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Devenir chienne pour sauver ma mère

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Chapitre 1
J’entends quelqu’un frapper à la porte d’entrée.Toc Toc TocQui peut bien nous déranger à cette heure-ci ? Je sors de ma chambre discrètement en pyjama, et me dirige en haut des escaliers. J’ai une vue parfaite sur l’entrée. J’entends mon beau père se diriger vers la porte et l’ouvrir. Ma mère, complètement saoul, se tient devant la porte. Elle articule avec difficulté :
— Bonjour chéri, dé, désolé de rentrer si tard mais la soirée du bar a continué plus tard que prévu.— Pourquoi tu ne m’as pas prévenu que tu sortais ?— Parce que je dois te dire à chaque fois que je vais m’amuser maintenant ?
Il la regarde, froidement.
— Non, mais si ça pouvait éviter de me déranger à 3 heures du matin, alors oui je préfèrerais.
Je lui accorde un point, même si je comprends ma mère. Elle avait besoin de décompresser. Cela fait maintenant 2 ans qu’elle vit avec cet homme, et on ne peut pas dire que c’est la relation la plus folklorique qui existe. En effet, mon beau père, Gilles, et un homme froid, peu avenant, pas attentionné, bref le style de personne qui ne donne pas envie d’être en couple ! Ma mère, elle, c’est tout l’inverse ! Elle est joyeuse, souriante, et adore rencontrer du monde. Mais il y a maintenant 3 ans, elle a perdu son job et n’a jamais réussi à en trouver un. Ses finances se sont amoindries, et il devenait difficile pour nous deux de vivre. C’est par hasard qu’elle a rencontré Gilles, dans une soirée organisée par une amie à ma mère. Elle l’avait dragué toute la soirée, et ils ont fini par se mettre ensemble. Ma mère a tout fait pour le séduire constamment, répondre à ses moindres demandes, s’occuper de lui et de sa maison. Mais je ne suis pas naïve.
Du haut de mes 19 ans, j’ai bien compris pourquoi elle faisait ça. Il se trouve que Gilles est un homme puissant, et riche. Très riche. Et il entretient financièrement ma mère en échange de cette « vie ». Mais je sentais qu’elle craquait petit à petit. Mais elle n’a pas le choix. Sinon, nous sommes toutes les deux à la rue.
— Va te coucher, on en reparlera demain.
Sur ces mots, elle part en direction de la salle de bain avant d’aller dormir. Je décide de retourner me coucher. On verra bien la suite des évènements demain !Je me réveille, aux alentours de 9 heures. Nous sommes samedi, donc pas de cours à l’horizon ! Je me lève tranquillement et me dirige directement vers la douche. Puis j’enfile par la suite un petit croc top et un short, la tenue typique pour rester tranquille à la maison. Je commence à descendre les escaliers lorsque j’entends des cris en bas. Je me précipite dans le salon. Ne me dites pas qu’il est en train de la frapper ?! C’est impossible, il n’a jamais levé la maison sur elle, et même si c’est un homme rude, il n’est pas violent et il a beaucoup trop à perdre s’il menait ce genre de pratiques illégales. Je vois finalement ma mère dans le canapé en pleurs, et mon beau père portant une valise dans sa main droite. Ma mère le supplie :
— Gilles, tu ne peux pas nous faire ça par pitié, on va se retrouver sans logement, sans nourriture, je ne peux pas laisser ma fille vivre ça !
En disant ça elle tourne la tête et me voit. Elle s’effondre encore plus, surement terrassée par le fait que je la vois dans cet état. Ma gorge se serre. Je n’avais jamais vu ma mère à ce point paniquée et mal. Qu’est ce qui a bien pu se passer ?...
— Maman… Qu’est-ce qu’il se passe ?
Mais c’est Gilles qui me répond :
— Ta mère m’a trompé avec un autre homme hier soir. Pendant qu’elle dormait après sa nuit de fête, j’ai pris son portable, et j’ai lu une conversation avec son amant. Apparemment, cela dure depuis un moment.
Je suis sous le choc. Comment ma mère a-t-elle pu prendre le risque de le tromper ! Avec tout ce qu’il y a en jeu ! De la colère monte en moi mais aussi de la peur, face au regard toujours aussi froid de mon beau père.
— Je suis désolé Gilles, c’est juste que j’avais besoin de m’évader, je ne supporte plus cette vie monotone mais je vais me ressaisir je te promets…— C’est trop tard Anne, c’est fini.
Comment est-ce qu’on allait faire ? On ne connaissait personne dans cette ville, ma mère et moi avions tout quitté pour le rejoindre. A part mes amies étudiantes, qui ne pourraient nous loger dans un 20 mètres carrés, je ne vois pas de solution… Ma mère tente le tout pour le tout, les yeux remplis de larmes :
— Gilles s’il te plait… Tu pourras faire ce que tu veux de moi, me demander ce que tu veux, je le ferais. Tu n’auras plus de soucis à te faire je serai une épouse exemplaire.
Il la regarde, d’un air hautain. Puis il tourne la tête vers moi et me regarde avec ses yeux d’un bleu clair dur. Je le vois me dévisager, et analyser mon corps. Ce n’est pas la première fois qu’il faisait ça. Je le voyais souvent me regarder, discrètement. Observer mes formes généreuses, et tomber sur mon regard fuyant. Mais je me faisais surement des idées. Cependant, à ce moment précis, je sens une tension que je n’avais jamais ressenti. Il finit par prendre la parole :
— Il y a peut-être un moyen pour que j’accepte de vous soutenir financièrement pour que vous puissiez reprendre une vie normale.
