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Deux soeurs, un souhait

Chapitre 2

Trash
Résumé : Marie et Sandrine ont chacune fait un vœu : que l’autre sœur soit plus garce qu’elles-même. Face à ce souhait, les deux sœurs se sentent prise de pulsions qu’elles comprennent mal…
--------------JOUR 2------------
Au petit déjeuner, sans savoir pourquoi, Sandrine avait honte. Elle n’osait regarder Marie sa sœur, qui elle au contraire la toisait. Marie avait les mots qui lui brûlaient la langue, mais sa conscience refusait de les lui laisser sortir. Ce n’est qu’après avoir bu son café qu’elle ne put plus se contenir et lui raconta ce qu’elle avait accompli la veille :
« Dis, tu connais Jérôme ? »
Jérôme se demanda Sandrine, ah oui, elle lui avait parlé bouffe et resto se rappela-t-elle. Fallait-il donc que tout tourne autour de la bouffe quand on parlait entre gros ?
« Oui, Jérôme je lui ai déjà parlé en cours. répondit Sandrine-Bon et bien devine… j’ai avalé !-Avaler ? Avaler quoi ?— Avaler son sperme pardi ! Toute une ration !
Sandrine resta un instant sur le choc, sa sœur avait sucé un mec et elle s’en vantait. Normalement Marie aurait dû gêne horrible, mais au contraire c’était elle, qui avait envie de se cacher.
« -Je vais le revoir aujourd’hui… C’est bien possible que j’ai droit à un deuxième service ! »
Sandrine, se sentait peu à peu pris d’une honte intolérable… Sa sœur était plus garce qu’elle, cela elle ne pouvait le toléré à aucun prix, il fallait absolument qu’elle lui prouve le contraire, lui montrer que c’était elle la garce. Mais en attendant le regard de sa sœur la liquéfiait sur place, elle ne pouvait rester une second de plus devant Marie. Elle murmura alors :
« Ah, c’est bien. Je dois partir, je vais en salle de sport en ce moment… Pour perdre du poids. »
Marie la regarda partir avec pitié et lui souhaita une bonne journée. Elle était de bonne humeur ; elle s’angoissait tellement hier… Mais enfin de compte sa sœur n’arrivait pas à son ‘’niveau.’’ Elle avait juste bu un peu de sperme de Jérôme et elle se sentait bien. Peut-être était-elle amoureuse pensa-t-elle.Cependant elle en doutait : lorsqu’elle croisa Jérôme à la fac et que celui-ci voulu l’embrasser, elle le laissa faire, mais chercha au plus vite possible l’air libre. L’haleine de Jérôme était peut-être en cause mais elle voulait surtout éviter sa langue inquisitrice.

« Eh bien, tu n’aimes pas les grandes effusions.-Ah oui, écoute hier je devais être saoul alors tu vois…-Vraiment ? Pourtant on s’amusait bien, et puis c’est surtout moi qui aie bu… Enfin pour l’alcool, en ce qui concerne le reste…-Chut ! Bon, c’est vrai qu’on c’est bien amusé mais on devrait en rester là.-En rester là, pff. Si tu veux, mais tu me dois quand même un petit cadeau. Je veux dire –et il regarda autour de lui, il n’y avait pas grand monde- toi t’as eu ce que tu voulais, mais pour moi ce n’était pas très drôle seul dans les W.C.
Marie se rappela aussi le deuxième service dont elle s’était vantée auprès de sa sœur, elle ne pouvait pas décemment se dédire. Elle avait prouvé à sa sœur qu’elle était loin d’être prude, elle ne pouvait plus faire machine arrière.« Bon d’accord je te vois après les cours derrière le bâtiment C ; il n’y a jamais personne là-bas. »

************

Sandrine, elle, était désespérée. Toutes les autres filles dans la salle de sport semblaient plus minces qu’elle. Elle n’avait aucune chance de se montrer meilleure que sa sœur ! Et c’est les yeux humides qu’un coach l’aborda.
