innocente, n’y trouva rien à redire !
Pourtant, excitée par cette performance nocturne, elle lui demanda, au comble de la curiosité, de quoi il allait s’agir ; que devrait-elle faire ? Quand cela se passerait-il et où ? Mais le père resta énigmatique, un grand sourire aux lèvres. Il lui dit seulement qu’ils en reparleraient dans trois jours ; et pour faire augmenter le suspense, il lui révéla que sa pauvre femme avait été son premier sujet d’expérience esthétique, et qu’elle avait éprouvé une joie fantastique à réaliser cette performance. A la question de savoir si elle-même serait digne de l’intérêt que lui portait l’artiste, si elle pourrait supporter la comparaison avec "feu son épouse", dans ce rôle, il lui répondit qu’il n’avait aucun doute là-dessus. Elle devrait seulement s’en remettre à lui, corps et âme, et lui accorder totale confiance. Ce que Cécile, flattée par la dernière phrase, s’empressa de confirmer !
Pourtant, son cœur et son âme charitable souffrirent de plus belle, lorsqu’elle se rendit compte que le vieil homme, qui ressemblait à nouveau à un vieillard, exit le fringant photographe artiste, sombrait de nouveau le lendemain dans l’apathie et une tristesse insondable. Elle se dit qu’elle devrait tenter autre chose pour le dérider. Aussi, quand son mari vint lui annoncer que son beau-père voulait lui faire porter son tailleur de deuil, avec seulement en dessous une paire de bas et un porte-jarretelles, elle n’y trouva rien à redire.
Au contraire, une excitation monta en elle. Et cette fois-ci, elle ne pouvait pas classer son trouble sexuel dans la catégorie "jouissance artistique et esthétique". Cécile, dans sa salle de bain, se contemplant nue, en bas et porte-jarretelles, comprit alors qu’il se jouait un jeu très excitant et pervers entre elle et son beau père. Lui désirait la sentir nue et offerte, sous ses vêtements, et elle désirait de plus en plus sentir le trouble de l’excitation du père.
Le fait que ce soit son mari qui lui demanda cela, et qu’il se trouverait dans le salon, sachant la nudité de sa femme, sous son tailleur lui déclencha une bouffée de désir qui lui laboura les entrailles. C’est les seins pointant comme jamais auparavant, sous le chemisier, avec une intensité presque douloureuse, et son sexe ouvert, avec son bouton doublant de volume, et ses lèvres gonflées de désir, qu’elle se présenta dans le salon, devant les deux hommes, un plateau de verres de whisky à la main. Tout sourire, elle offrit son verre à son beau-père, sachant qu’il aurait une vue plongeante sur ses seins, vu l’échancrure de son chemisier.
Assise devant lui, et jetant des regards à la dérobée à son mari, lui aussi spectateur voyeur du début de la déchéance de sa femme, elle n’hésita pas à boire son whisky, et l’alcool la désinhibant entièrement, elle se mit à s’exhiber carrément, sans pudeur et sans honte à son beau-père. Elle savait qu’elle offrait une vue plongeante sur ses petits seins, à chaque fois qu’elle se baissait vers la table, ainsi que la vision idyllique de son sexe poilu à la fente bien ouverte ! Tout cela l’excita encore plus. D’autant plus, qu’elle savait que son mari la voyait aussi s’exhiber ainsi devant son père, et qu’il devait avoir lui aussi une très belle vue sur sa chatte tout humide !
Dérivant sur ses fantasmes, au cours de la conversation, elle se voyait se lever, et faire un strip-tease improvisé devant son beau-père et son mari, puis se livrer sexuellement à eux, la cyprine commençait à imbiber ses poils et le fond de sa jupe, chose qu’elle n’avait plus ressentie depuis au moins 17 ans de mariage !

La nuit, elle fit un rêve pornographique plus que torride, où elle était devenue, pour son plus grand plaisir, la putain de son mari et de son beau-père !

