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Devenir chienne pour sauver ma mère (Suite)

Chapitre 2

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Il me regarde, abasourdi.
— Ju… Julie mais qu’est-ce que … ?
Il n’a pas le temps de finir sa phrase que sa maitresse lui assène une puissante claque sur ses fesses.
— Depuis quand es-tu autorisé à parler Médor ?
Il couine pour s’excuser.
— Veuillez me pardonner Monsieur, je ne sais pas ce qu’il lui a pris, il est pourtant très bien éduqué.— Ne vous en faites pas. Comment vous appelez vous ?— Jeanne.— Enchanté Jeanne, je m’appelle Gilles. On dirait que votre chien connait la mienne.— Oui en effet, on dirait.
Je ne sais pas où me mettre. Mon professeur est un chien, et il est en face de moi. Il a l’air tout aussi gêné que moi. Je regarde Gilles, qui a l’air amusé par la situation.
— Vas y Julie, tu peux aller lui dire bonjour.
Je m’exécute, timidement. J’arrive à quelques centimètres de son visage et le lèche. Il me retourne le bonjour. C’est la première fois que je me retrouve aussi proche de lui, et il faut avouer qu’il est beau. Du haut de ses 36 ans environ, il a un visage fin, presque féminin, mais parfait. Ses cheveux bruns presque noirs effleurent mon visage. Il n’a pas de barbe, le rajeunissant. On croirait à un ado devenu adulte trop tôt.
— Eh bien Médor, je t’ai connu plus foufou. Normalement il ne se prive pas pour aller renifler les derrières des femelles.
A cette phrase, il rougit. Et ça m’amuse.

— C’est peut-être parce qu’il connait Julie. Peu importe, il n’a pas à se priver ! Présente lui ton derrière Julie.
J’obéis entre gêne et excitation. Comment cette situation peut elle me faire mouiller alors que c’est mon prof ! Mais la vue de tous ces mâles nus, les regards d’envie portés sur moi, le fait d’être totalement chienne… Tout ça m’avait complètement excité. Alors je me retourne. Je sens le nez de mon professeur fouillé mon entre jambe. Je le sens reniflé, et ça m’excite de plus en plus. Il ressort sa tête au bout d’une longue minute, le nez plein de mouille.
— Je vois que votre petite chienne est toute mouillée. — C’est ce que je vois ! Mais ça ne m’étonne pas, elle adore les beaux mâles comme le vôtre. Est-il bien monté ?— Vérifiez par vous-même ! Lui dit elle avec un clin d’œil. Médor, lève la patte.
Il obéit à son tour et lève sa jambe droite comme l’aurait fait un chien pour uriner. Et derrière sa jambe se cache en fait un énorme appendice. Plus gros que celui de Gilles, plus grand. Je n’avais jamais vu un tel engin. Il cachait bien son jeu ! Il est à demi dur, montrant que me renifler le derrière lui avait apparemment plut.
— Impressionnant ! s’exclame Gilles. Vous devez être comblée. — Oui très, et il adore faire jouir sa maitresse sur demande. Il a un coup de langue fantastique. Je suis sûr que votre chienne adorerait.— Je suis curieux de voir ça ! — Aller va Médor, lèche la comme tu le fais avec moi.— Mets toi sur le dos Julie. M’ordonne Gilles.
Je me mets sur le dos. Le contacte de l’herbe fraiche me fait frissonner. Puis je sens le visage de Monsieur AURY se rapprocher. D’un coup, il lance un petit coup de langue timide, touchant directement mon clitoris. Une décharge électrique me parcourt. Je pousse un petit gémissement de surprise. Puis petit à petit, il me lèche de plus en plus intensément. Après avoir bien insisté sur mes lèvres gonflées, il me bouffe littéralement mon bouton d’amour. Il le lèche, le suce, le mordille. Je me tortille dans l’herbe, tout en gémissant, incapable de me retenir. Puis il alterne, en tentant de rentrer une partie de sa langue dans mon vagin. Je sens la pointe en moi, s’activer à me lécher l’intérieur. C’est trop de plaisir pour moi, je sens un orgasme monter. Personne ne m’avait léché comme ça aussi avidement. On aurait presque dit un vrai chien… Deux longues minutes passèrent lorsqu’une décharge électrique me transperçais. Je pousse un cri de plaisir.
