Aux lecteurs qui me suivent, je présente mes excuses si ce texte est bien plus cru que tout ce que j’ai déjà déposé. Il m’arrive, je ne suis qu’un homme, de me laisser vraiment aller à des fantasmes et parfois cela fait du bien.
Je continue là où j’en étais. Enfin pour le coup, je devrais dire là où en était Sabine. Autrement dit en train de me sucer en y prenant beaucoup de plaisir, pas autant que moi toutefois, du moins c’est ce que je suppose. Sylvia elle aussi s’est mise à genoux. Elle me caresse les bourses, tâtonne un peu, on voit vite qu’elle est plus habituée avec les filles qu’avec les mecs. Oups... quoique... la voilà qui avale mes boules. Sabine continue de me lécher le pieux, bien droit, bien raide, bien dur. Je lui caresse les seins, de l’autre main je tiens la tignasse blonde de Sylvia pour qu’elle gobe encore plus mes deux grosses boules. Elle ne s’y refuse pas au contraire. Je profite pleinement du moment, deux filles remarquables qui s’occupent de ma queue c’est formidable.Sabine, qui connaît le penchant lesbien de Sylvia, lâche ma verge. La voilà qui s’allonge, passe entre les cuisses de la blonde, et lui suce son intimité. Sylvia quitte à son tour mon entrejambe pour écarter encore plus les cuisses. J’entends très nettement le bruit de succion de la bouche de Sabine sur le fruit doré de Sylvia. Celle-ci pousse déjà des gémissements de plaisir. Je rejoins Sabine à plat sur le sol, passe ma tête à mon tour sous le pubis de Sylvia. Ma langue rencontre dans un premier temps celle de Sabine, puis, à deux, nous happons le clito de Sylvia qui s’exclame : — Oh, purée... encore, oui encore ! J’aime la sodomie, je ne résiste pas à l’envie de lui mettre un doigt dans sa petite étoile. Elle a un sursaut mais laisse entrer l’intrus. Sabine, qui ne ferme pas les yeux, voit mon doigt... elle quitte la chatte de la blonde et sa langue joue à présent avec le petit trou étroit. Je reçois un premier jet de jouissance de Sylvia qui m’inonde le visage. Ma queue me fait mal, tant elle est tendue de désir. Mon doigt s’enfonce encore plus. Ma jolie petite blonde semble en vouloir plus.Je décide de passer aux choses sérieuses. Son cul m’attire trop. — Met toi sur le ventre Sylvia et lève tes fesses ! Elle s’exécute sans mot dire.Sabine en profite, les deux se font un soixante neuf merveilleux tandis que Sylvia m’offre son petit trou.Je présente mon gland sur ce joli orifice. Il n’a jamais servi j’en suis persuadé et je vais prendre mon pied. Je me frotte contre elle, il est évident qu’elle n’est pas contre et s’écarte encore un peu plus les fesses tandis que Sabine poursuit de lui butiner le clito.Je crache longuement de la salive. Du pouce, je frotte l’entrée. Doucement, lentement, pas question de lui faire mal, et trop joli cul pour l’abîmer. Il semble prêt ! Je place ma queue et, sans aucune brusquerie, je commence à pénétrer.
