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deux soeur

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
bonjour à tous,je vous livre sur ce site une histoire dont je suis l’auteur. ce n’est pas une histoire vraie. elle est longue donc installez-vous confortablement et bonne lecture.    tones
Il y a vraiment beaucoup de monde ce soir, se dit Dan. Debout derrière le présentoir de sa compagnie, il observait la foule et ses deux employés qui s’occupaient des présentations aux clients. Il était ce qu’on appel un " self made man " ce qu’il avait, il l’avait bâti de ses mains et à la sueur de son front.
Dan avait les cheveux noirs et courts avec des yeux bleus. Sans être un athlète, il se gardait en forme avec des séances quotidiennes de course à pied. Il avait des traits que les femmes considéraient comme séduisant. Célibataire, il avait toujours refusé de s’attacher à une personne, il aimait trop la variété et le plaisir de séduire pour se fermer ainsi des portes.
Au début de la trentaine, il était propriétaire d’une compagnie de fabrication de portes et fenêtres. En ce moment, il se trouvait au beau milieu d’une gigantesque exposition ou quelques centaines de commerçants se donnait rendez-vous pour attirer le plus de monde possible. Accompagné par ses deux as vendeurs, il attendait patiemment. Si un client avait des besoins spéciaux, le vendeur lui faisait signe.
La foire en était à son comble quand Julie se présenta au vendeur. Dan la remarqua immédiatement. Fin de vingtaine, grande, blonde aux cheveux longs, ventre plat, seins proportionnel au corps le tout mouler à la perfection dans une robe rouge moulante accompagné d’escarpins assortis. Dan suivi du regard ses Longues jambes qui semblaient s’éterniser, sans doute du à la robe fendue jusqu’à la hanche de la jeune femme.
Bien qu’elle ne laissa pas Dan indifférent, il ne s’avança pas vers elle, le vendeur n’aurait pas vraiment apprécié. Après quelques minutes de conversations, le vendeur se retourna vers lui et laissa passer la jeune femme. Dan lui fit signe d’approcher et lui offrit une chaise à coté d’un bureau.
— Bonjour madame, je m’appels Dan, puis-je vous offrir quelque chose de frais à boire? J’ai de l’eau et des boissons gazeuses.— Bonjour monsieur, je m’appelle Julie, je prendrais volontiers un peu d’eau, merci.— C’est un plaisir, répliqua Dan.
Il se pencha de l’autre coté du bureau et sortit une bouteille d’eau de la glace et prit un verre dans le sac contigu. Il posa le verre sur le bureau et ouvrit la bouteille, il en versa dans le verre et tendis les deux à la jeune femme.
— Merci, dit-elle.— Que pouvons-nous faire pour vous? Demanda Dan.— J’habite une maison centenaire qui nous a été léguée par mes parents, nous voudrions changer les fenêtres tout en conservant leurs formes uniques.— Je vois, qu’entendez-vous par formes uniques? Questionna Dan.— Bien, la personne qui les a fait n’avait aucun don en menuiserie, ce qui fait que les formes triangulaires et rectangulaires ne sont pas symétriques du tout, bref, il les a carrément manqués, dit la belle Julie, mais nous tenons à conserver ces défauts car elle donne un cachet vraiment spécial à la maison. De plus, si possible nous aimerions avoir des portes neuves d’extérieurs qui comporte les même problèmes.
— Je vois, dit Dan.— Plusieurs entreprise m’on refusé jusqu’ici, déclara la cliente.— Je comprends, dit Dan, dans la vaste majorité des cas, il achète en gros et revendent. Dans mon cas, je moule et je façonne mes portes et fenêtres dans mes ateliers. — Donc, c’est possible? Demanda Julie heureuse.— Oui, mais il y a un problème.— Lequel? Demanda la dame.— Le prix, Évidemment, si les dimensions sont non conventionnelles, je devrai aller personnellement sur place pour les mesurer et les coûts des moules spéciaux sont assez dispendieux.— On pourrait discuter de ce point sur place, dit Julie avec un sourire coquin.