— Eh bien il lui en faut peu pour jouir à cette petite. — Elle est très sensible en effet. Mais c’est surement grâce à la langue de votre chien. Mais laissez-moi vous montrer de quoi la mienne est capable. Aller Julie, tu sais ce que tu dois faire.
Je me remets difficilement à quatre pattes, encore tremblante de mon orgasme. Je me retourne vers mon professeur, m’attendant, allongé sur le dos. Dans cette position, je vois ses couilles pendre. Elles sont grosses, remplies. Puis son pénis, maintenant dur, se dresse fièrement. Il dépasse les 20 centimètres. C’est impressionnant. Et je n’ai envie que d’une chose. Le mettre dans ma bouche. Je me dirige donc vers lui et me retrouve nez à nez avec son gland. J’en profite pour le sentir. Aucune odeur ne s’en dégage. Je frotte mon visage contre son gland, lisse et agréable, puis sans crier garde, je le mets dans ma bouche. Il est énorme, ça prend déjà tellement de place comment je vais faire pour tout mettre ! Je commence à jouer délicatement avec ma langue. J’insiste sur chaque partie de son gland, afin de le faire languir. Je le sens gigoter. Ça m’excite énormément. De voir ce jeune mâle tout excité par mes coups de langue.Ce n’est plus mon professeur, mais un chien dont je dois assouvir les besoins. Je rentre alors son pénis à moitié dans ma bouche puis j’entame de longs vas et viens. Je m’applique, prenant soin de bien enfoncer son gland au fond de ma gorge. Je sens ma chatte complètement trempée. J’aimerais que l’on me prenne pendant cet ébat. Sauvagement. Je suce ce chien avidement, rentrant à chaque fois un peu plus de centimètres de cet énorme engin. Je le sens aller de plus en plus profondément dans ma gorge et j’aime ça. Il ne peut plus se contrôler, et couine de plaisir. Je m’active pendant de longues minutes. Il est très endurant. J’aimerais qu’il me prenne par derrière pendant des heures comme la bonne chienne que je suis. C’est alors que je sens son pénis se contracter petit à petit. Médor couine plus fort, comme s’il demandait quelque hose à sa maitresse :
— Vas-y, tu peux jouir.
C’est alors qu’un flux gigantesque de sperme se déverse dans ma gorge. Ce liquide chaud, légèrement fruité, se déverse dans ma bouche. J’avale tout, comme mon maitre m’a appris à faire. Je m’en délecte même. J’en veux encore.
— C’est bien Julie tu es une bonne fille. — Elle fait ça à merveille c’était magnifique à voir. Elle m’a toute excité ! Regardez dans quel état elle a laissé on entre jambe. Aller viens au pied de ta maitresse.
Il se relève, et me remercie du regard, ses joues rouges pivoines. Puis il se dirige vers sa maitresse qui se saisit de sa laisse.
— Aller viens, tu vas t’occuper de moi maintenant.
Je les regarde s’éloigner dans les bois. J’aurais aimé qu’il s’occupe de moi à sa place. Gilles m’observe, intrigué, se demandant surement qui était cette personne à mes yeux ; mais il ne posa aucune question.Nous passâmes la journée parmi les inviter puis il fut l’heure de partir.
Je marche difficilement en direction de l’école. Pourquoi difficilement ? Parce que ce matin, avant que je parte à la fac, mon maitre a eu la curieuse idée de me demander d’aller en cours avec des accessoires particuliers. En effet, le dimanche, nous sommes allés dans un sexshop faire quelques achats. Et comment dire… Gilles a été très inspiré. Et il a pris soin de parfaitement m’équiper. Heureusement que je n’ai cours que cet après midi. Je marche donc avec une robe assez ample, cintrée au niveau de la taille avec une ceinture plutôt large. Cette robe a la particularité d’être attachée par des boutons, partant du nombril jusqu’au cou. Gilles m’avait demandé d’en détacher au moins 4, transformant le haut de la robe en un beau décolleté. Mais ce sont les accessoires en dessous qui me font tirer des grimaces de plaisir. Un petit plug simple, rempli mes fesses. 2 petites épingles, discrètes, pincent mes tétons. Un sextoy, activable à distance, comble mon entre jambe.Il est maintenu par une bande de ruban adhésif, remontant jusqu’à mon nombril et le milieu de mon dos. Je suis remplie de partout. Chaque pas fait bouger l’ensemble des éléments, déclenchant de petites décharges électriques de plaisir. Je suis déjà trempée alors que je ne suis pas encore arrivée !
