« Tu peux parler, je t’ai vu flirter avec Jérôme au cours de droit ! » se vexa Marie. Elle n’arrivait pas à croire que sa sœur lui fasse des reproches sur sa tenue ; elle avait juste déboutonné un petit peu son chemisier en rentrant dans l’appartement et elle avait droit à des réflexions sur son ‘’dévergondage’’. C’était d’autant plus insultant que Sandrine, sa sœur, n’hésitait jamais à aborder des garçons, contrairement à elle. Sandrine n’aimait pas non plus les remontrances de sa sœur sur ses fréquentations. Il s’agissait de quelques bavardages innocents, et seul l’attitude quasi phobique de sa sœur pour les hommes pouvait faire passer Sandrine pour une fille facile d’approche. Mais pour le moment elle décida de prendre sur elle et de garder son calme. Depuis qu’elles louaient ensemble un petit appartement près de leur université ces disputes étaient bien trop fréquentes à leur goûts et cela leurs tapaient sur les nerfs. Marie avait 19 ans et venait d’entrer en Licence de droit depuis 2 mois, elle était blonde un visage bien rond et une taille assez fine. Elle avait passé comme sa sœur une enfance protégée dans un village du sud de la France. Est-ce le divorce de sa mère qui l’avait rendu craintive face aux hommes, où était-ce juste son caractère ? En tout cas si elle avait quelques amies filles, elle fuyait les relations avec ses camarades de l’autre sexe. Sandrine avait, elle, 20 ans et suivait le même cursus que Sandrine. A la suite de son baccalauréat elle avait eu une suite de déveines : un bras et une jambe cassés lors d’une randonnée, une infection à l’hôpital, et une mauvaise reconstitution des os par la suite. Au bout du compte elle s’était retrouvée coincée au lit, pendant plus de 5 mois. A force de s’ennuyer elle s’était vengée sur les gâteaux. Elle pesait maintenant 83 kg pour 1m61 et était à a limite de l’obésité. Elle faisait de gros complexe sur son poids et elle s’était juré de reprendre le sport mais n’avait pas eu jusqu’à présent le courage nécessaire, préférant le confort de l’appartement. Sandrine regarda l’horloge de la cuisine, il était 21h30 elle dit alors : « On réglera cette histoire de flirt plus tard, on a juste le temps d’aller sur le toit pour voir la comète. » Marie tout en reboutonnant son chemisier suivit sa grande sœur dans les escaliers de l’immeuble. Les astronomes avait annoncé à la télé qu’à 21h45 la comète Aldun devait passer proche de la terre, un phénomène qui n’arrivait que tous les 500 ans, et qui ne serait visible à l’œil nue que dans les environs de Bourg-en-Bray. Les deux sœurs avaient justement la chance d’habiter un des plus hauts immeubles de la ville, et auraient une des plus belles vues sur le corps céleste depuis un demi-millénaire.Arrivé sur le toit Marie demanda :« Dit, les comètes ça compte comme des étoiles filantes ? On fait des vœux dessus ?-Je sais pas trop, mais je vais en faire un. Pas question de laissé passer une occasion comme ça-Alors moi aussi. »C’est alors qu’une traînée blanche apparût dans le ciel. Marie qui s’acharnait sur le dernier bouton de son chemisier pensa alors : « J’aimerais que ma sœur soit plus garce que moi, qu’elle arrête de toujours trouver à redire à mon comportement » Sandrine se rappelant les paroles de Marie sur son supposé flirt pensa : « Je voudrais que ma sœur soit moins prude que moi, qu’elle arrête de critiquer tout ce que je fais. »Il sembla aux deux sœurs que la comète brilla un peu plus fort pendant dix secondes puis l’astre disparu peu à peu dans le noir. Sandrine ayant un peu honte de son vœux cru bon de préciser : « Au fait, qu’on soit bien clair ; les vœux ça ne se raconte pas.-C’est vrai mais je pari que ton souhait c’est de trouver un bel étalon de toute façon. »Sandrine pensa rabrouer sa sœur mais dit à la place« Peut-être mais moi, au moins je n’ai pas souhaité une promotion sur les articles du sex-shop de la gare. » Et elle termina avec un clin d’œil appuyé.Immédiatement rougissante, elle partit vite descendre les escaliers sans attendre que sa sœur la rejoigne.
