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Un deuil peu commun...

Chapitre 5

Soumise à son beau-père !

Voyeur / Exhibition
Cécile dormait dans la voiture, son beau-père conduisait le véhicule avec aisance. Un grand sourire aux lèvres, il jetait souvent un coup d’œil vers la jeune femme, admirant ses jambes gainées de soie, sous l’imperméable beige. Parfois, il s’amusait à égarer une main sur la cuisse, remontant parfois jusqu’au sexe de sa belle fille. Car il avait demandé, et il savait qu’à présent, elle allait se soumettre de bonne volonté, voire avec excitation à tous ses caprices sexuels, qu’elle vint dans la voiture simplement revêtue d’un imperméable au-dessus de ses bas et de son porte-jarretelles ! Et la gourgandine avait accepté ! Recherchant toujours avec angoisse le regard bienveillant du vieil homme sur elle !
— Quelle aubaine, pensa-t-il ! Jamais il n’aurait cru pouvoir retrouver une femme si docile et si naïve, après le décès soudain de sa femme. Et son fils ! Mais quel abruti celui-là ! Il lui livrait sa femme corps et âme ! Certes, le père avait profité de sa tristesse, et avait su utiliser son chagrin bien réel pour sa femme disparue, pour recevoir les offrandes de la jeune femme. Mais il n’aurait jamais cru que cela aurait été aussi loin, et surtout aussi vite !
C’est quand il avait demandé à son fils, que sa femme les serve nue sous ses vêtements de deuil, et que celui-ci avait accepté, convaincant facilement son épouse, les yeux brillants de luxure, qu’il avait compris qu’il ferait tout ce qu’il voudrait du couple ! Et il en avait des idées à concrétiser avec la gourgandine : il était sûr d’aller encore plus loin dans la manipulation et la corruption de sa bru, que ce qu’il avait pu réaliser avec sa propre épouse, à présent défunte !En fin de compte, il ne perdait pas au change. Et là, il l’avait sous la main, accessible à ses moindres caprices ! Il repensa aux événements de l’avant veille.
Voir sa belle-fille, cette femme magnifique de 36 ans, nue, offerte avec son porte-jarretelles noir et ses bas résille, marcher comme cela, dans le salon, le sexe à la belle touffe de poils blonds, ses seins aux tétons dardés, avec son plateau de victuailles, lui avait semblé complètement fou ! Il avait réussi ; il était fier de lui ! En moins d’une semaine, il avait réussi à faire de sa belle-fille, une soumise s’exhibant sans la moindre gêne devant lui, et plus excitant encore, sous les yeux de son mari ! Certes, il avait déjà vu sa belle fille nue, mais dans des contextes particuliers, lors de la séance photo, ou dans l’obscurité lors de cette expérience de voyeurisme exceptionnelle, au bord du trou d’eau.
Mais là, cerise sur le gâteau, le mari, son propre fils était présent... elle avait osé passer ce difficile écueil psychologique. Amener la jeune femme à s’exhiber nue, mais devant son mari, qui devenait ainsi complice de la dépravation de sa femme. En effet, le problème était souvent, il en avait l’habitude, non pas que la femme s’exhibât ou fasse des choses sexuelles très hard, mais qu’elle le fasse sous les yeux de son mari ! Car celui-ci pouvait casser le jeu et l’ambiance, en dénonçant sa femme en tant que prostituée ou salope de bas étage. Et d’un autre côté, la femme pouvait avoir des scrupules à s’afficher nue, dans une démarche érotique, voire pornographique, devant son mari, pensant qu’il la considérerait comme une pute !En l’occurrence, Cécile, sa bru, avait dépassé cette limite redoutable : à présent, il savait qu’elle se livrerait sans états d’âme, au moindre de ses caprices sexuels !
