Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 182 J'aime
  • 1 Commentaire

Deux colocataires pas ordinaires

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Avec mon épouse Marjorie, nous avons la chance à bientôt 50 ans de vivre d’un salaire confortable et de nos rentes... à savoir un patrimoine immobilier hérité de nos parents il y a quelques années.
Si la plupart des appartements et studios sont confiés aux soins d’une agence immobilière qui se charge de l’ensemble des problèmes, nous avons conservé pour l’occuper avec nos deux fils un grand appartement situé rue Le Goff dans le VIème arrondissement de Paris.

C’est très pratique pour nous car, tous les deux professeurs d’université, nous sommes en plein Quartier latin ce qui fait que la plupart du temps, nous allons travailler à pieds. Autres avantages... ce sont les jardins du Luxembourg tout proches et le Jardin de plantes où je peux à la belle saison emplir mes narines des senteurs qui s’élèvent des rosiers et autres plantes que je ne peux cultiver sur une terrasse...

Comme on le sait, le quartier latin est très animé par les nombreux étudiants qui n’hésitent pas à se retrouver aux terrasses des cafés pour prolonger et discuter de leurs cours.

Financièrement nous sommes à l’aise bien que les études de nos fils à Berkeley soient assez onéreuses mais, en bons parents, nous pensons à leur avenir qui s’annonce prometteur.
Malgré de fréquents contacts par ordinateurs interposés avec nos fils, nous nous sentons un peu solitaires dans ce grand appartement aussi par l’intermédiaire du bureau des élèves j’ai passé une annonce à la recherche d’étudiants en quête d’un logement proche des facultés...

Rapidement j’ai eu une réponse de deux étudiantes qui poursuivaient leurs études en classe préparatoire au Lycée Henri IV. Elles étaient originaires de province et ne retournaient pas très souvent voir leurs parents en Franche Comté et en Auvergne.

C’est mon épouse Marjorie qui s’est chargée de les recevoir et de leur faire visiter les lieux : Deux chambres qui jadis devaient être occupée par du personnel domestique mais que nous avions aménagé pour y recevoir des amis... ajoutez à cela un cabinet de toilettes attenant et une entrée ‘’de service’’.

Tout semblait convenir à ces deux demoiselles Brigitte et Sophie qui profitèrent du week-end suivant pour prendre possession de leurs chambres...
Les détails domestiques étant réglés, Marjorie leur fait de la place dans le réfrigérateur familial pour y stocker des vivres périssables.

Bien que n’ayant aucun lien de parenté, les deux filles se ressemblaient beaucoup... Elles étaient au début de la vingtaine et comme beaucoup de jeunes, elles étaient passablement délurées : les fesses moulées au plus près dans des jeans ultra-serrés, des sweat-shirts qui laissent deviner une poitrine menue mais libre de toute entrave, des cheveux tombants sur les épaules lorsqu’ils ne sont pas nouée en queue-de-cheval. Brigitte était blonde comme les blés alors de Sophie était une  brune piquante aux yeux bleus.

Après quelques semaines de présence de ces deux filles, Marjorie les avait invitées à dîner pour faire plus ample connaissance...
Elles n’arboraient pas leur habituelle tenue mais elles portaient un sweat-shirt légèrement décolleté sur une jupe courte et des chaussures à talons démesurés. Elles étaient maquillées discrètement... et avec mon épouse, nous les trouvions bien jolies...
Le repas se déroula dans la bonne humeur et les plaisanteries un peu lestes commencèrent à fuser, aidées en cela par un léger abus de boisson...
Je n’étais pas le dernier à débiter des ‘’gauloiseries’’ qui faisaient rire les trois femmes mais ce qui me surprit le plus c’est quand Brigitte et Sophie se levèrent et se dirigèrent vers nous et nous embrassèrent en disant qu’elles se plaisaient bien avec nous et qu’elles voulaient nous remercier...

Et c’est d’une façon particulièrement spéciale qu’elles commencèrent à nous remercier !
Brigitte enlaça Marjorie et après l’avoir embrassée sur les deux joues, elle posa ses lèvres sur celle de ma femme... et Sophie en fit autant avec moi, allant même jusqu’à tâter mon entrejambe !
Surpris de ce comportement, je posai la question :
— Vous êtes sérieuses ?

