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Je deviens la chienne de mon père

Chapitre 2

Le moment tant attendu

Gay
Je reviens après un long moment pour la suite de cette histoire. Je vous conseille de relire le chapitre 1. Bonne lecture.

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Depuis le jour où j’ai surpris mes parents dans le lit conjugal, je n’arrête pas de fantasmer à propos de mon père. Quand je les entends copuler le soir, je viens devant leur porte, en espérant la retrouver entrouverte. Mais, malheureusement, elle ne l’est jamais. Cela fait plus de deux mois que cet événement s’est produit, mais depuis, plus rien. Mon père m’a vu les observer comme un voyeur, je me suis même doigté et j’ai jouis deux fois à la suite, et il a tout vu ! Il a insinué que j’y aurais droit, mais maintenant il fait comme si de rien n’était.
Il a peut être pris conscience que je suis son fils ? Cette pensée m’attriste, j’aurais tellement voulu être aimé de cette manière par mon père, j’aurais voulu être sien, qu’il fasse de moi sa chose comme il le fait avec maman. J’ai accepté facilement mes désirs, sans me poser plus de question. Depuis la petite aventure que j’ai eu avec Alex, je commençais à douter de ma sexualité, et ma première fois avec Lisa en plus de cette histoire avec mon père m’a permis d’accepter ce que je suis. Une salope incestueuse.

Je suis dans le lit sur mon ordinateur portable entrain de penser à ce que je devrais faire. Quand je suis dans la maison, je ressens le regard insistant de mon père sur moi. J’essaye souvent de croiser son regard, comme cette après midi où nous regardions un film, Alex, moi et mon père, affalés sur le canapé. Lors d’une scène assez chaude, j’ai instinctivement dirigé mon regard vers mon père, qui me regardait déjà, sans aucune émotion dans les yeux. Rien ne s’est produit, on s’est regardé longuement, j’ai bandé et il l’a remarqué. J’ai pu voir son regard s’assombrir, n’en pouvant plus, je suis parti dans ma chambre, prétextant un travail à rendre pour la semaine suivante. Je ne comprends pas vraiment ce qu’il ressent, et ce qu’il attend de moi, il me regarde mais n’agit jamais, comme si ... comme si ....
Je viens d’avoir un déclic, je ferme mon ordinateur et me redresse. Et si il attendait que je fasse le premier pas ? Peut-être qu’il veut que je sois celui qui va vers lui ? Les yeux écarquillés à cette pensée, mes joues deviennent rosées. Mais oui ! Je suis bête ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ? Depuis deux mois, il attend de moi un signe lui montrant que je suis consentant de ce qui m’attend.
Mais que devrais-je faire ? Comment lui montrer que je suis obsessionnellement d’accord avec ça ? Je fais des allers-retours dans ma petite chambre en réfléchissant à un plan. Ils sont toujours entrain de regarder leur film dans le salon, ma mère est chez tantine Giselle, nous sommes donc trois. Putain, comment je peux me débarrasser d’Alex ? Je peux pas attendre plus longtemps. Maintenant que j’ai compris la raison de ce silence, mon excitation est à son comble.
Je veux me faire péter le fion comme une chienne aujourd’hui par cet homme.
L’excitation m’empêche de penser correctement, mais une idée un peu dingue me vient à l’esprit. Si je peux pas faire partir Alex, je devrais quitter la maison avec mon père pour un certain temps. Depuis plusieurs mois, mes parents m’apprennent à conduire, car oui, j’ai vingt ans mais toujours pas le permis. Je peux donc demander à mon père de m’amener pour que je puisse faire des tours en voiture pour "apprendre à conduire", même si je sais que ce n’est ni avec le volant, ni le levier de vitesse que je vais jouer.

