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Un deuil peu commun...

Chapitre 9

Retournement de situation !!!

Divers
Le père était très énervé…il roulait trop vite avec sa Mercedes, sur cette route de montagne dans les Alpes, côté italien. La route peu large était glissante, et l’obscurité n’arrangeait rien. A chaque virage, le père donnait un coup de volant, si bien que l’estomac de Paul, son fils assis à côté, faisait un bond dans son abdomen…
“ Papa ? Roule moins vite, bon sang !
— Je dois retourner le plus vite possible à Montpellier pour corriger les conneries de ta petite conne de femme !
— Dis donc, parle en un peu plus gentiment…tu disais pas ça quand on l’a tous partouzée avec tes amis vicieux, la semaine dernière  !
— Certes, ta femme est une bonne salope et une bombe sexuelle… alors putain, tu m’expliques comment elle n’a pas fait craquer ton fils Nicolas ! Putain, c’est pas compliqué de s’offrir à un fils débordant de foutre et de testostérone !! A 18 ans on se tape tout ce qui bouge, surtout une bombasse de 36 ans qui a des airs de Kim Basinger et la chatte en feu ! Bordel de merde ! Et même si c’est sa propre mère ! Le gamin devait pas résister !! Dis donc, il serait pas un peu pédé ton idiot de fils !?
— Merde alors, alors là tu vas trop loin, d’abord on n’emploie plus des mots horribles comme ceux -la, et je ne te permets plus d’insulter ma femme et mon fils !
— Bon alors si je fais le bilan, elle l’a allumé en lui faisant le numéro de Basic instinct, ensuite elle s’est penchée un max devant lui, lui a montré son décolleté, son absence de string, et est sortie quasi à poil de la douche, l’a quasi saoulé !Le soir, ils ont fumé du shit, elle s’est couchée à poil à ses côtés. Tôt le matin il s’est levé pour faire un footing et évacuer la pression, tu m’étonnes, moi ça aurait fait longtemps que mon zob aurait explosé !! Et enfin quand il est rentré, elle était nue sur le drap, en porte-jarretelles, cuisses bien ouvertes et elle s’etait caressée le mille-feuille pour lui présenter une fente bien lubrifiée, avec ce petit fumet classique de la femme en rut…et rien ! Rien du tout, ce petit con ne l’a pas touchée, elle est repartie comme ça.
Putain, mais c’est pas vrai. Elle devait coucher avec ton fils pour le dévoyer et assurer mon plan…il n’y aura peut-être pas de seconde chance ! Mais quelle bande de cons, un puceau et une pétasse frigide…et toi qui me fait chier avec tes commentaires à la con ! “
 Cette fois c’en était trop, Paul respectait son père, mais là il se surprit lui même à lui dire :
“ Papa, t’es qu’un vieux con, un vieux schnoque, un vieux croulant…l’hospice est pas loin, vieil imbécile…ma femme, je vais la baiser tout seul dorénavant !! Tu me fais chier, tu nous fais tous chier ! Va en enfer !!
— Petit morveux, “ dit son père en se tournant vers lui, la main en l’air.

A ce moment, une voiture arriva dans l’autre sens…


                                                     _____________________________

Une semaine plus tard, Cécile était au chevet de son mari à l’hôpital. Il avait un bras cassé, quelques côtes fêlées, d’autres traumatismes un peu partout…mais le plus grave c’était sa commotion cérébrale. Dans le coma depuis plusieurs jours, les médecins pensaient avec optimisme pouvoir l’en sortir. Par contre, d’après l’IRM, il était certain qu’il ne recouvrirait plus la mémoire. Paul était amnésique…peut être pour toujours !!

Quant à son beau-père…on n’avait pas retrouvé le corps. Sa voiture avait quitté la route, avait chuté dans le ravin, 30 mètres plus bas, mais encore 20 au-dessus du torrent en furie, qui passait en bas ! Et elle s’était encastrée en contrebas de la vallée, dans un bosquet de sapins.Le père avait retiré sa ceinture de sécurité, nul ne sut pourquoi ( c’était pour foutre une rouste à son fils), et il avait été éjecté du véhicule, lorsque sa portière fut arrachée dans la chute mortelle.
Malgré les recherches incessantes des pompiers italiens, le corps ne fut jamais retrouvé ! On leur avait expliqué que la rivière se jetait dans la mer Méditerranée, quelques 50 kilomètres plus loin au sud, et qu’il ne fallait pas espérer retrouver le vieil homme un jour !!Le père avait rejoint son épouse...

Le visage en larmes, Cécile quitta l’hôpital de Menton où son mari venait d’être rapatrié, la veille, d’Italie, et marchant au hasard, se retrouva devant une grande église. Elle y entra, par hasard et désoeuvrement…se dirigeant vers l’autel, une vieille femme la regarda avec une intensité peu commune, et lui cria presque dessus, en la pointant du doigt, un crucifix dans l’autre main :
“ Vous êtes maudite, vous vous êtes donnée au diable !! Vous êtes la Prostituée de Babylone !! Repentez-vous ou de terribles choses vont vous arriver, à vous et à votre famille ! Si vous demandez pardon, là devant l’autel, ici maintenant, alors le Seigneur vous pardonnera peut-être. Adieu pécheresse !!"

