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Devenir chienne pour sauver ma mère

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je suis figée devant la mallette. Je sors un à un les différents accessoires. Je tombe sur le collier en cuir, avec encore cette odeur neuve si caractéristique de cette matière. Puis je sors ensuite le plug. Il est en métal, pas forcément très gros, mais pour une fille comme moi qui n’a jamais eu d’expérience par les fesses… Je déglutis difficilement à sa vue. Il se termine par une fausse queue, épaisse, couleur orangée, un peu comme celle d’un renard. Il m’a fallu 10 minutes avant de parvenir à détourner mon regard de tous ces éléments et me lever. Je me dirige vers le miroir de ma grande armoire. Bordel, dans quoi je me suis embarquée. Mais je n’ai pas le choix, il y a tellement d’enjeux. Il faut que je me fasse violence et que je prenne mon courage à deux mains. Je commence à me déshabiller. Je me regarde, entièrement nue. Je n’ai clairement pas un corps de mannequin, je ne comprends pas ce que Gilles me trouve. Je mesure environ 1m55. Mes jambes sont petites, et bien formées.
Elles ne sont pas fines, loin de là, mais pas grosses non plus. Leur avantage est qu’elles sont fermes, notamment grâce à l’équitation. Elles remontent tout en s’élargissant, pour arriver jusqu’à mes fesses. On peut dire que c’est mon principal atout, même si j’ai toujours été complexée par celle-ci. Par mon corps en général d’ailleurs. La comparaison a une bouteille d’Orangina est ce qui parait la plus pertinente. En effet, j’ai des hanches et des fesses imposantes comparées à mes jambes et mon buste. Elles sont rebondies, assez fermes, mais tellement grosses que l’on constate qu’il n’y a pas que du muscle. A l’opposé, mon ventre lui est fin, quasiment sans gras. Une jolie paire de sein accompagne le tout : un petit B, avec de gros tétons (d’ailleurs les gens ont toujours l’impression que je pointe !). Mon visage quant à lui est plutôt harmonieux en étant objective. Mes cheveux noirs s’arrêtent juste en dessous de mes épaules.
Des sourcils fins donnent un air innocent à mes yeux d’un noir profond. Mon nez est légèrement aplati, et juste en dessous se trouve une bouche pulpeuse, cachant des dents d’un blanc éclatant. Si seulement je pouvais vous montrer une photo de moi afin de vous laisser me juger 😉
Je regarde ma montre et je comprends qu’il faut que je m’active. Gilles devrait arriver dans une vingtaine de minutes, et je ne peux pas me permettre de le décevoir dès le premier jour ! Je me saisis du serre tête. Je l’enfile. Les petites oreilles blanches ressemblent plus à celle d’un chat que d’un chien. Je mets ensuite le collier. Le contact du cuir contre ma peau me fait frissonner. La laisse pend contre mon corps. Je saisis enfin le plug. Le stress commence à monter. Le métal est froid. Impossible que je parvienne à le mettre sans rien sinon je vais hurler de douleur. Je retourne vers la mallette et trouve à l’intérieur un lubrifiant. Je m’en saisis et recouvre le plug abondamment de liquide. Je décide de m’accroupir pour faciliter l’opération. Je pose le bout du plug contre mon petit trou, serré. Je commence à l’insérer doucement. A peine quelques millimètres que je sens déjà une petite douleur. Je suis trop stressée, il faut que je parvienne à me détendre.
Je prends donc une grande inspiration, détend mes fesses, mon trou, et recommence mon avancée. Cette fois ci c’est mieux. Je sens le plug rentré petit à petit. Des petits cris de douleur sortent de ma bouche mais je continue. J’arrive à la partie la plus volumineuse. Je sens mon cul déjà rempli. Tant pis, il faut que je force la chose. Je prends une grande inspiration et rentre entièrement le plug, d’un coup. Une décharge électrique me transperce. Je m’écroule à 4 pattes. Je respire rapidement, presque essoufflée par l’effort. Petit à petit la douleur se calme. Je décide de me lever. Je marche un peu. A chaque pas, je sens mes parois frotter le métal froid. C’est presque agréable, mais n’étant pas habituée, j’ai quand même un peu mal. Pour finir, je saisis les petits coussinets, et les enfile jusqu’aux genoux. Je me regarde dans la glace : je ressemble à une petite chienne, surtout à cause de mon visage innocent.
Je descends les escaliers et me dirige vers la porte d’entrée. Je me mets à quatre pattes en face de cette dernière puis j’attends. Je suis mal à l’aise, à rester dans cette position. Ce n’est pas… naturel. Au bout de 5 minutes, j’entends les clés rentrer dans la serrure. Je le vois rentrer, un sac de courses à la main. A quatre pattes face à lui, je parais encore plus petite. Il me regarde, satisfait, un léger sourire aux lèvres. Il s’approche de moi. J’arrive à peine au niveau de ses genoux. Il dirige sa main immense vers ma tête et me caresse les cheveux.