J’entre dans la chambre à coucher de mes parents, et cherche un ensemble de sous-vêtement sexy appartenant à ma génitrice. Je veux être parfait pour lui. Un ensemble bleu pâle attire mon attention, c’est une couleur tellement pure pour un bout de tissu aussi sexy, j’adore le contraste, qui me représente pleinement. Je me dirige dans la salle de bain qui se trouve dans l’étage, et commence à me préparer pour mon père. Je n’ai pas vraiment de poils, mais je rase tout de même les duvets que j’aperçois sous la douche. Je me suis procuré une poire il y a plus d’un mois, car je me devais d’être prêt le moment venu. Je me nettoie donc complètement, de la tête au pied. J’espère que ça lui plaira, j’ai la peau plus douce qu’un nouveau-né.
De plus, en même temps que la poire, je m’étais acheté quelques jouets, j’ai donc pu préparé mon trou pour ce qui m’attend pendant un mois entier. Depuis un mois, je me comporte comme un putain de nymphomane en me faisant plaisir à chaque fois que j’en ai l’occasion.
J’enfile les sous-vêtements bleus et me regarde dans le miroir, le bas de cet ensemble est un string qui remonte assez haut et le haut est composé d’un tissu satiné bordé de légères dentelles qui apportent une petite touche assez sexy à l’ensemble. Waw, je fais tellement fille dans ces vêtements, une fille pure et innocente. Un sourire au coin prend place sur mon visage à cette pensée. Plus pour très longtemps. 
Je m’habille d’un ensemble de jogging par dessus et soulève mon haut afin de m’observe dans le miroir. On aperçoit nettement le bas de mon string, c’est parfait. Je me dirige à nouveau dans ma chambre et décide de me parfumer avec un des parfums à l’odeur « féminines » que je collectionne en cachette. Je ne sais pas vraiment quelle odeur pourrait plaire à mon père, je prends en main le parfum qui a l’odeur la plus douce que je possède. Je veux compléter cette ensemble avec une touche toute aussi douce donc j’en mets de manière à ce que l’odeur ne soit pas très forte. Alex ne doit pas la sentir.
Enfin prêt, je descends les escaliers. "Papa, tu m’apprends à conduire aujourd’hui?". J’arrive devant le fauteuil et Alex tourne le regard quelques secondes, souffle et continue de regarder son film. "Sacha je regarde un film". La voix rauque de mon père me fait frissonner, je le regarde toute sourire, et fais une petite moue mignonne. Il fronce les sourcils et se redresse. Je n’ai jamais fait de moue mignonne à mon père donc le geste l’a interpellé. Je regarde Alex, et après être sûr qu’il ne me voie pas, je soulève lentement mon haut tout en regardant mon père dans les yeux. Je lui souris, en essayant de paraître le plus innocent possible. Quand il aperçoit le string, ses pupilles se dilatent, et son regard en devient noir. Avec ma deuxième main, je tire mon bas de jogging vers le bas, laissant apparaitre le tissu légèrement transparent du string.
Mon père se lève d’un coup, je sursaute et remets mon jogging en place. Il est fâché ? Je pensais que ça lui plairait. J’ai mal compris ses signes ?
Il se met entre moi et Alex, son regard est indéchiffrable comme d’habitude, et il me regarde dans les yeux, je baisse le regard honteux. J’ai tout mal interprété, je suis bête ! Il va faire quoi ? "Alex on revient dans deux à trois heures". Je relève mon regard, surpris, et regarde mon père sourire comme s’il était fier de moi. Je suis soulagé, j’avais raison, c’était bien un signe venant de moi qu’il attendait. Je souris timidement en essayant de garder mon regard dans ses yeux, sa prestance m’intimide tellement que je ne sais pas quoi faire.
Il a toujours été intimidant, je n’ai jamais vraiment eu de moment père-fils avec lui, sa personne m’a toujours fait peur. Mais ça a empiré avec le temps. Jusqu’à mes seize ans, il a toujours été un père que tout le monde rêverait d’avoir, ni trop sévère et ni trop gnangnan. Mais un mur s’est installé entre nous lors de la fin de mon adolescence. Il est devenu beaucoup moins tactile avec moi alors que avant, il adorait m’embrasser et me câliner quand je le rendais fier. C’est normal qu’il ait arrêté de faire ça, je le sais. Mais en temps normal, les enfants ne sont pas censés s’en rendre compte, pourtant mon père a arrêté de me procurer ces gestes d’affection d’une manière tellement brusque que je me souviens même de la date. C’était lors de nos vacances d’hivers à mes 18 ans, j’avais oublié de fermer la porte de la salle de bain à clé. J’ai surpris mon père à me regarder à travers le miroir de la salle de bain. Il n’a pas vu que je pouvais le voir. Il est resté au moins cinq bonnes minutes et est parti. Depuis lors, je n’ai plus eu droit à ces gestes tendres. Il a surement eu conscience que je n’étais plus un enfant, mais je sais pas pourquoi il a dû attendre de me voir nu pour ça.
Nous sommes dans la voiture depuis une heure, personne ne parle et mon père conduit. Je ne sais même pas où nous allons. Je joue avec le haut de mon jogging nerveusement, nous sommes assez loin de la ville. On arrive devant un motel, à la sorti d’autoroute dans une ville que je ne connais pas. Comment il connait cet endroit paumé ?
Arrivé dans la chambre, je perds toute confiance en moi, je sais pas quoi faire. Mon père enlève sa veste, le silence pèse. Il s’assit sur le bord du lit, en gardant son regard fixe sur le mien. Je ne sais pas quoi faire d’autre que de le regarder.