Deux semaines plus tard, un samedi matin, Dan se présenta à l’adresse que lui avait donné Julie avec son matériel pour mesurer les fenêtres et les portes. La maison, à près de deux heures de route en campagne, était de très grande dimension. Elle devait avoir une cinquantaine de fenêtre sur trois étages. Il sonna à la porte et quand elle s’ouvrit, il eu immédiatement chaud en ce mois de juillet collant. Julie se tenait devant lui, elle portait un peignoir ouvert qui laissait deviner ces formes parfaites recouvertes d’un bikini aux couleurs criardes.
— Bonjour Dan, contente de vous revoir, dit-elle.— Moi aussi, réussit-il à dire.— Venez, je vous présente ma sœur, dit Julie.
Elle l’entraîna vers l’arrière de la maison ou un vaste jardin était aménager. Une piscine creusée emplissait la majeure partie de sa superficie et deux chaises tourner vers le soleil était visible. A leur approche l’occupante de la seconde chaise se leva. Dan se demanda instantanément s’il y avait erreur. La femme, copie conforme de Julie se distinguais seulement par une poitrine légèrement plus volumineuse que sa sœur. Des jumelles identiques, se dit Dan.
— Dan, je te présente Sylvie, ma sœur jumelle, annonça Julie.— Enchanté, dit Dan.— Julie m’a dit que vous veniez aujourd’hui pour mesurer les fenêtres, dit Sylvie.— Oui, mais je crois que ce sera plus long que je le croyais, je ne m’attendais pas à autant de fenêtres, dit Dan en pointant la maison.— C’est vrai qu’il y en a quelques-unes, dit Julie. — J’en aurais au moins pour trois jours, dit Dan.— Dans ce cas, j’espère que tu n’as pas l’intention de retourner en ville ce soir et de revenir demain, lança Julie.— Je n’ai pas vraiment le choix, dit Dan. — Ho que si, s’anima Sylvie, si tu regarde ces fenêtres, dis-toi qu’elle s’ouvre sur une chambre à coucher dans la vaste majorité. Ce n’est pas la place qui manque, crois-moi.— En plus, continua Julie, nous serions heureuses d’être de bonnes hôtesses pour toi ce soir.
Les deux sœurs s’échangèrent un regard amusé. Dan sourit avec elles et accepta finalement l’offre vraiment trop tentante pour être refusé. Il commença donc sa journée par la façade avant de la maison. Armée d’une échelle, d’un ruban à mesurer, de papier et d’un crayon, il partit à l’assaut de l’étage supérieur. Vers les dix heures, alors qu’il mesurait une vitre il vit passer une des deux sœurs à l’intérieur. Il faillit tomber de son échelle car la vision rapide qu’il avait eue était celle d’une femme en tenue d’Ève.
Bien que ce fut de courte durée, il garda en mémoire pour ses vieux jours cette vision. Le galbe des seins parfaits, hauts perchés et arrogants, la chute de rein suivit par une fesse à couper le souffle et une jambe interminable montée sur un talon haut.
Il dut se tortiller sur l’échelle afin de redonner un peu de place à son membre dans son pantalon avant de pouvoir continuer. Cette trêve fut de courte durée. Quelques minutes plus tard, une voix l’appela d’en bas.
— Hé Dan! Pause syndicale, viens te rafraîchir, tu dois sûrement en avoir besoin, cria l’une des sœurs.— J’arrive, répliqua un Dan on ne peu plus en accord.
Arrivé à l’arrière, il stoppa net son élan. Les deux sœurs se tenaient debout à coté de la piscine, en bikini et escarpin. Le modèle de bikini avait cependant changé, ils étaient maintenant vraiment minuscule. En s’approchant, il contempla le corps de Sylvie, aisément, par le bas du bikini, il pouvait affirmer qu’aucune pilosité n’était locataire de l’espace. Ses seins, arrogants comme tout, avaient les mamelons qui tentaient de percer le minuscule triangle de tissus qui les couvraient.
