Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 150 J'aime
  • 13 Commentaires

Et de deux...

Chapitre 1

Trash
J’étais toujours en couple avec lui, folle de lui, de son corps, de ses mains sur moi, de sa grosse bite, nous étions totalement en phase sexuellement, les mêmes envies au même moment, et je prenais mon pied régulièrement.
Toutefois, j’avais comme basculé dans un monde de plaisirs et j’en voulais toujours plus, tant et si bien que j’avais cédé déjà une fois à un inconnu sur un parking de supermarché. Et le pire, c’est que j’avais aimé ça, jouer à la salope, me faire enculer pour la première fois, alors que bizarrement, mon mec, ce fabuleux amant, n’était jamais passé par là, et je n’avais rien demandé en ce sens.
Je ne me sentais pas honteuse parce que dans ma tête, je ne l’avais pas vraiment trompé. Je n’avais pas recherché de tendresse ni de sentiments, juste du sexe, et même cela, je ne lui avais pas volé puisque j’étais satisfaite de lui au lit, je savais qu’il n’y avait pas meilleur que lui pour me faire jouir, je n’avais donc rien donné de mieux à un autre, si ce n’est mon cul. Mais même cela, j’avais l’impression que c’était l’orifice d’une autre femme, du rôle de salope que j’avais envie de jouer, rien à voir avec l’amour, je voulais me faire baiser par d’autres.
Évidemment, l’occasion se présenta.Nous faisions des travaux dans notre maison et nous avions besoin d’un artisan. Un menuisier est venu pour discuter et faire un devis. C’était un homme assez impressionnant, de grande taille, une carrure de lutteur, des muscles proéminents qui semblaient vouloir déchirer son t-shirt. Un barbu avec un peu d’embonpoint toutefois, mais ce physique de guerrier viking me fit grand effet dans mon bas-ventre. Je le dévorai littéralement des yeux, à tel point que mon compagnon s’en aperçut, et le colosse aussi. Et moi, j’étais comment ce jour-là ? Je ne m’étais pas vêtue pour sortir, mais j’étais dans une petite robe d’été qui me collait à la peau, avec des boutons devant, mais pas spécialement courte, juste au-dessus des genoux. Avec mon compagnon, nous présentions le bâtiment où aurait lieu l’essentiel des travaux. C’était une annexe à notre maison que nous voulions aménager.
Mon attitude allait de pair avec mon excitation : je me trouvais régulièrement sur le passage de ce titan, et le gars me frôla plusieurs fois sans faire exprès, du moins en apparence.
Pour examiner un coin de la pièce, il fallait que m’écarte sur le côté, alors il me mit ses mains énormes sur les hanches et m’invita à me pousser. Ce contact à la fois délicat et puissant me transperça plus sûrement qu’un pieu au fond de mes entrailles. Je m’aperçus que je commençai à mouiller ma culotte. A un autre moment, alors qu’il parlait à mon homme, son bras effleura ma poitrine, et j’avais les tétons qui pointaient, tous durs, et je suis certaine qu’il le sentit. Et quand mon mec monta sur un escabeau pour montrer les poutres, et que je m’étais plantée entre le menuisier et lui, l’artisan s’approcha derrière moi et je sentis son corps puissant dans mon dos, et surtout contre mes fesses. Je décidai de l’allumer un peu plus en faisant exprès de frotter mon postérieur contre l’homme, feignant de reculer par erreur.
Il a vite compris puisque sa main ne tarda pas à se glisser entre mes cuisses et remonta jusqu’à mes fesses, et ses doigts vinrent tester l’humidité de mon entrejambe.
Je frémissais, j’étais déjà tout excitée.
Je savais que mon mec savait ce qu’il était en train de se passer. Mais au lieu de réagir en jaloux, celui-ci sembla jouer comme un complice. Il prétexta devoir s’absenter une heure pour le travail, un coup de fil urgent, et invita l’artisan à poursuivre le devis en ma compagnie. Je le fusillai du regard, le suppliai sans dire un mot, genre "ne me laisse pas seule, sinon je ne réponds plus de rien". Mon homme avait compris, mais il m’adressa un sourire : - à tout de suite ma chérie.