— Oh putain ! C’est bon ça... Je n’ai pas pu retenir cette phrase stupide, mais Sylvia semble du même avis : — Oh oui, je ne connaissais pas encore mais c’est bien, continue ! Bon, ben si elle le demande... J’empale encore plus mon membre, quelques centimètres de passés. Elle gémit. En dessous, Sabine a accéléré son léchage aussi et lui enfonce deux doigts ans la chatte. Sylvia est au comble du plaisir, elle jouit. J’en profite pour terminer de l’introduire. Là elle hurle... de plaisir s’entend.Mon va et vient peut commencer. J’y vais cette fois franco. C’est chaud, humide, et surtout, c’est très étroit. Moi aussi je prends mon pied.Soudain Sylvia pousse un nouveau cri de jouissance. Il n’en faut pas plus pour que je lâche mon jet. Je crois n’avoir jamais joui de la sorte.Je me retire, les filles se relèvent. — On a pas fini ! Sabine est morte de faim. — Allonge toi, on va toutes les deux te faire bander à nouveau ! Je m’exécute et m’allonge sur le dos, jambes et bras en croix, mon sexe leur est confié, je sais qu’elles arriveront à le faire se redresser.Elles se mettent de chaque côté de moi, commencent à me caresser le torse et à me sucer les tétons. J’adore ça en plus et sentir leurs mains me parcourir partout, il n’en faut pas plus pour bander à nouveau. — C’est bien beau d’enculer ma copine, mais faudra penser à moi !!! Je ne peux pas répondre, complètement absorbé par l’intensité des caresses qu’elles m’offrent.Sylvia prend la relève : — En plus y a pas de raison, on va te mettre un doigt dans le cul mon salaud !— Attend Sylvia, j’ai même mieux que ça ! Sabine, belle dans toute sa nudité, se lève et va dans sa chambre. Elle en ressort quelques secondes plus tard avec un gode qui me paraît énorme.Je commence à paniquer. — Tu n’as pas l’intention de me mettre ça dans le cul ?— Bien sûr que si... tu vas voir !— Je ne suis pas gay ! Je n’ai jamais fait ça et franchement, ce n’est certainement pas ma tasse de thé ! Et ça n’entrera jamais !— On fait le pari ? Et il ne faut pas mourir idiot ! Je ne sais quoi répondre, elles sont bien décidées toutes les deux à me l’enfoncer !Sylvia prend ma queue dans sa bouche, elle suce les dernières gouttes de sperme qui perlaient encore. La sensation est extraordinaire ! Elle fait ça avec une telle douceur que si je ne me retenais pas, j’éjaculerai déjà une deuxième fois dans sa bouche. Heureusement, avec la première jouissance il est bien plus facile de se retenir. Mais que c’est bon !Sabine me caresse à nouveau la poitrine. Elle semble aimer mes pectoraux et mes tétons qui pointent. Comme un idiot, je viens de me rendre compte que je suis toujours étendu les bras en croix. Je m’apprête à prendre la tête de Sylvia pour qu’elle accentue ses coups de langue mais Sabine m’en empêche. — Non, tu ne bouges pas, on s’occupe toutes le deux de toi, tu n’as rien à faire si ce n’est justement, te laisser faire. Elle change de position et vient se placer entre mes cuisses grandes ouvertes. Elle joue avec les poils, caresse l’intérieur et remonte dangereusement vers mon anus.Je ne l’avais pas vu, mais elle a une petite bouteille d’huile dans les mains. Après l’avoir ouverte, elle commence à laisser couler un léger filet là où je craignais... La sensation est agréable, mais j’ai une vraie crainte pour la suite. Sylvia m’a repris complètement ma bite en bouche, je ne sais plus où j’habite. Sabine caresse mes bourses, je sens que sa main s’aventure vers mon cul. Ce ne manque pas, elle joue à me caresser mon trou. Là, je suis étonné, c’est super agréable. Oups... la garce, elle enfonce son doigt, je sens dans ma queue le sang qui bat. — Tu vois, tu as l’air d’apprécier ! Involontairement (ou pas) j’écarte encore plus les cuisse lui offrant mon petit trou. — T’as un joli cul salaud ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! Ouille... putain, deux doigts viennent d’entrer. Ce n’est pas douloureux, loin s’en faut, mais ça surprend.Elle remet une dose d’huile et commence à aller plus profond avec ses doigts. Sylvia a quitté ma queue, elle tient le gode dans la main. — Non les filles !!! S’il vous plaît ! C’est bien trop gros.