Je retrouve enfin Sarah, m’attendant devant l’entrée. Elle me lance un regard interrogateur, surement surprise par ma tenue, et mon manque d’aisance lors de mes déplacements :
— Coucou Julie, hum tout va bien ?— Oui oui, ça va un peu fatiguée aujourd’hui.— D’accord…— Tu es au courant qu’on a plus Biologie moléculaire cet aprèm ?— Ah bon ?! Du coup on a quoi comme cours ?— Mathématiques, encore et toujours !
Je la regarde, les yeux écarquillés.
— Mais, mais je croyais qu’on avait terminé tous les modules de ce cours ! — A croire que non, on va avoir un peu de rab avec notre prof timide préféré !
Tout, mais pas ça. Après l’épisode dans la forêt, je ne veux absolument pas le recroiser, ça serait trop gênant. Des images de son engin énorme défilent dans ma tête. Mais qu’est ce qui me prend de penser à ça ! Nous nous mettons à marcher en direction de la salle de classe. Soudain, dans le grand couloir principal, où d’innombrables élèves circulaient, le jouet se met en action. Je m’arrête net. Ce n’est pas un jouet comme les autres. Il ne fait pas que vibrer. Il reproduit aussi des mouvements de vas et viens. Je titube sous les coups rapides et secs du jouet. Le plaisir monte entre mes jambes et j’ai du mal à rester impassible. Je mordille mes lèvres pour m’empêcher de gémir. Bordel Sarah va se douter de quelque chose si ça continue. Et je ne m’étais pas trompée. Mon amie se retourne, et avance vers moi d’un air à la fois interrogateur et suspicieux :
— Mais qu’est ce qui t’arrive à la fin ? — Rien… je t’ai dit je suis un peu fatiguée…— Un peu fatiguée ? Tu te fous de moi, tu as les jambes qui tremblent, ta tenue est plus qu’osée, tu es rouge pivoine, parfois je t’entends pousser de petits gémissements. Qu’est ce que tu me caches ?— Ecoute, c’est osé de la part de la fille qui s’habille constamment comme une chaudasse pour allumer les mecs ! Il n’y a rien je te dis occupe-toi de tes affaires !
Sur ces mots, je la vois partir. Je m’en veux de lui avoir parlé comme ça mais c’était le seul moyen pour qu’elle ne perce pas mon secret. Le jouet s’arrête enfin. Bon aller, on se ressaisit, direction le cours ! J’arrive enfin devant la classe, en dernière. Je rentre, et croise le regard de Monsieur AURY. Il rougit instantanément, tout comme moi. Je me dirige vers le fond, et m’assoit toute seule. Tout le long du cours, j’imaginais mon professeur nu, à quatre pattes, en train de me lécher comme il l’avait fait dans la forêt. J’imaginais son énorme pénis me pilonner. Et le jouet qui s’activait de temps en temps ne m’aider pas à me calmer. Au contraire, je visualisais mon prof à la place des mouvements artificiels incessants.
Je voyais aussi ses regards insistants, m’imaginant surement nue sous ma robe. Et il avait raison. Deux heures de cours sont passées, et je commence à ne plus en pouvoir. Mon corps ne devient qu’excitation. Je veux qu’il me baise. Comme une chienne. A quatre pattes. Comme mon maitre m’a appris à me tenir. Je veux sentir ce mâle en moi. Ce n’est plus mon professeur. Mais un chien avec qui je dois m’accoupler. Je ne remarque pas les regards fuyants de la personne au bureau de droite.Soudain la sonnerie se déclenche. Il est 18h. J’émerge de mon état de transe, les jambes tremblantes. A plusieurs reprises j’avais failli jouir, mais je n’ai pas atteint l’extase. Je n’en peux plus. Je ne peux pas partir comme ça. J’attends alors que tout le monde parte. Je me retrouve seul avec mon professeur à son bureau. Je me lève avec difficulté, et me dirige vers lui. Je m’arrête à deux mètres. Puis je déboutonne un par un les boutons de ma robe, qui tombe naturellement à mes pieds. Je me retrouve à nue devant lui, le jouet fonctionnant à son maximum faisant dégouliner ma chatte. Mes tétons, rouge à cause des pinces portées toute l’après-midi. Je me tourne pour lui présenter mes fesses, avec le plug, caché par leurs grosseurs. Puis je me remets face à lui, avec un regard innocent. Je me mets à quatre pattes, comme la bonne chienne que je suis. Je l’entends déglutir difficilement. Il ne dit pas un mot. Mais son pantalon parle pour lui.
