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Deux sœurs et une huile de massage

Chapitre unique

Inceste
Je me présente, moi c’est Audrey, 28 ans. Du haut de mes 1m68 je suis plutôt bien foutue avec mes seins bien ronds en 90C et mon ventre plat. J’ai une sœur, Marie, qui a 3 ans de plus que moi, dont j’ai toujours été très proche. Et malgré l’âge adulte nous avons toujours su garder notre complicité. Marie est une très jolie brune, un peu plus petite que moi et avec plus de formes. Nous habitons toutes les deux Paris ce qui nous permet de continuer à nous voir régulièrement malgré nos boulots et nos amis qui sont très différents.
Je dis que nous sommes très proches, c’est aussi le cas physiquement, on ne peut pas s’empêcher de se faire des papouilles dès qu’on se voit et on adore aussi se faire de vrais massages l’une à l’autre. La période de télétravail que nous traversons n’a pas aidé mes maux de dos récurrents. Alors un mardi soir particulièrement douloureux et après une journée exhaustive, Marie m’a proposé un petit massage à l’huile pour me soulager et me détendre. Comment refuser ?
J’ai donc retiré tout le haut avant de m’allonger sur son lit pour attendre que Marie commence son œuvre. Elle ne m’a pas déçu, c’était vraiment très agréable. Ces massages sont aussi d’importants moments de partage pour nous et la détente aidant nous parlons beaucoup. Ce soir-là justement ma sœur a souhaité me faire part de ses difficultés avec son copain du moment. Et surtout au lit. Nous n’en parlions pas si souvent, mais ce soir-là elle avait vraiment besoin d’extérioriser. Après plusieurs mois, toujours pas d’orgasme pour elle, il ne pense vraiment qu’à lui et même ses masturbations quand il est de sortie n’y font rien, Marie a besoin qu’on s’occupe d’elle. Mais malgré ses défauts de vieux macho elle l’aime et se retrouve donc un peu coincée.
Prise dans la conversation elle se perd un peu aux abords de mon short de pyjama. Perdu ou alors est-elle en train de se faire des idées ? Aidées par l’huile de massage ses mains commencent à glisser un peu trop vers mes fesses, plus que d’habitude. C’est très surprenant mais pas désagréable, alors je décide de ne rien dire et de profiter. Ça durera seulement quelques minutes mais ce passage a laissé des traces dans ma tête et des idées que je n’avais pas imaginées à l’égard de ma sœur. Tellement que le lendemain matin, après son départ je me suis caressée les fesses comme elle l’avait fait et j’ai été excitée comme je ne l’avais pas été depuis longtemps. J’ai commencé à mouiller très rapidement. J’ai donc commencé à passer ma main dans la culotte, j’ai caressé ma vulve d’abord doucement. J’étais déjà partie, j’avais besoin de plus, vite, alors j’ai inséré deux doigts dans mon vagin pour me pénétrer tout en caressant mon clitoris de la paume de la main. Si seulement ça pouvait être la main de Marie... 3 doigts, la paume de la main qui appuie de puis en plus fort. Puis l‘explosion, un flot de cyprine qui m‘inonde la main, le soulagement. Mais malgré mon esprit encore embué, l’idée avait germée, ma sœur était devenue un fantasme qui a accompagné toutes mes masturbations des jours qui ont suivi.
Jusqu’au jeudi suivant, où elle est revenue dormir chez moi. J’y avais tellement pensé, prise en tenaille entre le feu et la raison. L’interdit ultime face au plaisir intense. Et comment oser, au risque de tout gâcher. Chacune son tour, je lui ai proposé de lui faire un massage cette fois. Bien sûr elle n’a pas hésité et s’est mise torse nue allongée sur mon lit pendant que j’attrapais l’huile. Ce massage me donnait chaud comme j’avais il ne me donnait chaud auparavant. Comment faire ?Après tout elle avait profité de l’huile pour glisser sur mes fesses, je n’avais qu’à faire pareil. Puisqu’elle a des seins plus lourds que les miens ils débordent un peu sous son torse, je prends mon courage à deux mains et décide donc de m’en approcher dangereusement. Marie ne dit rien, j’insiste, je commence à perdre les pédales, guidée par mon envie. Je dérape de plus en plus, et tout à coup je les sens, ses tétons, durs comme du verre. Mais cette fois ça ne passe pas, elle se retourne brusquement.
— Qu’est-ce que tu fous Audrey ?!
Mais tout en disant ça, nos regards se croisent, elle peut lire l’intense envie dans mes yeux. Ça la calme aussi tôt.
— Alors tu as compris quand je t’ai caressé les fesses la dernière fois ? Toi aussi tu en as envie ?
