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Déviation incontrôlable

Chapitre 4

Erotique
Maryse est le type de femme sérieuse, dévouée auprès de son mari et des amis qui l’entourent. Ça fait maintenant dix ans qu’elle a épousé Antoine et elle a eu une fille qui s’appelle Marion.
Suite à des difficultés dans le nord de la France, le couple a décidé de s’installer du côté de Langon afin de trouver du travail, mais aussi un apaisement dans les crises conjugales.Pendant le mois d’août, et le début du mois de septembre tout semblait être parfait. Les époux ont trouvé un emploi, et leur fille a intégré l’internat de Bazas afin de poursuivre sa scolarité.
Mais un évènement a troublé Maryse, puisqu’elle a eu une aventure avec monsieur Bouteille. C’est un sexagénaire, il est veuf, et très attiré par le corps des femmes. Pour preuve, une ancienne employée a eu quelques relations sexuelles avec ce dernier. L’épouse d’Antoine se sentait forte et tranquille d’un point de vue psychologique. Elle ne doutait pas un seul instant qu’elle allait craquer et coucher avec son client.
Et pourtant, cette femme si sérieuse a été emportée par la découverte d’un nouveau plaisir.
Durant le trajet qui l’emmène en direction de la demeure de monsieur Dubois, elle ne cesse de penser à ce qui vient de se passer chez monsieur Bouteille. Comment se fait-il qu’elle a passé ce cap, de plus avec un sexagénaire ? Certes, la verge noueuse, et épaisse était un appel à l’interdit, mais tout de même, son activité sexuelle avec Antoine, même si elle est de plus en plus espacée existe toujours.
Il est d’ailleurs assez rare que le couple n’échange pas un plaisir charnel au cours de la semaine. Et pourtant, il a fallu qu’un micro évènement se produise, pour qu’il se passe quelque chose. Ce n’était donc pas pardonnable de faire ça. Mais c’est comme ça.
Maryse manque même d’emboutir la voiture qu’il y a devant elle. Il est quatorze heures, elle vient d’arriver au domicile de son deuxième client. Comme la veille, elle fait le repassage, un peu de ménage, mais rien de fatigant, puis demande à monsieur Dubois ce qu’il souhaite faire comme activité.
Et une fois de plus comme la veille, il lui dit qu’il veut faire l’amour. Ses blagues sur la politique, la société ou le sport font énormément rire la femme d’Antoine, mais cette dernière devient un peu lourde. Surtout avec les évènements de ce matin.
Elle lui demande d’être un peu plus sérieux. L’homme boude un peu, puis lui propose de regarder un téléfilm qui passe aux alentours de quinze heures sur une chaîne publique.
Maryse s’assoit sur le fauteuil qui est à proximité de monsieur Dubois. L’histoire du film est plutôt agréable à regarder. Néanmoins, il y a quelques scènes d’amour qui sont assez explicites. Ces dernières mettent la femme d’Antoine mal à l’aise, alors que le sexagénaire savoure ces images sans complexe. Elle ne sait plus comment se positionner.
Elle bouge souvent, croise et décroise ses jambes. Il est maintenant seize heures, c’est le moment de quitter le domicile de l’homme. Elle se lève, veut lui serrer la main, mais cette dernière se trouve dans le pantalon du monsieur. Il se réajuste en vitesse. Jusqu’ici, il était encore discret. Tend maladroitement le bras, mais Maryse préfère lui faire une bise. Ce dernier tente de détourner la tête pour goûter à ses lèvres, mais en vain.
La trentenaire reprend sa voiture, et part en direction de son domicile. Elle se pose encore une fois des questions sur l’aptitude physique de ces clients. Il est vrai qu’à plus de soixante ans, ils sont en forme. Elle prend tout de même ce genre de comportement pour un compliment.
