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Devenir la plus salope des salopes

Chapitre 2

Fevrier

Inceste
Bon sang, mais qu’est-ce qui m’avait pris ?J’avais l’impression d’être devenue schizophrène. Light Emi la sage, un peu timide, qui avait des amis super, une famille aimante, qui se destinait à une existence "normale", mais plaisante. Et de l’autre côté, Dark Emi, nourrie aux pornos, exigeant que les fantasmes d’Emi deviennent bien plus que des fantasmes...
Le mois suivant l’épisode du restaurant, c’est Light Emi qui me dictait ma conduite. Oh, je regardais toujours des pornos bien sûr, et pas qu’un peu. Je faisais des rêves érotiques. Mais repasser le pas du fantasme au réel, je n’en avais plus envie.
Mais Dark Emi, rassasiée par ce qui venait de se passer en début de mois, n’avait pas dit son dernier mot.Au fil des semaines, mes envies perverses revenaient à la charge. Toute mon éducation et les standards sociaux luttaient contre moi-même. Je me disais que peut être que si j’avais un copain, et qu’il me baisait comme il faut, ça suffirait à contenter mon côté bitch et à être ce que la société considère comme "normale", c’est-à-dire avec des envies, avec une sexualité, mais sans devenir un jouet sexuel que tout le monde utiliserait à son bon vouloir. Rien que penser cette dernière phrase m’excitait au plus haut point.
Qu’est-ce que je disais à propos des résolutions déjà ? Ah oui, ça ne tient jamais.J’ouvre mon ordinateur et vais sur internet. Pour une fois, ce n’est pas les adresses mille fois tapées que j’entre dans la barre d’adresse. Je trouve via Google un forum d’entraide entre dépendants à la pornographie. Je lis des confessions, des conseils, notamment pour les femmes. Je vois que je ne suis pas la seule dans ce cas, ni la plus jeune d’ailleurs. Elles aussi sont pour la plupart attirées par les images trash et les situations dégradantes. Les solutions qui ressortent sont simples : ne plus regarder de porno, et ne plus se masturber.
— Quelle horreur, se dit la voix de Dark Emi dans ma tête. "J’ai une autre solution ma belle : assume-toi, et ça ne sera que du bonheur. Après tout, on ne vit qu’une fois." Je continue de lire sans grande conviction le reste des témoignages.
Je la fais taire. "Bon sang, je deviens vraiment frappée", maugréais-je.On était début février, et ça tombait bien : la Saint-Valentin approchait. Mission : trouver un copain pour cette date.Je faisais le tour de mes connaissances mecs. Je ne cherchais pas le prince charmant, juste quelqu’un pour me stabiliser et pour me prouver à moi-même que je pouvais être normale. Que je pouvais éviter de renoncer à être une personne pour devenir un objet. (Bon sang. Quelle que soit la façon de le dire, ça m’excite).Après tout, je n’avais pas envie de quelqu’un sans expérience. Ni quelqu’un que je côtoie trop fréquemment, au cas où ça tourne mal.Je vais toquer à la chambre de mon frère Bruno.
— Heu... Oui ? dit-il.
J’entre. Il le cache bien en croisant ses jambes, mais je crois apercevoir une bosse dans son pantalon. Je vois son ordi à côté de lui. Je comprends. Apparemment, je ne suis pas la seule addict de la famille.Dark Emi lutte pour prendre le contrôle, pour que je me mette à genoux, que je suce mon propre frère et qu’il me tringle sauvagement comme la pute que je suis...Je reste un instant le regard dans le vague, puis je reprends mes esprits.

— Dis frangin, j’ai quelque chose à te demander. Je me demandais si jamais, au cas où, tu ne connaîtrais pas...
Incroyable. Je pouvais sucer deux inconnus sous une table et je n’arrivais pas à demander à mon frère de me rencarder avec un de ses potes.Je reprends :
— Enfin, est-ce que tu pourrais pas me présenter quelqu’un s’il te plaît ?
Un sourire amusé se met en place sur son visage.
— Pas envie d’être seule pour la Saint-Valentin, sœurette ? — T’as tout compris, dis-je en faisant un clin d’œil.
Après un instant d’hésitation, il rouvre son pc, et fait rapidement alt tab. Puis il tourne l’écran vers moi. Il rouvre une fenêtre internet (alors qu’une était déjà dans la barre des tâches, amusant ça), et va sur Facebook. Ça a été assez imperceptible, mais je l’ai vu : en tapant l’adresse, les suggestions automatiques proposent « facefuck ». On a le même délire frangin.Je lutte pour ne pas lui dire que ce qui me ferait le plus plaisir au monde, ça serait moi attachée et sa bite au fond de ma gorge. Au lieu de ça, il me montre des photos de ses copains dispos et qu’il me recommande.
— Lui a l’air assez canon, dis-je, en désignant un blond cendré aux cheveux en bataille.— Olivier, me dit-il. « Si tu veux, on va boire une bière ce soir, je t’amène avec moi parce que tu n’avais rien à faire, puis une urgence me tombe dessus et je suis obligé de partir. »— T’es génial, réponds-je. Et je t’aurais bien remercié d’une manière spéciale... Mais non.
Un bisou chaste sur la joue et je repars.Dans ma chambre, pour me calmer, je me masturbe en regardant une BD ayant pour thème l’inceste, seduced amanda. Ça serait si simple... La fille blonde baise au fil de ses aventures avec son frère, son père, son grand-père, toute sa famille... Et allez, un nouveau fantasme ajouté à ma wishlist et tant pis pour les recommandations des spécialistes sur l’abstinence pour se sevrer du porno.
Le soir, je me fais belle et attirante, sans pour autant choisir des vêtements trop vulgaires. C’est ma chance d’être normale et de le rester, de ne pas dévaler la pente de la luxure. Je ne choisis pas non plus des vêtements trop classes et je reste casual.
Je choisis un jean qui me moule bien les fesses et un débardeur avec un très léger décolleté (mais qui devient moins léger si je me penche, au cas où je dois sortir mes armes secrètes. En dessous, un joli soutien-gorge push-up bleu (même si je n’en ai pas vraiment besoin) et un joli shorty en dentelle, de la même couleur.
Mon frère me demande si je suis prête. C’est le cas, on y va.

