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Dévergondage de Laura

Chapitre 4

Erotique
Le dévergondage de Laura 4 - Thomas, mon amour!
Je redescends péniblement sur terre après que Thomas m’ait fait somptueusement l’amour alors que je prenais plaisir au voyeurisme. J’étais tellement excitée de mater cette femme, esclave volontaire et soumise à plusieurs hommes, que mon chéri n’a eu aucun mal à me faire monter au septième ciel, et sans escale!
Thomas a encore une main sur mon sein et l’autre sur mon pubis, mais ce n’est plus pour les caresser. Il ne fait que soutenir mon buste, car mon extase m’a vidée de toute énergie et j’étais sur le point de tomber en avant. Si mon homme n’a pas pu exprimer son orgasme, moi je viens d’en vivre un encore une fois de grande intensité. Quand je tourne la tête vers lui en me redressant, je remarque son regard empli de tendresse et son sourire complice. Il semble très fier de m’avoir honoré, mais moi je m’en veux un peu d’avoir été la seule à jouir. Déjà, hier soir il m’a fait un cunni absolument génial, voire transcendant, quant à moi, je n’ai rien fait en échange pour son plaisir !Je crois deviner qu’il sursoit à son plaisir ces jours-ci, pour préférer me tester en me proposant moult fantaisies érotiques.Alors que je me retourne vers lui et m’apprête à l’embrasser, j’entends le bruit sec d’une branche cassée et vois, qu’à une quinzaine de mètres de nous, il y a la silhouette d’un homme qui s’éloigne furtivement.Je percute que tel l’arroseur arrosé; tout comme l’autre femme que j’ai regardée, moi aussi j’ai été observée lors de ma jouissance
Je suis honteuse d’avoir été matée durant mon plaisir et, prise de panique, je m’enfuis en courant après avoir remonté prestement mon pantalon de leggings. Je suis trop pressée de retourner à la voiture pour m’y réfugier. Thomas, d’abord surpris par ma fuite soudaine, me rattrape en quelques enjambées. Il me retient par la main et maintenant que nous nous sommes éloignés du théâtre de nos ébats sexuels, il finit de se réajuster la braguette, puis m’enlace les épaules d’un bras protecteur.Nous marchons plus lentement jusqu’au parking, mais aucun mot n’arrive à sortir de ma bouche, je reste crispée et n’ose pas me retourner pour voir si nous sommes suivis par ce, ou ces, pervers.
C’est une fois que je suis assise dans la voiture que j’ose lui demander :— c’était encore un de tes plans bizarres ce qui vient d’arriver ?— Absolument pas ! Au départ c’était surtout pour prendre l’air et nous promener que je t’ai proposé cette balade. C’est un pur hasard si tout cela s’est produit. Bien que je connaisse la réputation de ce petit-bois, j’ai souhaité secrètement te faire l’amour à l’extérieur de la maison, même et surtout, si on pouvait nous observer. — Tu souhaites que l’on s’exhibe en public, c’est ça ?— Je trouve que ça met du piment, risquer d’être surpris ou même être observés, me distille de l’adrénaline dans le sang, ça m’excite tu comprends ?— Je... Je crois que moi aussi, mais ça me fait peur. J’ai eu trop honte tout à l’heure.— Pourquoi avoir eu honte ? Nous étions bien, le ou les observateurs se tenaient à distance et tout le monde prenait du plaisir. Toi, moi et eux !— Encore une fois, tu me surprends Thomas !— Et toi? N’as-tu pas éprouvé de l’excitation en matant cette femme se faire prendre tous les trous par ces hommes, après qu’ils l’aient cinglée de leurs badines ?— Si, si, je l’avoue !— Qu’as-tu préféré ?
— Tout! J’ai tout aimé  !!! Ces hommes autour d’elle, son attitude soumise et aussi cette souffrance qu’on lui imposait et qui la ravissait. Je me suis imaginée être à sa place, mais aussi à celle de ses tortionnaires. J’avais envie d’être léchée par elle, de la faire souffrir ou de souffrir comme elle. Toutes ces idées valsaient dans ma tête.— Merci Laura pour cette honnêteté, mais dis-moi, serais-tu vraiment prête à faire cela?.— Je ... je ne sais pas, un jour peut-être...— Alors, ce jour-là, je t’accompagnerai dans ton fantasme!
La proposition de mon chéri m’interpelle. Car c’est incroyablement vrai que je voulais être à la place de cette femme. Était-ce pour souffrir ? Était-ce pour être dominée ? Était-ce pour être au centre de la convoitise de ces hommes ? Je n’arrive pas à le déterminer. Probablement tout ça en même temps!
