Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 197 J'aime
  • 3 Commentaires

Développement personnel

Chapitre 1

Hétéro
Avec Chloé, ma femme, nous avons souscrit à des cours en ligne de développement personnel. Rapidement, nous avons vu des résultats sur notre couple. Nos discussions ont retrouvé un intérêt certain et nous avons retrouvé une complicité perdue il y a plusieurs années. Conséquences directes, notre sexualité a repris des couleurs et de nouvelles habitudes ont vu le jour. Notre plaisir est revenu et Chloé a arrêté de simuler. Elle me l’a dit, mais nous nous connaissions depuis assez longtemps pour l’avoir deviné par moi-même. Et puis, l’âge aidant, nous avions assez confiance l’un en l’autre et en notre amour pour envisager de nouveaux horizons sans pour autant passer à l’acte. J’avais envie de faire l’amour à une autre femme que la mienne et Chloé avait envie d’expérimenter une relation saphique. Ce ne sont restées que des envies. Les cours n’étaient pas orientés sur la sexualité, mais c’est ce domaine qui en a le plus bénéficié.
Et puis est arrivé le moment du présentiel. Un week-end où les stagiaires pouvaient se rencontrer et confronter leur point de vue en plus d’avoir quelques exposés sur la méthode. Pour limiter les frais, nous avions décidé de covoiturer et louer un chalet au bord de mer dans le camping où avait lieu le séminaire. Chloé a répondu à un message d’une autre participante habitant à quelques kilomètres de chez nous, Amandine. De fil en aiguille, nous nous sommes retrouvés à assez nombreux pour faire deux voitures et avoir un chalet de 8 personnes pour nous accueillir. Un beau week-end en perspective. Mais au dernier moment, il y a eu plusieurs annulations. Seule Amandine était finalement disponible pour nous accompagner. Elle prit les choses en main et obtint un chalet pour 4 personnes et trouva une covoitureuse de dernière minute, Alexandra.
Comme elle venait de plus loin, nous lui avons proposé de garer sa voiture à la place de la nôtre dans la résidence et de partir ensemble chercher Amandine. A l’heure dite, nous avons rejoint tous les trois cette dernière chez elle et nous sommes partis.
Il y avait 5h de route, cela nous a laissé le temps de faire connaissance. Amandine était une petite femme à la chevelure roux foncé et des yeux verts. Pas vraiment jolie, mais avec un certain charme. Elle était mariée depuis une dizaine d’années et mère de 2 enfants de 8 et 10 ans. Il était responsable d’un bureau d’études, mais envisageait une reconversion professionnelle loin du stress. Alexandra était plutôt grande. Les cheveux bruns et les yeux clairs, elle était très jolie. Surtout avec la petite robe moulante qu’elle portait pour le trajet. Elle était divorcée et mère, elle aussi, d’une petite fille de 7 ans. Elle vivotait comme elle pouvait avec un métier de serveuse. Dans la voiture, c’est surtout ma femme qui parlait. Moi j’étais concentré sur la route ou alors je dormais quand j’étais passager. Malgré la bonne entente des trois femmes, nous étions tous heureux d’arriver.
État des lieux, déballage de valises... tout ce qu’on fait quand on arrive. Et après, baignade malgré l’heure tardive. Le soleil était déjà couché, mais la température de l’eau était agréable. Le corps d’Alexandra également était agréable à regarder. Son bikini ne cachait vraiment pas grand-chose. Une jolie poitrine, un joli cul... ça donnait envie. Nous avons joué un peu tous les quatre dans l’eau durant près d’une heure avant que je ne m’arrête. Je regardai les filles continuer à jouer dans l’eau un peu avant de rentrer. Elles sont restées à discuter une bonne partie de la nuit et quand Chloé est venue se coucher, elle m’a remercié de les avoir laissées ensemble, la discussion ayant pris une tournure plutôt féminine. Il y avait fort à parier que Chloé, Amandine et Alexandra voudraient se revoir après ce stage.
