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Je dévergonde ma mère...

Chapitre 1

Maman voit ma bite pour la première fois...

Inceste
Bonjour. Je m’appelle Christian, j’ai 35 ans et j’habite à l’étranger. Je travaille dans la production de films X et gagne très bien ma vie. Personne dans mon entourage n’est au courant de mes activités professionnelles. Surtout pas ma famille. J’ai même tourné dans quelques films quand j’étais jeune. Il faut dire que je suis bel homme : 1.85, 80 kilos, sportif et musclé. Ma mère dit que je suis gâté par la nature. Elle ne croit pas si bien dire. Je suis surtout doté  d’un membre hors norme. 22cm et large comme un gros concombre. Toutes les femmes ne peuvent pas assumer un tel engin, mais dans mon milieu, je trouve heureusement quelques amatrices.
 Pourtant je vis seul. Aucune femme n’a pu me satisfaire sur la durée. C’est vrai que j’ai de gros besoins. Je dois baiser tous les jours. J’aime me faire sucer et par-dessus tout, j’aime enfiler des petits culs bien serrés. J’adore la sodomie et rares sont les femmes qui peuvent tolérer ma queue dans leur fondement.  
 Ainsi malgré mes atouts je suis encore célibataire. Au grand désespoir de ma mère, Nathalie. Elle et moi sommes très proches. Depuis son divorce d’avec mon père, je la soutiens de mon mieux. Elle se sent seule et n’a pas encore refait sa vie. Elle a eu quelques aventures ces dernières années, mais rien de bien sérieux. Etonnement, elle ne s’est envoyé que des blacks. ET beaucoup plus jeunes qu’elle. Depuis, je me suis toujours dit que c’était une chaudasse. En tous cas, Maman est une femme magnifique. Teinte en rousse, cheveux mi-longs, toujours bien maquillée, style bourgeoise de bonne famille.  Pas très grande mais ses proportions sont très harmonieuses. 95/65/95. Des seins parfaits bonnets D, un cul bien rebondi et musclé par de fréquentes séances de gym. A 55 ans, elle en parait à peine 40. A l’adolescence, j’avais souvent fantasmé sur les seins et le cul de ma mère et il m’arrivait alors de me masturber en pensant à elle.  Ces fantasmes œdipiens s’étaient ensuite dissipés. Je ne voyais plus ma mère comme un objet sexuel. C’est pourquoi, rien ne me préparait à ce qui allait suivre… 
 Compte tenu de mon éloignement, nous avions pris l’habitude de nous connecter tous les Dimanches sur Skype. Au début, nous avions des conversations assez courtes sur des sujets familiaux et professionnels. Rien de bien excitant. Et puis un beau jour, tout a changé.
 J’étais sous la douche et j’ai entendu la sonnerie Skype sur mon laptop. Je me suis passé une serviette autour de la taille et me suis précipité dans le salon pour répondre à l’appel.  J’ai décroché et me suis assis face à mon écran. Ma mère a commencé  à plaisanter sur le fait que j’étais encore mouillé et que j’allais faire des flaques sur le parquet. Je me suis donc levé pour m’essuyer un peu. 
 «  Je vois tout. » dit-elle alors.
 « TU vois quoi ? »
 « Je vois tout. »
 « Comment ? Qu’est-ce que tu vois ? »
 « Je vois ton truc. »
 « Mon quoi ? »
 « Ton sexe. J’ai vu ton sexe quand tu t’essuyais. »
 « Ah ok ! Mais c’est pas la première fois que tu me vois nu quand même ? »

