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Deux cougars s'occupent du jeune mâle dominant.

Chapitre 4

le jeune mâle ajoute deux couguars à sa meute.

Avec plusieurs femmes
Deux couguars pour un jeune mâle.
 
  - Pitié ! Arrête, je n’en peux plus, tu me tues, tu as gagné !  Il arrête enfin cette cavalcade effrénée et se retire de mon fondement me laissant complètement exsangue sur le lit. Il est à coté de moi, sur le dos, sa respiration est sifflante mais sa formidable lance, toujours aussi vaillante, n’a toujours pas lâché sa liqueur. Christine, ne perdant pas le Nord, repasse aussitôt à l’attaque : -Détends-toi brave chevalier, laisse dame Christine s’occuper de ta lance !   Suite. Sa bouche glisse sur le corps de Claude, le couvrant de baisers avant d’arriver à l’objet du désir, cette exceptionnelle queue toujours en pleine érection, bien décalottée.  Elle excite la grosse veine avec ses ongles, puis engloutit le gland trigonocéphale dans sa bouche. Je n’en reviens toujours pas du calibre de ce garçon. Elle conserve la hampe en bouche pendant que ses deux mains s’activent frénétiquement sur la hampe mais il ne jouit toujours pas. Il a enfin reprit son souffle et décide de reprendre l’initiative en repoussant Christine et s’adresse à moi.   -Paule, mets-toi sur le dos et laisse ta tête pendre dans le vide ! Comme une groupie folle de son idole, je me mets dans la position demandée. Je me surprends moi-même, j’ai l’habitude de faire faire mes quatre volontés à mes amants, et là, ce petit morveux me donne des ordres et j’obéis sans me rebeller… Il se relève et vient présenter sa verge devant ma bouche, posant une main pour soutenir ma tête et l’autre sous ma mâchoire. -Je ne te lâcherai pas tant que tu ne réussiras-pas ! Que veut-il dire par là ? Il commence à me baiser la bouche, poussant toujours plus loin. Je hoquète, crache une bave épaisse, ai des hauts-le cœur mais rien n’y fait. Il s’obstine. C’est atroce quand je sens cette énorme banane passer ma luette et glisser dans ma trachée. J’ai envie de vomir.  Il me laisse respirer à peine avant de recommencer. J’ai posé ma main sur mon cou qui enfle quand son braquemart le déforme sous une poussée toujours plus profonde. Je suis prête de m’évanouir quand mon nez touche ses fesses. Par un énorme sursaut, je réussis à expulser le chibre qui encombre mes bronches et me penche pour vomir de la bile. Il me force à m’étendre à nouveau et se branle quelques secondes avant d’éjaculer. Des jets d’une puissance folle zèbrent l’atmosphère avant de s’abattre sur mon corps. Je suis couverte de foutre, j’en ai partout, sur la poitrine, sur le ventre, le pubis et même sur les jambes. Je sens ses couilles enfin vides reposant sur mon front, il se recule enfin, se laisse tomber à coté de moi et ferme les yeux.  
 Après tant d’agapes, nous nous retrouvons dans le jacuzzi pour se détendre un peu après une douche rapide. Pour la première fois de la journée, nous voyons enfin son sexe au repos. Je ne sais pas pour vous mesdames quand vous regardez vos compagnons mais quand il est debout, sa verge au repos arrive à mi-cuisse si ce n’est plus bas.   Nous faisons plus ample connaissance avec lui. La maison n’est pas à lui mais à un copain de sa sœur, (lire « Le mâle dominant de la meute »).  Après un certain soir, il accepte de la lui prêter quand sa famille est absente. Il nous parle de notre connaissance commune, Lucie et de sa fille Lydia. Je lui raconte que j’ai connu Lucie à la maternité en 1996 car nous étions dans la même chambre pour la naissance de nos filles. Il nous explique qu’il a toujours été rejeté par les garçons et les filles de sa classe jusqu’au jour où sa sœur a découvert ce qu’il avait entre les jambes.  Et depuis ce jour d’anniversaire du fils des propriétaires de la maison, elles lui courent toutes après. Sa sœur a même créé un compte sur un site  avec un pseudo et des petites vidéos. Il croule sous les demandes d’amies.   Je l’ai pris dans mes bras et sens contre ma cuisse sa verge imposante qui nous a tant fait vibrer. Je la prends en main, décalotte le gland, caresse les énormes couilles puis je glisse la tête sous l’eau et prends la queue en bouche. Christine vient se joindre à moi et nous nous passons son phallus pour le pomper à tour de rôle quand l’une de nous doit aller reprendre son souffle à la surface de l’eau. Il ne bouge pas, nous laissant travailler et après de longues minutes d’apnée, il se laisse aller. J’ai la tête sous l’eau mais je l’entends dire : -Oui, oui, c’est bon ! Espèces de salopes, vous allez encore me faire jouir !  Je refais surface et lui réponds avant de plonger : -Je veux boire ton nectar d’amour ! J’avale les premiers jets de sa semence avec voracité, mais je bois la tasse et doit remonter à la surface. De longs filaments blanchâtres s’étiolent dans l’eau avant que Christine prenne le relais pour s’abreuver à la source avant qu’elle ne se tarisse. Sa bouche relâche le chibre de Claude et elle ressort la tête de l’eau pour nous montrer sa récolte. Mais ça l’a de nouveau mise en appétit et elle remonte en selle sur notre étalon infatigable avant que sa queue ne soit en berne, positionnant le membre turgescent devant sa chatte avide et descendant lentement.  Le gros gland du garçon écarte les chairs avec délice et pénètre en pays conquis dans le vagin accueillant. Elle se laisse littéralement choir complètement sur l’obélisque de l’amour. 
Je suis sorti de l’eau pour donner ma chatte à sa bouche. Sa langue en explore les moindres recoins et s’égare même vers l’arrière pour trouver mon anus au goût de chlore.  Il me titille le petit trou pendant que ses doigts s’égarent dans ma fente grande ouverte, réveillant en moi le feu de la jouissance. Christine, aux premières loges pour admirer le spectacle,  s’active avec ardeur sur la tige pharaonique et me voit inonder le visage de notre amant quand je me relève car la position est inconfortable. Ma vulve d’où coule mon jus d’amour arrive à la hauteur de son visage. Ses bras s’agrippent à moi et elle plaque immédiatement sa bouche sur mon sexe ainsi offert pour laper à grands coups de langue ma liqueur.