Nous sommes toutes les deux surprises par ses mots. Gilles n’est pas une personne vraiment… généreuse.
— Laquelle ? demande ma mère.— Tu vas devoir me confier ta fille pendant 1 mois.
Je suis sous le choc. Confier ? Qu’est ce que cela voulait dire ?
— Confier ? Comment ça te confier ma fille ?— Elle va devoir rester dans cette maison pendant un mois avec moi, pendant que toi tu habiteras dans une chambre d’hôtel. Ça te donnera le temps de chercher un travail.— Mais qu’est-ce que tu veux faire d’elle ?— Ça ne te concerne pas. Elle devra simplement obéir à ce que je lui demande de faire. Est-ce que tu acceptes ?
Ma mère me regarde, complètement perdue. Je sais au fond de moi que je n’ai pas le choix. On ne peut pas se permettre de finir dehors. Mais j’ai peur. Qu’est ce qu’il veut de moi ? Un mois avec lui, toute seule dans cette maison. Déjà que sa présence ne me rassurait pas, par son physique et sa prestance… Mais je prends mon courage à deux mains, et me dirige vers ma mère pour la prendre dans mes bras et lui murmurer à l’oreille :
— Ça va aller maman. Ce n’est que l’histoire d’un mois, après ça on sera tranquille. — D’accord ma chérie…
Je me relève et me dresse devant mon beau père.
— C’est d’accord. Je serai pendant un mois avec toi.
Il esquisse un léger sourire, rapidement effacé.
— C’est parfait. Anne, je t’invite à prendre tes affaires et à aller à l’hôtel Mercure qui se trouve dans le centre. Un taxi passera te prendre dans 30 minutes. Quant à toi Julie, je t’invite à aller dans ta chambre. Je t’appellerai le moment venu.
Ma mère vient me prendre dans ses bras et nous restons une longue minute serrée l’une contre l’autre. Puis comme l’a demandé Gilles, je me dirige dans ma chambre. Je m’assois sur mon lit, le regard perdu sur la tapisserie bleu ciel. Finalement au bout d’une trentaine de minutes, j’entends la porte claquée. Ma mère venait de quitter la maison. Ça y est, je suis seule maintenant.
— Julie, tu peux descendre s’il te plait ?
Je prends mon courage deux mains et descends. Il est au milieu du grand salon, avec une mallette dans la main droite. Je suis paralysée. Il faut dire qu’il est extrêmement charismatique. Il mesure 1m90, le crâne rasé façon militaire, une mâchoire carrée, une cicatrice au niveau de la tempe droite, un regard ferme. Mais le plus impressionnant reste son corps. Pour son âge (40 ans), il est en pleine forme, avec des muscles imposants, un peu style rugbyman. Il est beau, il faut se l’avouer. Mais pas moins terrifiant. Ses grandes mains pourraient littéralement me broyer, moi et mes 1m 55 !
— Approche toi Julie.
Je m’exécute.
— Tu acceptes de m’obéir pendant le mois qui va suivre ?— Oui.— Parfait. Sache que tu as le choix de refuser mes demandes à n’importe quel moment. Cependant, cela influera sur ma décision de vous aider financièrement par la suite.
Je comprends bien les enjeux de la situation. J’ai conscience que si je ne fais pas ce qu’il demande, on sera moi et ma mère, en grande difficulté.
— C’est d’accord, je ferais ce que tu me demandes.— Parfait. Maintenant tu devras me vouvoyer.
Je le regarde surprise, mais j’acquiesce.
— Tu devras ensuite porter ce qu’il y a dans cette valise, dès que tu es dans cette maison. Tu devras aussi suivre les règles écrites sur le papier à l’intérieur. Je te laisse découvrir tout ça le temps que j’aille faire des courses. J’espère que quand je serais rentré, tu auras pris note de ce que tu dois faire.
Sur ses mots, il part en me donnant une caresse sur la tête et en posant la valise à côté de moi. Mais qu’est ce que c’est que cette histoire ? Dès qu’il a claqué la porte, je prends la valise et monte dans ma chambre. Je la pose au milieu, sur mon tapis blanc. Je suis à genou devant. Mon pouls s’accélère. J’enlève les crochets, et ouvre la valise. Je suis sous le choc. Mon cœur s’arrête quelques instants. Mon cerveau n’arrive pas à traiter toutes les questions qui me traversent. A l’intérieur se trouve :
— Un collier en cuir noir avec une laisse attachée.— Un serre tête avec de fausses oreilles de chien.— Des genres de petits coussinets.— Un Plug anal, attaché à une fausse queue en fourrure.— Une balle.
Mais qu’est ce que ça signifie bordel ?! Puis je prends la lettre et la lis :
« Julie,Comme tu peux le constater, une panoplie d’équipements se trouve à l’intérieur de cette valise. Tu devras mettre chacun des accessoires des lors que tu te trouves dans cette maison. La deuxième règle est que tu devras te déplacer seulement à quatre pattes, entièrement nue. Les coussinets te permettront d’épargner tes genoux. Tu dormiras dorénavant dans la panière du salon, proche de la cheminée. Tu devras boire dans la gamelle à côté. Lorsque tu auras une demande à effectuer, tu devras aboyer. Tu l’auras compris, dans cette maison, tu seras une chienne domestique et obéissante. Tu devras écouter ce que je te demande, sinon tu seras punie. Si les règles te conviennent, tu devras m’accueillir comme il se doit lorsque je rentrerai des courses »
Mon dieu. Je commence à comprendre petit à petit la situation dans laquelle j’allais me retrouver. Le fantasme de mon beau père est le Petplay, et j’allais devoir devenir sa chienne.
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