/////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Jour 1 //////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Les deux sœurs avaient l’habitude de se rendre à la Fac ensemble, mais ce matin Sandrine alors qu’elle quittait l’immeuble annonça à Marie : « Je vais faire un tour en ville avant d’aller en cours, je te rejoins avant midi. » Marie avait bien sentit le regard lourd de sous-entendu de sa sœur, désapprouvant sans doute le choix de son bustier et de sa jupe rose des plus légère. Mais Sandrine contrairement à son habitude ne dis rien ; non pas que cela eu fait changer d’avis Marie, elle n’allait tout de même pas s’habiller avec les horribles sweaters informes que mettait sa sœur. Même si elle ne voulait pas sortir avec des garçons, elle ne voulait pas s’enlaidir pour autant. Lorsqu’elle entra dans l’amphithéâtre pour le cours de droit civil, elle pensa d’abord prendre sa place favorite, assez isolée dans la rangée supérieure. Seul sa sœur et Sophie une de ses amies venaient parfois s’asseoir à côté d’elle. Mais ce matin elle aperçut que Jérôme était déjà arrivé, et elle se souvint que sa sœur lui avait longuement parlé hier. Mû par une impulsion elle décida de le rejoindre.« -Salut je suis Marie, la sœur de Sandrine.-Sandrine ? Euh c’est…-Mais si, Sandrine, tu l’as vu hier une petite grosse avec un pull moche »Sandrine s’arrêta un moment, elle n’avait pas l’habitude de dire du mal de sa sœur. Jérôme était un peu surpris, il avait déjà remarqué Marie, comme beaucoup, elle faisait partie des plus belles filles de la promotion, mais elle était toujours isolée et semblait fuir les contacts masculins. « -Ah oui ta sœur… Elle est sympa, on discutait des restos à Bourg-en-Bray et elle me recommandait le chinois sur la place Beaumont. »Marie eu la moutarde qui lui montait au nez, sa sœur était sympa comme si elle était une pestiféré en comparaison.« -ouais elle est ‘’sympa’’, je suppose. Mais je pari qu’elle ne t’as pas invité, non ?-Euh, non ; on a juste bavarder un quart d’heure hier tu sais.-Alors je t’invite ! On se donne rendez-vous au resto de la place Beaumont, disons à 21 heure ?-Et bien pourquoi pas, 21 heure ça marche.
Pendant ce temps Sandrine faisait du lèche-vitrines, elle voulait en remontrer à sa sœur ; elle aussi pouvait s’habiller sexy. C’est du moins ce qu’elle pensait avant de faire les boutiques. Car force lui fut de constater qu’avec son poids même les plus beaux vêtements avaient un effet tarte. Ses fesses molles et grasses, son ventre proéminent, impossible de trouver quoi que ce soit qui puisse rivaliser avec sa sœur. Elle finit par acheter quelques dessous en dentelle mais sans trop croire que ça puisse faire une différence.En voulant retourner à l’université elle passa devant une salle de sport. Se décidant à rattraper les cours plus tard, elle parti s’acheter un body, elle avait un besoin urgent de fitness.
A l’entrée du resto U, Marie rencontra Sophie, sa meilleure amie. Celle-ci avait été surprise de voir Marie discuter avec Jérôme en cours et elle lui demanda :« Dis donc il te plaît vraiment ce Jérôme ? Je ne t’avais encore jamais vu aborder un mec comme ça. »Marie n’était vraiment pas sûr que ce type lui plaisait. En fait il avait un côté négligé qui ne lui plaisait pas su tout. Au cours des deux heures de cours qui avait suivi leur rencontre, elle avait senti de la sueur rance qui se dégageait de sous ses bras. Et elle espérait que ce n’était que ça. Mais elle ne pouvait quand même pas lui poser un lapin pour le resto, elle était sûr que ça sœur quand elle était invité se rendait à ses rendez-vous. Elle ne pouvait pas faire moins.« -Euh, oui il est un peu mignon non ?Je veux dire…. En fait je l’ai invité au resto ce soir.-Quoi ?! Toi t’as invité un mec au resto ? Et tu lui as parlé quoi… 5 minutes à tout cassé je le crois pas !-C’est-à-dire ; il a dû me plaire sur le coup, je me suis emballé.-Et bien tu caches bien ton jeu ma cocotte… Et il a t’a plu à quel point alors ? Qu’est-ce que tu as prévu après le dîner ? »Sophie se faisait complice, mais Marie était bien en peine de répondre. Elle cherchait à deviner ce à quoi sa sœur s’en serait tenue pour un premier rendez-vous, mais à la vérité elle n’en avait aucune idée.
