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Devenir chienne pour sauver ma mère

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Il est 20h. Je suis en boule dans ma panière, encore complètement émoustillée de cette journée. Mais mon esprit devenait de plus en plus clair. Qu’est ce qui m’avait pris de réagir comme ça à la plage ? J’avais l’impression d’être quelqu’un d’autre. J’essaye de ne plus y penser, et de me focaliser sur la semaine qui arrive. En effet, les cours reprennent, et je ne peux pas me permettre de voir mes résultats baisser. Une petite quinzaine de minute s’écoule lorsque Gilles arrive :
— Viens, il est l’heure de te laver.
Je me dirige vers lui à quatre pattes et nous allons jusqu’à la salle de bain. Je me glisse dans la baignoire et il commence à parcourir mon corps avec ses mains couvertes de savon. Il s’attarde sur mes seins qui commence à durcir. Des frissons me parcourent mais j’essaye de ne pas tomber dans le même état d’excitation qu’à la plage. Puis il me masse les fesses, délicatement et soudain il saisit ma queue de chienne en tirant un peu dessus.
— Comme tu as été une gentille chienne aujourd’hui, je vais te récompenser. Allonge-toi sur le dos.
Je m’exécute, tremblante et me mets sur le dos, le buste légèrement relevé. Il me regarde intensément, et commence à descendre sa main droite au niveau de mon entre jambe. Il arrive au niveau de mon clitoris. Ce simple contact m’envoie une décharge électrique. Puis il descend lentement son majeur pour venir effleurer mes lèvres.
— Je vois que tu es déjà trempée. — Wouf Wouf.
Je sens son doigt se balader autour de ma chatte. Il me fait languir. Mon esprit s’échauffe, je perds petit à petit le contrôle. C’est si bon. Je n’avais jamais ressenti ça. Mes tétons pointent de plus en plus, mon corps se cambre. Soudain, sans prévenir, il rentre son doigt en moi. Je pousse un cri de surprise. Même son doigt est épais. Je le sens commencer à bouger à l’intérieur de moi. Il explore mon intérieur serré, notamment à cause du plug qui remonte les parois de mon vagin. Je suis en ébullition. Il commence à faire des vas et viens avec son doigt, allant plus ou moins vite, plus ou moins fort. J’ai eu une seule relation, et je peux affirmer qu’il ne savait pas s’y prendre comme ça ! On dirait que chacun des mouvements de Gilles est calculé, comme s’il savait où insister pour me faire du bien. Je ne peux plus me retenir de gémir. Avec sa main gauche, il commence en même temps à me frotter mon clitoris. Ce dernier est gonflé, sensible. Je ne gémis plus mais je crie.
— Anh oui, c’est si bon !
Il continue, jusqu’à ce que soudain, une décharge me traverse entièrement, me terrassant. Un puissant orgasme explose. Je pousse un cri de plaisir, de satisfaction. Bordel qu’est ce qui vient de se passer ? Il retire son doigt.
— Je vois que tu as aimé ça petite coquine. Mais ne crois pas que j’en ai fini avec toi. Je sais que tu en veux encore.
Je saisis à peine ce qu’il venait de me dire tellement je suis en extase. Je le vois partir et revenir avec quelque chose en main.
— Je suis sûr que tu vas l’adorer.
Malgré mon regard flou, je comprends ce qu’il tient. Un gode. Pas aussi gros que son pénis, mais quand même gros et grand surtout. Il est d’une couleur noire, avec de fausses veines, et se termine par une ventouse. Je tremble en le voyant.
— Mets-toi sur tes genoux.
Je me mets en position, ne comprenant pas bien ce qui allait se passer. Il fixe le sextoy grâce à la ventouse sur la paroi de la baignoire. Il est tellement long qu’il effleure déjà mon entre jambe alors que je ne me suis pas complètement fléchie.
— Rentre-le en toi maintenant.
Mon cœur bas de plus en plus vite. Comment est-ce que je peux rentrer ce gode imposant alors qu’en plus j’ai mon plug ! ça ne va jamais passer…
— Je ne suis pas sûr que ça rentrera monsieur.
Pour vérifier, il glisse un doigt entre mes jambes et le rentre d’une facilité déconcertante.
— Ne t’inquiète pas, je suis sûr que ça va rentrer tout seul et que tu vas adorer.
Je me baisse alors petit à petit sur mes genoux. Le gland en plastique rentre en moi. Je pousse un gémissement. Puis petit à petit, le reste rentre en moi. Je sens le sextoy poussé sur mes parois, les élargir, et frotter contre le plug. Je suis remplie. Il est quasiment entièrement en moi.
— Tu vois que c’est rentré. Maintenant fait la belle.
