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Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille

Chapitre 2

Erotique
Ma présence à cette soirée était requise, puisqu’il pouvait être utile de compter un tel homme dans mon carnet d’adresses. Ma foi... je n’avais rien contre, car il avait à peu près la prestance d’un George Clooney. Ses cheveux avaient la même couleur poivre et sel que l’acteur de mes rêves, mais ils étaient beaucoup plus courts. Pour le reste, il y avait peu de différence entre les deux hommes.Le moment venu, je me présentai donc devant lui. Il posa la main sur mon épaule et déposa deux bises appuyées sur mes joues.
— Toujours aussi radieuse ! me complimenta-t-il.— Merci.
Je regrettai de n’avoir trouvé rien d’autre à dire, mais il m’impressionnait. Sa main glissa vers mon bras et son regard s’aventura vers mes jambes, que j’avais laissées nues, car il faisait toujours aussi chaud.
— Charmante... répéta-t-il.— C’est la première fois que vous me regardez comme ça.— Parce que tu as changé depuis la dernière fois.— Depuis seulement quelques mois ? Je n’en ai pas l’impression.— Si, mais tu ne le vois pas.
Après ces brèves retrouvailles, M. Thouvenin s’installa avec son épouse et ses enfants à la table de notre jardin, encore vivement éclairée par un soleil rougeoyant, et je commençai à faire le service avec ma petite sœur Mélanie.
Sur le repas, il n’y a rien à raconter. Il se prolongea jusqu’à la nuit tombée, si bien qu’il s’acheva sous l’éclat de quelques lanternes. Comme d’habitude, notre hôte ne m’adressa que très peu la parole, mais je voyais à ses regards qu’il avait beaucoup à me dire. Son fils Thierry fut nettement plus bavard avec moi, comme s’il éprouvait un certain intérêt pour moi, mais je savais qu’il était fiancé. Un master de management en poche, il commençait à seconder son père à la tête de l’entreprise.
Il était dix heures passées quand je rapportai les assiettes et les plats dans la cuisine. Après avoir fait la navette, je restai un moment pour mettre un peu d’ordre dans ce monceau de vaisselle. C’était alors que M. Thouvenin apparut dans l’encadrement de la porte. Il portait un pantalon et une chemise à manches courtes, simples, mais élégants, et à sa manière de me dévorer des yeux, je me sentis toute nue.Quand il entra dans la cuisine, je retins ma respiration, car je crus qu’il allait avancer jusqu’à moi, mais il s’arrêta à quelques pas.
— Ça te fait beaucoup de travail, dit-il.— Oh ! J’ai l’habitude.— Tu aimes rendre service ?— Je fais mon devoir.
— Pense à prendre un peu de plaisir après ce travail.— C’est-à-dire ?
Je m’étais retournée et j’avais appuyé mon postérieur sur l’évier, pour que nous puissions nous regarder dans les yeux.
— Tu vas partir en vacances ? demanda-t-il.— Bien sûr ! Nous partons sur la Côte d’Azur en août.— Pour profiter du soleil et de la mer ?— Oui.— Et des garçons ?
Mon corps se raidit et je sentis mes joues rosir.
— Pourquoi me demandez-vous cela ? fis-je.— Je t’autorise à me tutoyer et à m’appeler Michel. Je suis un vieil ami de la famille.— D’accord... Euh... Michel, pourquoi veux-tu me parler des garçons ?— Je suis juste curieux. Tu as un copain ?— Oui... C’est un camarade de classe.— Vu ta manière de parler de lui, ça n’a pas l’air d’être le grand amour.— Eh bien... je me pose des questions.— Si tu étais amoureuse de lui, tu ne t’en poserais pas. Vous couchez ensemble ?
Sa question me fit rougir violemment, mais je soutins son regard perçant.
— En quoi ça vous regarde ? répondis-je, le souffle court.— Parce que si jamais tu étais toujours vierge, je trouverais ça dommage.
L’audace de Michel m’époustouflait, mais en même temps, je me sentis capable d’avoir une conservation intime avec lui, alors qu’avec mes parents, cela me paraissait impossible.