Le samedi, nous nous sommes préparés tranquillement. Une conférence le matin, quelques ateliers l’après-midi. La répartition était faite par tirage au sort et c’est donc par le plus grand des hasards que je passai 3 des 4 ateliers avec Amandine. Personnellement, j’aurais préféré les passer avec Alexandra. Surtout avec le décolleté qu’elle avait ! Cependant, Amandine avait mis une jolie petite robe qui la mettait en valeur. Mais la beauté physique n’est pas le seul critère qui s’est révélé à moi. Amandine s’est beaucoup livrée durant les ateliers. Son rôle de mère et d’épouse lui pesait parce que son mari n’avait pas vraiment la fibre paternelle. Les tâches ménagères n’étaient pas pour lui malgré sa bonne volonté. Je comprenais tout à fait ce que voulait dire Amandine. Moi-même au début de ma paternité, je ne savais pas comment faire, surtout à 18 ans.
J’étais intervenu en précisant que si Chloé n’avait pas été si patiente avec moi, j’aurais certainement été dans la même situation que son mari. Le dialogue. Voilà ce qui a été la clé de mon couple. Même s’il y a eu un moment où nous avons perdu le fil, nous avons réussi à le retrouver. Maintenant que j’avais 35 ans, j’étais plus à l’aise. « Et pourquoi n’avez-vous pas eu de second enfant ? » Je ne sus d’où venait la question et l’animateur m’invita à y répondre. « Je suis devenu stérile. » Ça jetait un froid, même si je développai un peu les circonstances où était apparue ma stérilité et la même voix qui m’avait posé la question m’interrompit d’un « Excuse-moi ! » Je n’en tins nullement rigueur. Comment pouvait-il savoir que j’avais eu cet accident ?
Le dernier atelier de la journée fut plus léger d’un point de vue émotionnel. Et comme le sort m’avait enfin mis avec la belle Alexandra, je pus la regarder, certes discrètement, une bonne partie de la séance. Après cela, détente à la plage avec Chloé. J’étais heureux de la retrouver et de passer du temps avec elle. Elle était plutôt d’humeur coquine et après avoir échangé nos impressions sur la journée, elle profita que nous étions dans un coin reculé de la plage pour se coller et se frotter à moi. Nous nous sommes embrassés et elle passa ses mains sous mon short de bain. Elle commença à masturber doucement mon érection naissante quand Alexandra est arrivée dans notre dos. Chloé retira ses mains de mon short et se releva. Alexandra s’en est certainement rendu compte puisqu’elle fit une remarque. « Oh ! Je dérange, peut-être... » J’aurais tant voulu que Chloé rétorque d’un « J’allais le sucer, tu veux m’aider ? », mais c’est un simple non qui sortit de sa bouche.
Alexandra s’installa à côté de nous et profita des derniers rayons du soleil pour faire du topless. Mon érection reprit de plus belle devant cette magnifique paire de seins. Chloé me fit une bise sur la joue et me souffla quelques mots à l’oreille alors que je me mettais sur le ventre. « Petit coquin ! » Elle avait certainement vu la réaction de mon corps devant celui d’Alexandra. Elle connaissait mon envie de faire l’amour à une autre femme qu’elle et elle savait également que notre amie était tout à fait à mon goût. Je ne décollai mon regard des seins d’Alexandra que lorsqu’Amandine nous a rejoints.
Elle venait d’avoir son mari au téléphone et elle se plaignait de certaines de ces remarques. Nous lui avons donné quelques conseils pour remettre de l’ordre dans son couple, libre à elle de les appliquer ou non. Elle nous remercia et fila directement à la mer. Quelques secondes plus tard, Alexandra se leva. « Je l’accompagne. » Chloé me regarda et quand Alexandra atteignit l’eau, elle me demanda si je voulais les rejoindre. « Comme ça tu pourras continuer à mater ses seins ! » J’eus un sourire et je précisai que si nous y allions, c’était pour être tous les quatre. Chloé se leva et me tendit la main. « N’empêche que tu la trouves jolie ! » Je ne cherchai même pas à nier.
