Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 63 J'aime
  • 7 Commentaires

Deuxième première

Chapitre 1

Gay
Je n’ai pas eu de nouvelles d’André et ne suis pas retourné sur le site de rencontres depuis environ neuf mois maintenant.
Un vendredi soir, je décide de prendre un whisky en écoutant de la musique... puis un deuxième, un troisième et un quatrième. Le dernier verre provoque en moi le désir de sexe avec un mec... l’envie soudaine d’une queue !Je retourne alors sur le même site gay.Rapidement, je suis abordé par Daniel, un actif de 64 ans avec comme titre de profil : gros juteur bien monté pour passif - inexpérimenté bienvenue !Nous échangeons un bon moment sur les envies, les goûts, les expériences, etc. de chacun, ainsi que nos photos... il est plus grand que moi, très costaud et sa queue me semble énorme ! Pas très longue, mais extrêmement épaisse. Les messages ainsi que les verres de whisky s’enchaînent jusque tard dans la nuit.
Quand je me réveille le lendemain, l’horloge indique 11h06. J’ ai la gorge sèche, affreusement mal au crâne et un terrible goût de whisky dans la bouche. Doucement, je reprends mes esprits et m’aperçois que je bande comme un âne ! Des images de grosse queue, de foutre et d’éjaculation faciale me passent par la tête.Je me souviens vaguement du chat d’hier avec ce mec mûr... Daniel, je crois.
Café à la main, je me rends dans le salon et ouvre l’ordinateur pour y redécouvrir mes échanges d’hier ! Je reprends notre conversation depuis le début: On se présente, on aborde mon manque d’expérience, les premières photos parmi lesquelles se trouve celle de sa bite qui me paraissait si grosse et qui se trouve être mon dernier souvenir de la soirée. Elle est surtout responsable de ma première pensée matinale ! Mais en faisant défiler l’écran, je lis que Daniel adore jouir dans la bouche ainsi que sur le visage de ses partenaires et qu’il n’a pas éjaculé depuis plusieurs jours.
Je réponds que c’est un de mes grands fantasmes - recevoir des giclées de sperme sur mon visage, me faire remplir la bouche puis d’avaler une grosse charge d’un homme mûr...Il est tout à fait conscient qu’une pénétration ne sera peut-être pas très longue ou même impossible lors d’une éventuelle première rencontre (il connaît bien la taille de sa queue !). Néanmoins, il aime les photos de mon trou qu’il adorerait bouffer, pénétrer et « former ».
Plus bas encore « je découvre » qu’on a convenu de se rencontrer cet après-midi, juste pour faire connaissance. Il doit venir me chercher en bas de chez moi et nous conduire sur un parking discret aux abords du bois qui est à quelques kilomètres de mon appartement. Tout cela vers 18h, quand il fera déjà nuit.Mais ce n’est pas tout !En nous relisant, je comprends mieux ces images de grosse queue et de sperme du réveil : « on passera tous deux sur la banquette arrière et je te laisserai découvrir mon sexe ». Sur quoi je réponds : « même si le courant ne passe pas entre nous et/ou que je ne me sens pas bien, je promets d’au moins te branler pour que tu ne te sois pas retenu aussi longtemps, ni que tu sois venu pour rien ».Il promet de me ramener, quelle que soit l’issue, puisqu’il fait nuit tôt en cette période de l’année et même si de toute manière, le bois n’est pas trop loin de chez moi.
Là je commence à baliser. Comment ai-je pu me saouler au point de convenir d’une telle chose et ne pas m’en souvenir ?Je décide de me détendre, après tout nous n’avons pas échangé les numéros de téléphone et il n’est même pas encore midi...
Je vaque à mes occupations et lorsque je rentre des courses, il est peu avant 17h. J’ai toujours la gueule de bois et cet affreux goût de whisky dans la bouche. Je commence à penser à cette rencontre éventuelle. Je retourne sur le site gay puis sur notre chat afin de revoir les photos du sexe de Daniel. Ni une ni deux, je recommence à bander dur ! Le doute s’installe et devinez ce que je décide de faire : me servir un whisky ! Ce premier verre a vraiment du mal à passer et me donne des frissons. J’avale cul sec et décide de soigner le mal par le mal, donc j’en prends un second. Celui-ci agit sur moi comme un puissant aphrodisiaque. J’hésite à me branler ou plutôt je lutte avec moi-même pour ne pas le faire. Si je jouis, il est certain que je n’irai pas au rendez-vous !
Je vais prendre une douche, ça fera du bien et me changera les esprits. Pour la première fois, je décide de m’épiler le derrière avec de la crème qu’a laissée Sylvie. En me rinçant, j’en profite pour faire un petit lavement. Une fois séché, je ne peux m’empêcher de caresser mon petit œillet. C’est tout doux et très agréable de le toucher. Ça m’excite !