Je reste silencieuse un long moment lors du trajet de retour. Thomas me tire de ma rêverie en posant la main sur ma cuisse, avant de m’adresser son sourire enjôleur. Je suis sûre qu’il devine ce à quoi je pense et qu’il fomente encore un de ses plans coquins !
Dès notre arrivée, il me dit :— je vais te préparer le rosebud qu’il te faudra mettre jusqu’à ce soir.— J’espérais que tu aies oublié de me faire porter cet engin de torture. — Engin de torture ? Vraiment ? — Euh...— Va prendre une douche et reviens-moi vite— Oui Monsieur, tout de suite, hi hi !
Si ça je dis cela pour plaisanter, je m’aperçois que le visage de Thomas se ferme, que ses lèvres se pincent et que ses yeux me lancent des éclairs. Je ne demande pas mon reste et file dans la pièce d’eau pour me doucher.
J’avoue que cette douche me fait beaucoup de bien, le malaise que j’éprouvais d’avoir été observée dans le petit-bois s’est dissipé. Ma seule inquiétude désormais, reste la crainte d’avoir mal avec le rosebud que je vais devoir introduire dans mon anus, car il devrait être plus gros que le précédent. Thomas m’en avait averti. En même temps, je suis curieuse d’expérimenter ce qu’il va me proposer, car hier j’avais fini par apprécier de porter ce jouet et j’en étais même au point de me caresser.
Au sortir de la douche, je préfère ne pas remettre la même tenue que celle que je portais cet après-midi, mon pantalon de leggings étant un peu sali suite à la balade en forêt. J’opte donc pour enfiler une robe courte au-dessus d’un string. De plus, j’estime ne pas avoir besoin d’un soutien-gorge cet après-midi si nous restons à la maison. Et puis zut ! Ma poitrine est bien assez ferme pour s’en passer!
Quand je retrouve mon chéri, c’est dans la cuisine qu’il m’attend. Il est debout adossé à la porte-fenêtre. Sans un mot, il m’indique le tube de lubrifiant sur la table, puis désigne un tabouret au centre duquel trône un rosebud en acier chromé d’au moins quatre centimètres de diamètre !Toujours sans un mot, il s’approche de moi, soulève ma robe, baisse mon string aux chevilles et après s’être reculé d’un pas, m’invite de sa main tendue, à m’asseoir sur cette drôle de poire.Je craignais que cet objet en métal soit froid, mais en le prenant en main ce n’est pas le cas. Je comprends en voyant sur l’évier un bol et un torchon mouillé, que Thomas a dû préchauffer l’objet dans de l’eau tiède pendant que j’étais dans la salle de bain. Quelle prévenance de sa part !
La pénétration ne m’est pas facile à réaliser immédiatement, mais j’ai à cœur d’y arriver toute seule. Il me faut trois essais pour parvenir à accepter cette intrusion. Une fois le bon angle trouvé, c’est surtout le diamètre imposant de ce jouet qui est le plus difficile à passer pour franchir le seuil de mon œillet! Une fois le rosebud en moi, je me sens envahie, écartelée, dilatée. Je souffle un grand coup pour libérer mes tensions et mes appréhensions. Je reste assise sur le tabouret, n’osant plus bouger de peur de déchirer mon sphincter anal. Mon chéri semble ravi que j’aie pu m’ouvrir l’anus sans trop grimacer. Il me tend quelques feuilles d’essuie-tout afin que je puisse enlever l’excédent de lubrifiant qui encombre ma raie fessière, puis il m’aide à me relever. Dès que je suis debout, lui s’accroupit pour m’aider à remettre mon string, non sans déposer au passage une bise affectueuse sur mon minou.
Je n’ose pas faire le moindre pas, mais Thomas me claque la fesse un peu sèchement et me dit :— allons sur le balcon!— Mais, mon chéri...— Qu’y a-t-il ?— Euh, non rien, c’est juste qu’avec ce machin dans le derrière...— Et alors ?— Non rien, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que quelque chose va se déchirer en moi— Allez, avance, on va juste sur le balcon, on ne va pas faire un marathon!— Tu as raison, mais laisse-moi te tenir l’épaule pour avancer
Chacun de mes pas, mais en branle la masse du rosebud dans mon derrière et si ça me surprend au début, rapidement je trouve la sensation plutôt agréable !
— Ouah ! Thomas ! C’est génial! Ça me fait des drôles de vibrations !— Ah, tu vois, tu commences à apprécier les plaisirs de la sodomie.— Si c’est comme ça, alors je deviens moins réticente à la chose, hi hi hi !!— Tout viendra en son temps...
