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Deux professeurs très appliqués...

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Jérémy. J’ai aujourd’hui 31 ans mais l’histoire se passe lors de mon vingt-septième printemps. Je suis brun, grand, le visage ovale, la peau fine, et je n’oublie bien évidemment pas mes lunettes rectangulaires. Il fut un temps où j’étais le petit nouveau, dans le lycée où j’enseigne. J’étais intimidé, je l’avoue par ce changement, ayant fraîchement reçu mon agrégation d’histoire-géographie. Alors je prends ma plus belle plume et la trempe dans un récit gravement et doucement érotique.
J’étais dans la salle des professeurs, me faisant chaleureusement accueillir par l’ensemble de l’équipe pédagogique. Cependant, bien que tout le monde me semblait sympathique, une personne attira mon attention. Elle s’appelait Estelle. De taille moyenne, brune, elle avait 25 ans et enseignait ici depuis quatre ans. Elle n’était pas spécialement plus ceci ou cela comparée à une autre mais elle m’excitait sans aucune raison apparente. Bien sûr, je n’étais plus puceau mais... elle dégageait quelque chose de spécial. Bref, je pense que j’aurais du mal à me contrôler, surtout que nous avions deux heures seuls le jeudi après-midi, tous nos autres collègues travaillant. Enfin, après deux mois à me masturber en gémissant son prénom, un curieux événement se produisit. Les toilettes réservées aux adultes se trouvaient juste à côté du lieu saint qu’est la salle des profs, comme disent les élèves. Et curieusement, j’avais pu noter qu’Estelle allait souvent aux toilettes le jeudi à 15h. Pourquoi ? Aucune idée. Cependant cela avait attisé ma curiosité qui demandait à être rassasiée. Donc, jeudi, c’est avec dix minutes d’avance que je me glisse dans les toilettes, me dissimulant dans le placard. Bien sûr, il y avait d’autres toilettes mais une quelconque personne aurait mis un léger laxatif afin de rendre les autres occupées pour les gens qui seraient susceptibles de me déranger.
Une seule porte possible donc, vu que les autres étaient à d’autres étages. À 15h, j’entendis du bruit. Était-ce elle ? Gagné. Elle s’assit sur le trône, mais à mon grand étonnement, elle ne leva pas le couvercle à l’austère jointure. Elle s’assit, et baissa son string. J’avais donc une vue à faire bander un cheval, sur son minou à peine poilu. Elle commença, d’ailleurs, à passer une main sur son bouton.Je pus constater qu’elle était fort humide, et qu’elle semblait impatiente. Elle commença à se caresser, lâchant au passage un soupir délicat de bien-être. Elle se caressait les seins, qu’elle avait de bien ferme, jouant avec ses mamelons durs. Elle torturait son petit bouton d’amour, avant d’enfin s’enfoncer deux doigts la faisant se mordre les lèvres. Elle se cambrait sous les caresses et le plaisir, voulant à tout prix sentir la jouissance jusqu’au plus profond d’elle. Je crois n’avoir jamais vu spectacle plus érotique et je bandais comme je ne l’avais jamais fait. Je mourrais d’envie de me toucher mais j’avais trop peur de me faire remarquer. Je me contentais alors d’ouvrir grand les yeux et les oreilles. Je vois son endurance lâcher et qu’elle approchait d’un orgasme. Ses yeux se fermèrent, sa bouche s’ouvrit et son corps fut pris de spasmes.
— Oh Jérémy, murmura-t-elle. Ce nouveau prof me rendra fou.
Avais-je mal entendu ? Avait-elle bien dit cela ? Oui, j’avais bien entendu. Pris d’une soudaine inspiration, je sortis, le sexe créant une bosse bien visible sous mon pantalon en toile beige.
— Jérémy ?! Hurla-t-elle, couvrant son corps blanc de ses mains.
— Alors on se donne du plaisir en pensant à moi, dis-je d’un air coquin.
Plus je m’approchais, plus elle rougissait. C’est alors que je fondis sur ses lèvres, la menant dans une danse des plus torrides. Je tendis une main vers son entrecuisse et titillait son clitoris encore hyper sensible. Elle gémissait contre mes lèvres, me suppliant d’arrêter cette douce torture.
— Jérémy arrête... je vais... jouir à... À nouveau... Arrête...
— Oui sauf que je veux te voir jouir pour moi. Dis-moi, tu préfères quand c’est moi ou toi qui te masturbe.
— Je... Je... haleta-t-elle
— Dis-le.
J’accélérais le mouvement sentant ses muqueuses d’humidifier de plus en plus.
— C’est toooooooiiiiiiiiiiii..... Gémit-elle pendant son orgasme.
Je reçus une giclée de cyprine sur les doigts, que je léchais avec avidité.
— Délicieux.
— J’adore quand tu me masturbes mais...
Elle loucha sur mon sexe gorgé de sang.
— Mais je pense que c’est à mon tour de te faire plaisir.
Elle baissa mon pantalon et mon boxer avant de se mettre à faire des va-et-vient lents. Trop lent.
-’tain accélère s’il te plait... Grognais-je
— À tes ordres.
Elle se mit à masser mon pénis et mes boules pendant de longues minutes, comme aucune de mes conquêtes ne me l’avait fait avant.
— Attend, dis-je en bloquant sa main.
— Quoi ?
— J’ai le droit d’honorer mon amante comme il se doit ?
Elle se contenta de sourire avant de s’asseoir sur le couvercle et d’écarter grand les cuisses, révélant un vagin lubrifié de ses secrétions. Je pénétrais avant de me retirer.
— Tu prends la pilule ? Je suis négatif.
— Oui ne t’inquiète pas. Mais j’ai un préservatif si tu veux.
— Bah, tu es négative ?
— Oui.
— Et bien très bien.
Aussitôt je la pilonnais dans tous les sens, de toutes mes forces, jusqu’à sentir ses contractions. Ses cris résonnaient dans les toilettes. J’espérais que personne ne nous entendrait.
— Putain Estelle oui...
Je me déversais en elle, la faisant jouir pour la quatrième fois.
— Merci Jérémy.
Elle se rhabilla, réajustant sa jupe et me tendant un tissu.
— Cadeau. À jeudi prochain, dit-elle en me souriant.
Je regardais ce qu’elle m’avait tendu. Un string tout humide de son jus, que je m’empressais de sentir avec plaisir.
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