— C’est bien, tu es une bonne fille. Mais tu sais, quand son maitre arrive, une chienne aboie de plaisir et fait la fête !
Je le regarde, dubitative. Aboyer ? Lui faire la fête ? Je comprends qu’il attend vraiment de moi que je me mette entièrement dans mon rôle. J’essaye de le satisfaire comme je peux :
— Wouf, Wouf.
Puis je me frotte à ses jambes, difficilement, pas habituée à bouger dans cette position.
— C’est bien ! Aller file dans ta panière, le temps que je fasse à manger.
Je m’exécute. Mais par réflexe, je me lève pour marcher jusqu’à la panière. Soudain, je sens une pression s’exercer autour de mon cou, comme si j’étais tirée en arrière. Je me retourne, et vois Gilles, la laisse de mon collier à la main.
— Qu’est-ce qu’il y avait marqué dans la lettre Julie ?
— Je… Je ne sais plus.— Dans cette maison, tu dois seulement te déplacer à quatre pattes. La prochaine fois, je devrais te punir.
Je déglutie, effrayée. Je me remets à genou.
— Je préfère.
J’avance, lentement en direction de la panière, qui se trouve dans le salon, entre la cheminée et la table basse. Je jette un coup d’œil sur ma droite, et constate que Gilles se dirige vers la cuisine. Je continue mon avancée fastidieuse et me retrouve face à la panière. Avant de rentrer dedans, je regarde l’état de mes mains : elles sont toutes propres. Au moins, je marche sur un sol clean ! La panière a l’air confortable. Elle est très grande, largement pour que je m’y mette entièrement en boule. Un tapis, assez mou, se trouve au fond. Enfin une couverture est posée à côté. Je me glisse à l’intérieur, et essaye de trouver une position confortable. J’opte finalement pour la position « fœtus ». Ça me permet d’enlever un peu de pression au niveau de mes fesses. Je ferme un peu les yeux, afin de me déconnecter de tout ce qui était en train de se passer. Au bout d’une vingtaine de minutes, je réouvre les yeux, réveillée par une odeur appétissante.
Il est 21h, et mon ventre commence à me faire savoir qu’il est l’heure de manger.
— Gilles ? Je peux venir manger ?
Je le vois sortir de la cuisine et se diriger vers moi. Il a le regard ferme, comme si j’avais fait une bêtise. Je vois qu’il tient dans sa main un genre de petit fouet. Mais qu’est-ce que j’ai fait ?
— Mets-toi à quatre pattes.
Je m’exécute. Il se positionne derrière moi, et m’assène un coup de fouet aux fesses. Un petit cri de surprise sort de ma bouche. Pas de douleur, car il n’a pas fait fort. Mais je ne m’y attendais pas.
— Est-ce que tu as déjà entendu une chienne parler ? Si tu as faim, tu abois. Si tu as quelque chose à demander, tu abois et tu auras l’autorisation de parler seulement quand je t’en donnerais l’autorisation. Si tu as compris, tu sais ce qu’il te reste à faire.
Je comprends que je n’ai plus le droit de dire un mot, et que ma seule possibilité de réponse est :
— Wouf, Wouf.— C’est bien. J’arrive avec le repas.
Il se dirige à nouveau vers la cuisine. Il revient avec seulement une assiette. Je ne comprends pas ce qu’il y a dans son autre main, jusqu’à ce qu’il la pose à côté de ma panière. Une gamelle. Mes yeux s’écarquillent de surprise. Il est prêt à aller jusque-là ? Nan je ne peux pas. Je ne peux pas à me résigner à manger dans une gamelle. Il voit mon regard désespéré.
— Tu ne veux pas manger dans ta gamelle ?
Je lui fais non de la tête.
— Je comprends que ça te fasse beaucoup d’un coup. Sache que je ne suis pas non plus un sadique, si tu n’as pas envie de faire quelque chose, je ne t’y obligerais pas. Je vais te chercher une assiette et des couverts, tu peux te joindre à moi sur le canapé.
Je suis soulagée. Il n’est pas si méchant que ça. Le simple fait de me laisser le choix m’enlève un poids et me libère de la pression. Je m’assois sur le canapé, de côté. Je sens le plug rentrer un peu plus profondément. C’est presque agréable. Gilles revient avec une assiette.
— Et voilà le repas.