Et Brigitte répondit :
— Tout à fait ! Nos jeunes condisciples sont un peu niais... En plus, ils n’ont qu’un but : ajouter un nom à leur tableau de chasse, un couple de quinqua ne nous fait pas peur bien au contraire...
— On compte sur votre expérience !

C’est Sophie qui avait surenchéri et le dialogue s’est poursuivi :
— D’ailleurs, nous savons à qui nous avons à faire... N’êtes vous pas des coquins qui aiment les parties fines entre amis ?
— Oui, notre ami Jérôme vous a rencontrés à plusieurs reprises chez les Durant où il avait été convié pour faire l’étalon !
— D’ailleurs ce soir là, Marjorie avait bien apprécié de se faire baiser par un jeune bien monté... N’est-ce pas Marjorie ?

Elles nous appelaient désormais par nos prénoms et Marjorie avait répondu :
— Oui, c’est sur ! Ce soir là Jérôme m’a littéralement envoyée au septième ciel ! Et j’étais d’autant plus excitée qu’Antoine mon mari me regardait me faire sauter !
— Oh oui... Tu étais si belle avec cette queue hors norme plantée dans ta chatte et sur laquelle tu sautais comme un cabri !

Pendant cette brève conversation Brigitte avait commencé le déshabillage de Marjorie qui était en soutien-gorge et culotte en dentelle minimaliste (suivant son habitude). Elle lui dit alors :
— Laisse-toi faire... si tu aimes bien te faire défoncer, je sais aussi que tu ne craches pas sur une relation homosexuelle... Je vais te faire plaisir... Viens sur le sofa !!!

Brigitte s’était mise nue elle aussi, ne conservant que son string dont la ficelle séparait bien ses fesses et elle a fait glisser la culotte de Marjorie et l’a allongée sur le sofa où elle l’a rejointe tête bèche pour débuter un 69.
De son côté, Sophie avait défait la ceinture de mon pantalon qu’elle avait ôté en même temps que mon boxer. Tout ce qui se déroulait depuis quelques minutes avait fait dresser mon sexe qui, loin d’être complètement érigé s’offrait à la vue de cette demoiselle qui le regardait avec des yeux gourmands et l’appréciait :— Pas mal du tout mais ça ne m’étonne plus que Marjorie doive chercher ailleurs des calibres plus conséquents ! Mais je m’en contenterai... Ton diamètre et la longueur me conviennent tout à fait !

Et d’un seul coup, elle a logé mon sexe dans sa bouche et après l’avoir copieusement enduit de salive elle l’a gobé jusqu’à ce que mon pubis soit au contact de ses lèvres dans une gorge profonde très savoureuse... puis la fellation a commencé réellement !
Waouh... Quelle bouche et quelle gorge... Je n’en revenais pas... J’entrais et je sortais de la bouche de Sophie comme dans le sexe d’une femme et à chaque fois, elle m’absorbait entièrement jusqu’au moment où elle a rejeté ma bite en disant que je devais être prêt et qu’elle avait envie de la sentir dans son cul.
J’étais frustré à la fois de n’avoir pas profité jusqu’au bout de cette fellation et satisfait de la proposition de Sophie... Combien de fois avais-je déjà fantasmé sur son petit cul que je devinais bien ferme, emprisonné au plus près dans ses jeans !
Elle s’est agenouillée sur un des fauteuils et en relevant sa jupe sur ses reins, elle m’a offert la vision de ses fesses nues et de sa fente imberbe...
— Couvres toi et viens mettre ta queue dans mon cul ! Il est déjà humide et tu entreras facilement ! Tu ne seras pas le premier à bien en profiter !

Placée ainsi en levrette, je n’avais qu’à me glisser entre les fesses de Sophie pour l’embrocher bien profond comme elle le souhaitait. Je plaçai mon gland sur sa rondelle plissée qui s’ouvrit dès que je la sollicitai puis, dès que mon gland a eu franchi l’anneau plissé, je m’immobilisai... Elle s’impatientait :— Vas-y ! Ne me fais pas languir ! Mets ta bite au fond de mon cul !

Je ne suis pas un adepte forcené de la sodomie mais puisque Sophie m’y avait invité, je poussai vers l’avant et lentement mon sexe se logea dans son orifice anal... Mon ventre était au contact de ses fesses et je ne pouvais aller plus loin !