— Apparemment, tu l’es toujours, insinua-t-il.— Et alors ?— Tu es en train de rater quelque chose de très important. Pour être réussie, ta vie sexuelle doit commencer maintenant.— Si je la commence dans deux ou trois ans, ça changera quoi ?— Il y a de belles occasions qui te seront passées sous le nez. La vie d’étudiante est la meilleure occasion de faire des rencontres, mais elle est courte.— Le plus important n’est pas que je réussisse mes études ?— Tu les réussiras, je n’ai aucun doute là-dessus, mais la recherche du bonheur passe aussi par l’accomplissement sexuel.
Mon souffle devenait de plus en plus court. Le regard de Michel en disait plus que tous ses mots. Il avait une manière très incorrecte de s’attarder sur mes jambes et sur les courbes de ma poitrine, révélées par mon débardeur et par l’absence de soutien-gorge. Il faut dire que mon short moulant était assez provocant, mais ce n’était pas pour attirer les hommes que je l’avais mis.
— Je serais heureux d’arriver à te décoincer, dit-il.— Comment ? fis-je d’une voix rauque.— Tu sais sucer une bite ?
Ma réaction suffit à lui faire comprendre que la réponse était négative.
— Tss... tss... Tu es vraiment beaucoup trop sage », déclara-t-il.
Il parcourut la faible distance qui nous séparait et posa la main sur l’une de mes hanches. Je restai tétanisée sur place, mes narines emplies d’une puissante odeur de mâle qui me mettait les sens en folie.
— Qu’est-ce que tu veux faire ? bafouillai-je.— Ce n’est pas évident ?— Mais, mes parents... — Entrer dans la cuisine est la dernière idée qui leur viendrait à l’esprit. Ils te laissent avec la vaisselle et avec moi.
Il s’empara de mon short afin de le baisser et eut la joie de découvrir une petite culotte tachée par ma liqueur intime.
— Et tu ne feras rien dans la vie sans audace, compléta-t-il.
Ce fut cette fois ma culotte qui glissa sur mes jambes. J’avais de bonnes raisons d’avoir peur, car si ma mère me voyait déshabillée par leur invité, elle me hacherait menu. Et je n’osais pas imaginer la réaction de Thérèse, l’épouse de Michel. Pourtant, les transgressions dont je me rendais coupable attisaient mon excitation. Ma vulve ruisselante parlait pour moi.Michel s’accroupit devant moi, me caressa longuement les cuisses et mit les doigts sur mon sexe avec la délicatesse d’un chirurgien. Il dut écarter les poils qui en dissimulaient l’entrée. Je me mordis la langue quand il toucha l’extrémité de mon clitoris.
— On va quand même prendre quelques précautions, dit-il. Continue à ranger la vaisselle dans la machine en faisant du bruit.
Je me remis à la tâche vêtue de mon seul débardeur. Il fallait débarrasser les assiettes des restes de nourriture et les passer sous le robinet. Dès que je le fis, Michel en profita pour me caresser les fesses. Je l’aidai en me penchant de manière exagérée, ce qui provoqua tout de suite une amorce d’intrusion dans mes orifices.
— Tu mouilles comme une salope, remarqua Michel.
Loin de me choquer, sa remarque accrut mon excitation. J’éloignai mes pieds pour l’aider à faire glisser le bout de son index sur ma chatte. Il le retira en faisant s’étirer un mince fil de liqueur et le porta à sa bouche.
— Et en plus, tu es bonne.
En me pinçant les fesses, il les écarta afin de dilater mon anus.
— Vas-y, encule-moi ! gémis-je, mue par une pulsion délirante.
Rien n’avait jusqu’alors été introduit dans mon fondement et je n’avais jamais envisagé de demander à Bruno de le faire, mais mon corps me réclamait une pénétration sauvage.Un jet d’eau m’aspergea à cause de mes gestes incontrôlés et fit coller mon débardeur à mes seins.
— Tu es tellement pressée ? fit Michel avec un sourire en coin.— Je n’en peux plus.— Ça t’arrive souvent d’avoir le cul en fusion comme ça ?— C’est toi qui me mets dans cet état. Montre-moi ta bite !