Sur le balcon, je m’accoude à la rambarde alors que mon chéri m’enlace la taille. Je le laisse faire quand sa main glisse sur le creux de mes reins, puis sur ma fesse. À travers l’étoffe de ma robe et de mon string, son doigt titille la collerette du rosebud et à nouveau une onde agréable se propage dans mon fondement. Et me voilà à mouiller mon string! J’éprouve des sensations nouvelles, mais cette fois je veux en priorité faire plaisir à mon homme!
Sans regarder, je glisse la main gauche en arrière et mes doigts entrent en contact avec une bosse dure entre les jambes de mon chéri. J’enserre ce barreau, en évalue le diamètre, la longueur pour me rendre compte qu’a l’évidence mon Thomas est super excité par la situation.Je suis prise de passion et me retourne vers lui pour dire:— Viens, rentrons vite, j’ai envie de te sucer !Même si la fellation n’est pas ce que je préfère d’ordinaire, là, à cet instant, c’est vraiment ce que je désire !
Je lui attrape la main et l’entraine à l’intérieur, le seuil à peine franchi, je déboutonne sa braguette, défais sa ceinture, puis descends son pantalon. Tout ça dans le même mouvement. Ma frénésie est telle qu’il en reste bouche bée !Il se débarrasse de son caleçon alors que je m’agenouille devant la fenêtre de la cuisine. Peu me chaut que l’on puisse nous voir, car je suis aveuglée par le désir d’avoir son membre en ma possession.
De la main droite, je saisis fermement de cette hampe turgescente pour y imprimer un lent va-et-vient, alors que la main gauche flatte deux testicules gonflés de désir.Thomas écarte les jambes et je crois comprendre qu’il m’invite à glisser mes doigts vers son périnée.
Le gland décalotté me fait trop envie, j’ouvre les lèvres et gobe cette boule violacée. Ma bouche est pleine, mais j’aspire, pince les lèvres, serre plus fort ma main, branle la hampe alors que mon chéri se dresse sur la pointe des pieds tant il est chaud bouillant d’excitation. Par mégarde (ou presque ?), un de mes doigts effleure son anus et sa réaction est surprenante, mais très intéressante,, car il se met à gémir et se contorsionne pour renouveler ce contact particulier.Je comprends évidemment l’invitation et mon majeur vient titiller une rondelle hyper sensible. Je sens dans ma bouche son sexe grossir un peu plus, comme si c’était encore possible.Mon doigt fait de petits cercles sur son anneau, glisse dans sa raie, revient tapoter le petit trou de mon chéri qui se pâme de plus en plus.
Je suis déchaînée pour le sucer avec avidité et il me vient, tout à coup, la folle idée de brusquer à mon tour ses préjugés, quand d’un geste sec, je force et m’enfonce dans son anus. Fini de jouer mon ami ! À toi aussi de te faire déflorer de ce côté.
Loin de se plaindre, mon chéri apprécie cette sodomie digitale que je lui impose. Il écarte même ses fesses pour que j’aille plus profondément dans son intimité.Je fais à peine quelques va-et-vient qu’il se met à trembler sur ses jambes avant d’éjaculer un gros flot de semence dans ma bouche. Il prend appui sur mes épaules pour finir de se vider dans ma gorge dans un râle animal. Même si d’ordinaire je n’aime pas le goût du sperme, cette fois-ci je m’en régale et aspire son nectar jusqu’à la dernière goutte. — Ouah ! Ma chérie ! Comme c’était bon !— Oh oui, je remarque que ça t’a plu !— Bien évidemment ! Tu es plus que douée ma belle.— Plus douée que Clara ?— Ne me parles plus d’elle ! Il n’y a que toi qui comptes dans ma vie!
Thomas m’aide à me redresser, j’en profite pour remettre en place mon envahisseur qui semblait vouloir s’échapper de mon derrière, ce coquin! Mon chéri m’enlace et son regard me montre que les mots qu’il vient de prononcer sont sincères et que je ne dois pas me comparer à son ex. Ça fait dix ans que nous sommes ensemble Thomas et moi, alors pourquoi dois-je me prendre la tête avec cette pouffe ! Mais c’est plus fort que moi !Il relève mon menton, pose ses lèvres sur les miennes et notre baiser est si passionné que je crois revivre les émotions de mon premier baiser.Même le goût de sa semence qui me reste en bouche ne perturbe pas mon chéri.En pensée, je lui hurle silencieusement "Je t’aime" en me collant à lui lors du ballet de nos langues.Lorsque nous reprenons notre souffle, ses premiers mots sont :-moi aussi je t’aime.Et pourtant, si je l’ai pensé, je suis sûre de n’avoir rien dit. À coup sûr, il entend mes pensées!Mais après tout, ne serait-ce pas le signe que Thomas et moi sommes en parfaite osmose?
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