Je mets mes mains au niveau de mes seins comme le ferais une chienne, et tire la langue. En même temps, je commence à bouger mon bassin et à faire des vas et viens. Je sens chaque millimètre du gode glisser en moi. La pression du plug rend la chose encore plus agréable. Je perds le contrôle et commence à gémir, tout en accélérant. Gilles me caresse la tête, puis mets son pouce dans ma bouche. Je commence à sucer ce dernier, goulument. Je suis de plus en plus excitée par ce qu’il se passe. Soudain, Gilles s’accroupit, et glisse un de ses doigts au niveau de mon clitoris. Pendant que je m’active à faire des vas et viens, il me tripote, me frotte mon bouton de plaisir. Je crie, encore et encore, jusqu’à ce qu’un deuxième orgasme me terrasse. Je suis complètement essoufflée, ne comprenant toujours ce qui venait d’arriver. Quel était ce plaisir immense que je venais de ressentir ?
C’était, magistral, presque addictif… Je crois que j’en veux encore mais je suis quand même dans un état d’épuisement avancé.
— Eh bien je vois que tu adores ça et que tu es beaucoup plus coquine que ce que je pensais. C’est bien je suis fier de toi. Aller, rince-toi et file au lit te reposer il faut que tu sois en forme pour tes cours de demain.— Wouf Wouf.
Les cours avaient repris et une certaine routine s’était naturellement installée. En effet, le matin j’allais en cours, retrouver mes amis. On mangeait ensemble, rigolait, parlait de tout et de rien. Une vie d’étudiante normale. Et le soir, dès que je franchissais la porte de la maison, je redevenais la chienne de mon maitre. J’enfilais mes accessoires, et obéissais à ses demandes. Généralement, on jouait ensemble, puis on se matait un film après avoir mangé. C’était à ce moment que les choses dérapaient. Il était souvent nu pendant le film, et je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir envie de le toucher. Je le branlais donc, puis le sucais jusqu’à ce qu’il jouisse. Si j’avais bien fait la chose, il prenait soin de moi en me faisant jouir à mon tour. Tout simplement. Et j’adorais ça. J’avais même pris l’habitude de me déplacer à quatre pattes, de dormir dans la panière, boire dans ma gamelle. Je ne me reconnaissais pas mais j’aimais ça.
Ce fut seulement jeudi soir qu’un évènement inattendu se passa. J’étais tranquillement dans ma panière, lorsque Gilles débarqua.
— J’ai une surprise pour toi.
Je le regardai avec des yeux interrogateurs.
— Demain, tu iras en cours avec cet objet.
Il me montra l’intérieur de sa main droite. Il s’y trouvait un genre d’œuf rose, se terminant par un appendice.
— Le principe est très simple. Tu vas le mettre dans ta chatte, toute la journée. Lorsque j’en aurais envie, je l’activerais et tu ressentiras des choses qui te plairont je pense.
Puis il reparti dans la cuisine.
Nous sommes vendredi. Je suis sur le trajet de la fac. Muni de mon sac à dos, je marche rapidement car je suis légèrement en retard (comme d’habitude). A chacun de mes pas, je sens le petit œuf frotté mon vagin. J’essaye de ne pas y penser et accélère le pas. J’arrive enfin devant la porte principale, où mon amie, Sarah, m’attendait.
— Oh mais dis-moi Julie tu t’es faite toute belle aujourd’hui !! — Oh merci tu es trop gentille.
Un petit compliment ça fait toujours plaisir ! Et en effet, j’avais enfilé une jolie robe couleur moutarde, ample, cintrée au niveau de la taille à l’aide d’un grand foulard. Un léger décolté accompagné le tout.
— Alors comment s’est passé ton rendez-vous d’hier avec Alex ? Je lui demande.— Oh c’était sympa mais sans plus. On est allé boire un verre, pas mal discuter puis on est allé chez lui. Après un ou deux verres on a dérapé et je peux te dire que c’est un mauvais coup ! Mais bon c’est comme ça on ne peut pas toujours avoir de la chance !
Ce que je peux vous dire, c’est que Sarah, sous ses airs d’élève modèle, n’a pas du tout froid aux yeux. Et les mecs le savent, ne me demandez pas comment ! Elle a toujours eu beaucoup de succès, et elle savait en jouer. Il faut dire aussi qu’elle sait attirer les regards avec ses tenues qui la mettent parfois très en valeur. En effet, ses seins sont tous simplement parfait. Rond, gros, au moins un D. Je l’avais vu une fois nue dans les vestiaires, et j’ai été absorbée par cette vision.