Je me retournai pour mettre une main sur son pantalon, où je trouvai une bosse gonflée de promesses. Je m’apprêtai à le débraguetter quand il se recula.
— Il faudrait prendre quelques précautions, opina-t-il. Je reviens tout de suite.— Non !— Continue à ranger la vaisselle.
Malgré mes protestations, il quitta la cuisine. Je restai sur place, fâchée que ce moment de folie ait été interrompu avant d’avoir commencé. Le derrière appuyé sur l’évier, j’entrepris de me masturber en faisant tourner trois doigts sur mon sexe trempé, comme je ne l’avais encore jamais fait, mes devoirs oubliés. La vaisselle toujours posée sur la grande table m’interpellait pourtant.
Quand Michel revint, il avait un visage radieux. En me voyant chercher l’orgasme, il s’immobilisa un instant puis contourna la table pour me rejoindre.
— Nous avons quelques minutes, annonça-t-il.— Qu’est-ce que tu leur as dit ?— Tout simplement que je veux t’aider.— Ça t’est souvent arrivé de tromper ta femme ?— Si je lui étais fidèle, je n’aurais plus de vie sexuelle, or je suis toujours en âge de bander.
Il ouvrit sa braguette et sortit de son pantalon une queue qui acquit immédiatement une longueur assez impressionnante, allongée par la caresse de ses propres doigts. J’en fus éblouie.
— Je m’offre des putes de temps en temps, ajouta-t-il. Tu veux apprendre à sucer comme une professionnelle ?
Avant même qu’il n’eût terminé sa phrase, je fus agenouillée devant lui, son chibre dans ma main. Je la dirigeai vers ma bouche, fascinée par cet appendice de chair durci, dans lequel je sentais le sang pulser. J’en insérai précautionneusement le bout décalotté dans ma bouche, nullement rebutée par sa forte odeur. Avoir la langue et les narines souillées me plaisait, au contraire.
— Tu avais déjà l’intention de me baiser quand tu es arrivé ? demandai-je.— J’y ai pensé dès que tes parents m’ont invité, répondit-il. Je me doutais que tu étais une salope.
Je recommençais à le sucer en suivant ses conseils. Il m’interrompit pour me retirer mon débardeur et me fit reprendre la tâche. Sa queue s’aventura de plus en plus profondément vers ma gorge. Oubliant que j’étais en train de faire une fellation à un homme plus âgé que mon père, je goûtai de manière littérale au plaisir de sentir une aussi belle queue me remplir la bouche tout en étant attentive à ses réactions.
— Je n’ai pas l’intention de te réserver à moi, dit-il. Je veux vraiment que tu te comportes comme une pute.— Pourquoi ? fis-je en libérant sa queue.— Un brin de perversité... Je dévergonde la fille de mon ami. J’aimerais voir la réaction de ton copain quand il découvrira ce que tu es devenue.— Une folle de sexe ?— Oui.— Qui n’est plus vierge ?— Je n’ai pas l’intention de te déflorer. Je veux juste te faire boire mon sperme.
Ses paroles me déplurent, car mon sexe continuait à sécréter un liquide qui me savonnait les cuisses et qui appelait à une pénétration immédiate. Je dus mettre une main dessus pour calmer mon ardeur.
— Enfonce-moi ici tout de suite ! dis-je en me redressant.
La table était assez vaste pour m’accueillir à côté de la vaisselle qui n’avait pas été transférée dans l’évier ou la machine. Je m’imaginai m’allonger dessus et soulever les jambes. En m’emparant du pénis de Michel, je voulus me diriger vers cette place libre, mais il m’arrêta.
— Je voudrais bien le faire quand tu auras pris la pilule, déclara-t-il.— Tu n’as pas de préservatif ?— Non.— Je croyais que tu avais prévu de me sauter.— J’avais prévu une fellation. Nous ferons des choses plus sérieuses après.