— Vas-y... Je te sens bien ! Remplis-moi de ta bite !

Sophie m’avait absorbé au plus profond de ses reins sans manifester autre chose que des grognements de plaisir et des encouragements.
Pour la satisfaire (et me satisfaire) je commençai à aller et venir dans ce pertuis chaud et visiblement très humide et je ne tardai pas à sentir la jouissance monter... Je remontai encore la jupe de Sophie sur ses reins et je plaçai mes mains sur sa taille... J’allais de plus en plus vite et Sophie m‘encourageait encore... jusqu’au moment où le plaisir nous a emporté tous les eux presque simultanément ! J’avais l’impression de me vider complètement les bourses au fond de la capote tant cela durait... et je restai abouté à ce cul accueillant de longues minutes à la fois pour savourer ce plaisir et récupérer mon souffle.

Quand enfin je sortis, Sophie se retourna vers moi en me remerciant et après avoir ôté le préservatif, elle se régala de mon foutre qui nappait mon sexe !
Lorsque mon regard se tourna vers le sofa, Marjorie et Brigitte étaient imbriquées l’une contre l’autre, leurs sexes dépourvus de tout vêtement étaient en contact et les jambes écartées comme les ailes d’un papillon, elles avaient un gode à deux têtes planté dans leur chatte... Leurs soupirs d’aise disaient combien elles appréciaient de faire l’amour ainsi avec un jouet que Marjorie gardait à portée de main.

Quelque temps plus tard, nous sommes passés tous les quatre dans notre chambre où le lit immense nous accueillit pour d’autres étreintes...
Avec Marjorie, nous changeâmes plus ou moins de partenaire... Nous étions tous les quatre dans ce grand lit qui n’avait encore jamais servi pour des parties fines... Nous allions, en quelque sorte, l’inaugurer...
Les trois femmes m’entourèrent et m’embrassèrent, me caressant tout le corps et en trouvant instinctivement les zones érogènes les plus sensibles... Marjorie et Brigitte se partageaient mon sexe, alertant léchouilles et début de fellations, juste pour bien m’exciter et obtenir une bite bien raide !
Mais lorsque je vis Marjorie fouiller dans sa commode aux secrets, je compris qu’elle y cherchait quelques jouets qui allaient pimenter nos ébats...
Mais en fait, c’est Brigitte qui a jeté son dévolu sur moi ! Elle m’a invité à la baiser en disant :— Allonge-toi sur le dos, je vais te chevaucher et te faire jouir ainsi... Et pas besoin de capote !

Et Sophie, qui avait regardé par-dessus l’épaule de Marjorie, s’exclama soudain :— Oh... un gode ceinture double... je n’en ai jamais vu !

Ma femme avai rétorqué aussitôt :— Tu veux l’essayer ?
— J’ai envie de sentir ma chatte et mon cul remplis en même temps !
— OK... je me harnache et je suis à toi ! En levrette ?
— Bien sur... c’est la meilleure manière d’utiliser ce jouet !

Allongé sur le dos, Brigitte me chevauchait pendant que Marjorie se faisait prendre en levrette par Sophie... C’était torride...
J’ignore quelles pouvaient être les sensations de Marjorie dont les orifices étaient envahis par les godes portés par le plastron... Je voyais le plus fin ouvrir le sphincter alors que le plus gros était déjà dans la chatte de ma femme... mais moi, j’appréciais le sexe chaud et humide de Brigitte dont les muscles internes massaient doucement l’extrémité de ma queue...
La chambre était emplie de cris de plaisir et de soupirs de jouissance et nos silhouettes se reflétaient dans les quelques miroirs judicieusement placés...

Après une ultime jouissance, nous nous sommes endormis tous les quatre, bras et jambes emmêlées.
Je ne sais pas à quelle heure les filles nous ont quittés mais nous nous sommes réveillés, Marjorie et moi en nous demandant si nous n’avions pas rêvé...

Et NON, nous avons trouvé un post-it collé sur un des miroirs signé par Brigitte et Sophie disant :
— Nous sommes à notre disposition et celle de vos amis pour recommencer !
Diffuse en direct !
Regarder son live