... Deux semaines plus tard...
Larguée un 14 février par texto après avoir poireauté 1h au restaurant, si ça c’est pas la classe. De toute façon, il m’énervait, c’était un coincé absolu. La baise était plan-plan. Il ne me méritait pas.Dégoûtée, je mets mon baladeur avec la musique à fond et j’affronte le froid pour rentrer chez moi. Il neige, il fait froid, je suis furax. Moi qui essayais de faire des efforts pour être normale, on ne peut pas dire qu’on me facilite la tâche.
Après quasi une heure de galère, j’arrive enfin chez moi, transie. Normalement, je suis seule à la maison. Je vais pouvoir me consoler à ma façon.J’entre, toutes les lumières sont éteintes. Tout le monde fête la Saint-Valentin, j’imagine.Je rentre dans ma chambre, allume mon ordi et sors de mon tiroir un sex toy. Il faut bien se consoler comme on peut.Mais alors que j’allais m’installer confortablement dans mon lit avec l’ordi à côté, j’entends... des gémissements !Ceux-ci viennent de la chambre de mon frère qui est à côté de la mienne. Intriguée, je me concentre sur ce que j’entends. Ce ne sont pas des vraies gens, c’est une vidéo. Une que j’avais vue la veille même, avec ma forte consommation. De mémoire, un foursome entre deux bonnasses et deux mecs. Les filles se font troncher comme pas possible, et tous les orifices y passent. Je me dis que je suis sérieusement atteinte si je peux reconnaître un film porno précis juste avec des gémissements.
Ça m’excite sérieusement. Et quand je suis excitée, j’ai du mal à être raisonnée. Le mélange entre ma « résolution » de devenir une salope garage à bites, mon récent largage, le goût de l’interdit et ces bruits obscènes que j’entends me poussent à abandonner ma timidité. C’est sûr, me prends-je à rêver, si j’arrivais à me faire tringler par mon frère, je gagnerai énormément de points sur l’échelle des salopes...
J’étais déjà habillée assez sexy pour mon rendez-vous, ça tombe bien. J’enlève mes vêtements pour ne garder que mon string, une minijupe, des bas résille s’arrêtant un peu au-dessus du genou, et une espèce de corsage lacé lâche sur tout le devant laissant apparaître ma poitrine.
Je suis complètement folle, me dis-je.J’approche de la porte de la chambre de mon frère, puis hésite. Est-ce que c’est la meilleure façon de faire ? Est-ce que je suis sûre de vouloir franchir cette ligne, à peine deux semaines après m’être dit que j’allais tout faire pour rester « normale » et abandonner mes rêves de luxure ?
J’entends toujours des gémissements. Je me dis que s’il est en train de se branler, il ne va pas m’attendre des heures, et après, ça sera trop tard.Alors, de la même façon que je m’y serai prise pour sauter à l’élastique, j’arrête de penser, je tourne la poignée de porte et je rentre. Mon frère avait choisi la solution grand écran : il avait mis la vidéo, qui était bien celle à laquelle je pensais, sur sa TV 36 pouces. En face, en perpendiculaire de son lit et dos au mur, mon frère est là. Sa bite est sortie, et elle est de taille assez sympathique. Sa main droite est dessus.Après un sursaut gêné, il me regarde... et se décroche la mâchoire. Il n’en croit pas ses yeux.Je ne dis rien, et je réponds à son regard hébété par un regard lubrique. Je me mordille la lèvre inférieure.Il prend enfin la parole : « E... emi ? »
— Salut Frangin.— Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’es pas avec Olivier ? — Non, il m’a larguée... J’ai entendu que tu te fais une petite... séance ciné, je me suis dit que tu voulais de la compagnie.
Puis, je m’installe à côté de lui en roulant du cul, puis je fais semblant de me désintéresser de lui en regardant le film. Les deux filles sont têtes bêches comme pour un 69, l’une au-dessus de l’autre, mais elles ne se lèchent pas. Les deux mecs sont chacun d’un côté et choisissent de plonger leur bite soit dans une bouche, dans une chatte ou dans un cul. Qu’est-ce que je rêve d’être comme elles !Mon regard se porte sur la bite de mon frère, toujours sortie. Lui par contre, ne perd pas une miette de mon corps exposé à lui.