Nous nous dirigions vers les filles alors qu’Alexandra était penchée en avant, les bras dans l’eau. Son maillot de bain lui rentrait à moitié dans les fesses et ne cachait vraiment pas grand-chose. « Oh la la, mon amour, régale-toi ! » s’écria Chloé. Je n’avais pas attendu sa remarque pour me délecter de la vue. Alexandra avait vraiment un joli cul ! Quand nous l’avons rejointe, elle était déjà dans l’eau avec Amandine. Nous nous sommes bien amusés tous les 4, nous arrosant, nous chahutant. Il y a même eu ce moment où j’avais les 3 filles sur moi, essayant de me mettre la tête sous l’eau. Je ne sais pas à qui étaient les fesses que je caressai malencontreusement ni même auxquelles j’accrochai le maillot, mais c’était tout de même une situation délicieuse. Je finis par céder et me laisser couler. Nous nous sommes bien amusés et je rejoins ma serviette en premier, laissant les filles continuer à s’amuser entre elles.
Elles s’entendaient vraiment bien et quand elles sont revenues aux serviettes, Amandine et Chloé avaient échangé leur maillot. Je ne l’avais pas vu tout de suite et elles ont éclaté de rire quand je fis la remarque.
Il était relativement tard quand nous sommes revenus au chalet et comme nous avions prévu d’aller au restaurant, il fallait se presser pour prendre les douches. Pour gagner du temps, je pris ma douche avec Chloé. Enfin, gagner du temps c’était en théorie. En pratique, dès qu’elle s’est mise à genoux, je savais que nous allions mettre plus de temps que prévu. J’aurais aimé qu’une de nos deux colocataires entre et vienne prêter main-forte à Chloé. Ou même les deux ! Cette considération ne m’a pas empêché de remplir la bouche de ma femme de mon plaisir quand bien même je pensais à la belle Alexandra.

Je pensais qu’Amandine et Alexandra étaient déjà prêtes et nous attendaient, mais en fait, Chloé et moi étions en avance sur elles. Cela m’a permis d’apprécier l’impudeur d’Alexandra, se baladant nue dans le chalet ainsi que voir Amandine en petite tenue en train de repasser sa robe. Je crus halluciner. Nous sommes néanmoins arrivés à l’heure prévue au restaurant. L’euphorie de la fin d’après-midi n’était pas retombée et l’alcool aidant, nous sommes partis dans de franches rigolades. Peu à peu, les blagues descendaient sous la ceinture et c’est ainsi que je commençai à faire du pied à Alexandra. Elle m’a regardé avec un regard de braise et si le serveur n’était pas arrivé avec les desserts, je l’aurais très certainement embrassée à pleine bouche. Les desserts, glacés pour la plupart, ont fait retomber la température, mais quand, à la sortie du restaurant, Chloé proposa un bain de minuit, tout le monde fut d’accord.
Ma femme était bien alcoolisée alors je lui demandai si, quand elle disait « bain de minuit », cela voulait dire entièrement nu. Elle pouffa. « Ben oui ! » Comme le chalet était juste au bord de la plage, nous y sommes allés directement. Sauf Amandine dont la pudeur exigeait un maillot de bain. Alors, pendant que notre amie passait par le chalet, nous avons commencé à nous déshabiller. D’abord chacun de notre côté puis je me suis approché de Chloé pour lui retirer son soutien-gorge. Je le fis en regardant Alexandra dans les yeux. Elle s’est approchée, simplement vêtue de son string et passa les mains sur les hanches de Chloé pour lui retirer sa culotte pendant que j’embrassais ma femme. Quand Alexandra se releva, elle se colla contre Chloé pour un baiser à 3 bouches. J’avais une trique d’enfer que ma femme remarqua forcément.
Elle l’indiqua d’ailleurs à haute voix d’un « Ta queue va me transpercer le cul, mon amour ! » Alexandra gloussa puis regarda Chloé dans les yeux. « On lui retire son caleçon ? » demanda-t-elle à ma femme. Elles se sont agenouillées devant moi et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’avais le caleçon aux chevilles. Chloé et Alexandra se sont regardées d’un air complice et ont commencé à embrasser ma hampe. C’était délicieux ! Surtout quand elles se sont embrassées en même temps qu’elles entouraient ma verge de leurs lèvres.
— Vous êtes où ? 