Sitôt mon homme sorti, un silence pesant se fit sentir avec l’artisan. Je n’osai lever les yeux vers lui, je sentais son regard sur moi. Que pensait-il de moi ? Que j’étais une salope ? Une chaudasse ? Une nympho ?
Soudain, il posa ses mains sur mes hanches et m’attira à lui avant de m’embrasser sur la bouche. Et je fondis comme un praliné au soleil, ses muscles contre moi, et ses grosses mains de travailleur avaient raison de moi, j’étais à lui. Ses mains passèrent sous ma robe et me pétrirent les fesses, sa langue jouait avec la mienne, ses mains me caressèrent, l’une dans ma culotte, chercha mes orifices, l’autre sur mes seins. Il n’était pas doux avec mes fruits, et ses énormes doigts me fouillèrent la chatte. Puis il glissa son pouce dedans pendant que son index s’immisça dans mon anus. Et là, j’étais comme prise par une pince de crabe et ça me provoqua un orgasme. Nom de dieu ! Déjà !
Je m’étais retenue à ses épaules, plantant mes ongles dans sa chair, mais je tenais difficilement sur mes jambes. Je sentis sa main sur ma nuque qui me fit une pression telle que je tombai à genoux devant lui. Face à ce géant, je ne pouvais qu’obéir, il déboutonna son jean et sortit une bite de bonne taille. Et là, il la mit dans ma bouche et me tint par la nuque. Il me força à l’avaler toute entière, presque à en étouffer, puis il me baisa la bouche sans aucune douceur.
Peu de temps après, il me releva et me plaqua contre une vieille table, releva ma robe au niveau des hanches, baissa ma culotte et me fourra son majeur dans le cul. Puis il braqua son engin à l’entrée de mon anus. Le salaud n’allait même pas me baiser normalement, il avait deviné que je voulais me faire enculer. Je le sentis me pénétrer, il était tellement grand qu’il pouvait aisément me prendre comme ça, par derrière, et ses mains me serraient fortement, il poussa, poussa et m’enfila peu à peu complètement, l’anneau se détendit, car j’étais très excitée, je mouillais comme une folle et il me dit de sa voix grave :
— Tu l’aimes l’avoir dans le cul, salope !— Ouiii.
Il commença à aller et venir, j’avais un peu mal, mais soudain, j’ai aperçu le visage de mon mec à travers la fenêtre. Le salaud nous regardait discrètement, et je l’imaginais qui devait se branler devant le spectacle que je lui offrais. Pendant ce temps, l’artisan m’avait attrapé les cheveux et m’enculait de plus en plus fort, et ça cognait contre mes fesses, c’était brutal et c’était bon, j’avais envie de me faire défoncer par ce colosse, je n’étais plus moi-même, des ondes de choc me parcoururent et j’eus mon second orgasme.
C’était si fort que j’en redemandais encore et encore. Et il allait et venait dans ma croupe, et ça me faisait mal et ça se transformait en ondes de plaisir, et je croisai le regard de mon homme, et ça m’excitait de me faire baiser ainsi. Et le gars me traitait de pute, de salope, de tous les mots crus de circonstance.
Quand il sentit qu’il allait venir, le salaud me tira par les cheveux, me força à m’agenouiller et me mit sa queue turgescente dans la bouche, alors qu’elle venait de mon derrière, et il déchargea à grandes giclées au fond de ma gorge, me forçant à avaler et à nettoyer.
Quelques minutes après, mon mec était de retour et comme si de rien, l’artisan proposa son devis. Nous nous sommes dit à bientôt pour les travaux. J’en avais la chair de poule, car l’homme allait revenir pendant la semaine avec ses ouvriers, alors que je devais rester toute seule à la maison... Et mon mec qui ne me parlait pas de ce qui s’était passé... Juste qu’il était encore plus fougueux les nuits qui suivirent...
Diffuse en direct !
Regarder son live