— Tu veux un peu d’aide ? lui dis-je en posant ma main sur sa bite. Ça m’électrise. « Qu’est-ce que je pourrai bien faire pour que tu te sentes mieux ? ». J’ai presque l’air innocente. A part la tenue, le porno et la main sur la bite de mon frère, s’entend.— Je veux... commence-t-il à dire.
J’approche mon visage de son sexe, mais je ne le touche pas. Ma bouche est à à peine à deux centimètres de son gland. Je veux qu’il me le dise. Je veux qu’il ordonne à sa petite sœur de sucer son grand frère.Il ne tient plus et ordonne :
— Suce-moi, Emi.
On va bien s’entendre, je sens. J’ouvre mes lèvres et commence à lécher sa bite, de bas en haut. Puis, n’y tenant plus, je m’applique à faire la meilleure pipe possible.
— Tu suces bien, sœurette, me dit-il.
Ça m’électrise, et je commence à aller de plus en plus profondément, progressivement. La bite de mon frère passe ma luette et descend dans ma gorge. La nausée me vient, mais je tiens bon. Pour le moment, je suis une bouche à bite qui baise son frère.Mon frère prend justement de plus en plus d’assurance et c’est à présent lui qui me tient la tête et fait des mouvements de va-et-vient. Mais il va trop loin, trop vite : j’ai un mouvement de rejet.
— Excuse-moi, Emi, dit-il.
Je réponds : « Ne t’excuse pas. Considère-moi comme ta salope, ton jouet sexuel. C’est juste que... je n’ai pas encore beaucoup d’expérience. Mais utilise-moi comme tu le souhaites. »Il n’en croit pas ses oreilles, ni ses yeux. Il était à peine remis du fait que je me mette à le sucer qu’il apprenait que j’étais prête à être complètement soumise à son plaisir.
— Tu... n’es pas obligée, tu sais.— Bien sûr que je ne suis pas obligée. Mais c’est ce que je veux. Je veux devenir la plus salope des salopes. Une femme-objet qu’on baise à sa guise. Et je me suis dit que commencer par se soumettre à son propre frère était un bon début ! Donc je le répète : utilise-moi.
L’air perplexe de mon frère se mue en un sourire pervers.
— OK petite sœur. Tu veux être une salope, tu en seras une. Je vais t’en donner de l’expérience.
Je souris.
— Gorge profonde pour les nulles.
Il me choppe mes longs cheveux lisses et me fais m’allonger sur le lit sur le dos, puis me fait dépasser la tête. Je sais où il veut en venir.
— Ma bouche et ma gorge sont à toi, dis-je. Et j’ouvre la bouche.
Il s’enfonce, d’abord doucement. C’est plus facile dans cette position, mais je sens que ça bloque un peu.
— Détends-toi, dit-il.
J’essaye. En effet, ça va mieux comme ça. Il fait des va-et-vient, en allant toujours plus loin. Soudain, mon nez touche ses couilles : il est à fond. Je suis tellement fière de moi. Il reste comme ça cinq secondes et s’enlève d’un coup, entraînant à sa suite un filet de bave épais qui retombe sur mon visage et sur le sol.
— Merci, dis-je.
Pour toute réponse, il me colle à nouveau sa bite au fond de ma gorge. Il prend alors un rythme de plus en plus rapide tout en me pelotant mes seins durcis par l’excitation. Je galère un peu, mais je kiffe tellement être utilisée de la sorte. Une de ses mains reste sur mes seins, l’autre va sur ma chatte et me masturbe.
— Alors petite pute, t’aimes ça ? me demande-t-il.
Je ne peux pas répondre avec son énorme chibre dans ma bouche, alors je gémis pour lui montrer que oui, j’aime ça.
— Je vais te repeindre le visage, me dit-il.
Il sort son mandrin de ma bouche, puis une quantité énorme de foutre m’inonde le visage, les cheveux, la poitrine, la bouche. C’est chaud, c’est bon. Ça y est, j’ai servi de vide couille à mon frère. Celui-ci sort son téléphone et prend mon visage en photo. Je lui fais un grand sourire. Lui se fige tout d’un coup et devient blafard, son visage en direction de la porte. Je tourne ma tête pleine de sperme dégoulinante vers la porte. Mes parents sont sur le pas de la porte, l’air abasourdi. On ne les a pas entendus entrer.Je suis dans la merde.
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