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Devenir chienne pour sauver ma mère

Chapitre 3

SM / Fétichisme
La nuit a été difficile. Toute seule dans ma panière, loin du confort d’un lit douillet, dans le noir de cette vaste maison. L’inconfort et la peur m’avaient réveillé plusieurs fois. Heureusement qu’il y avait les couvertures, au moins je n’ai pas eu froid. Je me mets à quatre pattes et étire mes membres. J’avais presque oublié que mes fesses sont remplies par le plug. Je commence à m’habituer il faut croire ! Je décide d’attendre quelques minutes en espérant que Gilles descende bientôt. Au bout de 5 minutes, j’entends enfin les escaliers grincer. Il arrive dans le salon, avec un simple short de pyjama et une chemise blanche froissée.
— Bien dormi ma petite chienne ?— Wouf wouf.— C’est bien. Tu as faim ? Je t’autorise à me réponde.— Oui.
Sur ses mots, il se dirige vers la cuisine. Nous prenons le petit déjeuner ensemble. Il y a une certaine tension. Il ne m’adresse quasiment pas un mot, et je suis à côté de lui, ne sachant que faire pour briser la glace. Finalement, il brise le silence :
— Il fait grand soleil, je pense que ça serait l’occasion d’aller se balader en bord de mer qu’en penses-tu ?— Avec grand plaisir.— Parfait, je te laisse aller te rincer et enfiler un maillot de bain. Tu peux enlever tous tes accessoires et te déplacer en marchant.
Je me mets debout et monte dans ma chambre. Qu’est-ce que ça fait bizarre de voir le monde d’aussi haut. Un jour seulement que je me déplaçais à quatre pattes et j’avais presque déjà perdu l’habitude d’être sur mes pieds ! J’arrive dans ma chambre, saisit un maillot de bain et vais me changer dans ma salle de bain privative. J’en profite pour enlever tous mes ustensiles, et me rincer un peu. Je m’habille ensuite d’une petite robe blanche, histoire de ne pas avoir trop chaud dehors. Ça fait du bien d’être en tenue, comme une fille normale ! Je descends les escaliers pour retrouver Gilles. Il m’attend, au milieu du salon. Il porte un maillot de bain beige que l’on pourrait confondre avec un short, et une belle chemise en lin, moulant ses muscles. Me voyant le mater, je me ressaisis et me mis devant lui.
— Je suis prête !— Parfait, est ce que tu as mis des sous-vêtements sous ta robe ?— Euh oui... Enfin j’ai un bikini…— Va l’enlever, et mets tous tes ustensiles dans un sac.— D’accord.
Un peu perdue, je m’exécute. Nous sommes en route. A l’intérieur de son Porsche Cayen, les reflets du soleil tapent sur les vitres réchauffant l’air de la voiture. Je ne peux empêcher mon regard qui parfois tombe sur son entre jambe. Une vision de son membre me vint à l’esprit ! Mon dieu qu’est ce qui me prend de penser à ça !
— Tu reprends l’école demain ?
— Oui, j’ai cours à 9h. J’espère que les grèves des transports sont finies sinon je vais encore devoir me lever à 6h !— Je pourrais t’emmener si tu es sage.— Oh c’est gentil…
Sage ? Qu’appelle t’il sage ? Bon peu importe, je suis là pour me détendre, faire bronzette à la plage et profiter du soleil ! Nous arrivons enfin à la plage. On se gare en haut de la dune. Il n’y a que deux voitures. Il faut dire que ce parking n’est pas très connu. On prend nos affaires et descendons les escaliers. Je suis un peu gênée d’être toute seule avec mon beau père. Nous n’avons jamais réellement passé de temps…. Ensemble. Je décide d’apprendre à mieux le connaitre !
— Et du coup Gilles, tu aimes passer du temps à la plage ?— Oui, je t’avoue que c’est mon passe-temps favori. Quand j’étais plus jeune, je faisais beaucoup de surf, mais ma blessure au genou m’empêche d’en refaire. Après, me prélasser au soleil me convient très bien !
