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Deux soeurs se retrouvent

Chapitre 2

avec Jane

Avec plusieurs femmes
Le samedi matin avec ma sœur nous faisons une petite grasse matinée, depuis une dizaine de minutes nous papotons, enlacées dans les bras de l’autre. Elle ne cesse de me parler de ma métamorphose, de me dire combien elle est heureuse de me connaître ainsi libérée. On parle de notre enfance « Tu te rappelles quand maman.... oui et quand papa... ». Son esprit rebelle lui a permis de se soustraire de l’emprise parentale contrairement à moi. On parle de mon mariage ’’arrangé’’ avec Olivier le fils du Pasteur :
— Ah oui ! Cet impuissant, murmure-t-elle.— AH NON ! Pas vraiment Jade !
Mon exclamation la réveille complètement. Encore allongée, elle s’appuie sur un coude et me regarde :
— Pardon Mone ! Que dis-tu ? Un mec qui fait de toi une mal baisée !— En fait ma chérie, c’est un faux-cul ! Un salaud mais parfaitement capable ! Durant ces vacances j’ai découvert un libertin, une p’tite bite vigoureuse avec les femmes et un vide couilles avec les mecs. Alors de retour à Paris je l’ai éduqué, je l’ai d’abord soumis aux travaux ménagers et je viens de le dresser aux cunnilingus. Avec un petit coup de bistouris c’est devenu le sex-toy dont je rêvais, une langue de velours infatigable et même, imagine toi qu’il s’est montré avec moi ’’Un TRÈS Bon Coup’’.
C’est à ce moment qu’on frappe à la porte. Je murmure « Ce doit être Olivier, couche-toi et écoute bien », puis à haute voix
— ENTRE !— Bonjour Mesdames, je vous apporte vos petits déjeuners.— Bonjour Lili ! Pose le plateau sur le lit et ouvre les rideaux... Comment te sens-tu ce matin, hier ça n’allait pas ?— Bien madame, je vous remercie. La fièvre est tombée et je suis à votre entière disposition.— C’est parfait. Tu le seras aussi pour ma sœur. Tu répondras à toutes ses attentes comme aux miennes.— Oui, bien sûr. Puis saluant Jade : Bonjour madame ! Qui répond d’un sourire.— Lili, ce matin nous ferons du shopping, nous ne rentrerons que pour dîner. Nous aurons probablement deux invités donc tu prépareras le repas pour six.— Oui madame, un rôti de porc, pommes au four ça vous convient ?— Tu fais au mieux comme d’habitude. Allez file ! Je te ferai signe si nous avons besoin de toi.
Une fois mon mari sorti, Jade tombe dans mes bras et pouffe de rire :
— Ben dis donc tu l’as sacrément dressé !
— Oooh oui ! Et tu verras, après la douche on lui demandera une petite gâterie. Prenons notre petit déjeuner, je te sers du café ?

Une heure plus tard, après la douche, assise sur le lit avec ma grande sœur à mon côté j’appelle :
— Lili !... Je n’attends pas cinq secondes avant de crier : LILIIII ! Viens tout de suite. J’ATTENDS !!!
Presque immédiatement mon mari entre dans la chambre et reste figé face à nous assises au bord du lit, cuisses ouvertes en train de se chatouiller :
— LILI ! Dépêche-toi, on n’a pas de temps à perdre, fais-nous une lichette.
Il s’agenouille entre mes jambes, une main sur ma cuisse et son museau sur ma vulve alors que son autre main amadoue et découvre le ventre de Jade. Olivier est devenu le sexe machine dont je rêvais. Une langue pointue qui s’allonge de près de cinq centimètres entre mes chairs intimes. Il lèche un peu, écarte mes lèvres, suce le clito, allume le feu de mon ventre et là l’incroyable se produit quand sa langue plonge dans ma vulve. La sensation est indescriptible, le dard vibre dans le vagin à la recherche du point G sans l’atteindre. Je pars à la renverse sur le lit, mes pieds sur son dos, mes mains sur sa tête fixant le rythme de son cunni.
Rapidement je le remercie comme un bon chien avec une friandise en lui jetant une grande giclée de cyprine. Satisfaite, je me redresse. Par les cheveux j’écarte Olivier de mon ventre et plante son nez entre les jambes de ma soeur pour assister au spectacle que je viens d’offrir, peut-être encore plus intense puisque c’est une première pour elle.
Toutes les deux repues je renvoie mon sex-toy à ses occupations :
— Merci Lili, t’es un bon chien tu nous as bien fait jouir, on va y aller et on se retrouve ce soir.— Parfait madame, je vous souhaite une bonne journée !
Jade se lève les jambes encore flageolantes. Je m’habille d’un ensemble noir style bondage, je m’applique à mettre le string directement sur ma vulve laissant mes lèvres déborder de part et d’autre. Elle a un joli ensemble rose très classique.
— Waouh, Mone, tu as des dessous très affriolants.— J’avais idée d’aller avec toi ce matin à la boutique où je les achète.— Oh oui super, vite vite !