En une phrase, Amandine brisa notre entrain. Alexandra et Chloé se relevèrent et cette dernière me prit par la main pour m’emmener jusqu’à la mer. Alexandra appela Amandine d’un « On est là ! » et nous rejoint à l’eau. Comme nous, elle était nue. Amandine nous a rejoints dans l’eau à son tour. Nous avons profité du clair de lune et de la température agréable. Mais Chloé et Alexandra étaient chaudes comme la braise et elles entreprirent de mettre Amandine à nue. Celle-ci résista et il a fallu que j’intervienne tant Amandine semblait être apeurée par l’attitude des deux autres femmes. D’ailleurs, Chloé s’excusa et Alexandra fit de même. Alors, Amandine expliqua l’origine de sa pudeur excessive. Un de ses ex-petits amis n’arrêtait pas de lui faire des remarques dès qu’elle était un peu dévêtue. T’es trop grosse ! T’as un gros cul ! Tu te crois belle ? Ce genre de remarque l’avait amenée à cacher son corps.
Sans arrière-pensée, je lui dis alors que pour aimer son corps à nouveau, elle pouvait profiter de l’obscurité et de la mer pour se mettre nue. Il n’y aurait personne pour la juger. Elle réfléchit un instant et retira le haut. « Ça sera ma première étape ! » Amandine garda néanmoins la poitrine dans l’eau.

J’allai nager un peu pour me remettre du trouble que je ressentais. Ce que venait de dire Amandine m’avait mis mal à l’aise en tant qu’homme. Certes, Amandine n’était pas un canon de beauté, mais elle était tout de même charmante. Peut-être que la laisser en compagnie de Chloé et Alexandra lui permettrait d’échanger des avis maintenant qu’elle s’était libérée de ce poids. Je me suis à nouveau approché quand je les entendis rire. Elles n’étaient pas simplement en train de rire, Alexandra et Chloé caressaient et embrassaient Amandine, allant sous l’eau à tour de rôle. Alexandra m’interpella. « Tu joues avec nous ? » Je jetai un œil vers Amandine, elle n’avait pas l’air d’être contre. Alors, encouragé par ma femme, je plongeai sous l’eau pour aller déposer une bise sur le ventre d’Amandine. Je recommençai à plusieurs reprises avant de l’embrasser entre les seins, ce qui amusa beaucoup Chloé.
Alors j’osai lui embrasser franchement les seins et en sucer la pointe et chacun est parti à embrasser les autres. Les mains se firent baladeuses et c’est ainsi que je me suis retrouvé avec la tête entre les cuisses d’Alexandra après m’être délecté de ses seins. Et puis, ce baiser à 4 bouches qui n’en finissait pas. Peu à peu, nous rejoignions la plage et quand nous l’avons atteinte, je me suis allongé dans le sable. Amandine fit de même à côté de moi. Seules Alexandra et Chloé continuaient de s’embrasser. Elles ont fini par s’allonger à côté d’Amandine, enlacées dans les bras l’une de l’autre. Amandine et moi les regardions s’embrasser passionnément. Elles se frottaient l’une à l’autre et se caressaient intimement. C’était très excitant de regarder mon amour assouvir son fantasme avec celle dont je voulais assouvir le mien. Les deux femmes vivaient leurs envies comme si Amandine et moi n’étions pas là, soupirant du plaisir qu’elles se faisaient.
Petit à petit, Alexandra descendit jusqu’à l’entrejambe de ma femme. Cette dernière passa une main dans les cheveux de notre amie en gémissant. « Oui Alex, régale-moi ! » Visiblement, ou plutôt audiblement, Alexandra s’appliqua à répondre au souhait de ma femme. Alexandra releva la tête après un gémissement tremblant de Chloé. « Chloé, j’ai envie de toi ! » Puis elle se leva et tendit la main à ma femme. Elles partirent toutes les deux vers le chalet en courant dans le sable. Je les regardai partir puis je me suis mis sur le dos. Au bout de quelques instants, Amandine rompit le silence.
— On les laisse toutes les deux ? — Oui, je crois qu’elles ont besoin d’intimité. — Je ne savais pas que Chloé était bi ! — En fait, elle voulait essayer. J’espère qu’elle passera un agréablement moment. — Je pense que oui. Alexandra a l’habitude. — Elle est lesbienne ? — Oui, elle nous en a fait part hier soir. — Bon ! Chloé est entre de bonnes mains !
Je lui avais répondu en regardant le ciel et je ne me suis aperçu qu’Amandine pleurait seulement quand j’entendis un sanglot. Je me suis tourné vers elle, elle avait rabattu une partie de ses cheveux sur son visage. « Qu’est-ce qui ne va pas Amandine ? » Les mots eurent du mal à sortir de sa gorge. Elle bégaya un peu puis réussit à faire une phrase. « Mon couple va mal ! » Je ne savais pas trop quoi dire. Moi-même j’étais passé par une mauvaise période avec Chloé.