Et puis son beau-père l’entretint toute l’après-midi suivante de son projet artistique nocturne. Quand elle eut tout entendu, alors que son mari écoutant de la musique au casque, en face d’eux, ne pouvait pas percevoir leur dialogue, elle eut une réaction consternée. Elle se demanda si son beau-père n’était pas devenu fou !
— Comment beau papa, ce n’est pas possible, je vous ai mal compris ?! — Quel est le problème ? — Le problème, vous ne le voyez pas, le problème ? Vous voulez que je quitte le lit de mon mari discrètement, que je vous suive à pied jusqu’à l’atelier de mon mari, une petite nuisette sous un peignoir... et que je rentre dans ce trou rempli d’eau boueuse et stagnante, avec toutes ces algues et des roseaux ! Sans compter ce qu’il y a là dessous... et tout ça en pleine nuit, alors que je ne verrai rien ! — Bon tu as raison. C’est pas grave... dit le beau père, s’abaissant dans son fauteuil, les larmes aux yeux et le visage soudain décharné. J’ai fait une erreur, je t’ai surestimée. Tu avais tellement été parfaite lors de notre séance de photos. Au fait, tu sais, je t’ai menti. J’ai pu, grâce au zoom, te prendre dans tous les détails de ta nudité, jusqu’au scintillement de tes nymphes quand tu mouillais d’excitation. J’ai des photos de nu de toi exceptionnelles. Tu me fais trop penser à ma pauvre femme. Elle était taillée dans la même étoffe que toi. Mais tu n’es pas elle. J’ai tellement honte que je crois que je vais demander pardon à mon fils, pour mon comportement de vicieux et lui montrer tes photos de nu... il nous pardonnera ! — Beau pap... vous n’allez pas faire ça ? Comment le prendrait-il ? Vous allez me faire passer pour une salope ! — Ma femme était une vraie salope, c’est moi qui l’ai enseignée. Mais toi, non. Un peu naïve peut-être, mais tu es une vraie innocente. Tu as raison, tout cela n’est pas pour toi. Je me suis mépris sur ton compte ! Allez, oublie tout ça ! Je vais retourner chez moi, et m’enfoncer dans le chagrin... mais ce n’est pas ta faute ! Tout le monde ne peut pas être une femme libérée et sexuelle ! — Bon, faisons le beau-papa, mais je porterai une culotte tout le long, et je veux que cela soit assez court ! — Je m’adapterai, mais songe bien que ce qui est important dans cette performance, ce sont tes sensations, l’expression de tes émotions de femme les plus profondes ! Il faut me faire confiance et libérer tes instincts et même... tes fantasmes ! Après tout, peut-être seras-tu meilleure que ma pauvre femme ? Entendant ces mots, Cécile fut saisie d’une grande bouffée de fierté. Mais son instinct de femme, jusque-là endormi, n’attendait qu’une occasion comme celle-ci pour se libérer !

Le soir, elle fit semblant de s’endormir, mais n’arrivait pas à trouver réellement le sommeil, tant elle était excitée à la pensée de ce qui allait lui arriver dans ce trou d’eau sale. Des sensations et des émotions inconnues d’elle venaient lui perturber l’esprit. Même si son esprit rationnel trouvait toute cette histoire de performance artistique et sexuelle incongrue, et complètement surréaliste, sortie d’un esprit particulièrement dépravé, car son instinct lui disait qu’il ne s’agissait pas seulement de se promener, dans une eau froide et boueuse, mais de se livrer aux caprices sexuels improbables d’un vieil homme, particulièrement pervers... un instinct profond, animal et pernicieux prenait le dessus sur sa volonté, et elle comprenait qu’elle allait faire des choses là-dedans, dont elle ne se serait jamais crue capable !

Cécile, toujours les mains sur le marbre du plan de travail, comme pour se fixer à une amarre l’empêchant de dériver dans son océan de luxure, et de s’immerger dans un gouffre de dépravation, sentait son sexe s’ouvrir à l’évocation des émotions très fortes, qu’elle avait vécues la nuit d’avant.
Le Popper ! Un truc de dingue, qui l’avait réchauffée, lui avait fait ouvrir son sexe et son anus comme jamais, et l’avait fait dériver dans son petit nuage de luxure assumée. Elle savait que sans ce truc, elle aurait obéi de toute façon à son beau-père, mais toute l’excitation avait été décuplée grâce à ce produit prodigieux. Evidemment, le petit verre de cognac, comme celui que l’on donne aux condamnés à la guillotine, pour la "grande mort", lui avait fait affronter "sa petite" de façon plus agréable ! Elle l’avait sous la main ce Popper, là sur le plan de travail ! Il lui suffisait d’en tourner l’opercule... mais alors, elle savait qu’elle se livrerait sans retenue aux deux hommes ! Pourtant elle le déboucha et en inspira une grande bouffée ; aussitôt, elle sentit la chaleur lui monter à la tête, son ventre se tordre de plaisir, ses orifices s’ouvrir à toute convoitise masculine. Elle évoluait dans un monde sans morale, sans retenues, sans limites personnelles !

