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Deux soeurs se retrouvent

Chapitre 1

Monique et Jade

Lesbienne
Nous sommes deux sœurs que tout opposait jusqu’à maintenant, mise à part notre ressemblance physique, blondes, d’environ un mètre soixante-dix et pas désagréables à regarder.

Jade est mon aînée de dix ans. Rebelle, à 20 ans elle est rejetée de la maison, fille mère au siècle dernier, tout est dit. Elle habite à Montpellier où avec son mari elle mène une vie libertine. Son éloignement fait que nous nous voyons peu.

Moi, c’est Monique la cadette, disciplinée, de bonne éducation. A 19 ans on m’a mariée au fils du Pasteur du village et de ’’sainte nitouche’’ je suis devenue ’’grenouille de bénitier’’. Un an après le mariage je donnais naissance à John. Quelques années après les difficultés de la vie nous ont amené à quitter le village et nous installer à Paris. Je menais une vie rangée, mère et fidèle épouse jusqu’à rencontrer il y a deux ans Nadine qui m’a fait renaître. De timide, morose et vieille, je suis devenue une belle jeune femme libérée, exubérante, sexy... Je me croyais quelconque, je me suis découverte désirable. Aujourd’hui j’ai 45 ans et suis une ’’Femme libérée’’.

Après trois ans de séparation, en début d’année elle m’annonce sa visite pour un week-end. Je suis folle de joie et impatiente de la retrouver. Aujourd’hui je me suis mise sur mon 31 avec mon trench beige noué à la taille, mes bas couture et mes bottines marrons à talon épais. J’arrive à la gare de Lyon avec près d’un quart d’heure d’avance, quinze minutes qui n’en finissent pas, même en tournant en rond dans un kiosque à journaux. Enfin je vois les phares de la motrice. Le flot de voyageurs ne tarde pas à envahir le quai, je la cherche, je crois la voir, oui c’est elle là bas, sa chevelure au vent. Je lui fais signe, elle est en jean avec un trois quart, elle ne me voit pas. Je l’appelle, elle se tourne, me cherche, me regarde sans bouger. J’avance vers elle :

— Jade ! Jade, c’est moi.— MOOONIQUE !!!

Stupéfaite, elle lâche son bagage et tombe dans mes bras, on se serre, on s’embrasse tendrement, on se regarde, ses yeux  larmoyants elle murmure :— Mone ?— Jade, ma chérie, oui c’est moi... après un silence d’observation, un vague sourire se dessine sur ses lèvres, je lui demande : As-tu fait bon voyage ? — Mone ! Excuse-moi, je ne t’avais pas reconnue, je suis toute bouleversée... Oui le voyage très bien. Quel bonheur de te revoir !... Mais tu es magnifique ! Quelle silhouette, t’as rajeuni de 20 ans p’tite sœur.— Arrête, arrête chérie, tu exagères (on se fait un nouveau bisou fraternel). Tu es toute légère vêtue, il ne fait pas chaud, quittons cette gare avant que tu n’aies froid et rentrons à la maison.

En un peu moins d’une heure, entre métro et train de banlieue nous arrivons à la maison. Le temps pour elle de découvrir ma métamorphose. Pas seulement ma silhouette a changé mais tout en moi respire à présent la sensualité.
On se tient serrées par le bras, on se murmure des mots doux, on se fait des bisous sur la joue comme deux sœurs qui s’aiment tendrement, comme deux sœurs complices que nous n’avons jamais été.Dès notre arrivée à la maison nous abandonnons trench et imper, elle en jean et chemise moi en jupe et pull très près du corps. Elle me regarde. Après un silence d’observation de la tête aux pieds :

— Mone, ta coiffure, ton maquillage, ton allure, quelle transformation ! Si belle, si sex...sy !— Je te plais ?— Oh oui, j’adore ton air canaille. Tu es si belle, tu respires le bonheur, je te connaissais triste, vieille, mal fagotée, je te retrouve si jeune, radieuse, rayonnante... Hummm, tu me donnes envie !

Debout toute proche de moi, elle me fixe du regard et me fait un bisou à la commissure des lèvres, on se sourit, je colle mon ventre au sien et à mon tour je l’embrasse dans le cou.