 Ils sont enfin sortis du jacuzzi et se sont étendus près de la piscine. Je n’y tiens plus et enfourche à mon tour notre jouet sexuel, m’empalant sur sa bite plus que de raison dans un long soupir.  S’il me laisse faire ce que je veux de son pieu, cependant il ne reste pas inactif. Une main fait rouler entre ses doigts le bourgeon d’un de mes seins durci par le désir pendant qu’il doigte le clitoris de Christine qu’il a sorti de sa capuche de chair rose.  Nous venons à tour de rôle en criant son prénom. Les orgasmes se succèdent, notre amant exceptionnel prend plaisir à nous faire jouir:    -Oh oui Claude ! Encore…encore !   Malgré son  jeune âge, il est sûr de lui et joue avec nous comme un vieux briscard de parties fines.  Il nous a fallu très longtemps avant que nous puissions de nouveau avaler son épaisse semence jusqu’à la dernière goutte. Je criais une énième fois mon plaisir pendant que Christine augmentait sa cadence sur son rostre, sentant son sexe distendu au maximum.  Soudain, aux soubresauts du pieu de Claude annonçant son déversement de lave chaude, elle sut que le volcan entrait une nouvelle fois en éruption, elle l’accompagna dans l’orgasme quand elle sentit la liqueur chaude se déverser en elle, la comblant de bonheur. — Tu es vraiment fantastique, le remercia-t-elle, je suis vraiment éblouie par tes capacités !

 Avant de nous séparer, on lui demanda si son avenir tournerait autour du sexe et de ses capacités exceptionnelles. Il nous révéla qu’être une bête de sexe ne veut pas dire être bête et que quand il rencontrerait une brave fille il lui serrait fidèle. -Je ne suis pas uniquement un surdoué du sexe. J’ai un Q.I. de 180 et j’ai eu mon bac avec trois ans d’avance et je veux devenir médecin!  « Pourquoi-pas gynéco ??? »
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