Elle ressentit à nouveau alors les plaisirs du trou d’eau : le fait de se trouver en nuisette en pleine nuit, séparée de la route par un petit grillage, n’importe quelle voiture y passant aurait pu la voir ainsi, sous les yeux de son beau-père qui la filmait. Elle tremblait un peu de froid et d’excitation, quand ayant sniffé le Popper pour la première fois de sa vie, elle comprit que le génie était sorti de sa bouteille. Elle allait s’offrir aux perversions les plus inouïes. Elle enleva son string sans problèmes, avant de descendre dans "la fosse aux lions", telle Sainte Blandine, offerte aux caprices de son beau-père. Elle sentit le regard inquisiteur du père sur sa touffe de poils, instinctivement elle s’imaginait fort bien qu’il en avait une vue beaucoup plus significative, malgré l’obscurité, que ce qu’il lui avait assuré dans l’après-midi !
Quel plaisir de sentir la petite brise de trois heures du matin lui courir entre les lèvres de son sexe gonflées, et sa fente complètement ouverte ! Et puis l’immersion dans l’eau, sans voir ce qui s’y passait, avec des "bêtes" qui allaient certainement lui entrer dans son sexe et son trou du cul ouverts ! Mais elle s’en foutait, la frousse de l’inconnu était remplacée par un délicieux parfum de perversion.
* Elle fut particulièrement stimulée, quand, descendant prudemment l’échelle, marche après marche, son sexe bouillant entra en contact avec l’eau froide, de même ses pieds nus dans la vase, dans laquelle ils s’enfonçaient ! Quelle félicité ! Elle avançait à l’aveugle dans l’eau, qui lui arrivait au niveau des seins, et parfois jusqu’au cou. Et puis son beau-père lui ordonna d’envoyer valser sa nuisette toute mouillée, sur le bord du trou ; elle l’enleva avec fébrilité et délectation !
Elle était complètement nue à présent, offerte à l’eau boueuse et à tout ce qui pouvait s’y cacher ! Ses seins se tendirent encore plus, presque douloureusement... son clitoris lui, était gonflé de désir !
Quand elle commençait à trembler de froid, elle inspirait le petit flacon, et l’excitation couvrait son impression de froid. Elle bouillait littéralement de l’intérieur. Et puis, avançant prudemment, elle fut touchée par les roseaux avec leurs plumets si doux ; sensation délicieuse de sentir ces végétaux au contact de ses cuisses, son cul, sa chatte. Elle se rapprocha d’un rameau touffu pour se caresser les seins. Elle commençait à gémir doucement !
Et les bulles de méthane qui remontaient le long de ses cuisses, pour venir éclore au niveau de son entrecuisse, et lui chatouiller son sexe en fusion ! Elle s’amusait à remuer la vase des pieds, pour en recevoir un maximum. Et à chaque fois, elle décrivait toutes ses impressions à son beau-père, d’une voix rendue rauque par l’excitation et le désir !
Quelle expérience fascinante, comme elle avait eu raison d’accepter d’être le jouet sexuel de son beau père ? Car cette fois-ci, elle avait compris que l’intérêt artistique du vieil homme, pour cette "performance", n’était qu’une habile couverture pour protéger sa pudeur de femme ! Mais elle s’en foutait, trop heureuse de libérer ses pulsions comme il le lui avait demandé !
Et puis le ciel se déchira, et la lune projeta ses rayons pour éclairer son environnement. Et alors qu’elle sentait à présent des choses lui courir autour des pieds, puis des chevilles, et enfin de ses cuisses, elle serra instinctivement les jambes pour fermer la voie royale vers sa fente !
Elle se vit, complètement à poil et fragile, dans l’eau boueuse, lui arrivant au niveau des seins, les mousses vertes et sales qui flottaient sur l’eau, les grands plumets des roseaux qui la dominaient parfois... et puis là-bas, un gros paquet d’algues sales, de couleur verdâtre à noire, qui semblaient être habitées par quelques créatures du marais ! Des terreurs anciennes vinrent la saisir, l’effroi pénétra son esprit, alors que les nuages barraient à nouveau la lune, et que l’obscurité l’entourait à nouveau. Elle était dégrisée, elle aurait voulu sortir de ce trou horrible à présent, mais elle savait que son beau-père avait encore des instructions à lui donner. Quand il lui demanda de pénétrer, et de se faire pénétrer dans le buisson touffu d’algues et de roseaux, elle prit peur ; elle ne voulait pas !
— Non je ne veux pas ! Je ne peux pas le faire ! murmura Cécile dans sa cuisine, les mains aux doigts crispés sur la tablette de marbre.
Je ne peux pas m’exhiber comme une pute devant mon beau-père et mon mari. Je ne veux pas que mon mari constate le degré de perversion dans lequel je me suis avilie ; je ne supporterais pas son regard. Si mon beau-père avait été seul... mais là non ! Pas moyens ! "