Bon pour être honnête, il savait qu’il fallait encore transformer l’essai ! Que sa jeune soumise devrait encore passer un cap, mais après ce serait irrémédiable, elle serait sa chose, son jouet sexuel ! Le père savait qu’il fallait qu’il fasse l’amour à la jeune femme devant son mari, et qu’il l’incite à la prendre en même temps que lui, ainsi plus de retour en arrière ! Mais il fallait qu’il se montre prudent et patient. Un excès de zèle de sa part pouvait bloquer la gourgandine et faire tout échouer... et vu ce qu’il avait devant les yeux, il se trouvait au niveau de la touffe blonde de sa bru, et de son petit cul appétissant, ce serait dommage de faire capoter l’affaire maintenant ! Il lui faudrait conserver son calme !
Cette soirée avait été plus que chaude, sa belle-fille avait tout accepté sous les yeux brillants de luxure de son mari candauliste !Quand il l’avait vue arriver avec le plateau chargé de verres et de la bouteille de whisky, la jupe cachant à peine ses jarretelles, et le chemisier ouvert et lié aux deux pans, mais laissant voir une partie de sa poitrine et son ventre, il sut que la partie était gagnée ! C’était même son mari qui lui avait demandé de retourner dans la cuisine, pour cette fois arriver devant eux deux, son mari et son beau père, complètement à poil, avec simplement son porte-jarretelles et ses bas. La jeune femme, rouge de confusion, avait néanmoins le regard vicieux et le sexe brillant !
Alors il l’avait fait venir devant lui, et sans même se lever, avait placé d’autorité sa main sur son pubis poilu, et avait commencé à jouer avec sa chatte sous les yeux du mari, hyper-excité par la scène ! Mais il en voulait plus, il voulait transformer l’essai. Comme il l’avait promis à son fils, il demanda à sa femme de se poser sur un fauteuil, cuisses toutes grandes ouvertes posées sur les bras dudit et le sexe complètement ouvert à leur regard !
Et puis il lui avait demandé de se manualiser d’abord de façon douce, en se caressant simplement le pubis et les seins, et puis en se caressant les lèvres et le clitoris du bout du doigt, pour ensuite se les rentrer dans la chatte en se donnant du plaisir en solo ! Et ça avait marché ! Et puis étant trop excité lui même, et voulant marquer son nouveau droit de propriété, il lui avait dit, en ouvrant sa braguette, qu’il allait lui défoncer la chatte et la baiser à couilles rabattues là, devant son mari ! Alors évidemment, Cécile avait regimbé :
— Non, beau-papa, pas comme ça, pas ici s’il vous plaît ! Pas sous les yeux de mon mari !! Que va-t-il penser de moi après ?— Je m’en fous ! Dis-le que cette situation t’excite ! Tu vas adorer te faire posséder par ton beau-père, sous les yeux de ton mari ! (Et à l’adresse de son fils), regarde un peu comme elle a la vulve luisante ta pute de femme ! Elle mouille comme une salope ! Dis-le-lui toi !— Beau papa ! Pitié ! Je ne peux pas dire ça à mon mari !— Continue comme ça, et je te retourne et je t’encule devant lui ! Tu as déjà été sodomisée ?
— Non ça me fait peur ! Heu... oui...ça m’excite de me faire exhiber comme ça devant toi : je mouille comme une chienne en rut ! Ensuite... je suis devenue une pute... votre pute !— Mais regarde-le, ton mari, il a la braguette qui va exploser tant la situation l’excite ! Hein, mon fils que ça t’excite de voir ton père avec sa main dans la chatte de ton épouse ! Réponds-moi, dit le père, plantant trois doigts dans le sexe grand ouvert de Cécile, et en agaçant le clitoris avec le pouce !
Regarde un peu comme elle mouille cette salope ! Dis-le que ça t’excite, et branle-toi devant la déchéance sexuelle de ta petite Cécile !