— Te voilà enfin! S’exclama-t-elle.
Sur le coup, Julie se retourna à son tour. L’érection que Sylvie avait fait naître se doubla instantanément. Julie, quant à elle, avait un bikini ficelle. Le bas, composé d’une ficelle de tissus, entrait entre les lèvres charnues de son sexe ou on le perdait de vu et qui attirait inlassablement le regard des hommes. Dan toute la misère du monde de détacher ses yeux de ce spectacle. Le haut, quand à lui, était aussi petit que celui de Sylvie.
Bien que son cerveau fut paralysé, il réussit à faire à nouveau marcher ses jambes vers cette vision sortie de ses plus grand fantasme. Rapidement, en s’approchant, il reprit le contrôle de ses pensées.
— Désolé, dit Dan en voyant le sourire des deux femmes, j’ai été ébloui par deux déesses.— Vilain étranger, plein de beau compliment, dit Sylvie le regard pétillant.— Tu aurais du apporter ton maillot, dit Julie avec un sourire remplie de malice.— Je suis ici pour travailler, dit Dan, en plus je ne savais pas que vous aviez tous ces atouts.— Tu as des atouts qui semblent tout aussi impressionnant, dit Sylvie avec le regard braquer sur la bosse du pantalon de Dan.— Tu crois qu’on pourrait lui trouver quelque chose pour remplacer un maillot? Demanda Julie à Sylvie.— Peut-être, soupira Sylvie.— Mais… commença Dan.— Pas de mais, Lança Julie, le week-end est là pour se reposer et s’amuser, pas pour travailler. Tu reviendras un jour de semaine. Pour le moment, on se baigne.-------------Elles entrèrent en traînant Dan avec elles, montèrent à l’étage et parvinrent à une grande chambre. Avec un grand lit et des commodes dispersées, la pièce semblait immense. Elle ouvrirent un des bureaux à la recherche d’un maillot. Julie dit à Dan, tout en cherchant, que c’était les affaires de leur père décédé plus tôt dans l’année et qu’il était dans la même taille que lui.
— Voilà, S’exclama Sylvie, en levant triomphalement le bras.— Mesdames, je ne crois pas que ce soit une bonne idée, dit Dan.— Mais si, lança julie.
Elle se planta devant lui et commença à défaire les boutons de sa chemise. Lorsque le torse de Dan fut à vu, elle le flatta des deux mains en regardant Dan dans les yeux. Les lèvres pulpeuses de Julie se rapprochèrent et touchèrent celles de Dan. Rapidement, leurs langues commencèrent une danse passionnée. Julie lui retira sa chemise sans cesser de l’embrasser. Des gémissements de satisfaction sortirent de la gorge de Julie alors que Dan la serra forte dans ses bras.
Une nouvelle main vint alors interrompre son baiser en lui massant la poitrine. Sylvie venait de se plaquer à lui de coté tout en le regardant dans les yeux. Sa main délaissant rapidement sa poitrine pour s’immiscer entre son corps et celui de Julie et termina sa course en se refermant tendrement sur le membre de Dan. Elle approcha ensuite ses lèvres de Dan et l’embrassa goulûment. Pendant ce temps, Julie lui mordilla le cou et la poitrine en descendant à genoux devant Dan. La sentant partir vers le bas, Dan grogna d’approbation et dirigea ses mains libres vers le corps de Sylvie. Il attrapa immédiatement un sein et commença à le masser. Il le dégagea du tissu qui le retenaient et en pinça légèrement le mamelon.
L’effet fut immédiat, Sylvie brisa le lien de leurs lèvres pour aspirer bruyamment de l’air. Dan en profita pour plonger sur le même mamelon et le prendre ne bouche. Il le lécha, le mordilla et l’aspira tendrement. Sylvie inonda immédiatement son bikini qui ne put retenir tout le flot qui s’y déversa et en laissa passé et faire luire de liqueur de plaisir les grandes lèvres de son sexe.