« Et bien qu’est ce qui ne va pas ? Je parie qu’un mec a été salaud avec vous, alors vous êtes venu vous venger dans le sport… pour devenir plus belle que la gonzesse qu’il reluquait !
Sandrine le regarda et sentit ses défenses céder. Comment pourra-t-elle être plus belle que ça sœur ?
« -Naaann ! Je suis moche, j’ai un gros cul, des cuisses d’hippopotame et de tout petit seins, à côté de ma sœur je serais toujours une gourde !-Allons ! Allons ! Je peux vous assurer qu’en un mois, si vous pratiqué du sport régulièrement vous ne vous reconnaitrez plus… Vous avez vu les photos avant-après à l’accueil ? Et bien je peux vous assurez qu’elles sont vrai !— Un mois ! Mais je ne pourrais jamais supporter d’être à la traîne de ma sœur pendant un mois ! Autant crever tout de suite.
Le coach commençait à trouver que cette petite grosse attirait bien trop l’attention.
« Calmez-vous je vous en prie, vous faites de l’effort et vous serez vite récompensé. Et puis il y a des hommes qui aiment les femmes moins fines.-C’est faux. Bouuhouu !-Mais si, tenez ma petite amie fait un près votre mass… enfin votre poids.-Vous mentez ! Vous mentez ! Vous sortez avec une mince je suis sûr !-Non ! Vraiment ! »
Le coach commençait à paniquer il fallait qu’il trouve un moyen de se débarrasser d’elle. Avoir une hystérique dans son établissement c’était la garantie de faire fuir les clients.
« Écoutez, donnez-moi une heure, je connais quelqu’un ici à qui vous plairez à coup sûr.-C’est vrai ? Sniff…-Vrai de vrai !-Bon, de toute façon je ne bouge pas d’ici. Il faut que je continue de perdre du poids. »
Sandrine se calma, sécha ses larmes et recommença à courir sur le tapis de cardio.

************

Jérôme attendait derrière le bâtiment C. un espace assez désert avec pour seuls décors des poubelles dans un coin et un gros amas de buis mal entretenu au milieu d’une cour, le lieu favori des dealers et des amoureux indécollables. Il vit Marie arriver un peu hésitante, il se demandait ce qui lui passait par la tête ces derniers temps, un jour elle était prête à faire un tas de saloperies, et le lendemain elle ne voulait pas qu’il l’embrasse plus de 5 secondes. Quand elle arriva à sa hauteur, il lui demanda :
« Au fait Marie, je me demandais, pourquoi tu voulais diner hier soir avec moi, et maintenant tu souhaites qu’on se quitte, c’est bizarre...-Euh, ça doit être que, euh hier, j’ai été ébloui par ta virilité.-Tu te fous de moi ?!-Nan ! Hier, j’ai eu une impulsion, j’ai eu envie de prendre un risque avec toi. Et, je crois que c’est suffisant pour le moment.-Bon mais t’as pas changé d’avis pour ce qui est de me ‘’rafraîchir’‘ la queue, hein ? J’y ai pensé toute la matinée…. »
Marie regarda autour d’elle et s’agenouilla en soulevant sa jupe pour ne pas la salir... Elle dirigea sa main vers le jean de Jérôme et ouvrit sa braguette. Une grosse boule se formait dans un boxer rouge.
« Euh, comment je fais pour la sortir ?-Mets la main, n’hésite pas, ce n’est pas vraiment fragile, surtout quand elle est dur. »
Elle passe la main dans la braguette dégageant la masse de chair du vêtement. Le pénis se dressa alors soudainement juste devant son nez.
