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La Deuxième fois - L'ordinateur

Chapitre 1

Gay
La deuxième fois – L’ordinateur
Suite au week-end du chalet, la gêne se dissipait entre mon ami et moi. Nous n’avions pas reparlé de cet épisode de tripotage.Un midi, après s’être assuré que je n’avais pas de cours tout de suite après le dîner, il m’invite chez lui.
– Apporte ton lunch et allons dîner chez moi, je te montrerai notre nouvel ordinateur ! Un Commodore Vic-20.— Tes parents sont là ?— Non, ils travaillent.— Ok ! Je n’ai jamais vue ça un Vic-20 !
Nous marchons jusque chez-lui, environs 10 minutes de marche. En chemin, nous reparlons du week-end au chalet.
— Je sais que tu n’es pas attiré par les hommes comme moi, mais tu as été super cochon la dernière fois au chalet.— J’ai encore du mal à m’expliquer ce que j’ai fait. C’est toi qui es cochon. Tu as avalé mon sperme après m’avoir fait cette pipe du tonnerre.— Oui, j’étais trop excité. J’étais curieux de sentir l’effet et le goût d’un autre sperme que le mien. J’ai adoré, même si j’ai eu de la difficulté à tout avaler car tu me giclais ça à grand flot ! m’avoua-t-il.— Je serais incapable de faire ça. Je ne comprends même pas comment j’ai pu te sucer, moi qui ai toujours fantasmé sur les femmes, je rétorque.
Comme il se doit, l’évocation de cette nuit de découvertes nous fait bander.
— Hey, tu as une bosse dans le pantalon, qu’il me dit.
— Toi aussi on dirait !
Et nous avons rit. Arrivé chez-lui, je dépose mon «lunch» dans la cuisine et le suis au sous-sol, jusqu’à l’atelier de son père. Après avoir déplacé quelques boites, il en sort une de sous l’établi sur laquelle nous pouvons lire «guenilles».
— Tu ne devineras jamais ce que j’ai trouvé là-dedans l’autre jour, me dit-il en ouvrant la boîte en question.
Sur ce, il l’ouvre, déplace les guenilles et en sort quelques magazines. Des Play-boys!
— Cool, de belles femmes nues ! Je m’exclame tout excité.
Nous nous emparons chacun d’un magazine et commençons à en feuilleter les pages avec curiosité dans un premier temps, puis avec avidité par la suite. Nous avons devant nous de superbes femmes nues, le sexe bien en vue ; des sexes de blondes, de rousses, de brunes.
Ce faisant, je remarque qu’il jette des coups d’œil dans ma direction regardant alternativement les images qui me branchent et la bosse qui tend mon pantalon. Il nous faut peu de temps pour que nos queues respectives atteignent leur inconfortable mais néanmoins, plein potentiel. Bien que connaissant fort bien sa réponse, je lui demande poliment :
— Ça ne te dérange pas si je sors ma queue. C’est trop serré dans mon jean ? — Te gène pas. J’espérais justement revoir ta grosse queue !— Espèce de pervers, lui dis-je en riant.
Pour être honnête, je souhaitais à ce moment sentir ma queue aspirée dans le velours de sa bouche, sentir sa chaleur moite, les mouvements de sa langue sur mon gland. C’est ainsi que, beaucoup moins innocemment que la première fois, je défaisais ma braguette et laissais descendre mon jean, mon slip sous mes genoux. Rapidement, il se mit lui aussi à son aise laissant sa queue se dresser librement. Tournant de plus en plus avidement les pages de nos Play Boy respectifs, nous y allons de commentaires et qualificatifs non équivoques sur les jolies femmes nues posant dans une variété de positions, toutes aussi bandantes les unes que les autres. Je me masturbais lentement pendant qu’il faisait de même. Tout comme lors de notre première nuit, mon «précum» perlait abondamment et je m’en servais pour faire glisser mes doigts tout autour de mon gland, caresse hautement jouissive pour moi. Je sais bien qu’à ce rythme, l’orgasme ne tardera pas mais qu’il sera d’autant plus spectaculaire si j’arrive à le contenir plus longtemps. C’est bien ce que m’ont appris mes séances de masturbations quotidiennes. Je tente tant bien que mal de distraire cette jouissance lorsque je remarque un ruban à mesurer sur l’établi. Je m’en empare et rompant le charme, je propose de mesurer nos pénis.
-Je suis curieux de voir de combien ta queue est plus longue que la mienne. Aide-moi!
Bien entendu, mon ami ne se le fait pas dire deux fois et s’empare aussitôt de mon pénis. Électrisé par les récentes caresses qu’il a reçues, il s’embrase carrément. Je retire promptement sa main.
— Non, pas comme ça! Avec le ruban. Mesure-la. — Ah, désolé, dit-il en riant.
Le salaud avait eu suffisamment de temps pour prendre le pouls du trouble, que son attouchement avait créé chez moi.
— 16 centimètres, déclare-t-il après avoir finalement obtempéré.
Puis, déplaçant le ruban pour encercler ma bite:
— 13 cm de circonférence ! Tu me mesures aussi ?
Évidemment, je sais bien que ça va le titiller que je touche sa queue. Par contre, je ne m’attends pas au trouble que ce toucher me fait ressentir. J’annonce :
— 19 cm pour la longueur ! 12 pour la circonférence !— La mienne est plus grosse, mais la tienne est nettement plus longue ! Lui dis-je.