N’imaginant pas recevoir un jet de sperme dans mon vagin, j’envisageai de me faire simplement pénétrer puis de demander à Michel d’éjaculer ailleurs, mais finalement, je m’agenouillai de nouveau devant lui pour reprendre sa bite en bouche. J’effectuai cette fellation avec plus d’assurance que la première fois, en m’aidant de mes doigts. Les halètements graves de Michel montrèrent que je m’y prenais de manière adroite. La perspective de faire pour la première fois jouir un homme au fond de ma gorge m’encouragea à aller jusqu’au bout. Je le fis en émettant des bruits de succion et en retirant parfois de ma bouche un gland d’où ma salive dégoulinait.Michel était aux anges. Il me caressa les cheveux, les joues, les épaules puis les seins. Sa bite délaissée avait des mouvements d’oscillation qui me poussèrent à en reprendre le contrôle, mais avant, Michel la passa sur mes joues. Quand elle fut près de ma bouche, j’en profitai pour la gober.La fellation fut reprise à un rythme accéléré.
— Tu deviens bonne, jugea Michel entre deux gémissements. Va plus vite. Je veux remplir ta bouche de salope.
Je lui obéis. Il poussa un cri rauque et des projections d’un liquide gluant et tiède m’emplirent la bouche. Je goûtai au sperme pour la première fois de ma vie, le trouvant bizarre, mais pas mauvais. J’avalai tout avant de nettoyer le gland de Michel avec le bout de ma langue.
— Tu aimes ça ? fit-il.— Je préférerais que tu remplisses mes deux trous avec ta longue queue.— Ça viendra, ma belle catin. Apprends à patienter. Je te propose de revenir dans ta chambre pour te changer. Mets une petite jupe ou une petite robe sans culotte et présente-toi devant ta famille comme ça, la chatte à l’air. Ne nettoie pas ta mouille et garde le goût de mon sperme dans ta bouche. Je m’occupe de la vaisselle.
Je quittai la cuisine après avoir ramassé mes vêtements, le cœur battant, et je m’envolai vers le premier étage. La maison étant grande, je pouvais quitter la cuisine sans être aperçue du jardin. À mon arrivée dans ma chambre, ayant compris que je ne devais compter que sur moi-même pour connaître cet orgasme tant désiré, je me jetai sur mon lit, les jambes largement écartées, et j’attaquai ma vulve à grands coups de doigts. Je n’avais pas allumé la lumière, mais j’avais laissé la porte ouverte, si bien que toute personne passant dans le couloir aurait pu me surprendre dans cette position indécente, mais je savais bien qu’il resterait vide. J’avais l’impression de devenir moi-même en me comportant de manière immorale et il n’y aurait pas de retour en arrière.
Sous le ponçage de mes doigts trempés, la jouissance me gagna et je dus me mordre la lèvre pour étouffer mes cris. Mon corps s’enflamma comme une botte de paille desséchée et une main posée sur mon sein gauche attisa ce feu. Après mon orgasme, je restai étendue dans la même position, comme morte, puis je me levai brutalement pour chercher un vêtement à enfiler. Je choisis une robe légère, qui découvrait le dos. Elle était plus sexy que mon précédent costume.
À mon arrivée dans le jardin, Michel n’était pas encore revenu.
— J’ai dû me changer parce que je me suis éclaboussée, me justifiai-je.— Et Michel ? Qu’est-ce qu’il est en train de faire ? s’inquiéta Jocelyne, ma mère.— Il m’a dit qu’il s’occuperait de la vaisselle.— Mais il ne faut pas le laisser tout seul ! s’indigna Jocelyne. Va le retrouver !— Et si c’était le tour de Mélanie ? fis-je me tournant vers ma sœur, assise à ma droite.
Elle fut obligée d’acquiescer, de se lever et de se diriger vers la maison.En le regardant s’éloigner, je me demandai si elle allait se faire brouter la chatte. Elle était tout aussi décolletée que moi et ses jambes étaient nues. C’était de la bonne chère bien tendre et plus fraîche que la mienne, avec deux ans de moins.Le goût du sperme de Michel subsistait sur ma langue.