Il rit en disant cette phrase. Finalement, je le croyais beaucoup plus rude et pas aussi décontracté. Ça doit l’air de l’océan qui le rend comme ça. Après avoir marché une bonne quinzaine de minutes, nous nous installons au milieu du sable. Il n’y a strictement personne à l’horizon. Je m’allonge sur ma serviette, habillée vu que je n’ai rien en dessous.
— Allons Julie tu ne vas pas rester en robe avec un soleil pareil ! Aller déshabille toi.
Je le regarde, avec des yeux surpris et apeurée. Me mettre toute nue, à la plage, alors qu’il pourrait y avoir de gens…
— Mais Gilles, il pourrait y avoir du monde…— Ne t’inquiète pas, il n’y a jamais personne ici.
Résignée, je me mets nue. Le soleil tape sur mes seins et ma chatte, la réchauffant. C’est agréable il faut avouer ! Je me mets sur ma serviette, allongée sur le dos, positionnée sur mes coudes. J’observe Gilles, qui déboutonne sa chemise. Je n’arrive pas à décrocher les yeux. Soudain, il délasse son maillot, et se retrouve nu. Je déglutie. Son corps est impressionnant. Les rayons du soleil font ressortir chaque muscle. Mes jambes se serrent et commencent à se frotter naturellement. Julie ressaisit toi ! A cause de lui tu dois jouer l’esclave de service je te rappelle ! Je décide de détourner le regard, mais sa voix m’oblige à le regarder à nouveau :
— Tu ne crois tout de même pas que je vais te laisser là, allongée tranquillement sur ta serviette ?— Euh comment ça ?...— Dois je te rappeler ce que tu es pendant un mois ?— Non.— Alors dis le, qu’est-ce que tu es ?— Une chienne.— Ma chienne. Alors enfile tes accessoires.
Je suis décontenancée. Tout paraissait normal, il était même gentil, et je retrouve à ce moment ce regard froid et sa voix autoritaire. Je n’ai pas le choix. Je saisis mon sac, enfile mes oreilles, mon collier avec la laisse et le plug. Je pose ce dernier contre mon trou serré, prend une grande respiration et l’insère. Ouf, ça rentre beaucoup facilement que la dernière fois. Je laisse échapper un petit gémissement de surprise. Je me retourne et me mets à quatre pattes face à lui.
— Fais la belle.
Je m’exécute et me mets sur mes deux genoux, tout en tirant la langue.
— C’est bien. On va jouer un peu maintenant.
Il pend la balle dans le sac, et la jette à une dizaine de mètres.
— Va chercher.
Je file alors vers la balle, difficilement à cause du sable qui ralentit mes mouvements. Je sens le soleil réchauffer mon corps, et le plug frotté mes parois à chaque mouvement. Je sens mon entre jambe se réchauffer. Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Ne me dites pas que j’aime ce qui est en train de se passer ? Et j’ai obéis si naturellement… Le doute s’installe lorsque j’arrive enfin à la balle. Je la saisie dans ma bouche comme l’aurait fait une chienne, et reviens avec. Je la pose finalement à ses pieds.
— C’est bien tu es une gentille fille. Tu veux continuer à jouer ?— Wouf Wouf.— Alors va chercher !
L’opération se répéta plusieurs fois. Je finis par ne plus en pouvoir des allers retours dans le sable chaud. Je transpirais après cet effort important.
— Bon on va arrêter là, je vois que tu as chaud alors on va aller se baigner un peu ! Tu peux te mettre debout.
J’obéis et retrouve une position normale. Il saisit ma laisse et nous nous dirigeons vers l’eau. Le contact frais de cette dernière me fit frissonner. Nous avançons petit à petit jusqu’à être entièrement dans l’eau. L’eau salée me caresse la chatte. C’est agréable. Cela soulage aussi mon trou encore comblé par le plug. Mes tétons pointent. Au loin je vois une grosse vague arriver. Je regarde Gilles paniquée. Je ne suis pas là plus à l’aise dans l’eau ! Il comprit mon signal d’alerte et me plaque contre lui. Je sens son corps musclé m’envelopper. Son pénis touche mon ventre.