Sandrine passa la journée à la salle de sport se contentant d’une salade pour déjeuner. Lorsqu’elle rentra le soir, elle pensa avoir perdu peut-être bien 2 kilo vu comme elle s’était dépensé. Sa sœur n’étant pas rentré elle en profita pour essayer ses sous-vêtement dentelle. L’image que lui renvoya le miroir lui fit honte, sa sœur aurait été irrésistible dedans mais elle semblait juste ridicule : ses cuisses flasques et les bourrelets de chair débordait de la lingerie, la recouvrant en partie. Elle mangea quelques carottes vapeurs, et une pomme se demandant combien de temps elle devrait aller en salle de sport pour avoir une silhouette convenable. Puis épuisé elle alla se coucher malgré les gargouillements de son ventre.
Ne voulant pas donner une mauvaise impression Marie arriva bien en avance au restaurant chinois. Elle en profita pour se demander ce qu’elle trouvait à Jérôme, il était un peu gros, des cheveux longs et gras. Il avait bien le visage un peu fin, mais c’était gâché par des lunettes assez hideuse, au moins elles cachaient un peu son acné. Pourquoi choisir Jérôme comme compagnie ? C’était d’autant plus étrange que la Fac de droit comportait plein de beau mec qui se croyait déjà au tribunal et voulaient en imposer par leur stature. A côté de ça l’attitude à la cool de Jérôme lui aurait plutôt inspiré du mépris. Elle en resta là de ses réflexions quand elle le vit arriver.Elle fût un peu rassuré de voir qu’il s’était soigné, il était rasé de près et il avait échangé son jean troué pour un pantalon de ville. Mais cette bonne impression disparu vite : le voir utilisé des baguettes était répugnant, la sauce volait, les morceaux de viande tombaient un peu partout, et en plus de ça au bout de deux bières chinoise, il enchaîna avec de l’alcool de riz devenant d’une vulgarité insupportable.Pourtant elle le supportât, essayant même d’y mettre du sien :«-Les indiennes sont jolie avec leur sari je trouve quand même… -Ouais, le sari mais surtout ce qu’on dit, c’est que les indiennes sont les plus souples avec leur Kâma-Sûtra et tout, même qu’elles peuvent se lécher la chatte quand elles veulent…-… Se lécher la chatte. Oh ! moi je pourrais pas, déjà que si je me suçais les tétons je suis sûr de me faire un torticolis. »Jérôme pensif regarda les tétons de Marie un long moment, puis enchainât :« Enfin ce que je veux dire… Beurp…. Pardon, ce que je dis, c’est que les vrai pro du sexe c’est pas les indiennes-Non ?-Non, pas les indiennes, c’est les japonaises, ou les chinoises je sais plus c’est pareil de toute façon. Tu vois y a 500 ans, ils ont écrit un bouquin le ‘’GINE-PINE-MEI’’ ou un truc comme ça. Un roman porno plus gros que le truc de Proust la recherche perdu machin-chose. Et maintenant tu vois ils ont les boules de geisha, les bukkakes. Ils ont gardé la tradition !-Les boullesquettes ? C’est quoi ça ?-Le bukkake ! Faut prononcer ça BoucHacké ! C’est quand il y a une meuf et il y a plusieurs types autour… mais beaucoup tu vois. 100 ! Ouais doit y en avoir cent des fois je suis sûr, et la meuf elle est à poil, ou alors un truc genre costume de sailor-moon ou un truc sexy quoi, des oreilles de lapin peut-être… Bon alors les mecs arrivent et pof ! Ils giclent leur foutre sur la gonzesse.-Tous en même temps ?!-Mais non pas en même temps, ils sont des centaines je t’ai dit, y aurait pas la place tu vois... En tout cas à la fin la meuf est couverte de foutre ! De bas en haut ! dans les cheveux sur les seins partout quoi ! Mais c’est pas tout…-Couverte de sperme… ça doit sentir fort quand même.-Ouais sans doute, enfin, le truc c’est qu’après ça on racle le sperme qui coule sur la meuf et on fout ça dans un récipient. Et là… Gloup !