Ne sachant pas comment agir, je me mets à marcher vers lui. Le fait qu’il soit assis le force à lever la tête pour me regarder, ce qui n’a pas l’air de lui plaire. « A genoux ». Je lui obéis, je me mets entre ses jambes et relève la tête pour le voir, me dominant de sa simple présence. Je le regarde dans les yeux. « Tu m’as fait attendre deux mois, j’espère pour toi que tu en vaux la peine". Je lui souris mais ne réponds pas. Je suis tellement content, mais d’un côté tellement triste. Je pensais que je le répugnais car je l’ai souvent entendu avoir des propos homophobes, je suis content qu’il m’accepte. Mais, on a perdu deux mois, deux mois où on aurait pu être ensemble et s’aimer, tout ça de ma faute. Il se relève, ce qui me fait reculer car j’étais trop proche de lui. Il défait sa ceinture, je le regarde dans les yeux, excité et impatient de savoir la suite. "Tu vas me sucer". Je grimace, je n’ai jamais eu de relation sexuelle avec un mec, mais je pourrais le regretter si mon manque d’expérience lui déplait.
Mon père attrape mon menton, d’une manière assez délicate, mais rude à la fois. Son visage ne laisse paraitre aucune émotion. "Tu n’as jamais couché avec un homme ?!". Ma réponse sort comme une question. "Non ?". J’ai regardé beaucoup de pornos gays durant ces deux mois d’attente, mais je n’ai jamais appliqué mes connaissances sur quelqu’un. Je ne pouvais pas lui dire ça.
Il me regarde un moment sans rien dire, je ne comprends pas ce qu’il ressent. Il recommence à sourire de manière narquoise et baisse son pantalon. "Apprends". Je le regarde et lui rends son sourire, moins certain. Il m’a dit ça d’une manière tellement basique, comme s’il voulait dire : Tiens une queue, apprends à l’utiliser. Ah mais, c’est ce qu’il vient de faire.
Ma pensée me fait sourire encore plus, j’approche mes lèvres de son caleçon. Je relève le regard vers mon père, qui me regarde de ses yeux noirs. Mes lèvres touchent enfin sa queue à travers le tissu, j’en salive d’impatience, je le regarde un moment, ne sachant pas trop quoi faire. Je vois dans son regard qu’il ne va pas m’aider. Je commence à mouvoir des lèvres, je tire la langue, l’embrasse. J’attrape le tissu entre mes dents et tire, en continuant de le regarder. Il grogne, mais ne me touche toujours pas, ses mains se trouvent derrière sa nuque, comme s’il était couché sur le sofa. Je continue mon manège un peu déçu. Après un certain temps, je me dis qu’il bande assez. Sans détourner le regard, je baisse d’un coup sec son sous-vêtement.
Sa bite me tape sur la joue et je souris. En continuant de le regarder dans les yeux, j’essaye de trouver le gland de sa queue, la bouche ouverte, mais abandonne très vite et détourne le regard pour pouvoir l’attraper d’une main. Mon père lâche un rire rauque qui me fait frissonner. Il s’amuse à regarder son enfant apprendre à utiliser son nouveau jouet. Je me positionne sous sa queue, sors ma langue et la lèche du bas vers le haut, en partant du frein. Mon père m’attrape par les cheveux, je remonte mon regard en continuant de lui lécher son bâton. Cependant, il attrape sa queue d’une main, je la lâche. Il dirige ma tête sous sa queue, mes lèvres sont alors en contact avec ses couilles. Je comprends alors ce qu’il veut. Sans un mot, je lui lèche les couilles, les prends en bouche, je suis comme un affamé. Je veux sa queue, elle est à moi et je ferai tout pour le plaisir de mon père. « T’es sûr de n’avoir jamais sucé de queue ? Si c’est le cas, ça doit être inné chez toi". La bouche pleine, je ne lui réponds rien.
