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Un deuil peu commun...

Chapitre 6

A disposition de tout le monde...

Voyeur / Exhibition
Il repensait aux événements de la veille et il se sentait de plus en plus mal à l’aise !
Sa femme et lui devaient accompagner le père à sa maison, mais au dernier moment, alors que le couple était prêt à partir, le mari reçut un coup de téléphone lui enjoignant d’aller voir un client, qui voulait faire réaliser une sculpture de sa femme.Le projet ne pouvait attendre, au regard du prochain départ du couple. Aussi le mari, la mort dans l’âme, dit à sa femme qu’il ne pouvait les accompagner à Montpellier. Cécile comprit tout de suite qu’il y avait anguille sous roche, et que son beau père devait bien être derrière cette sombre affaire. Mais cela l’excitait encore plus... elle allait se retrouver seule dans les griffes de son Pygmalion !
Et elle savait qu’elle allait se plier à tous les caprices de son beau-père. Le premier fut ce que lui demanda le retraité, il ne mit pas longtemps pour exiger une faveur...à peine deux minutes !Elle rentra dans la maison et se changea rapidement, et ressortit avec un imperméable beige et les jambes gainées de soie. Le vieux la voulait sexy en diable, et disponible sexuellement... une seule solution pour elle. Se déshabiller entièrement, revêtir un porte-jarretelles et des bas et rien d’autre... Elle avait abandonné son jean et sa veste d’anorak. Elle fit une bise rapide à son mari, et toute souriante, monta dans la voiture, le vieux s’étant d’office mis au volant. Elle commençait déjà à s’exciter en pensant aux mains baladeuses de son beau-père !Avant que la portière ne se referme sur le « couple», le mari eut le temps d’apercevoir que son père avait posé une main sur la cuisse de la jeune femme, qui remontait déjà vers son sexe !
Le mari, les larmes aux yeux, vit la voiture s’éloigner sans un geste de départ. Il comprit qu’il avait été blousé. La promesse de sculpture était certainement bidon !Il repensa au vieil adage plein de bon sens, qui dit qu’en jouant avec le feu, on se brûle !!Il savait d’instinct que son père avait exigé que sa femme se change pour son plus grand plaisir, et qu’elle était certainement nue sous l’imperméable, ne portant qu’un porte-jarretelles et des bas, pour tous vêtements !Sombrant dans une profonde déprime, il se dit qu’il avait fait la connerie de sa vie et il s’en voulait énormément. Il imagina son père ayant toujours une main sur son volant, et l’autre dans la chatte de sa femme, qui n’arrêtait pas de gémir de contentement !!Il savait que chez lui, sa femme allait devenir la chose de son père, sa soumise, sa servante sexuelle. La seule chose qu’il ignorait était la limite que son père s’était fixée pour la dépravation de sa femme !

Paul, le pauvre mari abusé par le machiavélisme de son père, avait tenté en vain de contacter sa femme sur son portable... rien n’y avait fait ! Silence radio !Et puis il n’y tint plus ! Après cinq jours à vivre sur des charbons ardents, en imaginant les pires scénarios glauques pour son épouse Cécile, entre les mains de son père, il décida de prendre sa voiture et d’aller lui rendre visite.
Celui-ci montra un visage surpris, presque revêche devant la présence de son fils. Visiblement, il ne s’attendait pas à sa venue...Lorsque Paul demanda à voir sa femme, le père répondit que ce n’était pas possible pour le moment ! Cécile devait se préparer pour le soir...Phrase sibylline qui ne fit que renforcer le malaise du jeune homme !

Prenant un café dans le salon pour tromper son impatience, Paul fut surpris par l’arrivée d’un fort beau couple, amis du vieux !Le père fit les présentations avec le couple. Lui avait la cinquantaine dynamique, en costard cravate, il s’appelait Edmond. Sa femme Monica, Italienne de 45 ans, longs cheveux d’un noir de jais, jolie robe rouge un peu courte, très moulante qui lui mettait en valeur une poitrine exceptionnelle ! Mais surtout, le fils remarqua le regard de louve de la femme et son sourire plein de promesses érotiques. Il comprit que les deux étaient les amis de partouze de son père ! Cela le mit un peu plus mal à l’aise, même s’il était attiré par le magnétisme malsain de la femme ! Dans le couloir, prenant son père à part, il lui parla discrètement:
— Et Cécile ? Ma femme ? Elle n’est pas là ? demanda-t-il, un peu paniqué, à son père.— Elle va arriver, c’est elle qui fait le service. J’ai congédié pour ce soir, ma domestique. J’ai pensé que ce serait plus ludique pour tout le monde !
"