« Voilà, et maintenant tu n’as plus qu’à prendre mon sexe en bouche, tu le lèches et tu le suces en hochant un peu la tête, tu vois, rien de plus facile. »
Elle ouvrit largement la bouche et goba le membre. Elle s’amusa un peu à tourner la langue autour du gland. Elle le sentait frémir, et avança la tête laissant le chibre cogné contre ses joues. Elle trouvait cela plutôt amusant, quand Jérôme murmura :
« Merde ! Quelqu’un se ramène… Je crois que c’est une de nos prof, ne te lèves surtout pas, elle pourrait te voire. »
En effet, les buissons séparant le couple de la prof étaient assez hauts pour cacher le haut de la tête de Marie. Mais la prof se dirigeait vers eux, et elle finirait immanquablement par voir Marie à genoux. Jérôme analysa rapidement la situation et prit vite une décision :
«Ok, on va se déplacer vers la haie, tu entres dedans et je me mets devant comme ça, elle ne pourra pas te voir… et tu pourras même continuer à me sucer.-Quoi, mais on finira ça une fois qu’elle sera passé !-Nan, c’est excitant, allez fait pas ta vierge effarouché, continues à me sucer s’il te plaît ! »
Ce dernier argument sembla convaincre Marie, être effarouché est bien la dernière qu’elle voulait ! Ils se déplacèrent donc vers les buissons, Marie accroupi recula gardant le pénis en bouche, elle marcha plusieurs fois sur sa jupe, mais parvint jusqu’aux arbustes. Il y avait bien plus de branche que ce qu’elle pensait… il était impossible qu’elle puisse entrer dedans ! Elle chercha à se dégager mais Jérôme ne lui laissa pas de choix la poussant par son appendice, il cognait contre sa gorge et elle fut forcée de reculer. Elle sentit les branches lui griffer la peau, déchirer ses vêtements. L’une d’elles essaya de se figer dans son anus heureusement sa culotte la protégea, mais cela la grattait, d’autre se frottait sur ses seins et les feuilles chatouillait son visage. La branche qui faisait pression sur son trou du cul commença à se tordre et à casser, lui donnant une furieuse envie de se gratter le fion.
Pendant que Marie se tortillait, Jérôme alluma une cigarette pour se donner une contenance. Le prof lui souhaita le bonjour, et Jérôme de peur d’exulter en lui parlant se contentât d’un simple signe de tête. Se faire sucer par une fille dans un buisson pendant qu’une de ses profs passait l’échauffait énormément. Marie malgré la gêne que lui infligeait les branches et la terrible irritation de son cul continuait à le sucer, elle souhaitait en finir le plus vite possible, et bougea sa bouche le long du pénis par saccades rapides. Lorsqu’elle sentit le pénis gonfler et une pression se former, elle se rappela le goût acre de la semence bu la veille et écarta sa bouche du pénis, laissant Jérôme éjaculer sur son visage.
Ce dernier fut déçu qu’elle ne garda pas son membre en bouche pendant qu’il jouissait ; elle avait bien voulu avaler hier… il replaça rapidement son sexe dans son pantalon et sur un désinvolte « à plus » il partit.
Marie, libéré, eu comme premier réflexe de baisser un peu sa culotte pour se frotter l’anus… la démangeaison était insoutenable ! Poussant un soupir de soulagement, elle commença à se dégager lentement du buisson, ce n’était pas facile elle ne voulait pas que les branches lui entaille encore plus ses habits. C’est alors qu’elle entendit la porte du bâtiment C s’ouvrir. Elle reconnut Francis, bien connu de tous comme un voyou. Il était notoire qu’il n’avait demandé à entrer en fac que pour dealer aux étudiants plus facilement. Et des rumeurs encore plus sinistres circulaient sur lui.
Surprise, Marie en eu la respiration coupé, alors qu’elle allait quitter le buisson elle se propulsa en arrière faisant de nombreuses déchirures dans la toile de sa jupe. Si elle sortait avec le visage couvert de sperme elle se demanda ce qui lui arriverait… Les hypothèses les plus horribles lui vinrent en tête. Sa position était atrocement inconfortable, les branches l’empêchaient de bouger les bras et de se nettoyer le visage. Sa culotte depuis qu’elle l’avait descendu, ne la protégeait plus, et une branche se ficha à l’entrée de son vagin les feuilles lui frottant le clitoris, son anus commença à la gratter à nouveau. Elle pensa remonter sa culotte mais ses mains étaient prisent par les branches, et elle aurait trop attiré l’attention.
Pendant ce temps, Francis regardait aux alentours, vérifiant que des flics ou un des gardiens de la fac ne se pointaient pas, il attendait visiblement un client.