Julie, qui dégrafait la ceinture de Dan, avait suivi la scène des yeux. Elle libéra le mat de sa prison et le regarda dans toute sa splendeur.
— Nom de dieu, lança Julie, j’arrive pas à faire le tour avec mes doigts.
Dan relâcha le sein de Sylvie qui soupira d’envie en voyant le monstre de Dan fièrement dressé devant la figure de sa sœur. Il était long et épais. Jamais elles n’en avaient vu de semblable. Alors que Julie engouffrait le gland violacé, Sylvie se plaqua encore plus à Dan.
— S’il est aussi performant qu’impressionnant, ce sera chaud… et longtemps pour toi, dit Sylvie.— Elle ne m’a jamais fait défaut, dit Dan.— Je demande à voir! Déclara Sylvie.
Pour toute réponse, Dan l’embrassa et sa main trouva son bas de bikini. Rapidement, il en tassa la mince couche de tissus et commença un lent massage sur le sexe ultra mouillé. Il passa un doigt entre les lèvres et trouva le clitoris de Sylvie. Cette dernière recommença à gémir. Il joua avec son bouton d’amour un long moment. Alors que Sylvie était sur le point de non-retour, il stoppa son mouvement et lui retira son haut de bikini.
— Je veux boire ta boisson d’amour, lui dit Dan.— Allonge-toi sur le lit, dit Sylvie.
Julie relâcha le chibre de Dan tout luisant de salive et se releva en souriant de toutes dents. Dan en profita pour l’embrasser en libérant la poitrine de Julie. Il lui massa les seins et se pencha pour lui retirer le bas de son bikini. Quand la ficelle tomba à terre, il profita de sa position pour passer sa langue dans le sexe de Julie. Celle-ci émis un soupire de satisfaction en passant ses doigts dans ses cheveux. Il se libéra de son pantalon et de son boxer pendant que Sylvie retirait son dernier rempart vers son intimité.
Une fois allongé sur le dos, Sylvie vint immédiatement lui présenter son sexe lisse et épilé. Dan y plaqua sa bouche et mit sa langue au travail. Il alterna entre des pénétrations profondes de sa langue et le titillement du clitoris de Sylvie. En même temps, Julie avait repris sa fellation experte faisant entrer et sortir le mat de Dan dans sa bouche. Elle le pompait légèrement en même temps déclenchant ainsi des grognements de plaisir chez son propriétaire.
Julie relâcha le membre et monta sur Dan. Elle positionna le membre devant sa chatte déjà bien humide et descendit lentement. Elle sentit le gros gland de Dan écarter ses chairs avec délice. C’est avec un « HO OUI! » Audible qu’il pénétra finalement son vagin. Elle se laissa choir complètement d’un seul coup sur toute la longueur du pénis.
— Ho merde, dit Julie, je suis pleine, tu touches le fond de mon vagin. Oui, c’est bon, AAAAAHHHH! C’est incroyable comme sensation.— J’ai hâte de le sentir aussi petite sœur, en attendant, il sait quoi faire avec sa langue. J’ai jamais été broutée de la sorte, dit Sylvie en gémissant de plus en plus fort.
Julie s’activa frénétiquement sur la queue de Dan. Cette sensation d’être remplie pour la première fois de sa vie l’excitait comme jamais. Son chibre lui frottait sur toutes les parties de son vagin déclenchant des ondes de plaisir immense.
Dan continuait de jouer avec la chatte de Sylvie. Il laissa sa langue aller vers l’arrière et trouva l’anus de sa compagne. Sylvie, qui adorait cette attention se renversa pour lui facilité la tâche. Dan put alors, sous les encouragements de Sylvie lui titiller le petit trou tout en entrant deux doigt dans la chatte grande ouverte.. Il déclencha un orgasme prodigieux chez sylvie. N’en pouvant plus, elle se releva rapidement.