Toujours nu, je me dirige vers le lit et ouvre le tiroir de la table de nuit : le tube de lubrifiant s’y trouve toujours ! Je me relève et vais en direction de la cuisine. J’ai une grosse seringue qui me sert à injecter de la marinade dans les grillades d’été et j’attrape une banane au passage. De retour sur mon lit, je remplis la seringue de gel et injecte le contenu dans mon intestin. Mon trou est doux et j’arrive sans peine à y insérer un puis deux doigts. Je recouvre alors la banane d’une capote et commence lentement à me goder avec. C’est délicieux ! Mon rectum lubrifié est hyperdilaté, et je bande comme un fou.
Soudain, je jette un œil sur mon réveil : il est 17h45... que faire ? Le gel, la banane et mon excitation aidant, je prends rapidement la décision d’aller au rendez-vous. Qu’est-ce que je risque au fond ? Pas besoin de me faire pénétrer ni de sucer la bite sur ces photos ou de recevoir sa semence sur mon visage /dans ma bouche... juste la caresser et de la faire gicler avec mes doigts ! Lorsque je quitte le lit, un peu de gel s’écoule de mon anus, coulant le long de ma cuisse.
18h précise, je suis à l’intersection convenue. Un gros 4x4 aux vitres teintées s’approche. « Salut, moi c’est Daniel. Je crois que nous avons rendez-vous... ? ». Je réponds par l’affirmative et monte dans la voiture. Il est exactement comme sur les photos !Alors que je suis comme pétrifié et ne dis mot, Daniel brise ce silence glacial de manière très agréable et ironique : «nous sommes vraiment ravis de faire ta connaissance, tu sais ! Perso je me languissais de te rencontrer, mais... » je le coupais net « qui ça, NOUS ? ». Daniel se met à rire et répond « ma queue, mes bourses et moi ». Me voilà détendu et je me mets également à rire un peu nerveusement.
Rapidement, nous arrivons dans le bois et Daniel se gare dans un coin bien isolé. « Tu viens ? » dit-il en sortant pour s’asseoir à l’arrière de son gros range rover. Je défais ma ceinture et le rejoins sur la banquette arrière.Daniel défait sa ceinture puis baisse slip et pantalon laissant apparaître un très joli sexe au repos. « Voilà, comme convenu, je te laisse faire : ce que tu veux, comme tu le veux ! » tout en prenant ma main et la posant sur sa verge. Son portable sonne, mais il l’ignore.
Je caresse alors sa belle bite, puis ses bourses. C’est vrai qu’il a de grosses couilles, je n’en reviens pas ! Au fur et à mesure, je sens sa queue grossir et se raidir entre mes doigts. Je ne parviens pas à en faire entièrement le tour tellement elle est épaisse maintenant qu’il bande.L’odeur qui s’en échappe est forte, mais agréablement excitante.Daniel est assis, la tête en arrière, slip et pantalon aux chevilles et soupirant les yeux fermés. Il apprécie !
Son gland suinte de précum. J’ai l’impression que la quantité double à chaque va-et-vient. Avec tout ce qui coule de son urètre, son chibre glisse entre mes doigts comme si je l’avais enduit d’un lubrifiant quelconque. Ça m’excite à mort !Juste avant qu’une quantité assez importante dégouline à nouveau, je décide de prendre son chibre dans ma bouche. Je suce, pompe et lèche son pieu ainsi que ses grosses couilles.
— Oooh oui, c’est bon ça. Suce-moi bien !
Je gobe ses bourses pleines de jus et lèche, avale chaque goutte de son précum.
— T’aimes ça hein, p’tite cochonne !
Je fixe ses yeux et acquiesce tout en continuant à le sucer alors que son portable sonne pour la quatrième ou cinquième fois
— Baisse ton pantalon, j’ai envie de te toucher.
Je m’exécute et alors que j’essaie d’enfourner au maximum sa queue dans ma bouche, je sens son doigt frôler puis caresser mon œillet.Lorsqu’il enfonce une première phalange, il s’exclame : « mais tu es trempée ma salope ! ».J’avais oublié la quantité de gel injecté chez moi, avant notre rendez-vous.
Seulement quelques minutes plus tard, Daniel fait aller et venir trois de ses doigts dans mon derrière - plus il accélère, plus je gémis !!!
Puis tout va très vite. En un quart de seconde, il m’attrape par les cheveux et me fait pivoter de 90 degrés. Je me retrouve quasiment assis face à lui. Ses mains écartent mes lobes et je sens son gros gland contre ma rosette. De par le gel, son précum et ses doigts auparavant, mon anus cède et je sens Daniel s’enfoncer en moi. Il fait entrer et sortir son gland de mes boyaux puis s’enfonce petit à petit jusqu’au bout. Même si je me sens envahi, rempli, écartelé, je ressens un plaisir inconnu jusqu’à présent.Il me fait aller et venir quatre fois sur son énorme queue. Chaque fois du gland jusqu’à la base et là je suis envahi d’un sentiment tout nouveau : émanant des pets lourds, mon anus rempli se relâche soudainement et je me mets à éjaculer tout en criant « oooooh ouiiii, je jouiiiis ! ».Au même instant, Daniel se fige au plus profond de moi - je le sens se déverser en de longues et grosses giclées tout en grognant de plaisir.
Il me regarde alors en souriant, puis vient m’embrasser langoureusement quand soudain son téléphone sonne à nouveau. Je lui dis de finalement répondre, ça pourrait être urgent...En l’occurrence, il s’agit de sa fille qui s’est fait arracher son sac à main contenant entre autres ses clés de maison et tente éperdument de le joindre afin de récupérer le double qu’elle lui a laissé.