Un oiseau se posa sur le buisson au-dessus d’elle, elle eut peur qu’il n’attire l’attention de Francis et pour l’effrayer elle bougea un peu, la branche placé contre son vagin lui cogna alors dans l’urètre lui donnant furieusement envie de pisser. L’oiseau, lui, continuait à gazouiller sans se préoccuper d’elle. Le sperme sur son visage avait fini de couler, laissant de longues traces blanches et sèches. Non seulement cela la démangeait mais avoir du sperme sur le visage la répugnait, heureusement cela la distrayait de la pression de plus en plus forte sur sa vessie.
Elle attendit ainsi une dizaine de minutes quand Francis s’exclama « Hey Guillaume, ici ! » Mais plutôt que d’attendre que son client arrive, il décida de se déplacer vers lui. En quelques secondes il n’était plus qu’à quelques mètres de Marie. C’était trop de stress pour elle qui laissa échapper un long jet d’urine.
Elle se cru perdu, mais heureusement, sa culotte fit rempart avec le sol, et l’urine s’écoula doucement trempant le sous-vêtement et mouillant ses jambes ; mais le jet n’était plus qu’un simple filet coulant de la culotte, ainsi Francis ne sembla pas remarquer qu’une fille se pissait dessus à 50 centimètres de lui. Plus gênant, fut que le sol commença à se tremper, ses jambes s’enfonçant dans la terre humidifiée. C’est alors qu’elle vit du coin de l’œil quelque chose se précipiter vers elle ! Elle eut le temps de tourner la tête et se prépara à crier quand elle sentit que la chose pénétra et s’engouffra dans sa bouche ouverte. Il ne lui fallut que quelques secondes pour comprendre que l’oiseau venait de fienter.
Le goût était atroce, écœurant elle ne souvenait pas avoir eu quelque chose d’aussi horrible dans sa bouche, le sperme bu la vieille lui semblait mille fois préférable, et cela avait rempli toute sa cavité buccale. Des morceaux semblaient coincés entre ses dents, mais la majeure partie reposait sur sa langue. Se plaindre intérieurement de sa malchance ne lui fit aucun bien, car une seconde dose de fiente lui tomba sur le visage en plein front propulsant de l’urine blanche et sèche dans ses cheveux.Le deal semblait prendre du temps, Guillaume rechignait à payer le prix demandé. « Mais paie abruti » pensa Marie, elle salivait abondamment pour se débarrasser de l’ignoble goût qui lui pourrissait la bouche. Elle avait aussi sentit les fèces de l’oiseau descendre le long de sa gorge, il lui semblait qu’un morceau était resté coincé à un niveau de son œsophage, elle savait que les fientes étaient collante et se demanda s’il était possible que de la fiente se retrouve ainsi bloqué. Ce qui était sûr, c’était que le répugnant goût de l’excrément ne voulait pas quitter sa bouche.
Elle remarqua aussi que l’humidité de la terre avait réveillé quelques insectes. Elle pria pour qu’il passe à côté d’elle, mais un mille-pattes sembla vouloir lui monter le long de sa jambe. Elle recommença à paniquer, et urina de plus belle. Par chance l’urine coula le long de sa jambe droite faisant tomber l’insecte. Mais à présent à chaque chatouillis de feuilles ou de branche elle craignait que des scarabées ou d’autres bestioles ne lui grimpent dessus.
« Bon, d’accord, si c’est de la bonne je te contact par le même numéro. »
Le deal prenait fin, et quand les deux hommes furent hors de vue, elle laissa échapper un soupire « Merci mon dieu ! Enfin ils partent ». Et elle respira un grand bol d’air ! Mal lui en prit, car lorsque l’air entra dans sa bouche il se mélangea à l’odeur et au goût de fiente puis s’infiltra dans sa trachée, cette bouffé d’air vicié lui provoqua un haut de cœur. Elle se vomit dessus.Quand elle sortit finalement du buis, elle ne ressemblait vraiment plus à rien. Sa culotte était trempée d’urine, sa jupe était déchirée laissant voir son sous-vêtement devenu d’un jaune translucide. Son chemisier était percé en de multiples endroits, mais était surtout couvert par son dégueulis. Ses jambes étaient couvertes d’un mélange de terre humidifié par son urine et de gerbe. Enfin son visage était enduit de sperme séché et de fientes d’oiseau, ses cheveux étaient complétement décoiffés, remplient de feuilles et décorés de mèches rendu blanche par les excréments du volatile, elle poussa un petit cri quand elle vit un perce-oreille tombé de sa coiffure.