— Et toi alors, pas de nouveau côté mec ?— Euh non pas spécialement…
Je pense à tous les évènements de ces derniers jours, gênée.
— Mais enfin Julie ! Il faut que tu profites, que tu rencontres des mecs, que tu t’éclates au lit ! — Je sais mais pour l’instant je préfère me focaliser sur les cours.
Si elle savait…Les deux premières heures de cours se passèrent sans encombre jusqu’à ce qu’arrive la première décharge à 10h. Nous sommes en pause, à la cafeteria comme chaque inter-cours. Je discute avec Sarah lorsqu’une vibration, d’une puissance impressionnante, se déclenche entre mes jambes. Surprise, je renverse un peu de mon café.
— Ça va Julie ? me demande Sarah.— Oui, oui, un petit étourdissement.
Je me dirige vers une chaise, tremblante. Les vibrations sont tellement fortes qu’elles stimulent mon clitoris. Je sens ma chatte vibrée, et de la mouille commence à apparaitre. Non pas maintenant pitié… Je sens le regard de mon amie, interrogateur. Je ne sais pas comment gérer la situation. Mes jambes se serrent sans mon accord, pour augmenter le plaisir. Soudain, la sensation s’arrête. Je lâche un grand soupir. J’espère que ça n’allait pas se reproduire tout au long de la journée sinon je ne vais pas pouvoir tenir…
— Ça va ?— Oui mieux merci, j’ai eu un petit passage à vide je n’ai pas déjeuné ce matin.— Tu m’as fait peur… Bon aller, retournons en cours !
Mais je m’étais fourvoyée. Tout au long de la journée, pendant les cours, pendant le repas du midi, Gilles avait activé le jouet. Pas plus de deux minutes, mais suffisamment pour me déstabiliser. J’avais beaucoup de mal à cacher mes émotions et j’avais senti que Sarah se doutait de quelque chose. Mais elle ne pouvait pas savoir.
Il est maintenant 15h. Les vibrations n’avaient pas reprise depuis une bonne heure. Ça doit être terminé enfin ! Le cours de mathématiques est terriblement ennuyeux comme toujours. C’est pour ça d’ailleurs que je m’étais mise vers le fond. J’avais fait exprès de me mettre seule, au cas où que les vibrations reprennent. Et j’avais vu juste. D’un coup, je sens le jouet s’activer. Mais cette fois, les vibrations sont plus fortes. Mon visage se crispent. Je me mets dans l’axe de mon camarade de devant afin que le prof ne me voit pas. Mes jambes se tendent, la chaleur monte. Courage Julie, ça va passer comme les autres fois. Mais je me trompe. La sensation continue. Encore. Encore. Voilà maintenant 5 minutes qui se sont écoulées. Et les vibrations continuent, tout en s’intensifiant. Mon regard se perd dans le vide, mes jambes se frottent, ma respiration s’accélère. Il faut que je me contrôle sinon les autres vont comprendre… Mais je ne peux pas.
C’est trop bon… Sans m’en rendre compte je me mets à tirer la langue. Mais qu’est ce qui m’arrive ? Je sens mon clitoris se gonfler de plaisir. Je n’en peux plus.
— Monsieur, excusez-moi, je peux sortir 5 minutes ?— Oui bien sûr, tout va bien Julie ?— Oui oui ça va.
Je me dirige, tremblante, vers la sortie du fond de la classe et court vers les toilettes. J’ouvre la porte, et vais dans la cabine pour handicapé. Et comme par reflexe, je me mets à quatre pattes. Je descends ma main droite et commence à frotter mon clitoris. J’essaye de me retenir de gémir, mais de petits cris sortent de ma bouche. Je sens un puissant orgasme monté, je ne peux pas le retenir. J’explose de plaisir. Sous la pression de l’orgasme, le jouet est propulsé sur le sol. J’essaye de retrouver mes esprits, complètement perdue. Ma respiration se calme petit à petit. C’était… Tellement intense. Je me relève, prend le jouet, vais le laver et le remet en moi. Puis je retourne en classe afin de finir le cours.
La journée est enfin terminée. Je suis à 5 minutes de la maison. Je suis terriblement excitée. Je n’espère qu’une chose, que mon maitre me fasse du bien ce soir. Toutes ses sensations de la journée… C’était trop pour moi. J’arrive, impatiente devant la porte. Je l’ouvre. Comme une bonne chienne, je me déshabille entièrement, et enfile mes accessoires posés dans la panière à gauche de l’entrée. Je me dirige à quatre pattes vers le salon, dans mon accoutrement de chienne et aboyant pour prévenir de mon arrivée. J’arrive au salon, et je me pétrifie. Gilles est assis sur le canapé, avec deux autres hommes à ses côtés.
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