Quand il entendit le ton vicieux de son père, le fils se sentit en panique. Son père n’aurait pas osé quand même ! Et ce qu’il craignait se concrétisa devant son regard affolé ! Cécile sa femme, sa douce épouse fidèle arriva dans la pièce, habillée pour la situation...Des escarpins vernis bien pointus, des bas résille blancs, un porte-jarretelles de la même couleur, un gros collier en cuir bien large autour de son cou, une chaîne qui y était accrochée, et qui venait se perdre dans son entrecuisse... et rien d’autre ! Cécile, la femme fidèle, faisait le service avec ses seins et sa petite touffe du pubis à l’air. Elle était nue, outrancièrement maquillée, un air canaille sur le visage !

Le fils se prit le visage dans ses mains. Son père osait exhiber sa femme à des étrangers, qui ne perdaient pas une miette de la superbe plastique de la jeune femme.Et sidéré, le fils remarqua, quand sa femme vint lui offrir sa boisson, que la chaîne partant du cou était reliée à un anneau que sa femme portait dans une de ses lèvres vaginales ! Sa femme était entravée de la façon la plus obscène qui puisse être ! Son père avait osé lui faire percer le sexe et y faire placer un anneau !
Le père remarqua le trouble du fils, qui regardait le sexe martyrisé de son épouse :
— Ah, ça te plaît ? Original non ? De cette façon, quand on tire sur la chaîne, Madame en éprouve des sensations dans son sexe ! Tu veux essayer ? Allez, vas-y, tire-lui sur la chaîne !— Mon cher, vous avez une nouvelle esclave à disposition, lui demanda Edmond.— Elle est très belle, s’exclama Monica, qui louchait sur la touffe de poils blonds de Cécile.— Et bien jeune homme, vous n’osez pas tirer sur la chaîne ? C’est pourtant très excitant, vous savez ! dit Edmond, en s’adressant au fils, qui n’osait pas manipuler ainsi sa femme.
Viens à moi, comment s’appelle-t-elle déjà ? demanda Edmond, à l’adresse de la jeune femme qui s’exécuta sans sourciller.
— Cécile ! " répondit le père, qui s’amusait de la situation.

Il regarda alors son ami qui manipula la chaîne, faisant se dilater la lèvre vaginale de Cécile, qui poussa un petit cri de douleur. L’homme posa alors son doigt sur le clitoris gonflé, et commença à masturber la jeune femme qui se mit à gémir, à la fois de douleur et de plaisir. Cela, sous les yeux ulcérés du fils, qui regardait sa femme être traitée comme la dernière des putes ! Et celle-ci subissait sans broncher, sans se révolter. Cela lui parut encore plus odieux. Néanmoins, lui non plus ne dit rien, et continua à river ses yeux sur le sexe offert de sa femme, qui se faisait tripoter la chatte suivant les caprices de l’homme !
— Prête-la-moi un peu, Edmond, j’ai envie de m’amuser aussi, dit Monica qui commençait à s’exciter, le regard brillant.

Alors que la jeune femme s’approcha de Monica, celle-ci la fit asseoir sur elle, cuisses toutes grandes ouvertes. Et elle aussi se mit à lui manualiser la chatte, lui suçant au passage ses petits seins, dont les mamelons gonflaient.
— Elle est très réactive, c’est très troublant. Pourtant je ne la connais pas, elle n’appartient pas à notre cercle. Où l’as tu donc dégotée cette petite putain ? demanda Monica, toujours en s’occupant de la chatte de la jeune femme.— C’est la question que je me posais aussi, dit Edmond.— C’est ma belle-fille !— La femme de ton fils ? s’étonna Edmond. Et il a accepté de te la confier, ou alors il n’est pas au courant ?— Mon fils est ici même, roucoula le père. C’est ce jeune homme qui a le regard présentement braqué sur ta femme, qui branle la chatte de la sienne !— Mon Dieu, s’étonna Monica, en regardant le fils, mais que toute cette histoire est excitante ! Quelle chance d’avoir des enfants aussi coopératifs !— Mais, réagit Edmond au comble de l’étonnement, c’est lui même qui t’a confié sa femme pour l’éduquer, ou c’est elle qui en a fait la demande ? C’est tellement surréaliste comme situation !— Pose lui la question, il a une langue, répondit le père.