Nous avons rit et recommencé notre lecture qui ne nécessite en fait, aucune lecture !
Je reprends mon membre en main qui est encore fièrement redressé. Idem pour mon copain. Nous nous jetons des regards du coin de l’œil de temps à autre, nous matant mutuellement la queue. Le «précum» perle de plus belle. Tant et si bien qu’il sert maintenant de lubrifiant à mes mouvements de va et vient, augmentant d’autant le plaisir que je ressens.
— Regarde cette belle rousse avec des taches de rousseur ! J’aimerais baiser avec elle !— Espère toujours ! Tu ne la verras jamais de ta vie. Tu ne peux que te branler ou te faire branler en t’imaginant avec elle!
Disant cela, il repousse ma main et s’empare encore de ma queue. Aidé du «précum» et de sa salive, ses doigts glissent le long de ma verge. Parfois lorsque sa main rejoint mon gland, il dirige sa paume à son sommet pour y recueillir le précieux lubrifiant que je secrète maintenant avec abondance. Des frissons de plaisir traversent mon corps. J’adore ça! Je vois bien qu’il aimerait en faire plus. D’ailleurs, il ne regarde plus le Play Boy n’ayant d’yeux que pour le membre qu’il branle, tantôt d’une main, tantôt des deux.
— Prends ma queue! Me dit-il.
J’agis plus vite que je réfléchis. Je l’empoigne à mon tour et commence le va-et vient. Je ferme les yeux et revoies la moule de la rousse, celle dont les lèvres s’affichent telles les pétales d’une rose en train d’éclore.
Puis s’agenouillant devant moi, il se positionne pour enfin me sucer, sans avertissement. De son autre main, il récolta avec un doigt mon «précum» pour ensuite s’emparer de mes fesses et descendre dans ma raie jusqu’à ma vierge rondelle. Son doigt humide et lubrifié en fait plusieurs fois le tour, exerçant une insistante pression vers l’intérieur. Je me laisse aller à cette nouvelle sensation. Je ne sais pas trop si j’aime ça mais les spasmes qui secouent ma queue me révèlent qu’elle au moins en profite pleinement. Puis son doigt tente de pénétrer mon anus. Je sursaute. C’est douloureux. Sentant mon inconfort, mon ami retire rapidement sa main me regardant un peu piteusement.
— Hey, on fait un petit concours. Celui qui éjacule le plus et le plus loin ! J’ai toujours eu l’esprit compétitif….— Cool ! Ok on fait ça.
Nous posons nos fesses nues sur le banc, le pantalon aux chevilles, côte-à-côte, nous reprenons notre masturbation mutuelle, très attentifs à la main qui nous branle. Mon excitation à son comble, je repense à sa main sur mes fesses, à son doigt massant ma rondelle, à cette belle rousse de la page centrale du Play-Boy. Je tente de retenir l’orgasme qui tente de me foudroyer puis, n’y tenant plus, je le laisse me traverser de part en part. J’ai vaguement conscience de mes prouesses éjaculatoires la première ayant échouée sur mon torse alors que la deuxième, plus énergique rejoint mon cou. Deux autres atterrirent sur mon ventre et la dernière dans mes poils pubiens. Je tourne la tête voyant qu’il n’a pas perdu une seconde de ce spectacle dont il est le seul à assister.
Ayant stoppé ma gestuelle masturbatoire le temps que s’apaise l’orage de l’orgasme, je reprends mes mouvements de va-et-vient sur le membre de mon ami. En peu de temps, je vois son corps se raidir, sa respiration s’accélérer, il se crispe comme pour repousser l’éjaculation imminente, et n’y tenant plus, il laisse échapper un cri rauque suivi d’une salve de foutre qui passa par-dessus sa tête et atterri sur le mur arrière. La seconde giclé éclaboussa son visage et il en reçu même dans la bouche l’ayant ouverte comme si il s’amusait à attraper sa propre semence. Son dernier spasme rempli son nombril qui formait un creux.
— Wow, c’est un lance-rocket que tu as là, dis-je en riant !— Et toi une mitraillette ! En riant aussi ! — J’ai gagné pour la quantité mais tu as gagné pour la distance.
Nous prenons chacun une guenille dans la boîte, question de faire disparaître toutes traces de nos bombardements lesquels ruisselaient de nos corps sans oublier l’impact sur le mur. Nous nous reculottons, replaçons les magazines, les guenilles, même celles souillées et les autres boîtes comme si de rien n’était. Au même moment, une voix se fit entendre du premier étage. Son frère était revenu plus tôt lui aussi…
— Hey le frère, t’es où ? C’est à qui cette boite à lunch ?— On monte tout de suite et touche pas au lunch de mon ami !
Nous remontons le souffle court, réalisant que s’en était fallut de peu que l’on se fasse prendre durant notre petit divertissement.
— Je suis allé montrer à mon ami notre nouvel ordinateur VIC-20 que papa a acheté.— Il est super notre ordi hein ! Nous sommes dans les premiers de la ville à en avoir un, se vante son frère en se tournant vers moi.— Oh oui, vous avez de la chance. Super le Commodore ! Que je réponds un peu paniqué devant l’éventualité qu’il me questionne à ce sujet vu que je n’en avais seulement pas entrevu la couleur.
Ceci conclu notre deuxième aventure…Clique j’aime pour une conclusion !
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