Pas besoin de réponse, mon regard plongé dans le sien, je plonge aussi mes lèvres sur les siennes pour échanger un baiser d’une intensité sans égal. En se retournant elle m’a offert ses seins, j’en profite pour continuer le travail commencé durant le massage et je retrouve avec plaisir ses tétons que je pince tout en massant le globe charnu. Je romps notre baiser pour descendre dans son cou, puis sur son sein droit. J’attrape son téton pour alterner entre suçotage et mordillement. Marie commence à gémir, elle adore ça. Elle ne veut pas être en reste et retire mon haut pour venir gober mes seins à son tour. Elle commence surtout à diriger ses mains vers mes fesses. Dès qu’elle glisse ses mains dans mon pantalon j’ai un flash du dernier massage et je ne peux retenir un puissant gémissement. Marie relève alors sa tête et quand nos regards se croisent le message est clair, il faut aller plus loin, vite, nos corps brûlent.
Je prends les devants une nouvelle fois pour lui retirer son pantalon, elle porte un très beau string noir en dentelle. Elle n’en porte pas souvent, je crois qu’elle avait vraiment une idée derrière la tête. Mais pas le temps de m’y attarder, son string prend le même chemin que son pantalon et je découvre sa petite chatte toute rose et surtout luisante de mouille. Une véritable invitation, et je ne m’en prive pas, je me jette sur la première chatte de ma vie et c’est délicieux, j’enchaine les coups de langue sur ses grandes lèvres, ces petites lèvres, j’ai envie de tout savourer. Je débusque comme une perle son clitoris pour le prendre en bouche, j’essaie de lui faire ce que j’aime qu’on me fasse. Je la sens monter alors j’ajoute un doigt dans son vagin. Je suis sans doute maladroite mais j’y met tout mon cœur et ça semble fonctionner. La respiration de Marie devient de plus en plus saccadée. Ni une ni deux j’utilise la botte secrète d’un de mes exs et j’aspire son clito très fermement tout en recourbant mon doigt dans son vagin. Il ne faut pas longtemps pour que l’effet se fasse sentir, Marie commence à crier, ses cuisses se serrent autour de ma tête, et contre toute attente elle me gicle dessus en hurlant, j’en ai plein sur le visage.
— Ahhhh Audrey, c’est la première fois, tu es extraordinaire !!
A peine le temps de se remettre de ses émotions, elle veut me rendre la pareille. Elle retire à son tour mon pantalon et la culotte avec, elle est pressée cette gourmande. Je suis complètement trempée avec tout ce que nous venons de vivre, elle le voit comme un appel et se jette sur ma vulve à pleine langue. Je sais qu’elle a déjà eu quelques expériences avec d’autres femmes, et elle profite de son expérience pour me donner un plaisir extraordinaire. Avant de s’attaquer à mon clitoris elle aspire mes petites lèvres, je chavire déjà. Puis alterne en donnant de petits coups de langues sur mon bouton magique. Soudain elle s’arrête. Je pousse un cri de frustration, pas maintenant. Elle se relève, je ne comprends pas. Jusqu’à ce qu’elle sorte de son sac un petit stimulateur clitoridien sans contact. Elle avait donc vraiment tout prévu. Elle se précipite pour ne pas me laisser sur ma faim, quelques coups de langue, puis met en marche son sextoy. C’est une véritable révélation pour moi. Ses sensations ne ressemblent à aucune autre et je crois que je ferai assez vite le même achat. Bien sûr je pourrai jouir comme ça mais Marie a envie de profiter de mon corps avant tout. En maintenant le jouet en place elle replonge sa langue sur ma vulve pour boire à la source. C’est tellement intense que je n’arrive même plus à émettre le moindre son. Je tremble de partout, cette route vers l’orgasme est la plus intense que je n’ai jamais connu. C’est le moment que choisi ma sœur pour planter un doigt dans mon anus, lubrifié par mon abondante cyprine. Et c’est l’apothéose, un vrai feu d’artifice partout dans mon corps et dans ma tête. Je jouis plus fort que jamais.
Marie remonte pour m’embrasser, nous nous enlaçons tendrement, nues, et nous endormons dans les bras l’une de l’autre.
Ce soir-là notre complicité a encore gagné en intensité. Mais je crois que c’était clair pour nous deux, il ne s’agissait que d’une seule fois. Ma sœur en avait besoin, j’avais réalisé mon fantasme tout récent. Nous étions comblées. Ce fut d’ailleurs un déclic pour Marie qui a quitté son copain le lendemain et qui en a depuis trouvé un nouveau qui la comble. Nous nous voyons toujours beaucoup et nous nous massons toujours autant mais désormais seul notre dos en profite.
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