Ni une ni deux, nous voilà rhabillés et sur le chemin du retour.Pendant que Daniel essaie de calmer sa fille à l’autre bout du fil, un gros pet s’échappe de mon anus meurtri. Je n’ai vraiment rien pu faire pour le retenir et suis d’autant plus mal à l’aise que je sens une énorme quantité de liquide couler de mon trou sans que je ne puisse le contrôler. Rouge de honte, je risque un regard en direction de Daniel qui, tout en discutant avec sa fille, me fait cadeau d’un gigantesque sourire combiné d’un clin d’œil.Quand Daniel me dépose, il coupe le micro de son téléphone et m’embrasse. Juste avant de partir, il me tend sa carte de visite et ajoute « je suis vraiment désolé, mais aussi très content de notre rencontre. Appelle-moi ».

Je peine à marcher normalement jusqu’à mon entrée d’immeuble avec cette sensation bizarre et nouvelle. J’ai l’impression qu’une forte diarrhée va s’expulser à tout instant de mon anus béant et meurtri. Chaque marche d’escalier est « gratifiée » par de gros pets bien gras et/ou de suintements.J’ai à peine le temps de claquer ma porte d’entrée et de placer une main sous mon trou, que mon sphincter se vide dans un bruit de prout foireux. Me précipitant aux toilettes, je réalise alors que ce qui se trouve dans ma main est du sperme !Ce qui coule/sort/suinte/s’échappe/jaillit de mon orifice depuis tout à l’heure n’est rien d’autre que le foutre injecté par Daniel !
Je quitte caleçon et pantalon souillés de sperme pour m’installer dans le salon. Par précaution tout de même, je pose une serviette de bain ainsi qu’ un sac plastique entre mes fesses et le canapé, puis doucement je commence à réaliser : je viens tout juste de sucer un parfait inconnu, que j’ai ensuite laissé entrer et éjaculer dans mon anus ! Je suis devenu complètement fou ? Qu’est-ce qui m’a pris ?Alors que je repense à la manière dont ça s’est passé (si vite, si jouissif), je sens tout à coup que quelque chose va s’écouler de mon orifice et vite je place une main sous mes fesses - je ne peux rien contrôler avec ce sphincter distendu.Évidemment, c’est encore du foutre épais et chaud que j’ai dans la main. Je commence par sentir mes doigts avant de les sucer et de lécher ma main... mais qu’est-ce qu’il me prend ???

Il faut que je sache ! J’envoie alors un SMS à Daniel :
— Hello. Peux-tu m’appeler stp au sujet de notre rencontre.
Il répond :
— C’était trop bon, j’ai adoré. Désolé pour le retour. J’appelle dès que je suis seul.
Environ 20 minutes plus tard, Daniel appelle et nous passons environ une heure au téléphone. Durant la conversation, j’apprends qu’il est totalement clean (envoi de ses derniers résultats MST), homo depuis dix ans, célibataire depuis six semaines, très porté sur le sexe anal et les jeux de sperme et qu’il aimerait beaucoup me revoir de manière régulière et « exclusive ».Je suis totalement à l’aise et me sens tellement en confiance que je lui raconte des « choses » très très intimes...Comme nos désirs/fantasmes sont identiques, nous convenons rapidement l’accord suivant :
— Chez Daniel - de vendredi soir à samedi midi.— Interdiction d’éjaculer à partir de demain et jusqu’à vendredi, pour lui.— Obligation de se goder tous les soirs à partir de demain et jusqu’à vendredi, pour moi.
Enfin, nous nous souhaitons mutuellement une bonne nuit et confirmons le rendez-vous de vendredi 18h00 à l’intersection de notre première rencontre.
Cette deuxième expérience a été ma première:
— Rencontre avec Daniel.— Pénétration sans capote.— Fécondation.— Éjaculation par pénétration.
Diffuse en direct !
Regarder son live