Se tournant vers le fils qui était devenu l’objet d’attention passionnée des trois, il lui réitéra sa question, n’obtenant qu’un mutisme profond du fils qui baissa la tête en rougissant. Alors le père raconta son histoire dans les moindres détails, depuis le début. Il expliqua comment il avait su abuser le fils, et se voir accorder la pleine confiance aveugle et innocente de la belle-fille, qu’il manipulait dès le début, pour la dévergonder et finir par l’avilir ouvertement, sous les yeux de son fils consentant.
Mais le père précisa aussi que la déchéance de sa belle-fille ne faisait que commencer, et qu’il la pousserait dans des territoires encore inconnus de la psyché humaine, dans lesquels sa pauvre femme n’avait même pas réussi à pénétrer !Notamment, il avait très envie d’explorer avec elle des facettes cachées de son masochisme, qu’il sentait à fleur de peau chez sa belle-fille. Il se promettait de lui faire subir des sévices, et autres traitements dégradants, qu’il savait été reçus avec beaucoup de plaisir par Cécile.
En entendant ces paroles, le fils s’enfonça de plus en plus dans une profonde déprime. Il se rendit compte que par une trop grande gentillesse débonnaire, et une innocence frisant la bêtise, lui-même et sa femme s’étaient placés dans les griffes d’un véritable monstre d’égoïsme et de luxure ! Et le fils devina que Cécile n’en était qu’à ses premiers devoirs. Mais lui vint aussi à l’esprit qu’il était certain que le père ne se trompait pas, sur l’inconscient profond de sa femme. Il sentait que celle-ci allait tout accepter du père, et qu’elle allait se laisser glisser dans une déchéance sexuelle morbide, avec volupté et plein consentement ! Et cette idée le révulsa, en même temps qu’elle l’excita gravement !
— Alors jeune homme, on a oublié la politesse ? Je n’ai pas pour habitude que de jeunes freluquets de trente ans et quelques me manquent de respect ! Vous ne voulez pas parler, et expliquer ce que vous pensez de toute cette histoire, et bien c’est votre épouse qui va en faire les frais ! Monica, on va la retourner et l’enculer cette oie blanche ! “ dit Edmond avec vigueur.
Paul se mit à blêmir d’un coup, en regardant le couple qui prenait sa femme, soumise et immobile, par les bras, la faisait se placer agenouillée sur le sofa, tête en avant et cul en l’air...Cécile soumise dans cette position humiliante se laissa bien écarter les cuisses, puis les fesses. Tandis que Monica lui caressait ses seins qui pendaient légèrement, son mari passait sa main entre ses cuisses, sur le sexe de la femme, y recueillant une cyprine en abondance ! Puis il caressa les fesses offertes, allant de plus en plus souvent frotter ses doigts humides de mouille, sur la rondelle foncée.

Cécile commença à gémir quand elle sentit le premier doigt forcer sa rondelle, pour s’introduire dans le petit trou, puis le second. Au troisième, elle commença à ahaner de façon fort vulgaire. Elle avait passé le cap de la souffrance et prenait visiblement son pied !! Edmond se régalait de faire voyager ses doigts dans le conduit étroit, les ressortant tout humides devant le mari sidéré. Celui-ci s’était rapproché subrepticement pour assister à la déchéance de son épouse et cette sodomie fort vulgaire ! Le beau-père, lui, jouissait de cette scène surréaliste ! Son fils qui assistait à la sodomie de sa belle-fille à lui... sodomie qui tendait à devenir un "fist anal", tant Edmond bougeait ses doigts de plus en plus profondément dans le séant de la jeune femme. Certes, il n’y en avait que trois, mais on sentait le gredin bien décidé à y enfoncer toute la main !

Mais Monica qui observait les réactions de Cécile, tout en lui caressant les seins et la vulve, lui demanda si elle prenait du plaisir...
— Hummmmm, je... je... arghhh... oui c’est bon... mais... haannn... je suis un peu... ahaaaa...— Étroite ? C’est la première fois que tu te fais sodomiser ?— Hummm... argghh... Ouuiii...— Bon Edmond, arrête, tu vas lui faire mal, elle n’en peut plus ! Tu la fisteras une autre fois !— Bon tu as raison ! Alors, il est content le petit mari, qui n’a jamais mis un doigt dans le cul de sa femme ! Tu vois, après, ce sont les autres qui en profitent !— Non, justement ! Paul, baisse ton froc, sors ta queue, c’est toi qui vas enculer ta femme... en premier ! “
C’était le vieux, qui, s’étant rapproché pour observer le spectacle dégradant de la sodomie de sa belle-fille, eut l’idée salace d’y associer son fils !
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