Mais quelqu’un d’autre cria aussi. Elle regarda vers l’entrée et vit Sophie. Marie lui avait confié son sac avant de rejoindre Jérôme, et elle était venue inquiète de ne pas la voir revenir. Elle avait la main sur la bouche et était tétanisé par l’apparence de son amie. Reprenant un peu contenance elle s’approcha de Marie.
« Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?! Je t’ai vu sortir du bâtiment un peu après Jérôme, puis Francis est passé… Faut appeler les flics !-Non ! Ecoute, euh… » Elle regarda l’heure il était 17h53, elle avait à peine cinq minutes avant que les étudiants ne sorte de leur classes. Pas de temps à perdre. « Accompagne moi au W.C. et prévient-moi si que quelqu’un semble entrer, je t’expliquerai après.
Elle se précipita dans la fac suivit de Sophie, elle croisa quelques types un peu surpris, elle baisa la tête en espérant que personne ne la reconnaisse et s’enferma dans une cabine de W.C. Après s’être fait un minimum de toilette elle expliqua à Sophie comment elle s’était retrouvé dans la haie de buis, et lui demanda d’apporter quelque vêtements de rechange.

****************

Une heure avait passé depuis que le coach avait parlé avec Sandrine. Il savait qu’il fallait se débarrasser d’elle, et de manière définitive : ce genre de cliente prenait le sport comme remède à tous les malheurs n’hésitant pas à faire des scènes grotesque si les choses n’allaient pas dans leurs sens, accusant le club de fitness de ne servir à rien.
C’est alors que George entra. Sa solution. Jusqu’à présent George avait été son pire cauchemar, un type d’une soixantaine d’année presque chauve avec des yeux bigleux. On aurait tout aussi bien pu écrire pervers sur sa tête ça n’aura pas changé grand-chose.
Cependant améliorer le physique des gens était son métier, et il était prêt à relever tous les défis. Mais George ne faisait pas vraiment de sport, il passait bien plus de temps à essayer de draguer ses plus belles clientes et les faisait presque fuir. Aussi un plan s’était formé dans son esprit : c’était comme le principe de la prédation des espèces, La grosse faisait fuir les clients, le pervers ferait fuir la grosse. Le coach s’approcha de George et lui dit :
« Salut George, je voudrais savoir, qu’est-ce que tu penses de cette fille là-bas… assez jeune.-Hum, petite et grosse limite obèse presque pas de nibards… Ce n’est pas mon genre du tout. Moi ce que j’aime c’est les grandes suèdes fines, ou les hispaniques au cul ferme, ou les française avec des melons comme des…-Ok ok ! Mais écoute c’est quand la dernière fois que t’as baisé une de ses foutues mannequins ? Hein ? Alors que celle-là je t’assure elle a le feu au cul !— Je ne sais pas trop, tant qu’à faire je préfère me taper une pute bien rouler, gné gné.
Le coach ne broncha pas en entendant son ricanement vicieux, il se demandait s’il se tapait autre chose que des putains de toute façon.
« -Ecoute des clientes se sont plaintes de toi, alors je ne suis vraiment pas sûr de pouvoir renouveler ton abonnement tu sais…-C’est quoi ça ? Tu me fais du chantage pour que je la baise ? T’es sérieux ?— Plus ou moins », de toute façon, il ne comptait pas renouveler son abonnement.«Ecoute je te passe les clefs de la réserve t’as qu’à la conduire dedans, et là tu lui fais ce que tu veux, elle est chaude comme la braise elle te refusera rien. Montre lui les clefs dis-lui ce que tu vas lui faire, les pires cochonneries… elle est déjà trempée, alors c’est à peine si tu pourras aller jusqu’à la porte sans qu’elle ne te saute dessus.-Bon d’accord je vais me la farcir ta salope, mais c’est un monde vraiment… ce qu’il ne faut pas faire pour se maintenir en forme.-Parfait, laisse-moi lui parler 5 minutes et puis tu la rejoins. »
Le coach retourna voir Sandrine.