Cécile regarda la femme avec effroi, et dut s’assoir sur le premier banc venu, tant elle tremblait de tous ses membres. Elle savait que la petite vieille disait vrai…elle était maudite ! Elle était devenue l’immonde créature libidineuse de son beau-père et de son mari. Elle avait accepté toutes les perversions…à part deux…cet accident c’était la Punition de Dieu...leur punition à tous !!

Qu’elle était donc heureuse de n’avoir pas pu coucher avec son fils, malgré les recommandations expresses de son beau-pére !“Mon dieu, "m’obliger" à coucher avec mon fils !! Mais quelle horreur ! “ Pensa t-elle, alors que le voile se déchirait dans son esprit. Son beau-père en avait fait son esclave sexuelle, prête à tous les vices. Elle était prête à tout, à tout supporter, à tout subir ! Si son beau-père le lui avait demandé, elle se serait laissée saillir par un chien…voire pire !
Heureusement, il n’avait pas eu le temps de lui imposer cette paraphilie ! En un sens, cet accident était un don du Ciel, c’était méchant à dire, mais cela l’avait tirée de son enfer !!Son mari était vivant mais amnésique, il ne reprendrait pas la suite "des affaires infames" de son père…et son fils était en dehors de tout cela… Dieu soit loué !! Cécile était libre des frasques sexuelles imposées par son beau-père...elle allait pouvoir redevenir une femme normale et honnête !!
Elle alla se prosterner devant l’autel, à genoux, et demanda pardon au seigneur. Et puis, ressortie dans la rue, elle alla s’acheter des vêtements plus que corrects. Une jupe qui lui descendait sous les genoux, un chemisier très sage, un soutien-gorge et une culotte "Petit bateau" de couleur blanche en coton !! Quand l’employée du magasin fit les poubelles le soir, elle eut la surprise de découvrir une parure de sous-vêtements Aubade à 300 euros, porte-jarretelles, bas couture et soutien-gorge, mais pas de string, une jupe noire très moulante et un chemisier très transparent, avec un noeud sous la poitrine, ainsi qu’une paire de bottines très sexy en cuir noir. Elle récupéra le tout, amena tout au pressing...et le weekend suivant, son petit ami du moment, eut l’une des meilleures soirées de sa vie !!!

                         _________________________________

Une semaine après son revirement à l’église, Cécile prit son fils, en Italie, pour un dernier hommage au beau-père. Elle lança une couronne mortuaire de fleurs dans le ravin, lieu de l’accident, qui fut très vite emportée par le courant.“ Ainsi a disparu ton grand-père…victime de sa passion pour la vitesse. Nous ne saurons jamais ce qui s’est passé, ton père étant définitivement amnésique. C’est peut-être mieux pour tout le monde…
-Pourquoi dis-tu cela, maman ??
-C’est trop long et compliqué à expliquer. L’essentiel, c’est que ton père soit encore avec nous, et toi aussi en parfaite santé ! Nous allons pouvoir rebâtir une famille normale, et suivre un chemin de vie moins tumultueux…" déclara-t-elle avec gravité. Phrase sibylline que Nicolas ne comprit pas.

Nicolas fut évidemment ému par le grave accident de la route et la perte de son grand-père. Il ne comprenait pas le manque d’empathie de sa mère à son encontre…D’autres choses l’étonnèrent encore plus ! D’abord, lorsque sa mère l’accueillit sur le quai de la gare de Menton, il l’a trouva changée par rapport à sa dernière petite visite dans son appartement, à Montpellier, deux semaines seulement auparavant. Exit la bimbo avec ses hauts talons, ses jupes courtes et ses décolletés pigeonnants. Elle avait même abandonné sa coiffure vaporeuse, qui mettait si bien sa chevelure, entre le blond et le roux, en valeur. Elle avait ses cheveux coiffés sagement avec une raie à droite. Pas de maquillage non plus, un look de "bobonne à la maison". Mais où  était donc passée la petite pute délurée qui avait tout fait pour l’avoir entre ses cuisses ?? Bizarre...il ne comprenait plus rien.

Déjà, la dernière fois, sa mère s’était comportée avec lui comme une pute en chaleur, loin de la tranquille mère de famille, dont il avait le souvenir quelques mois plus tôt. Mais cette fois-ci elle était redevenue normale. Comme-ci la séance très hot lors de sa venue à Montpellier, n’avait jamais existé...il allait falloir qu’elle lui rende des comptes. En attendant, Nicolas éprouvait une impression bizarre à la pensée de partager sa chambre d’hotel avec sa mère..d’autant plus qu’ils n’avaient eu le choix que d’une chambre avec un grand lit à deux places...Nicolas allait donc dormir très près de sa mère...comme la dernière fois.