-Quoi ? Elle avale le sperme des 100 types ?-Et ouais ! D’un coup… Mais bon je ne pense pas que tu te rendes compte… tu n’as sans doute même pas bu le sperme d’un seul mec !Marie devint cramoisie« -Euh, non jamais… Ma sœur, je sais pas… Mais je suis sûr que je peux mieux faire qu’elle !-T’as sœur qu’est ce qu…. Mais attend t’es prête à boire du sperme tu me dis ? »-uiMarie pouvait à peine respirer, et à peine parler. Jérôme la regarder et puis se leva et dit« -attend moi 5 minutes »Il prit un verre discrètement, qu’il cacha au mieux dans sa manche et partit vers les W.C, il ferma la porte derrière, marmonnant « purée, mais elle super chaude cette garce en fait. » puis il posa le verre sur un lavabo et commença à se branler. Il imagina Marie buvant un gros bol rempli de sperme et ne tarda pas à décharger dans le verre. Il regarda le liquide, satisfait des 2-3 centimètres de sperme qui remplissait le verre. Il revient ensuite dans la salle le plus discrètement possible posant le verre entre deux bouteilles de bière chinoise.« -Ok… Tu veux goûter au foutre, alors voilà ta chance… hé hé. » Mary n’avait pu s’empêcher d’imaginer Jérôme dans les toilettes. Il avait peut-être mis le verre dans l’urinoir pour trouver un support. Un urinoir où il avait uriné juste avant probablement, et puis l’image de Jérôme avec son gros ventre, ses mains pleines de sauce en train de se masturber, cela la remplissait de dégoût. Et elle devrait boire ce verre ? Jamais !Mais zut ! Sandrine avait sans doute déjà pratiqué une fellation, et elle, elle n’avait rien à sucer juste boire un petit verre, pour faire aussi bien qu’elle.« -D’accord »Elle prit le verre refusant de regarder dans la salle qui pouvait la voire boire. Mais le sperme coulait lentement elle ne voulait pas trop pencher la tête pour ne pas attirer l’attention, mais attendre l’écoulement su sperme vers sa gorge était tellement lent que cela la mettait au supplice. Finalement au bout d’une minute le sperme atteignit sa langue. Était-ce pire que ce qu’elle avait imaginé ? Sans doute pas ; ça ne l’empêchât pas de trouver ça écœurant, un liquide épais et âcre qui s’insinuait dans sa gorge, elle réussit à finir le verre. Du moins elle le crût, mais Jérôme lui dit : « Hey, il en reste un peu. Enfin, tu fais comme tu veux… mais si le serveur voit ça….Une cliente qui boit du sperme, elle ne voulait certainement pas laisser cette impression. Elle paniqua :« -Je fais quoi alors !-Bah utilise tes doigts, tu racles bien le verre puis tu les lèches pour pas laisser de traces. »Marie pressa ses doigts dans le verre cherchant à attraper les gouttes de sperme restantes avant de les porter à sa bouche. Elle se sentait honteuse comme une enfant qui lécherait ses doigts plein de confiture avant que ses parents n’arrivent. Sauf qu’elle aimait la confiture, et n’aurait jamais imaginé devoir lécher du sperme en cachette.« -Ou alors on aurait pu verser de la bière dans le verre, ça serait passé inaperçu aussi ». Précisa Jérôme. « Mais comme ça tu pourras être fière d’avoir eu une ration complète héhé, quand on fait les choses, autant les faire à fond. »Et bizarrement elle se sentit fière, Sandrine n’avait sans doute pas eu la ration complète, elle. La voyant sourire Jérôme lui dit « dis donc avec toi je sens qu’on peut bien s’amuser. » Il bâilla « mais ce soir je suis trop bourré pour autre chose, alors je paie l’addition et on se revoit demain ?-Non, non c’est moi qui t’ai invité c’est moi qui paie. »Elle ne voulait surtout pas laisser une mauvaise impression, ils se séparèrent donc à la sortie du resto et Marie rentra vite se coucher essayant de penser le moins possible à ce qu’il venait de se passer.