« Alors voilà y a un type, George, pas forcément un canon, mais il a vraiment flashé sur toi. Je suis sûr qu’il va te plaire, et tu verras qu’il n’a pas de problème avec ton physique. »
Sandrine hocha la tête. Le coach était assez content de lui. Quand George s’approcherai d’elle et lui adresserai quelques mots, il était sûr qu’elle partirait en courant. Il pourrait alors arguer que la présence de George était un problème pour les autres membres du club et il se débarrasserait ainsi de deux indésirables en même temps.
Quand George s’approcha de Sandrine, cette dernière pensa d’abord que ce ne pouvait être le type dont parlait le coach, il était vieux et laid. Rien que ses yeux semblaient la déshabiller et lui faire subir de terrible outrages. Mais il continua à avancer, et elle dut se résoudre à accepter qu’il s’agissait de George, elle espéra qu’il était beau parleur…
« Alors ma grosse, il parait que t’as le cul qui réclame sa dose ?-Oh, euh… je… Vous voulez bien qu’on ait une aventure alors ? Je vous plais ?-Tu me plais, tu me plais, ça reste à voir… pour l’instant Popol n’est pas vraiment au garde à vous. Mais avec de la bonne volonté je suis sûr qu’on peut y arriver, gné gné.-De la bonne volonté… D’accord qu’est-ce que voulez que je fasse ?-Là y a trop de monde, ma grosse, on n’est pas des animaux… alors on va aller là-bas. »
Il lui montra la porte de la réserve, et lui plaqua une main sur les fesses. La poussant hors du tapis de cardio.
« Allez ! On bouge son gros cul, et plus vite que ça ! T’es là pour faire du sport ou pas. » Il continuait à lui pousser le postérieur vers la porte.
« Gné gné, pousser des fesses pareils ça me rappelle quand je malaxe de la farine pour un gros gâteau, t’es un vrai dindon.»
Sandrine écarlate se laissa conduire, ou plutôt pousser, vers la porte ; certaines clientes la regardaient étonné, mais sans doute moins que le coach à qui George adressa un clin d’œil avant de refermer la porte de la réserve derrière eux.-Bon alors c’est quoi ton petit nom ?-Sandrine.-Sandrine, ça rime avec sardine ça, pas vraiment ton genre de poiscaille… Tu devrais t’appeler Thonrine. Parce que tu fais plutôt dans le thon toi, gné gné!-….-Alors t’attends quoi, que je vienne te pécher. Tu veux faire des galipettes non ? Alors commence à te désaper. »
Sandrine ne savait pas bien quoi faire. Mais elle était sûre que se taper un vieux sexagénaire était une chose que Marie n’aurait jamais osé faire, l’occasion de prendre sa revanche. Elle commença donc à retirer son jogging, laissant voire ses sous-vêtements.
« Oh, de la dentelle, mais t’es une grosse cochonne alors. Mais oui ! T’est pas un thon t’es une truie en fait… Tiens ça commence à m’exister ça, de baiser une truie… tu sais faire la truie ?-Euh, je me mets à quatre pattes peut-être ?-Voilà, les jambes par terre, qu’on voit les beaux gros jambons, et maintenant tu brailles comme une bonne truie !-Ouik ! Rhon ! Khon ! Gruik !-Plus fort !-GRUUUUIK ! OINNNNKKK ! OINNNNNNK !-Ah je commence à en avoir une demi-molle » dit George en retirant son pantalon. Pendant que George faisait glisser un slip sale, Sandrine se répétait dans la tête, « je dois le sucer comme ma sœur, je peux le faire, je peux le faire »-GRUUUIK ! Vous voulez que je la suce ? GROIIIINK ! -Oh, non je ne vais pas me faire sucer par une truie, j’ai ma dignité, gné gné !-Vous voulez me faire l’amour ? OINNNK !-Bientôt t’inquiète. » Il sortit un paquet de barre chocolatée de sa poche, en retira le plastique et le jeta par terre.-Voilà la truie, régale-toi un peu, mange comme un bon porc le ferait. Sans les mains, rien qu’avec le museau.