— Mone, quelle transformation en deux ?... trois ans !— Vrai ?... Assieds-toi, je nous fais un café.

En revenant je m’assieds à son côté et on prend notre café,

— Viens plus près de moi, sœurette ! elle me prend dans ses bras. Explique-moi ce changement.— Voilà ma chérie, tout a commencé il y a deux ans. A la remise du diplôme de John à la fac, j’ai rencontré Nadine la belle-mère de sa copine, on s’est pris d’amitié.... (et je lui raconte mon histoire : Incroyable famille vue par Nadine)— Incroyable et depuis cette croisière ?— Au retour des vacances j’ai mis Olivier face à ses responsabilités et je me suis libérée au bureau, ce qui m’a valu de la promotion.— Ah dis donc ce n’est plus ’’Sea, sex and sun’’ mais ’’Sex and job !’’, je lui réponds d’un sourire avant qu’elle continue : Et Olivier ?— Olivier... est devenu très serviable et obéissant, elle écarquille les yeux d’un regard interrogateur. Oui, obéissant en tout ! On se regarde et nous éclatons de rire.— Et que devient John ? La dernière fois qu’il m’a téléphoné c’était pour me dire qu’il venait d’être promu directeur et qu’il partait en vacances avec sa copine en Grèce.— Oui, l’été dernier... je ne veux pas lui dire que nous sommes devenus amants alors j’embraie sur son job. Il bosse dans une boîte de lingerie qui appartient au père de sa copine, il fait un bon boulot semble-t-il puisque son patron l’a nommé comme adjoint. (J’oublie aussi de parler de ses relations avec Yanis et ’’La Nouvelle Athènes’’) et en Grèce il nous a fait part de son projet de se marier avec Mélina.— Ça alors, il va se marier... Le coquin ne m’a rien dit.— Bon, garde-le pour toi, il te le dira certainement demain.— Demain !— Oui, demain samedi, il vient dîner. Bien ma chérie, le temps passe, je te fais voir ta chambre, c’était celle de John, Olivier ne va pas tarder à rentrer, je vais m’occuper du dîner.

Peu de temps après mon mari arrive. Je le trouve particulièrement fatigué et taciturne, la soirée ne se prolonge pas et dès le repas terminé se sentant fiévreux, tout en s’excusant il va se coucher.

Nous n’en faisons pas grand cas trop heureuses de nous retrouver. On s’installe dans le séjour avec la bouteille de muscat et les biscuits de Sète que ma grande sœur m’a remontés. Elle est tout de suite câline et me parle de sa vie à Montpellier. Je savais qu’elle n’était pas une nonne mais n’imaginais pas sa vie de débauche si différente de ’’la bonne éducation’’ de nos parents. La conversation me remet le feu au ventre, la coquine s’en rend compte et me donne des détails pour m’émoustiller encore plus. Ses bisous vont de la joue, à l’oreille, au cou. Ses caresses deviennent de plus en plus intimes. Ma tête au creux de son épaule, elle me regarde tendrement, ses lèvres frôlent les miennes.

— Ben dis donc vous avez une sacrée équipe de fêtards avec vous, de queutards devrais-je dire.— Oui ma chérie !, tout en rigolant, le dieu Min a toujours été honoré à la maison !— Même quand vous aviez John en vacances ?— OOOH ! Sœurette tout de même n’exagérons pas...

Je la regarde les yeux mi-clos, interrogatrice. Elle est toute proche de mon visage, me caresse la joue, nos nez se touchent, je ferme les yeux, nos lèvres se joignent. C’est notre premier baiser. La digue du correct est rompue et elle se libère de ses relations incestueuses :

— Oui ma chérie ! J’ai éduqué ton fils.

Elle m’embrasse à nouveau et j’y réponds en passant ma langue sur ses lèvres. Plus nous avançons dans nos confidences, plus nous nous étreignons, ma tête sur son épaule, sa main sous mon pull. A partir de ce moment, comme des amoureuses, nos lèvres ne se quittent plus. Son autre main passe très vite de mon genou à ma cuisse nue. Elle sait que le fruit est mûr, son bras m’invite à me lever :

— Allons dans la chambre, me dit-elle.

