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Deux petites filles en vacances chez Papy

Chapitre 3

Inceste
Mon fils et ma belle-fille sont enfin arrivés. Ils sont là pour presque quatre semaines. La petite famille est au complet avec Marie et Coralie qui elles sont arrivées il y a trois semaines.
Les vacances se déroulent à merveilles. Je propose à tous d’aller voir un vieil ami qui a une ferme et plusieurs animaux. Seules les filles acceptent. C’est toujours bien pour des gens de la grande ville d’aller voir le monde paysan. Nous partons donc en direction de chez Georges.Il a plusieurs vaches, poules, cochons, un cheval et un chien.Il est veuf depuis maintenant 9 ans. À 65 ans il a du mal à se trouver une conjointe. Il habite une vieille ferme en pierre. L’étable est juste à côté. Malgré qu’il soit seul, il s’occupe bien de sa propriété et de ses animaux.
Il nous invite à entrer. Je lui présente mes petites filles. Il nous propose à boire. Tout le monde accepte. Il nous sert un verre de rosé bien frais. Nous sirotons notre vin tout en discutant. Il questionne les filles sur leurs études, la vie à Paris.
Après deux petits verres , Georges propose d’aller voir les bêtes. Mes petites filles sont supers contentes.On commence par les cochons. Elles trouvent que ça sent fort, nous rigolons bien. Nous arrivons à l’étable, elles sont en admiration devant les veaux. Georges propose à Coralie de nourrir quelques veaux au biberon. Elle accepte volontier.
Pendant ce temps, Georges et Marie décide d’aller voir le cheval pour également le nourrir.
Après vingt bonnes minutes nous rejoignons ma petite fille et le vieux paysan.Je n’en croyais pas mes yeux, Georges est derrière Marie, il est en train de la peloter. Il a sa main sous le débardeur de ma petite fille pendant qu’elle caresse le cheval. Avec son autre main, il l’a passé sous la mini jupe.Coralie n’a pas l’air choqué de cette scène.
— Merde il est en train de tripoter ta soeur. — Je vois ça, mais le pauvre, il est seul et il doit être en manque.
Je n’en reviens pas de ce que disais ma petite fille.
— Tu sais Papy on vous comprend vous les vieux, vous avez besoin de sexe, et mamie ne peut plus te satisfaire ou bien elles sont déjà parties comme pour Georges. — Vous ? Qui vous ?
— Marie et moi. On s’est parlé et on sait que tu nous a baisé toutes les deux ... on est contente que tu as aimé ça avec nous.
— Georges que fais tu ?— La petite voulait caresser le cheval, on a fait un deal.. elle caresse le cheval pendant que moi je lui fais la même chose, et après elle aura le droit de faire un tour de cheval. — Tu n’as pas honte avec d’aussi jeunes filles ?— Oh non.... une belle fraîcheur comme ça, faut en profiter.
Voir ma petite Marie se faire peloter par mon vieil ami commence à me faire bander.
Il a collé son bassin sur les fesses de la jeune. Cette dernière se laisse faire, et je constate même qu’elle se trémousse pour bien faire sentir ses fesses au vieux et pour qu’elle sente la queue déjà en érection contre son fessier.Je constate qu’il a complètement soulevé la jupe et qu’il est en train de fouiller dans la culotte avec ses gros doigts. Marie écarte même un peu plus ses jambes pour bien sentir les doigts sur sa fente, dans sa moule.
Je tourne la tête vers Coralie, je constate qu’elle n’en perd pas une miette et elle se caresse son sein, dont le bout est déjà dur à travers son t-shirt.
Georges a lâché le sein de Marie, s’est décolé d’elle et ouvre sa braguette pour sortir une queue, d’une taille moyenne, mais déjà bien bandée. Il commence à se frotter la tige. Il se penche vers l’oreille de ma petite fille, lui murnure quelques choses à l’oreille. Elle sourit et se tourne vers le vieux paysan. Elle s’agenouille et prend en main la bite de Georges. Elle ouvre sa bouche et sort la pointe de sa langue pour jouer avec le gland violacé qu’elle vient de decaloter.
— Dis-moi Coralie, tu veux rejoindre ta soeur ou tu veux t’occuper de ton vieux Papy ? — Hi hi, j’aime trop mon papy.
Elle s’approche de moi et me fait un bisou sur la joue. Elle a soulevé son mini t-shirt, dessous elle ne porte pas de soutien gorge. Je me jette sur son sein et je le lèche, le bout est tellement dur, que je peux le mordre sans lui faire mal. Avec ma main je lui caresse son autre sein.
— Et bien mon salaud, toi non plus tu te prives pas. Approche toi de nous, on va profiter de ces deux salopes.
On décide de se rapprocher.Marie n’a pas arrêté de le pomper pendant ce temps. Elle a même passé sa main entre ses propres cuisses et se caresse la chatte par dessus sa culotte. Voilà à présent mes deux jeunes filles accroupies. Coralie me descend mon bermuda et rentre sa main dans mon slip pour faire sortir ma queue. Elle est déjà bien gonflée. Sans préliminaire et préparation elle se la met directement en bouche. Il faut dire qu’il y a quelques jours elle y avait déjà goûté. Elle y met tellement de coeur dans cette pipe que je suis obligé de la ralentir pour ne pas venir immédiatement. Georges fait retirer le débardeur à Marie car il voulait voir ses seins en même temps.
— Putain ils sont beaux tes gros seins, j’aime les seins des petites jeunes salope.— Elles sont belles mes petites filles hein ?— Oh oui, merci de les avoir amené.