— Respire un grand coup.
Je prends une grande inspiration et il m’emporte sous l’eau. La vague passa au-dessus de nous.
— Voila comment on fait quand il y a une grande vague, me dit il avec un clin d’œil.
On barbotât dans l’eau une bonne quinzaine de minutes, profitant du moment. Finalement, nous sortons pour nous diriger vers les serviettes. Il prend la mienne et la pose vers le bas de la sienne, perpendiculaire. Il s’allonge et écarte les jambes.
— C’est ici ta place pour bronzer, entre mes jambes.
Je me mets alors en boule, entre ses jambes, la tête posée sur sa cuisse droite. A seulement quelques centimètres de moi, j’ai son énorme engin. J’en profite pour l’observer. Même au repos, il est très épais. De nombreuses veines sont visibles. Et ses couilles sont tellement grosses. Je n’avais quasiment pas d’expériences sexuelles, et c’était la première fois que je me retrouvais si près d’un attribut masculin. Mon entre jambe se réchauffe à nouveau, je sens mes seins pointer. Mon dieu je n’arrive pas à me détacher de cette vision. J’ai même envie de le toucher… J’essaye de penser à autre chose quand soudain il se tourne pour se mettre sur le côté. Je me retrouve littéralement nez à nez avec son pénis. Il est à 2 centimètres. Je sens même de la chaleur en émaner. Il sent bon. Mes jambes se frottent, faisant frotter mes parois internes de mes fesses contre le plug. Je me rends compte que je mouille, abondamment. Je ne contrôle plus rien. Il faut que je le touche, que je le goute…
— Wouf Wouf.— Que se passe-t-il ?— Est-ce que je peux… Est-ce que je peux jouer avec votre entre jambe monsieur ?— Mais bien sûr ma petite chienne fait toi plaisir.
Les mots étaient sortis tout seul de ma bouche. Je me rapproche et commence à le frotter avec mon nez. C’est doux. Puis je donne des petits coups de langue. Je sens son engin bouger. Je monte ma main droite afin de prendre ses couilles. Je les masse doucement. Puis je continue à le lécher doucement. Petit à petit, il se dresse, grossissant encore et encore. Je suis subjugué par ce qu’il se passe. Comment est possible ? Je suis tellement excité que je ne peux plus m’en empêcher. Je le saisis de ma main droite, et mets son pieux entièrement dans ma bouche. Je l’entends pousser un gémissement. Je le branle en même temps. Je sens ma chatte se mouiller, encore et encore. Son pénis grossit dans ma bouche. Il la remplit entièrement, me faisant saliver. J’augmente la vitesse de mes vas et viens, allant de plus en plus profond. J’adore ça, je ne peux pas m’arrêter. J’ai envie qu’on me touche, qu’on me fasse jouir.
— Monsieur, est ce que vous pourriez aussi vous occuper de moi ?— On verra ce soir, si tu effectues bien ton travail la maintenant.
Je reprends alors son pénis en bouche et le suce avidement. Je gémis pendant cette fellation intense, mouillant encore plus à chaque fois que je sens du liquide séminal. C’est si bon. Je continue comme ça, pendant de longues minutes quand je sens soudain son engin se contracter.
— Julie, je vais…
J’accélère encore et sens finalement son sperme gicler dans ma bouche. Une quantité impressionnante dégouline, mais je parvins à tout avaler. C’est sucré, et doux. Je suis littéralement en transe. J’ai même failli jouir. Je me rends compte que j’en veux encore. Il s’assoit, face à moi et me caresse la tête.
— Tu as été une bonne fille, tu mérites une récompense.
En signe de remerciement, je lui tire la langue et aboie.
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