— Je ne peux pas, papa !— Mais quel puceau ! Cécile va t’occuper de ton mari ! (Et alors que la jeune femme se redressait pour aller vers son mari) Non ! Pas comme ça ! Vas-y en marchant à quatre pattes ! Oui comme ça, comme une féline ! Et maintenant, sors sa queue,
branle-le et suce-le ! “
Et Cécile s’exécuta ! Elle se laissa glisser sur le sol et à quatre pattes, se dirigea vers son mari. Arrivée à ses pieds, elle dirigea sa main vers la bosse du pantalon de son mari. Elle lui en voulut d’une certaine façon d’être ainsi excité de la déchéance sexuelle de sa femme. Aussi elle sortit sa bite bien gonflée, et sans l’ombre d’une hésitation, se la mit dans la bouche. Son mari voulait qu’elle soit traitée comme une pute... elle allait lui en donner pour son argent ! Elle commença à sucer son mari avec ardeur comme une professionnelle. Jamais elle n’avait agi ainsi avec son partenaire.
Mais quand elle sentit un doigt s’immiscer entre ses fesses, et commencer à pénétrer son anus bien détendu, elle prit peur. Se faire sodomiser là, par son beau-père, tandis qu’elle suçait son mari lui parut trop transgressif. Elle demanda alors à ce dernier de cesser tout épisode sexuel sous les yeux de son mari. Celui-ci, trop excité par le caractère de débauche prononcé, que prenait le tour de la situation, éjacula sur le visage et les seins de sa femme. Cecile se releva et quitta la pièce précipitamment, pour se réfugier dans sa chambre. Le beau-père accepta cette rebuffade avec patience, tant beaucoup avait déjà été fait dans l’éducation perverse de sa bru...
Il sortit lui aussi, laissant son fils, le mari avec ses doutes et ses angoisses...Le mari, après avoir pris un bon whisky et avoir fumé pas mal de cigarettes, se mit au lit. Il trouva sa femme profondément endormie, revêtue de la sempiternelle chemise de nuit blanche à pois bleus, fermée jusqu’au cou, et longue jusqu’aux chevilles. Il avait terriblement envie de la baiser vulgairement, salement, vu toutes les déviations sexuelles qu’elle avait vécues, sous le contrôle de son beau-père...
Il allait la réveiller, mais il se dit que ce ne serait pas une bonne idée. Il sentait implicitement que son état sexuel de femme dépravée n’était dû qu’à une relation profondément maléfique, qui s’était instaurée entre elle et son beau-père... et il savait de façon intuitive, que vouloir recréer cette situation de violente dépravation sexuelle de sa femme avec lui, ne fonctionnerait pas. Il lui manquait quelque chose pour assumer cette confiance en soi de son père, qui lui avait permis de subvertir sa femme. Il savait qu’avec lui, sa femme ne se conduirait pas comme elle le faisait avec son père. Il s’en voulait parce qu’il n’avait pas réussi à deviner l’empreinte insidieuse et vicieuse, dont son père avait marqué sa femme !
Et il venait de comprendre que le jeu lui échappait complètement, qu’il ne profiterait peut-être même pas des jeux sexuels vicieux que son beau-père avait prévus pour son épouse ! En mot comme en cent, il se faisait passer pour une baltringue ! Et il ne savait pas encore à quel point !
Le lendemain, il était prévu que le couple amène le père chez lui, dans la région de Montpellier... pourtant comme souvent... les choses ne se passèrent pas vraiment ainsi !Alors que le mari se préparait à conduire la voiture, il reçut un SMS d’un nouveau client, lui demandant de passer dans la grande ville proche de son domicile pour faire une étude d’art : un époux voulait faire réaliser la statue de sa femme... et le contrat était suffisamment juteux pour que Paul décide sur-le-champ de ne pas se joindre à sa femme et son père.
Il regarda donc la voiture s’éloigner de son domicile avec sa femme et son père à bord. Pourtant même s’il n’avait pas pu voir sa femme changer de vêtements pour abandonner son jean et son teeshirt très corrects, pour un imperméable beige bien énigmatique, il comprit vers treize heures qu’il avait été joué... une sorte de Sixième sens !
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