Au bord de larmes, elle se versa un petit verre de cognac, qu’elle vida d’une traite... et puis elle repensa à la suite de son aventure aquatique. Le timbre doux et persuasif de son beau-père, sa mise en confiance, son amour pour elle qu’elle lui rendait bien d’ailleurs. Sa joie de la voir participer à ses expériences borderline, comme feu sa femme. Sa fierté d’avoir une bru aussi audacieuse.
Elle se laissa fléchir, et avança dans les algues touffues, sentant les racines aux picots multiples contre ses mollets ; des picots qui avaient à peu près le volume d’un gland humain. Une idée monstrueuse lui vint à l’esprit ; alors que son beau-père l’encourageait, elle osa se mettre à genoux dans l’eau jusqu’au cou, et prenant une nouvelle inspiration du Popper pour se donner du courage, elle ouvrit carrément les cuisses sentant les petits insectes et vers de vase lui courir autour des cuisses. Elle s’enfonça un peu plus sur une éminence du fond vaseux, elle avait à présent sa vulve en contact avec cette vase. Elle se caressa la vulve avec, puis elle se prit les seins et se mit à les malaxer, laissant son sexe ouvert et dilaté, à la merci de n’importe quelle créature qui pouvait la pénétrer, avec ravissement ! Ayant abandonné toute notion morale, elle ahanait en se masturbant contre la vase et en se pinçant les pointes de ses seins.
Elle savait que son beau-père crevait d’excitation pour elle, là-haut, lui adressant force compliments et encouragements. Cherchant un picot de racine, elle se l’introduisit dans sa chatte et commença à remuer du bassin sur la pointe végétale qui forçait l’entrée de son vagin. Elle se mit à gémir et eut un premier orgasme. Elle décrivait toutes ses sensations avec des sanglots dans la voix tant elle était excitée !
Et puis, elle s’était carrément allongée au milieu des algues, les dirigeant par brassées vers son sexe, cuisses toutes grandes ouvertes. Elle se faisait pénétrer par ses doigts dans son sexe avide, par les racines et par les algues visqueuses et collantes à souhait ! Elle avait perdu toute dignité ! Elle évoqua ensuite son fantasme de blacks bien montés, la baisant dans ce cloaque. Elle eut encore un orgasme plus fort ; elle jouit à gorge déployée, oubliant toute pudeur et les caméras qui enregistraient chacun de ses gestes !

Repensant à cette félicité sexuelle, Cécile se mit presque à jouir, elle était prête à s’exposer dans le salon ! Son mari fit de grands yeux quand il la vit arriver avec sa micro jupe, dévoilant son porte-jarretelles et ses attributs féminins, et sa chemise liée sur le devant par un nœud, qui laissait ses seins et son nombril à disposition. Elle arriva devant son beau-père, et servilement s’abaissa devant lui, pour lui servir un verre de whisky. L’homme lui sourit et lui souffla qu’il était fier d’elle. Elle eut un petit accès de honte quand elle servit son mari, mais fut rassurée quand elle vit son regard lubrique posé sur elle ! " Tu n’aurais rien oublié dans la cuisine ? " lui demanda-t-il, la voix rauque.
Ayant compris le message, et masquant son trouble de son mieux, elle se dirigea vers la cuisine, pour ramener le deuxième plateau avec des olives et des cornichons. Mais cette fois-ci, comme convenu dans le scénario, elle fit une entrée encore plus remarquée que la première fois ! Son mari la vit seulement revêtue de son porte-jarretelles noir et de ses bas résille, chaussée de ses bottines à talon ! Elle marcha d’un air décidé vers les deux hommes, le père ayant tourné la tête vers elle à son entrée !
Il lui dit avec un grand trouble dans la voix :
— Tu ferais une très belle patronne de bordel dans les années soixante ! Je suis fier de toi ! Tu me rappelles trop ma pauvre femme ! Tu la dépasses même peut-être !
Cécile se rengorgea, le rouge aux joues, devant le compliment !
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