— Il ne faut pas vous soucier de mon mari, déclara Thérèse. Il m’aide à la maison dès qu’il le peut.— Il cuisine ? demanda Jocelyne.— Oui, il nous a fait une salade niçoise la fois dernière.— J’aime les hommes comme lui, dit Jocelyne en donnant un coup d’ œil à mon père, qui détourna les yeux.
Thérèse portait une robe assez stricte, s’arrêtant à ses genoux. Les années l’avaient rendue rondelette et sa peau avait mal vieilli, bien qu’elle n’eût guère dépassé la cinquantaine. Elle avait retiré le peu de charme qui lui restait en se coupant les cheveux, mais elle conservait une poitrine volumineuse.Michel réapparut rapidement avec Mélanie, ce qui montra qu’il ne s’était rien passé entre eux. Ma sœur portait deux bouteilles de soda frais. L’invité revint s’asseoir à sa place, à côté de mon père et face à moi, de l’autre côté de notre grande table en plastique. Le crépuscule restait assez vif pour que les lumières du jardin n’eussent pas besoin d’être allumées, mais il y avait deux bougies parfumées sur la table.
— Ta fille est une perle, déclara Michel à Étienne, mon père.— Elle est gentille et dévouée, répondit celui-ci, flatté.— J’ai envie de lui faire visiter mon usine. Ça ne vous dérange pas ?— Oh, non, bien sûr !— Et Mélanie également, tant qu’à faire. Je sais que pour des jeunes filles, il y a des promenades plus intéressantes à faire que dans une usine, mais...— Non, c’est parfait ! Vous aurez d’autres occasions de vous promener ensemble.
Étienne savait parfaitement qu’il était bon, pour les futures diplômées que nous étions, ma sœur et moi, de se faire des relations hauts placées. La fréquentation de son ancien patron s’imposait.
— La semaine prochaine ? proposa-t-il.
Nous choisîmes un jour, Mélanie et moi, mais ce délai d’attente me parut trop long. Mon entrecuisse était toujours aussi humide et cette cyprine ne datait pas de mon passage dans la cuisine. C’était l’effet que Michel continuait à produire sur moi. De plus, j’étais très excitée d’avoir la chatte nue devant ma famille et nos invités, sans que personne ne pût la voir puisque mes jambes étaient sous la table.Je me touchai le sexe en regardant Michel, le bas-ventre envahi de frémissements. Tant qu’il serait là, mon ardeur ne se calmerait pas. Je cherchai à atteindre l’une de ses jambes en levant un pied, mais je n’arrivai pas à le trouver.
Ce fut seulement à la fin de la soirée que je pus lui adresser la parole en aparté, en l’entraînant dans un coin du jardin où nous nous parlâmes sous l’éclat des étoiles. Il mit une main sur mon épaule, comme en signe de possession. Je ne me rebiffai pas, car j’étais à lui.
— Ce serait bien que tu te fasses déflorer par ton copain avant de venir chez moi, conseilla-t-il.— C’est une précaution à prendre avant les visites d’usines ? fis-je sur le ton de la plaisanterie.— On s’amusera plus si tu as le vagin déjà ouvert. Tu peux aussi mettre des godes dedans pour t’entraîner.— Tu ne veux pas me déflorer toi-même ?— Non. Il vaut mieux que ce soit ton copain qui le fasse.— Il est aussi vierge que moi !— Ce n’est pas difficile : il suffit que tu sois bien excitée et qu’il te pénètre avec douceur.— Dommage, j’étais tellement chaude !— Ensuite, rase-toi bien la chatte pour avoir l’air d’une parfaite pute. Je te promets qu’on va bien s’amuser.— On ira vraiment à ton usine ?— Oui... Et peut-être ailleurs aussi. J’ai le temps d’organiser les choses.— Et ma sœur ?— Je parie qu’elle n’a pas de copain.— Non.— Alors tu vas voir comment une jeune vierge peut être transformée en une chienne en chaleur. Je l’ai vue tout à l’heure et je crois qu’elle a le même tempérament que toi.— Oui, nous nous ressemblons et nous nous entendons assez bien.— Alors c’est une bonne raison pour lui faire partager tes expériences !
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