Au bout de trente minutes, elle entre à son domicile et prend une douche reposante. Sauf que son esprit en a décidé autrement. Celui-ci la torture de nouveau, les images érotiques reviennent comme un boomerang et elle ne peut s’empêcher de se caresser.
Elle saisit sa poitrine avec ses deux mains, titille ses tétons afin de les faire durcir, puis descend petit à petit en direction de son puits d’amour. Elle fait coulisser son clitoris entre les doigts, entre deux doigts dans la grotte et se masturbe.
Maryse met un rythme assez fort concernant cette activité au point d’en avoir un orgasme qui lui arrache un grognement de plaisir.
Elle sort de la cabine, se regarde dans le miroir puis s’habille. Comme tous les soirs, elle allume la télévision, puis attend son époux. Ce dernier arrive aux alentours de dix-sept heures trente, l’embrasse puis effectue quelques activités avant de passer à table.
Sur le canapé, ce soir, rien ne se passe, Antoine est trop fatigué, et c’est donc avec déception que sa femme et lui rejoignent le lit conjugal. Elle aurait voulu laver les stigmates de la matinée, mais il n’en est rien, au contraire son esprit tortueux lui dirait presque qu’elle avait raison de tenter l’aventure.
Elle essaye de s’endormir tant bien que mal.
Il est sept-heure et demi, le réveil de son époux sonne, il l’embrasse, lui fait une accolade, puis part travailler.
Maryse se prépare à son tour, machinalement, elle enfile une robe qui lui arrive en dessous du genou, elle se sent convaincue qu’elle sera moins attirante ainsi. Elle enfile tout de même un string blanc avec un soutien-gorge de la même couleur puis décide de partir en direction du domicile de monsieur Bouteille.
Au bout d’un quart d’heure, elle sonne à la porte, et là, c’est le choc. L’homme est vêtu d’une façon très élégante, il sent bon, et il est rasé. Ça lui donne un tout autre charme. Elle entre dans la maison, et plutôt que de se serrer la main, les amants s’embrassent avec passion.
Maryse qui voulait faire bonne figure en cette matinée automnale, tombe aussitôt dans l’envoûtement de l’amour, ou plutôt de la situation. L’homme invite cette dernière à boire un café, complimente sa tenue et son maquillage discret. La femme d’Antoine esquisse un sourire et remercie le sexagénaire. À sa grande surprise, la maison est aussi entièrement rangée.
Elle pose toute de même une question à monsieur Bouteille sur le pourquoi du comment, et ce dernier répond le plus simplement du monde qu’au lieu de travailler pendant trois heures, il souhaite faire l’amour à Maryse. C’est pourquoi, il a rangé et nettoyer sa maison.
Des rougeurs apparaissent sur les joues de la femme. Elle semble conquise par ces gestes d’attention. L’homme se lève, nettoie les deux tasses, les range dans le meuble puis tend la main en direction de Maryse. Cette dernière lui tend la sienne, elle se met debout puis Roger fait tourner la femme sur elle-même.
Une fois de plus, il reste bloquer pendant quelques instants sur son fessier et le saisit à pleine main. Dans un premier temps, il lui masse les deux globes. Il est véritablement passionné par les fesses de Maryse.
Dans un second temps, l’homme joue. Avec sa main, il passe en dessous de la robe, lui caresse les mollets, le derrière des genoux, puis les cuisses. Il continue son manège en atteignant la lisière de ce qu’il aime le plus, c’est-à-dire les fesses. Il y fait quelques papouilles savoureuses, puis attrape de nouveau les globes. Il comprend très vite que Maryse ne porte qu’un string.
Monsieur Bouteille se relève, se colle contre le dos de sa partenaire, saisit les seins de cette dernière à travers le tissu et les malaxe légèrement. Il glisse à présent ses doigts sous les bretelles, puis fait glisser la robe au pied de la trentenaire.