 « Non, c’est vrai. J’ai déjà vu ton zizi mais tu étais encore enfant. IL n’était pas si… Si gros. »
 « Tu le trouves gros ? »
 « Oh oui, c’est un très gros zizi. »
 « Tu sais Maman, à mon âge on ne dit plus Zizi. Mais c’est vrai que j’ai une énorme queue.  Je t’en avais parlé et des problèmes que cela a pu poser avec mes copines.  Certaines femmes en ont peur. »
 « Oui, je comprends. Elles ne doivent pas avoir l’habitude. La taille est impressionnante »
 « Oui c’est ça. Mais toi Maman, tu ne dois pas être surprise. Tu as quand même fréquenté pas mal d’Antillais et d’africains. Normalement ils sont bien montés. » 
 « Oui, c’est sûr mais heu… mon chéri, je ne sais pas si je peux avoir cette conversation avec mon fils. Ça me fait drôle de parler de ton zizi… de ta queue comme ça. »
 « Si cela te trouble, je suis désolé Maman. Tu vois toi aussi tu es mal à l’aise devant ma grosses bite. Je vais la cacher pour que tu ne la vois plus. »
 « Mais non mon chéri. Elle ne me dérange pas. Au contraire. Elle est très… Elle est vraiment très belle. »
 « Elle te plait ? »
 « Oh mais quand même, je ne peux pas dire ca. Tu es mon fils. Mais disons que… heu… c’est une très belle bite. »
 « Alors tu veux bien que je te la montre Maman ? OK, voilà, j’enlève la serviette. Tu vois bien ma petite Maman chérie ? Attends, je baisse l’écran comme ça tu me vois en entier.  Allo, allo, tu es toujours là ? » 
 « … Oui. »
 « Allo qu’est ce qui se passe je ne t’entends plus. »
 « Non rien… C’est juste que de te voir tout nu, ça me fait tout drôle. Je me sens toute chose. Tu es si beau, si musclé et si … viril. Il me semble même que… Mais Christian quand même ! TU ne peux pas être en érection devant ta mère ! Cela n’est pas possible ! »
 « Tu as raison je suis désolé. Mais ce n’est pas de ma faute. Je bande tout le temps. C’est même emmerdant quand je suis en jeans. Elle ne rentre pas dans le pantalon. Je suis obligé d’aller aux toilettes et de me branler pour la faire redescendre.  Je m’excuse Maman de te mettre mal à l’aise. »
 « C’est pas grave mon grand garçon. Tu as raison. Ce n’est pas ta faute. Et puis il ne faut pas te plaindre. C’est plutôt bien de bander souvent. Les femmes… les femmes aiment les mecs virils. »
 « Ah bon ? Tu aimes ca toi Maman, un homme qui bande tout le temps ? »
 « Ben heu… oui, je crois. « 
 « Tu as vu elle a encore grossi. »
 « Oh oui, elle est énorme ta bite mon fils. »
 « Et elle n’est pas encore au max. Regardes, je la touche un peu. »
 « Christian ! »
 « Quoi Maman ? »
 « Ca n’est pas correct de te… machiner devant moi. »
 « D’accord, j’arrête. Mais elle va continuer a grandir encore. Même si je ne la touche pas. »
 « Tu es un petit cochon quand même. Qu’est ce qui te fait bander comme ça ? »
 « Toi. »
 « Comment ? Que dis-tu ? »
 « Ben toi Maman. Enfin c’est vrai que là je regarde tes gros nichons et ça me donne la trique. Je suis désolé. Je ne le fais pas exprès.  J’aime les gros seins et les tiens sont magnifiques Maman. Ils sont parfaits. »
 « Tu n’as pas honte ? Tu bandes pour les seins de ta mère ? »
 « Oui et pour ta chatte aussi. J’aimerai bien voir ta chatte. J’aime ton gros cul aussi. J’aime tout de toi Maman. »
 « Ca alors ! Je ne m’attendais pas à ça… Ne me dis pas que tu te touches en pensant a moi en plus… »
 « … Si, ça m’est arrivé.
 « Christian ! Tu sais que c’est très mal de penser ce genre de chose de sa mère ? Tu devrais avoir honte. Je suis choquée Christian. TU es un pervers et un malade. C’est de l’inceste. Je ne sais pas si tu te rends bien compte ? »
 « Maman… »
 « Ecoutes Christian ! Je vais essayer d’oublier ce que tu m’as dit ce soir. TU es mon fils et je sais que je peux te pardonner. Mais je ne veux plus jamais entendre parler de ces… de ces horreurs. Voilà, je vais raccrocher pour me calmer. Laissons passer un peu de temps et tout rentrera dans l’ordre. Allez bisou. A plus mon chéri. »
 Et elle raccrocha.
 J’étais excité comme jamais. J’avais montré ma bite à ma mère et elle avait été troublée. J’étais sûr qu’elle était une grosse cochonne et qu’elle ne resterait pas indifférente en voyant ma pine de cheval. Je me suis branlé comme un dingue en pensant que je giclais sur ses gros seins laiteux.  Puis j’ai oublié cette histoire. Enfin, jusqu’à ce qu’elle me rappelle le lendemain…
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