Quand il pénétra dans la chambre, son idée était faite : sa mère s’était habillée normalement pour atiser son désir. C’était un piège !!Une fois dans l’intimité de la chambre, elle allait lui refaire un petit numéro de striptease, avec des bas, porte-jarretelles et autres accessoires vicieux. Cette idée le fit bander à mort. Sa mère s’était débrouillée pour réserver une chambre avec un seul lit, la prosmiscuité assurant des rapports plus charnels et beaucoup moins maternels...surtout si les deux dormaient nus !! Elle avait dû comprendre qu’elle était allée trop loin la dernière fois, trop "rentre-dedans" !! Aussi cette fois-ci avait-elle décidé d’être plus patiente, plus douce, pour arriver à ses fins : baiser avec son propre fils !! Et cette fois-ci Nicolas allait céder à la tentation !!!

Il était sûr qu’elle allait terminer ce qu’elle n’avait pu finaliser la dernière fois : se faire baiser par son propre fils !! Et là, il était largement moins sûr de pouvoir résister ! Car évidemment, ces 20 heures de drague lourde et sexuelle, dans sa chambre d’étudiant à Montpellier, lui avaient tourné les sens. Certes il avait été fier d’avoir eu la force de résister à la tentation, mais il en avait éprouvé des remords ensuite. Aprés tout, quel homme normal aurait pu résister à cette femme diablement désirable même si c’était sa propre mère !! Et puis tout venait d’elle, lui n’y était pour rien..alors au second round...évidemment !!

Il faut dire que l’image de sa mère nue, étendue sur son lit, au dessus des draps, en porte-jarretelles, jambes bien écartées, la fente apparente et bien lubrifiée, était à jamais restée gravée dans sa mémoire !! Il lui avait fallu beaucoup de tempérament pour ne pas lui sauter dessus, en revenant de son footing à 7h00 du matin. Et pourtant il avait réussi...il s’était fait du café et en avait bu pas moins de 5 tasses d’affilée. Une fois réveillée, sa mère rentra dans la petite cuisine, dans sa nudité magnifique de blonde bien bronzée en intégral, rehaussée par la beauté du porte-jarretelles Aubade et de ses bas noir. Elle avait mis une main sur sa hanche, se cambrant légèrement sur la droite, et d’un ton de défi, lui avait dit :
" Je suis toute seule dans ce grand lit...j’ai froid...tu n’as pas envie de venir me réchauffer et de me faire un gros câlin ?? Je suis en manque d’affection en ce moment !
— Maman, tu ne peux pas rester comme ça devant la fenêtre, il y a les voisins dans la cité U,  et beaucoup me connaissent très bien, je n’ai pas envie qu’ils m’attendent dehors pour avoir ton 06, aprés avoir vu ta fantastique plastique dans mon appartement !!
— Tu aurais tort...une petite partouze avec des jeunes gens plein de sève, ce serait extrêmement excitant. Tu pourrais prêter ta petite maman à tes amis, si tu ne te sens pas capable de lui donner un peu d’affection ", lui dit-elle avec un ton de reproche surjoué. Tu imagines...tu reviens chez toi tout à l’heure après tes cours, et tu vois ta jolie petite maman, nue sur ton lit, en levrette avec 5 belles bites à s’occuper...voyons j’en prendrais une dans ma bouche, l’autre dans mon c...
— Stop ! Stop ! Tu vas prendre une douche bien froide, et puis tu te casses...je n’en peux plus ! Je ne sais pas ce qui t’arrive, mais si tu continues comme ça, j’en parle à papa ou à grand-père !!
— Ok, pas la peine de crier ! Si tu savais...dommage ! " Souffla- t-elle en entrant dans la salle de bain, un peu mortifiée d’avoir été éjectée comme une malpropre par son fils ! C’est sûr que son beau-pèere n’allait pas être content...et pourtant elle avait donné le maximum d’elle-même !!

Depuis ce jour, il s’était gravement branlé, parfois plusieurs fois par jour, en pensant à sa mère...il en avait même parlé avec ses potes, en évoquant un test de personalité, comme une expérience improbable. Ils avaient tous eu la même réaction : " moi, mère ou pas mère, je la baise à donf !! "
Depuis, il s’en voulait, il regrettait. Jamais plus il n’aurait une occasion comme celle-ci. Même sa copine Sophie, pourtant belle comme un cœur, lui était apparue bien fade par rapport à sa mère, sophistiquée, maquillée, sexy au delà de tout ! ! Et quand il lui fit l’amour, c’est à sa mère qu’il pensa !
Aussi, quand il avait entendu la voix de sa mère au téléphone, il avait eu l’estomac qui s’était resserré ! Et après avoir vu la chambre, le doute n’était plus permis, sa mère lui donnait une deuxième chance de faire l’amour avec elle...cette fois il n’allait pas bouder son plaisir !!

Et pourtant...
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