Le vieux paysan prend maintenant Marie par les cheveux et rythme la fellation. Il lui donne de gros coups de bassin et cogne ses testicules contre le menton. Il lui baise littéralement la bouche. Elle bave abondamment. Pour ma part Coralie, me lèche, gobe les testicules, et me branle de sa main.
George fait lever Marie. Elle lui dit qu’elle a une forte envie de pisser.
— Vas-y ma petite fait ça là sur le foin .— Là devant tous ?— Oui tu es une salope alors sois pas gênée.
Elle retire sa jupe et sa culotte, se met face à nous, écarte les jambes, et lâche un jet puissant. George en reçoit sur lui, ce qui l’excite encore plus.
— Viens ici ma salope que je t’essuie.
Marie s’exécute. Elle s’allonge à même le sol et Georges lui saute directement dessus.
— Écarte bien tes cuisses que je te goûte. — Vas-y vieux pervers essuie moi tout.
Il se met à lécher chaque centimètre des jambes de ma petite fille jusqu’à à arriver à sa chatte. Il lui fourre deux doigts dans sa moule dégoulinante et joue avec sa langue sur son bouton rose.Elle gémit immédiatement.
De mon côté je fais relever Coralie. Je lui retire son short et culotte. C’était à mon tour d’être à ses genoux. Sa chatte est tellement mouillée qu’on voit bien la cyprine coulée. Je lui fais subir le même traitement que subit Marie. Elle écarte les jambes pour que je puisse bien la fouiller. Elle me caresse la tête.
— Hummm papy tu me manges tellement bien. Je veux voir ta langue me lécher. — Tu goûtes tellement bon ma puce.
J’entends derrière moi Marie crier, elle a un orgasme puissant sous les coups de langue de Georges. Coralie met que quelques minutes à suivre sa soeur dans sa jouissance. Des spasmes traversent sont corps, et un jet de cyprine vient me remplir la bouche. Marie est toujours sur le dos, quand Georges se glisse entre ses jambes, il prend sa queue en main et la présente à l’entrée de la chatte lisse de ma petite fille. Elle pousse un petit cri de plaisir. Sentir une autre bite de petit vieux l’excite.
Je propose à Coralie de se mettre à 4 pattes. Elle se rapproche de sa soeur.Elle a à présent son visage au dessus de Marie. Coralie prend et tient la main de sa soeur. On voit entre les deux une belle complicité. Je plonge ma bouche entre les fesses de ma jeunette, et je lui lèche son petit trou. Elle se tortille de plaisir. Je prends ma queue bandée et la met devant sa chatte. Je n’ai aucun mal à entrer tellement elle est lubrifiée.Je commence mes va et vient. Lentement, doucement, tendrement au début, et j’accélère à la demande de Coralie.
— Vas-y papy défonce moi.— Tu es vraiment une bonne salope — Oh oui. Plus fort.
De son côté Georges pilonne avec puissance la chatte de Marie. Elle gémit tellement fort. Je vois Coralie se rapprocher du visage de Marie et déposer ses lèvres sur celle de sa soeur, ce qui a comme effet d’étouffer les cris de ma puce.Je n’en crois pas mes yeux, elles sont en train de s’embrasser. Elles jouent avec leurs langues. Ces deux n’arrêtent pas de me surprendre.
— Papy tu peux me prendre le cul ?— Tu l’as déjà fait ?— Non je veux que tu sois le premier.
Je sors de sa chatte, prends de la mouille au passage avec ma main, l’applique sur sa rondelle. Je positionne ma bite sur son trou et pousse petit à petit. Je vois sa rondelle s’ouvrir. Elle pousse un cri, je continu ma progression au bout de quelques secondes je suis complètement en elle. Ses cris font place à des gémissements. Pendant que je la sodomise, Marie lui caresse ses seins, elle lui tire dessus comme si elle voulait la traire. Coralie est placée au dessus de la poitrine de Marie et décide de lui têter.
Georges va de plus en plus fort. Il démonte littéralement ma puce.Elle ne tient plus et est traversée par son deuxième orgasme. Pratiquement dans la même minute, le vieux paysan se vide dans Marie. Il pousse de gros râles. Il se retire et du sperme s’écoule de la moule.
Je me suis mis au dessus de Coralie pour continuer à l’enculer. Elle se caresse en même temps le clitoris. Je la sens se contracter et elle sort un cri puissant elle jouie tellement fort que de voir Coralie en extase je ne peut me retenir plus longtemps et je me vide dans son cul.Je reste quelques secondes en elle pour être bien certain de m’être bien vider.Je me retire et le surplus de mon jus coule de son cul.Les filles semblent heureuses.Tout le monde se rhabille.Les filles ont le droit à leur tour de cheval pendant une bonne partie de l’après-midi. La journée se termine, on repart de chez Georges. Elles le saluent et il les invite à revenir dès qu’elles veulent refaire du cheval.
Les filles en rentrant à la maison décident de prendre une douche. La soirée se passe tranquillement. Une fois tout le monde couché, Manon, la mère des deux filles me prend à part.
— Papy, j’ai une question, on est seul, je vais être franche. J’ai remarqué, en voulant ramasser le linge des filles qu’il y avait des traces blanches sur leurs culottes, des restes de spermes. Savez vous pourquoi ? Étant donné qu’elles ont passé la journée avec vous. — Non aucune idée. — Papy je veux une explication.— Je vais tout vous dire, mais il faut que ça reste entre vous et moi.
...
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