Julie qui s’activait sur la hampe de Dan vit sa sœur jouir et se lever. Elle vit arriver à sa hauteur la vulve de Sylvie d’où coulait son jus d’amour. Elle plaqua immédiatement sa bouche sur le sexe ainsi offert et lapa à grands coups de langue en retenant solidement Sylvie par la taille.
— OUI, OUI OUI, JE JOUIS, C’EST BON, cria Sylvie.
Dan cru bien défaillir, d’avoir les deux sœurs dans un lit en même temps et leurs faire l’amour est une chose, mais de les voir se gouiner en plus, c’est un rêve. Il vit Sylvie trembler de tout son être et de tomber de coté en criant son orgasme.
— Maintenant, tu es à moi, tu va me donner tout ton jus, dit Sylvie.— D’accord, mais toi, prépare toi à avoir plusieurs orgasmes, répliqua Dan en la dégageant de sur lui.
Il la mit en position du missionnaire et la pénétra par derrière d’un seul coup. Julie ne put retenir le cri de plaisir qui monta du fond de ses entrailles.
— OUI, DÉFONCE-MOI, C’EST TROP BON, JE VAIS JOUIR, CONTINUE, BOURRE-MOI, OUI, OUI, ÇA Y EST JE JOUIS, cria Julie.
Dan stoppa et laissa les spasmes de son vagin passer avant de reprendre son pistonnage. Julie respirait par saccade. Sylvie, qui avait repris ses esprits s’approcha et se coucha sous sa sœur pour lui lécher les seins. Et se contorsionna pour arriver entre les deux jambes de Julie et voir Dan enter et sortir de la chatte de Julie.
Dan regardait son membre prodiguer du plaisir à Julie, il regarda son petit trou foncé et se demanda si elle appréciait cela comme sa sœur. Il enduit son pouce de salive et le pressa sur l’anneau brun. Julie se redressa et tourna la tête vers lui en lâchant un « HO MON DIEU, OUIIII ». Il n’eut pas besoin de plus d’encouragement. Il se retira et positionna son gland sur sa pastille.
— Va-y doucement, tu es vraiment gros, dit Julie.— Promis, répondit Dan.
Il appuya doucement le gland sur la pastille et poussa tranquillement. Julie poussa une plainte sonore qui augmenta d’intensité à mesure que Dan écartait son petit trou arrière avec son gland. Finalement, il pénétra en entier. Julie lança un « Ho » de soulagement. Dan lui laissa une pause pour qu’elle s’habitue à la taille de son membre. Après une minute, il sentit les muscles se relâcher et Julie lui fit signe d’y aller.
Il recommença à pousser tranquillement et Julie recula à sa rencontre. C’est un double soupir de satisfaction qui se fit entendre quand les testicules de dan rencontrèrent le fessier de Julie.
— Vas-y, dit Julie, pompe-moi bien maintenant.
Dan commença à aller et venir en elle de plus en plus vite. Les râles de plaisir de Julie l’accompagnaient. Sylvie, loin de vouloir rester inactive, se mit à laper la vulve ouverte et béante de sa sœur. Elle décupla ainsi la jouissance de Julie. Voyant la petite chatte lisse de Sylvie sous elle, Julie y mit trois doits et commença un vigoureux mouvement masturbatoire.
Les cris de plaisir des trois compères se mêlèrent dans un formidable crescendo. Dan sentait venir le point de non-retour. Sa lave commençait à bouillir dans ses testicules. La première à jouir fut Sylvie qui cria en plaquant plus fort sa bouche sur le sexe de sa sœur l’aspirant encore plus fort et empoignant les testicules de Dan.
Ce fut trop pour lui, il lâcha un cri bestial et éjecta une énorme quantité de foutre au plus profond de Julie, qui elle, sentant le liquide chaud arriver, accompagné de la Succion de Sylvie sur son clitoris, bascula, elle aussi dans les abysses d’un orgasme ravageur.
à suivre...
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