Mais Sandrine n’en avait pas franchement pas envie, elle voulait juste que George la prenne pas de s’humilier, surtout pas comme un porc. Elle reçut alors une grosse claque sur le cul ; des vagues de graisse se propagèrent le long de ses cuisses.
"Allez dépêche-toi ! Si tu ne veux pas que je perde mon érection faut se régaler ma truie !Et il donna une grosse claque sur sa fesse gauche pour faire bonne mesure. Sandrine s’approcha finalement de la barre chocolatée, et commença à la lécher délicatement évitant d’avaler la poussière. Elle reçût pour récompense une double claque sur son fessier.
« C’est quoi cette cochonne qui fait tant de manière ! Bourre-toi de la bonne bouffe gné gné ! Ou il faut que je te tienne la tête ? »
Sandrine baissa la tête au niveau du sol et mordit la barre à pleine dent. Elle se rendit compte qu’elle s’en mettait plein le visage écrasant une partie du chocolat contre ses joues, elle respirait aussi des moutons de poussières la faisant presque suffoquer. Cela n’empêcha pas George de continuer à claquer son arrière-train avec vigueur au rythme de : « Bouffe ! Truie ! Bouffe ! Truie ! »
Une fois la barre chocolatée finit George lui ficha sa culotte dans la bouche :
« En voilà une bonne truie, alors on ne peut pas la laisser la bouche vide, la pauvre, continue à mâcher, ce n’est pas quelques poils de chatte qui vont te gêner. »
Georges avait maintenant le sexe en érection et s’apprêtait à enfiler Sandrine lorsqu’il s’aperçut qu’elle n’était absolument pas mouillée. Pas un poil de lubrifié !
« Hey, la truie, je croyais que t’avais la chatte en feu, ça veut dire quoi ça ? »
A ce moment, Sandrine la culotte dans la bouche, le visage plein de chocolat et poussant de petits ’’oink’’ se demandait comment elle en était arrivée là. Mais il fallait qu’il la prenne, elle remua son postérieur comme une invite et essaya d’imiter au mieux le porc sans faire tomber sa culotte.
« Oink ! Grouuuikkk !-Et bien, je ne sais pas à quoi tu penses, mais tu dois être sacrément conne en tout cas. Comme une truie ! Gné gné ! En tout cas moi, j’aime les chattes humides, alors il va falloir remédier à ça. »
Sandrine pensa à tout ce qui pouvait l’exciter, se persuadant du mieux qu’elle put que faire la truie était un de ses fantasmes. Elle vit aussi George prendre une bouteille de produit réhydratant pour après-bronzage. Pendant qu’elle s’imaginait avec Brad Pitt en train de se faire posséder, elle sentit le doigt de George contre son anus. Il était doux, et son cul s’ouvrit un peu. Elle sentit alors un flot d’huile crémeuse se répandre dans son intestin.
« Ah voilà, une bonne truie au cul luisant. Tu sais que les truies ça mange leurs déjections ? Alors si tu manges du chocolat tu peux bien avoir dans le cul aussi. »
Sur ces mots il lui enfonça une autre barre chocolatée dans le cul. Une fois enfoncée à moitié, il s’amusa à l’enfoncer de quelques centimètres et à la remonter.
« Alors ça te fais mouillé ? Il fallait à la truie sa queue en tire-bouchon pour être heureuse ! »
Sandrine en effet avait réussi à s’exciter un peu, la barre chocolatée était assez moite et le caramel fondait dans son cul, elle sentit une vague de chaleur lui remonter le long du corps.