— Vous ne faites plus l’amour ? — Si... mais... il n’est pas aussi attentionné que toi avec Chloé. — Attentionné ? — Oui, vous avez toujours des gestes ou des mots tendres l’un envers l’autre. Et puis tu la laisses profiter avec Alex ! — Ça n’a pas toujours été comme ça ! On a eu notre passage à vide aussi. — Je ne sais pas si j’aurais la force d’attendre. — Tiens bon, je t’assure ça vaut le coup. Une fois que tu auras trouvé les mots et que tu lui auras parlé, ça ira mieux. — Je ne sais pas... je ne sais pas si j’en ai envie. Je crois qu’il a une maîtresse.
Je regardai Amandine, le visage toujours caché par ses cheveux. Je l’entendais sangloter alors je relevai sa mèche de cheveux et j’essuyai ses larmes en lui caressant la joue. Puis je me suis approché pour la prendre dans mes bras. C’était tout à fait le type de réconfort dont elle avait besoin. De la douceur et de la considération. Je continuai de passer ma main dans ses cheveux, mais ses seins nus sur mon torse ont commencé à provoquer un début d’érection qui frottait contre le maillot de bain mouillé d’Amandine. Nous nous sommes regardés dans les yeux et malgré la nuit, j’y vu son envie. Cependant, je ne savais pas si cette envie était consciente ni même si Amandine était prête à y céder. Alors j’approchai mon visage du sien et je serrai mon amie un peu plus fort contre moi en passant mes mains dans son dos. Amandine soupira agréablement et je sentis ses jambes s’enlacer autour des miennes. Nos corps se sont rapprochés encore un peu et nos lèvres se sont effleurées.
J’avais envie de l’embrasser et de lui retirer son maillot de bain. J’avais envie de la caresser sur tout son corps avant de lui faire l’amour. Mon érection était maintenant conséquente et appuyait fortement contre le fin tissu mouillé de son maillot. Elle ne pouvait que le sentir. Attendait-elle que je prenne l’initiative ou savoir que je la désirais lui suffisait-elle ? Quand Amandine remua un peu les hanches, frottant son maillot sur ma hampe qui était en train de se frayer un chemin entre ses cuisses, je considérai qu’elle m’envoyait un signal. Alors je l’embrassai. Soit elle me repoussait, soit elle confirmait mon interprétation.
Notre baiser fut doux, mais ce ne fut pas l’explosion que j’espérais. Peut-être qu’Amandine avait besoin de temps pour accepter. Elle était mariée avec le père de ses enfants et elle n’avait jamais commis d’écart. De plus, il ne la délaissait pas. Pour lui laisser le temps, je descendis une main à ses fesses que je commençai à caresser sans retenue. Amandine n’était pas un lot de consolation parce que je n’avais pas réussi à séduire Alexandra. J’avais vraiment envie d’elle, mais je voulais que cette envie soit réciproque et assumée de sa part. Elle me laissait faire et ses mouvements de bassin s’amplifièrent légèrement. Oui elle avait envie autant que moi, mais son cerveau l’empêchait de se libérer et de céder à cette envie. Nous nous embrassions toujours quand je commençai à faire glisser son maillot de bain jusqu’à la moitié de ses fesses. En fait, Amandine passa sa jambe autour de ma taille et appuya fortement son sexe contre mon érection.
Je tentai de faire glisser un peu plus son maillot, mais rien n’y fit, notre position ne le permettait pas. Pourtant, cette situation était très agréable. Ses seins contre ma poitrine, notre baiser, et le contact de nos sexes simplement séparés d’une fine couche de polyamide... « J’ai envie de te faire l’amour, belle Amandine ! » Pour seule réponse, la jolie femme que j’avais dans mes bras fit glisser son maillot de bain de quelques centimètres pour dégager sa vulve et ma verge tendue passa entre ses petites lèvres qui se lubrifièrent dans l’instant. Puis elle modifia sa position pour ouvrir son bassin et me permettre d’entrer doucement en elle. Je n’avais envie ni de la forcer ni de la brusquer alors je faisais de petits aller et retour, ne rentrant pas complètement mon gland dans son antre. Le souffle profond d’Amandine me poussait à continuer ainsi. Je ne suis pas le meilleur amant du monde, mais le plaisir qu’elle prenait semblait lui suffire.