On se prépare, habillées moi en robe, elle en jean nous quittons la maison précipitamment en laissant des dernières recommandations à Lili. On va d’un bon pas, bras dessus-dessous serrées l’une à l’autre, en train et en métro jusqu’à la boutique proche de la Place Blanche. Le samedi je sais qui je vais rencontrer et je laisse venir la surprise pour Jade.
— Regarde ma chérie, nous y voici !
Elle n’en revient pas, me montre du doigt les articles les plus petits, les plus fous, des dessous hyper sexy faits pour protéger et qui ne cachent rien et un ensemble en dentelle très coquin. A l’intérieur j’ai déjà reconnu mon fils métamorphosé en Jane (se prononce à l’anglaise Djène). A son habitude le samedi matin il vient travesti à la boutique et il est occupé avec une cliente. En entrant c’est Jacqueline, la gérante qui nous accueille et me reconnaît :
— Bonjour mesdames, quel plaisir de vous revoir ! Jane va être libre que puis-je vous proposer en attendant ?— Nous voudrions voir pour ma sœur l’ensemble de dentelle blanc présenté à gauche dans la vitrine.— Oui bien sûr le sein-nu, il est magnifique, très léger à porter avec son petit porte-jarretelles et le string, nous l’avons aussi en culotte fendue si ça cous intéresse.
Elle nous présente les articles au moment où Jane raccompagne sa cliente à la porte. Elle nous regarde tellement surprise de revoir sa tante. Il y a un stop sur image. Jade la regarde, la fixe du regard, semble la reconnaître, dans le doute à mi-voix interroge :
— Jane ?— Oui Tatie !— Mon dieu ! Quel chemin parcouru en quatre ans, te rappelles-tu de ton premier travestissement pour tes 19 ans ?
Pour toute réponse il sourit mi-figue mi-raisin, gêné de m’avoir caché cet épisode. Les deux s’enlacent très fort, maintiennent leur étreinte, se murmurent un tas de choses à l’oreille, s’embrassent gentiment avec beaucoup de pudeur au milieu du magasin.
Jacqueline nous propose de nous installer dans le salon privé à l’arrière du magasin avec sa cabine d’essayage et ses fauteuils crapaud. Dans l’intimité du salon, on se libère. Jane me fait un tendre bisou et embrasse longuement ma sœur. Les deux ne se parlent pas, je vois même Jade essuyer furtivement une larme. Assis autour de la table basse, on se regarde, on se sourit heureux d’être ensemble. Jane m’a beaucoup parlé de sa tante, de leur relation amoureuse, leur soirées libertines avec Théo son mari et je comprends facilement leur complicité.
Jane prend son rôle de vendeuse à cœur et nous sert un café. Elle explique sa situation dans la boutique, sa relation avec le patron de la société et sa vie de couple avec Mélina. On parle des dernières vacances, Jane à Santorin et Jade à Montpellier. Je me rends compte qu’entre ma sœur, Germaine et Nadine le coquin a eu beaucoup d’expériences avec des femmes matures avant moi et comprends qu’il soit un si bon amant. Puis Jane retrouve sa raison d’être dans ce salon :
— Au fait Tatie,— T’as fini de te foutre de moi, sale garnement, tu veux que je te donne la fessée ?
Je vais découvrir une nouvelle relation mais Jane bloque la balle au bond :
— Non, non Jade pas maintenant ! Mais veux-tu faire quelques essayages ?— Dis-moi, c’est très sexy ta collection !— Pour l’essentiel oui, le quartier, notre clientèle le veulent. Nous souhaitons habiller le corps en le découvrant et en le rendant irrésistible. — Waouh ! Quelle promotion de ta boîte, s’exclame-t-elle en rigolant.— Eh normal ! Notre clientèle est de tout âge mais la plus importante a plus de cinquante ans et même des femmes de 70 ans sont très fidèles. Nous avons aussi une clientèle trans pour laquelle j’ai créé une collection spéciale. Regarde !
Jane relève sa jupe droite comme un rideau de scène jusqu’à la taille et découvre sa gaine ’’Coup de coeur’’ qui dissimule son sexe en le plaquant au ventre et fais un demi-tour pour montrer ses fesses nues au travers d’un large cœur.
— Ben dis-moi, quel créateur.— Bien je te propose d’essayer l’ensemble que t’a choisi, je vais te chercher aussi une guêpière et pour toi maman, je vais apporter notre dernière création. Je reviens de suite.
Pendant ce temps Jade passe le sein-nu et pour le bas alors qu’elle prend le string je l’engage à passer la culotte fendue :
— Tu vas voir comme c’est sympa à porter.