« Bon c’est bien beau tout ça, mais je vais pas salir mon tee-shirt. »
D’un coup il enfonça la barre chocolatée profondément dans le sphincter de Sandrine, puis il nettoya le chocolat autour de son trou de cul avec un mouchoir qu’il enfonça à son tour dans l’anus. Sandrine ressentit une douleur suffisamment vive, pour que quand George la pénétra déchirant son hymen elle le ressente que par contrecoup. George était déjà très excité, il sentit qu’il avait percé une membrane mais n’y accorda pas d’importance se concentrant sur son plaisir. Il commença à chanter, la pénétrant abruptement :
« Une petite cochonne, qui était vraiment très conne… Il s’interrompit lui donnant une grosse fessée. -Braille quand je te claque les fesses voyons ! T’es vraiment conne hein, et ne fais pas tomber ta culotte ! Je reprends :-Une petite cochonne, qui était vraiment très conne, -Khon ! Khon !-Mettez-lui la queue, elle donnera de la mouille !-Grouik !-Mettez-lui la queue, pour arroser ses œufs !-Grouiiik ! grouik !-Tirez la plus fort, on peut la baiser à mort ! »-Ouik ! »
Il continua ainsi plusieurs minutes claquant une fesse de Sandrine à chaque phrase et, s’emballant sur le rythme de la comptine, la percuta de plus en fort. Sentant qu’il allait jouir il cria « Je vais arroser tes œufs de conne de truuuuiiiiieeee ! » Se répandant à l’intérieur de Sandrine, il se laissa tomber sur son cul rouge en haletant lourdement. Celle-ci avait du mal à savoir si ce qu’elle ressentait était de la douleur, la barre chocolatée fondant dans le rectum et une bite engorgée dans le vagin était une sensation nouvelle qui lui bouleversait les sens. Mais si c’était du plaisir ce fut trop court pour qu’elle s’en rende compte, George avait fini son affaire bien avant qu’elle put essayer d’apprécier ce moment.
« Purée t’était vierge c’est vrai… je me fous du sang partout sur ma bite, conne de truie ! »
Il prit le soutien-gorge de de Sandrine et s’en servi pour s’essuyer la bite. « Bon, va falloir nettoyer toute la truie aussi » il arracha la culotte de la bouche de Sandrine pour la frotter contre son vagin. Sa culotte était suffisamment baveuse pour absorber le sperme et le sang qui coulaient de sa foufoune.
« Rha, et t‘as la bouche dégueulasse aussi » il prit le soutien-gorge et frictionna les bonnets sur les joues et les lèvres de Sandrine. Satisfait de son travail il déclara :
« C’est une bonne leçon pour une truie, quand on quitte une porcherie il faut savoir se laver avant gné gné ! -Je vous ai plu alors ?-Ouais ouais, ça allait cochonne, bon j’ai fait assez de sport pour aujourd’hui alors on se reverra une autre fois peut-être. »
Sur ce, juste après lui avoir donné son numéro de portable, il partit refermant la porte derrière lui. Sandrine hésitait à remettre sa culotte : elle était pleine de bave, de sperme et de chocolat. Mais il lui restait de la barre chocolatée fondue dans le cul et elle avait peur que cela ne coule le long de ses jambes devant tout le monde. Elle se rhabilla donc, remettant sa culotte avec dégoût, et se promettant de prendre une douche dès qu’elle rentrerait. Lorsqu’elle quitta la réserve le coach vint la voir en colère :
« Je n’aurais quand même pas cru que tu acceptes de baiser avec un type comme ça ! Je préférerais que tu ne reviennes plus ici, c’est un centre de fitness sérieux, pas un baisodrome. Alors fiche le camp vite fait, que je te revoie plus ! »
Sandrine, baissa la tête et rentra vite chez elle. Elle ne savait pas ce qui était plus humiliant d’avoir été baisé comme une truie ou que tout le monde dans la salle de fitness sache que n’importe quel vieux moche pouvait tirer son coup avec elle. Pourtant c’est un sourire qui se dessina sur son visage, jamais sa sœur n’aurait osé faire ça !
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