— T’inquiète ça va entrer tout seul, tu vas comprendre ce que ressente les femmes quand on les encule ! Sabine continue son aller-retour dans mon anus. C’est plaisant, mais y a un e petite différence entre deux doigts et ce gros machin qu’elles ont bien l’intention de m’enfoncer. Sylvia prend un coussin sur le canapé. — Lève tes fesses, ça ira mieux ! Incroyable... Je m’exécute sans résistance, à la limite, impatient. — Pendant qu’on va te goder, chéri, on va te sucer en même temps. On va te faire jouir comme jamais ! Là j’en doute sérieusement. Mais je n’ai pas le temps de répondre. C’est Sabine qui a repris le gode. Lentement elle me le plante dans le cul, juste à l’entrée.La douleur et bien là, je m’apprête à refermer les jambes pour qu’elles arrêtent, mais les petites garces ont dû prévoir ma réaction, je sens deux mains qui me les tiennent largement ouverte et Sabine qui lance : — C’est prêt, maintenant tu vas chanter ! D’un coup elle enfonce encore plus le gode. La douleur a disparu, il reste un sentiment étrange de bien-être et de honte. Se faire sodomiser par deux filles c’est excitant mais c’est à la fois gênant. Sabine n’hésite plus, j’ai l’impression d’avoir le cul complètement explosé quand l’engin me pénètre entièrement. Elle fait son va et vient doucement et dans le même temps, se penche vers ma queue tendue. — Je vais te sucer et Sylvia va te bouffer les couilles. Laisse toi faire, et lâche toi dans ma bouche, j’adore le sperme. Je suis à l’Ouest... complètement pommé ! Je prends réellement plaisir à avoir ce truc dans le cul pendant qu’elles s’occupent de ma queue. Et je ne peux rien faire que d’apprécier. Elles me bloquent les bras dès que je tente un mouvement. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Sabine semble le comprendre, elle accélère à la fois sa fellation et le va et vient dans mon cul.Ça part d’un seul coup. Mon jet est encore plus fort que le premier et Sabine reçoit toute ma semence au fond de la gorge. De longs spasmes m’agitent, mon plaisir est immense et ne s’arrête pas. Il dure d’autant que Sylvia me lèche à son tour la queue. Je peux sentir les deux langues jouer avec mon gland. Quel merveilleux après-midi. Il restera inoubliable.Une fois revenu sur terre, je m’aperçois que les deux garces semblent dormir. Et j’ai toujours le gode dans le cul. Je l’enlève, Sabine a voulu jouer, on va jouer à deux à présent. — Dis Sabine, tu n’as rien eu toi ? Elle ne répond pas. Je m’extirpe de leur emprise, je regarde le cul de Sabine, il est tout aussi beau et bien roulé que celui de Sylvia. Elle ne va pas y échapper. — Sabine, je te parle ! Toujours pas de réponse. Alors je lui caresse les fesses, je l’entends miauler. Ma queue est retombée, mais j’ai le gode... à mon tour je fais couler de son huile sur sa raie. Je commence à mon tour à lui toucher l’étoile. Je voudrais bander à nouveau pour la lui mettre bien à fond. Je m’astique et miracle, ça marche, rien que la vue de son cul m’excite. Quand je sens que ma queue est assez raide, je fourre deux doigts sans prévenir dans son anus. Elle aime ça, et ce n’est certainement pas la première fois pour elle. Sa petite chatte mouille, je présente mon gland et sans aucune difficulté, je la prends par derrière. Je ne la ménage pas, j’y vais de bon cœur et même si je n’arrive pas à éjaculer, je me sens bien dans ce petit trou. Et contrairement à ce que je pensais, pour la troisième fois, je laisse le plaisir me submerger et je lâche encore un dernier jet alors que Sabine se laisse aller à une extrême jouissance. Nous ne recommencerons jamais, hélas, ce genre d’après-midi, mais qu’il fut bon, merveilleusement érotique et sensuel. Fin.