Une énorme bosse est en train de se dessiner. Surement guidé par son excitation, il enlève alors sa chemise, puis son pantalon. Je vois son gland dépassé du bas de son caleçon. Puis il enlève délicatement ce dernier. Je me mets à genoux comme quand mon maitre me demande de faire la belle et lui tire la langue. Mais il est aussi comme moi. Et au lieu de me caresser la tête comme l’aurait fait mon maitre, il se mets à quatre pattes aussi, et me lèche la joue. Puis il descend lentement pour me lécher mes tétons encore sous l’emprise des pinces. Je gémis. Sentir sa langue me parcourir… Puis je me remets à quatre pattes. Il s’empresse de venir me renifler le derrière. Je me laisse faire. Je sens son nez plongé entre mes fesses et lécher mon trou, bien écarté par le plug, le rendant très sensible. Je gémis de plus en plus. C’est si bon. Puis, je sens sa main venir enlever le ruban adhésif. Le gode fonctionne toujours, et me pilonne la chatte.
Il décide de l’enlever, et plonge sa langue dans ma chatte. Je pose ma tête au sol et cambre bien pour qu’il est un accès parfait. Il me bouffe la chatte, encore et encore. Je ne peux plus m’empêcher de couiner comme une vraie chienne. Il est encore plus gourmand que la dernière fois et se lâche complétement, comme s’il n’attendait que ça. Puis sans prévenir, il s’arrête, et remets le jouet encore actif en moi. Il vient se positionner devant moi, camper sur ces genoux, sa bite à la hauteur de mon visage. J’aboie par plaisir :
— Wouf Wouf.
Puis je gobe littéralement son engin, ne pouvant pas me retenir. Je le mets entièrement dans ma bouche cette fois. J’avais tellement hâte de le sentir au fond de ma gorge. Puis j’entame des vas et viens intenses, me faisant baver partout. J’adore ça. Je le sens grossir encore et encore, remplissant entièrement ma gueule. Je le sens gémir. Il aime ça lui aussi. Tous mes trous sont remplis. Ma bouche, ma chatte, mon cul. C’est si bon. Je m’abandonne complètement à ce plaisir indescriptible. Puis au bout de 3 minutes, il enlève son appendice, et vient se poster derrière moi. Il enlève à nouveau le jouet. Je sens ses mains se poser sur moi et le bout de son gland titiller ma chatte. Puis, comme l’aurait fait un jeune mâle trop brusque, il rentre d’un coup dans moi. Je pousse un cri de plaisir immense. Sentir cet énorme engin coulissé entièrement dans moi, m’écartant les parois de mon vagin d’une violence inouïe. Puis il entame des vas et viens rapides et puissants.Je sens le plug frotter contre son pénis. Je suis remplie, complètement remplie. Il me pilonne, tapant à chaque fois le fond de mon trou. Je n’ai jamais connu autant de plaisir. Je crie, encore et encore, me foutant que l’on m’entende. Puis il enlève soudainement le plug, pour le remplacer par le jouet. Il le rentre petit à petit dans moi. Je n’avais jamais rien eu d’aussi gros dans mes fesses et j’adore ça. Mon cul est prêt par nature à accueillir des choses imposantes et ce jouet y trouve parfaitement sa place. Les vas et viens de ce dernier, combinés aux puissants coups de bassin du mâle font monter un plaisir que je n’ai jamais ressenti. Il continue encore, encore, ne cédant pas à son envie de jouir. C’est au bout de 5 longues minutes de baise intense que je l’entends gémir :
— Je vais… Je vais…
Et ces simples mots ont un effet immédiat.
— Moi aussi…
Une décharge d’une ampleur sans nom me transperce. Je crie, n’y croyant pas. Ce n’est pas possible. Impossible d’avoir un orgasme aussi fort. Puis je sens un flot de sperme se répandre dans ma chatte. Ce liquide chaud prolonge l’orgasme comme si j’en avais un deuxième. Cette sensation fait expulser le jouet de mes fesses et je m’écroule. Je sens mon professeur se retirer, et s’affaler à côté de moi. Son sperme coule entre mes jambes et je m’affale à côté de lui, la larme à l’oeil, me disant que j’avais eu la plus grande des chances de découvrir un tel plaisir.Mais je ne remarquais pas que la porte de la classe s’était légèrement entre ouverte, et que deux yeux abasourdis nous observer attentivement.
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