Pour le remercier, je laisse échapper un petit aboiement accompagné d’un coup de museau contre son bras. Il a l’air d’apprécier. Je me rue sur mon assiette, tellement la faim me prenait au ventre depuis un moment. C’est délicieux. Il a un talent pour la cuisine, et je l’ai compris dès le premier repas qu’il avait fait pour ma mère et moi-même. Je finis mon assiette en 10 minutes. Il me caresse la tête. Sentir ses mains chaudes, immenses, sur ma tête… Bref je retourne dans ma panière le temps qu’il finisse de manger. Il est maintenant 21h30.
— Suis-moi dans la salle de bain, c’est l’heure du nettoyage !
Je m’exécute, perplexe de ce qui m’attend ? Allait-il me regarder me laver ou participer ?... Je le suis au pas. A chaque fois, je sens mes seins bougés, sous l’effet de la gravité. Ma queue de renard bouge elle aussi sous le rythme des mouvements de mes hanches. Tout le long du trajet, il tient ma laisse. Nous arrivons dans la salle de bain. Cette dernière est magnifique. Le sol est habillé d’un carrelage noir mat. L’espace des deux lavabos est entièrement en marbre. Un beau miroir les surplombe. Enfin, une douche à l’italienne et une immense baignoire d’angle équipent la pièce. Gilles m’enlève délicatement mon collier et mes oreilles.
— Tu peux aller dans la baignoire en te levant.
Je me lève, et rentre dans la baignoire.
— Si tu es d’accord je vais te laver. Abois une fois pour acquiescer. — Wouf.— Parfait.
Il se dresse devant moi, et recule un peu. Il se met face au miroir. Il enlève son t-shirt, puis son pantalon. Il termine par son caleçon. Je déglutis avec difficulté. Son corps est tout simplement magnifique. De dos, on pourrait lui donner la trentaine. Ses fesses sont rondes, musclées. Son dos l’est tout autant, surtout au niveau des dorsaux. Je suis impressionnée. Puis il se retourne. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de cette vision. Son torse est puissant, presque bestial. On remarque légèrement la démarcation de ses abdominaux. Entre ses jambes, pend un appendice imposant. Pas très grand, mais épais, veineux. Il n’a quasiment aucun poil sur le corps. Je ne l’avais jamais vu nu, du moins pas d’aussi près. Je sens un frisson parcourir mon corps. Ma température interne monte, mon cœur bat plus vite. Mais qu’est-ce qu’il se passe bordel ?! J’essaye de me ressaisir et de détacher mon regard. Il s’approche de moi et s’accroupit afin d’être à ma hauteur.
— Mets-toi à quatre pattes.
Je me mets en position. Je sens sa main saisir ma queue. Il tire, délicatement, afin d’enlever le plug. Je laisse échapper un petit couinement. Finalement il le retire. Je sens mon trou complètement écarté, comme si on le libérait d’une énorme pression. Je me sens soulagée, même si je commençais à m’habituer à… comment dire ? A être pleine ! Je jette un coup d’œil pour voir ce qu’il fait. Il est en train de nettoyer le plug. Puis je sens ses mains, remplies de savon, parcourir mon corps. Il commence par me laver les bras, puis le dos, en massant les parties tendues. C’est très agréable. Il descend ensuite au niveau de mes jambes. Je sens ses mains effleurées à chaque fois mon entre jambe… Je me rends compte que la situation m’excite… J’ai du mal à contrôler ma respiration qui s’accélère petit à petit. Il me saisit ensuite les fesses. Il a du mal à les prendre entièrement dans ses mains tellement elles sont imposantes.
Je sens ma peau, mes muscles, bougés sous le rythme de ses mouvements. Puis, je sens un de ses doigts se faufiler entre mes fesses. Il commence à me masser mon cul. Le plaisir que cela me procure est indescriptible. Je n’avais jamais connu cette sensation. Il appuie de temps en temps, me laissant échapper de petits gémissements. Puis il descend pour cette fois se diriger vers ma chatte.
— Je vois que tu es trempée. Tu aimes te faire laver ?— Wouf.
Mon aboiement était sorti naturellement. Comme si j’avais pris l’habitude de ne répondre que comme ça. Je sens sa main droite frotter mon clitoris, masser mes lèvres. Je sens que je mouille de plus en plus. Je ne peux plus m’empêcher de gémir. J’ai envie de crier mais je me retiens. Au bout de quelques minutes, je sens mon clitoris se gonfler, encore et encore, et une décharge me transperce. Je suis terrassée par un orgasme d’une puissance dévastatrice. Jamais je n’avais réussi à produire une telle sensation à l’aide de mes doigts. Là c’était encore autre chose. Je m’effondre dans la douche, complètement essoufflée.
— C’est bien Julie, tu es une bonne fille. Reprends tes esprits tranquillement, je t’attends en bas. N’oublie pas de remettre tous tes objets.
Sur ce, il me laisse allongée sous l’eau, perdue dans mes pensées, me rendant compte que j’aimais cette situation.
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