Dès que nous sommes enfermées, d’un geste sa chemise s’ouvre, mon pull vole, chacune défait pantalon ou jupe et se jette sur le lit. Elle est en brassière et string blanc, moi plus sexy en sein-nu de dentelle, serre-taille lacé dans le dos et culotte fendue gris perle. On s’étreint, nous roulons l’une sur l’autre en s’embrassant, nos langues vont et viennent d’une bouche à l’autre, se taquinent, tournent l’une autour l’autre jusqu’à l’essoufflement.

— Dis-moi sœurette, t’es une sacrée allumeuse avec tes sous-vêtements.— Tu n’aimes pas.— Ooooooh que si ! C’est du style, ’’pour mieux te manger mon enfant’’ !

Elle se détache de moi le temps de défaire son soutif et quitter son triangle de dentelle. C’est la première fois que je vois ma grande sœur nue. Son corps est uniformément halée, ses seins plus lourds que les miens, son mont chauve particulièrement proéminent. Couchée sur le dos, elle me tire sur elle, tout en dégrafant mon demi coque, baissant ma culotte. On se retrouve toutes les deux nues, excitées comme de jeunes ados. Nos jambes s’entrecroisent, nous ondulons lascivement, l’une face à l’autre, le sexe sur la cuisse de l’autre. Au balancement de nos bassins répond celui de nos épaules, nos seins balayant la poitrine de l’autre.

L’intensité de notre relation s’amplifie, nos sexes s’échauffent, nos mains se crispent sur une fesse ou une épaule, les caresse deviennent griffures, les bouches deviennent voraces. On vire sur le côté face à moi, elle se recule, m’observe, descend sur ma poitrine, me tète alors que ses doigts me tripotent le sexe. Mon genou replié s’ouvre à 120°, ma tenue est indécente mais j’ai tellement envie de ses doigts de ses lèvres.

— Que tu es sexy Mone ! Tes lèvres tellement développées, tes mamelons bien plus gros que les miens, naturels ou ?— Étirement et tripotage quotidiens !— T’es une sacrée baise... coquine !— Pourquoi pas baiseuse ? Appelle une chatte, une chatte. J’ai perdu trop de temps avec cette éducation à la con, avec un mari trop respectueux des soi-disantes bonnes manières.

A cet instant la petite sœur devient maître du jeu. Je la pousse sur le dos en éteignant la lumière, reviens sur elle en tête à queue, mes mains sous ses fesses écartent les cuisses, ma tête s’enfouit dans la fourche de ses jambes alors que mon ventre se colle à sa bouche. Elle aspire mes lèvres qui s’allongent comme une langue dans sa bouche. Je la lèche, la fouille, goûte son hydromel.Jade suce mon clito en faisant une sorte de fellation, mordille la base du bouton comme elle ferait avec un pénis. D’un coup elle me fait rouler sur le dos, inverse nos positions, elle ouvre ma vulve comme pour un examen gynécologique. Je sens son souffle sur mes chairs intimes, un filet de bave glisse sur les parois, suivi par deux doigts de chaque main qui agissent tel un spéculum. Sa langue vibre sur mon bourgeon et active la source de mon plaisir, rapidement j’étouffe un premier gémissement.

Les parois de ma grotte se tapisse de jouissance. Elle régurgite un flot de salive dans mon vagin, trois doigts me pénètrent et tout de suite un quatrième fore le puits. Le souffle de nos respirations, le chuintement de mes lèvres, le barattage de ma mouille rompent le silence de la nuit, jusqu’à ce que sa main toute entière comble ma cavité. Elle bouge comme un pilon dans un mortier.

— Oh Jade doucement, doucement.

Je suis paralysée, sans me quitter elle revient vers moi, le poignet cassé. J’ai ses cheveux sur ma bouche, ses lèvres sur mes seins. Elle me tète un moment, étire le téton pris entre ses dents tout en me fistant.Sa main sort du vagin, pleine de mouille elle glisse sur le ventre, remonte entre mes seins en étalant ma jouissance. Jade revient à ma hauteur, nos jambes se mêlent, on s’étreint tendrement, on s’embrasse langoureusement, on se murmure des mots d’amour.

— Mone, viens à Montpellier j’ai plein d’amis qui seront heureux de te connaître.
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