Elle est complètement conquise par cette approche d’une douceur incroyable. Elle laisse faire son amant qui démontre toute son expérience en la matière. Ce dernier est en train d’enlever le soutien-gorge. Elle est à présent seins nus face à lui. Comme la veille, il se délecte de ce spectacle, regarde la poitrine avec envie, puis commence à toucher les tétons avec malice.
Ces derniers se dressent en un rien de temps. Roger en profite pour les lécher, les faire coulisser entre ses doigts, et les pincer délicatement. Maryse commence à émettre des soupirs de plaisir. L’homme prend à présent la décision de retourner la femme, s’accroupit derrière elle, et lui enlève le string. Cette fois-ci, elle est complètement nue. Monsieur Bouteille écarte les fesses de la femme.
Plonge sa tête en direction de l’abricot complètement épilé. Sa langue parcourt les lèvres de cette dernière et lui titille le clitoris. Les jambes de la femme tremblent de désir, au bout d’une dizaine de minutes, elle expulse une quantité importante de cyprine sur la bouche de son partenaire.
Celui-ci se relève, et se félicite de lui procurer autant de sensation. Le couple d’amant part en direction de la chambre. L’homme se déshabille puis s’allonge. Son sexe est en érection, et Maryse ne tarde pas à lui offrir une fellation. Elle avale le membre entièrement, jusqu’à la garde puis aspire le gland de monsieur Bouteille.
Celui-ci semble être aux anges. Son visage exprime une joie incroyable. Elle continue ses mouvements, puis se met à califourchon sur son amant. Elle s’empale sur le membre noueux et épais qu’elle aime temps. Reste un instant immobile, puis effectue des mouvements de bassin.
Ils sont, dans un premier temps, assez lents, comme si Maryse souhaitait faire durer le moment une éternité puis au bout d’un certain temps Roger prend les fesses de cette dernière afin d’accélérer le mouvement.
Le couple change de position, la femme est sur le dos, écarte les jambes d’elle-même, et se fait pénétrer avec vigueur. L’homme met les compas de la femme sur ses épaules et besogne le vagin humide avec une bestialité incroyable.
Maryse ne cesse de pousser des petits cris aigus de plaisir. Elle se positionne à présent sur le ventre, elle aime particulièrement cette position, puisque l’homme vient en elle et apprécie fortement cette petite soumission. De plus, elle le sent plus en profondeur. D’ailleurs, Roger ne se fait pas prier. Son plaisir est immense, entre la passion qu’il voue au fessier et à la douceur de cette vulve.
Le bas de sa bedaine et les fesses de cette dernière claque et raisonne dans la chambre. Elle se relève un peu sur les genoux, puis l’homme s’offre une levrette d’anthologie. Il en profite pour mettre des petites fessées. Acte qui propulse Maryse dans les stratosphères de la jouissance. D’ailleurs, elle ne tarde pas à jouir en même temps que son partenaire qui déverse son sperme.
Les échanges corporels durent ainsi pendant toute la matinée. À onze heures trente, elle prend une douche, se maquille légèrement puis fait chauffer le repas à monsieur Bouteille. Ce dernier remercie la femme avec une accolade et un baiser langoureux.
Une fois de plus Maryse a cédé à la tentation. Monsieur Bouteille a été romantique, et très sensuel. Il a accueilli la femme d’Antoine avec classe, ce qui a déstabilisé son esprit et l’a entraîné dans une partie de jambes en l’air.
Le fait d’avoir remis en état la maison aurait-elle soigné la dépression de l’homme ? Est-ce que ça lui aurait redonné en confiance en la vie ? Elle ne le sait pas, mais toujours est-il qu’ils ont fait l’amour avec passion.
Elle sait très bien que cette situation va mettre tôt ou tard sa vie en danger sentimental. Pour l’instant, elle préfère garder le secret au fond d’elle, supposant que Roger se lasse de ses courbes.
Toujours est-il qu’il est midi, il est l’heure d’aller rendre visite monsieur Dubois.
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