La matinée se poursuit en essayages. Inutile de parler des caresses, des taquineries et des bisous qui les accompagnent. Jade est séduite par le sein nu et la culotte fendue en dentelle blanche quant à moi je prends la dernière création, un soutien-gorge de satin blanc plissé qui couvre le sein à discrétion du 1/3 aux 2/3 avec son porte-jarretelles et sa culotte. Lorsque nos choix sont faits il est midi dépassé et Jane nous propose de déjeuner au restaurant près de chez elle, un peu de marche jusqu’au métro et nous voici arrivés au bas du quartier Latin.
Nous prenons place dans un restaurant grec ’’Chez Grégorios’’. Quelle coïncidence, mais je garde pour moi l’anecdote de ma première orgie. (voir Incroyable croisière chap 2). John et sa tante sont tellement heureux de se retrouver que la conversation est essentiellement un dialogue entre eux, lui parlant de la Grèce, elle de ses soirées débridées montpelliéraines. Assise aux côtés de Jade, au fur et à mesure que nous parlons de nos orgies, sa main découvre ma cuisse jusqu’à la jarretelle tandis que le pied de Jane se place entre les miens. Les moues, les sourires, les regards concupiscents expriment notre impatience à nous retrouver seuls. On ne s’attarde pas après avoir avalé les brochettes, Jane nous invite à prendre le café chez elle.
Dès notre arrivée à l’appartement alors que Jane part en cuisine préparer le café, ma sœur m’entraîne sur le canapé. Je la sens toute excitée, elle s’assoit sur mes genoux en enfourchant mes cuisses, sa poitrine contre la mienne et elle me prend par le cou. Son nez touche le mien, je ne vois que ses yeux bleus, nos lèvres se joignent, sa langue vire autour de la mienne. Ses mains s’activent sur ma robe, s’emparent de mes seins pendant que les miennes glissent dans sa ceinture jusqu’à ses fesses. Tout s’enflamme, les baisers, les pétrissages, les pincements. La caresse devient brutale ; la douceur, violence ; le miaulement, feulement. D’un coup Jade déboutonne le haut de ma robe.
A ce moment Jane nous sert le café et s’assoit à mon côté. Avec ma sœur, elle abaisse la robe de mes épaules, dégrafe mon soutien gorge, je suis pratiquement nue. Jane (Djène) m’embrasse dans le cou et Jade sur la bouche, les mains courent sur mon corps, me font frissonner. Jane avec son bras dans le dos me pousse à me lever :
— Allons dans la chambre !
C’est la pièce d’à côté. Un grand lit en 160 deux chaises en guise de table de chevet et un grand miroir fixé au mur pour ne pas se sentir seul. En moins d’une minute Jane se transforme et c’est John qui entre dans la pièce. Seule Jade est encore habillée. Nous nous enlaçons sur le lit, contents de nous retrouver ainsi et la regardons se dévêtir. En une journée, toute pudeur avec ma sœur s’est envolée. Une journée a suffi pour réduire à néant ce qui nous différenciait et faire de nous, deux sœurs sans tabou, sans interdit.Elle s’allonge entre nos jambes, nous fait des bisous sur nos cuisses et pose ses mains sur nos ventres. Rapidement elle embouche le sexe mâle et plonge deux doigts dans mon puits d’amour, elle suce l’un et masturbe l’autre jusqu’à inverser les plaisirs. Alternativement je me fais gougnotter ou branler jusqu’à ce qu’elle nous bouscule :
— Si tu permets p’tite sœur ?, avec un grand éclat de rire.
Dans le mouvement elle enjambe le bassin de John et me relève pour me faire chevaucher le visage. Nous voilà toutes les deux à genoux sur le jeune homme, face à face. Chacune entame une danse lascive, elle sur le vit de haut en bas, moi sur la bouche de droite à gauche. Nos sourires sont coquins, nos yeux brillent de plaisir. On s’agite un long moment, les premiers signes de jouissance s’entendent quand John nous écarte avec force en nous renversant. Il me couche sur le dos et place ma sœur sur moi en 69.
Tout va très vite. Elle fourre sa tête entre mes cuisses à la recherche de mon nectar, lui est à genoux à ma tête et me donne sa verge à sucer pendant qu’il doigte les fesses de sa tante au dessus de mes yeux. Dure comme du béton sa bite passe de ma bouche au petit trou qu’il pénètre sans effort. Une autre danse débute, un slow suivi d’une samba endiablée. Un coup de reins violent projette ma sœur à l’avant qui s’affale de tout son long sur moi. Elle geint tandis que lui beugle comme un sourd tout en continuant de la sodomiser un moment. Enfin je vois la verge apparaître, ballante ruisselante de mouille.
Écrasée par les deux, je les renverse sur le côté et vais me doucher. Je termine de m’habiller quant la porte de l’appartement s’ouvre :
— Mélina bonsoir, te voilà déjà. John est à côté avec sa tante. Ils arrivent, inutile de te défaire Olivier nous attend à la maison pour dîner.
Les deux sortent de la chambre. Dès que les présentations sont faites, nous quittons l’appartement pour rejoindre le mien en banlieue. Le voyage permet à Mélina et Jade de faire connaissance pendant que je papote avec John.
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