Alors, même si j’avais envie de plus, je maintins mon mouvement. Une femme qui exprime son plaisir quand on lui fait l’amour est un cadeau tel qu’il suffit largement à me satisfaire.
Notre baiser à cet instant fut d’une saveur particulière, chargée de bonheur et de complicité. Je tentai tout de même de mettre Amandine sur le dos, mais je n’insistai pas devant sa résistance. Sur le côté, c’était très bien. Je lui caressais tout de même les hanches, le dos et les fesses du bout des doigts, notre baiser n’en fut que plus savoureux encore. Je pense que c’est cela qui décida Amandine à se laisser aller complètement. J’en veux pour preuve qu’elle entama un mouvement de bassin, synchronisé sur le mien, qui me fit entrer un peu plus profondément en elle. Elle en soupira d’un souffle tremblant, le sourire aux lèvres.
Amandine finit par se laisser rouler sur le dos. Nos jambes étaient toujours entrecroisées, mais j’étais sorti de son corps. Nous nous regardions sans un mot, nous souriant l’un à l’autre. Du bout des doigts, j’effleurai son corps de ses seins à son ventre. D’un mouvement, je frottais ma hampe entre ses lèvres humides et cela semblait lui convenir. Puis mes doigts s’attardèrent sur son petit bouton. Sa main rejoint la mienne pour me guider. Amandine gémit, acceptant de plus en plus de s’ouvrir au plaisir qui semblait l’envahir.
J’aurais tant voulu qu’elle ait un orgasme. Pas pour ma satisfaction d’homme, mais pour elle. Elle méritait d’être heureuse, mais elle se le refusait. Cependant, elle semblait prête à s’accorder un moment de bonheur. C’est alors que sa main posée sur la mienne remonta le long de mon bras pour m’attirer sur elle. Mon torse est à nouveau entré en contact avec ses seins et nous nous sommes à nouveau embrassés. Amandine écarta grand les cuisses et m’enserra entre ses jambes en m’enlaçant dans ses bras. Je lui caressais les hanches et les côtes durant notre baiser et je sentais Amandine de plus en plus détendue. Alors je me suis mis à genoux pour frotter son sexe avec le mien. Prenant mon érection dans ma main, je la passais et repassais sur sa vulve. C’était très agréable et Amandine semblait apprécier autant que moi. Puis, du bout des doigts, elle effleura mon sexe tendu d’envie pour elle avant de s’en saisir.
Elle me caressa et me masturba doucement avant de faire glisser mon gland entre ses lèvres plus humides que jamais. Elle passait et repassait entre ses lèvres en gémissant, acceptant enfin l’idée de tromper ce mari qu’elle pensait infidèle.
Amandine me fit elle-même entrer dans son écrin et je m’y suis laissé glisser doucement en l’embrassant. Notre plaisir partagé résonna dans notre baiser. Petit à petit, elle s’ouvrait à moi, et je m’enfonçais en elle doucement, mais sûrement, accompagné par nos gémissements de plaisir. Mon amante me serrait dans ses bras, m’embrassait langoureusement et me caressait sur tout mon dos. Mes mouvements lents et délicats semblaient lui convenir alors je ne cherchai pas à accélérer. J’aurais voulu pouvoir faire l’amour toute la nuit avec celle qui m’avait permis de réaliser mon fantasme, mais je fus submergé par une vague de plaisir qui eut raison de moi. Je suis sorti d’Amandine peu de temps avant d’éjaculer sur son ventre. Nous nous sommes embrassés et étreints une dernière fois et Amandine s’est assise, sans dire plus de mots qu’elle ne l’avait fait jusque-là. Certes elle n’avait pas eu d’orgasme, mais elle avait pris assez de plaisir pour être satisfaite.
Notre relation fut courte, mais intense en émotions. Je le sais aujourd’hui, pas sur le moment même si son sourire était sans équivoque. Et puis, la nuit ne faisait que commencer.
Diffuse en direct !
Regarder son live