Il tapotte sa bite sur ma joue pendant que je lui lèche les couilles. Sa queue se trouve en face de mon oeil droit, mais je continue tout de même de regarder d’un oeil mon géniteur prendre plaisir sous mes coups de langue. J’arrête de jouer avec ses boules et remonte en léchant sa queue de toute sa longueur. Arrivé au gland, je joue avec le méat, ce qui le rend fou. Sa poigne sur mes cheveux se renforce et il grogne de plaisir.
Il prend enfin le contrôle et dirige ma tête face à son gland. « Régale-toi ». Suite à ces mots, il m’enfonce son pieu dans la bouche, mais n’essaye pas de mettre toute sa longueur du premier coup. Il fait des va-et-vient en enfonçant pas plus de la moitié de son engin. Je le regarde dans les yeux, en me rappelant les paroles qu’il a dites à ma mère. Regarde-moi dans les yeux quand tu me suces. Son regard s’assombrit et il accélère ses mouvements. Il arrive à enfoncer maintenant plus du tiers de sa queue car ma gorge s’est habituée à sa présence.
Pour ne pas éjaculer trop tôt, il tire mes cheveux. Ma salive mélangée à son précum coule de mon menton. « Prends tout ». Il me lâche la tête, me redonnant le contrôle et je comprends qu’il veut une gorge profonde. Je sais pas si je vais pouvoir faire ça, j’approche mon visage de son sexe et mets le bout en bouche, je suçote et sors la langue pour lécher autour. Je me recule et regarde à nouveau mon père qui me domine de toute sa hauteur. Je sais pas pourquoi je fais ça mais je donne un bisou sur son sexe, comme si j’embrassais sa joue pour lui dire merci.
Il tourne de l’oeil et m’attrape les cheveux. Je souris à l’idée de savoir qu’un seul de mes gestes le met hors de lui, j’aime tellement ça. Il m’enfonce à nouveau sa bite dans la gorge, mais cette fois-ci, de toute sa longueur.
J’arrive plus à respirer, je deviens rouge. Il relâche la pression et je tousse très fort et je peux ensuite reprendre ma respiration. « Ne joue pas à la chienne avec moi ».
Je le regarde surpris. Je pensais qu’il ne voulait pas m’insulter de peur de me vexer ou quelque chose du genre. De ce que j’avais pu voir il y a deux mois, insulter son partenaire pendant le sexe l’excite. Et à vrai dire, moi aussi.
« Je ne joue pas ». Je lui souris pour lui faire comprendre.
Je ne joue pas à la chienne, parce que je le suis.
Le regard de mon père est plus sombre que le noir, je pense que mes dernières paroles l’ont mis hors de lui. Il tire mes cheveux de façon à me mettre debout et il m’ordonne d’enlever le bas de mon jogging, il s’occupe d’enlever le haut et me lance sur le lit comme si je n’étais qu’un objet. Son objet.
Excité, je me mets à quatre pattes, comme ma mère l’autre soir et je courbe mon dos en collant mon torse sur le lit. Le visage collé également au drap, je tourne mon visage afin de regarde mon père qui est resté au même endroit.
« Quel genre de salope ta mère a mis au monde ?». Je souris à sa phrase, heureux de pouvoir l’exciter. Je tends mon postérieur vers mon père et le bouge pour l’exciter davantage. Je vois dans son regard que mes gestes aguicheurs ne le rendent pas indifférent, cependant, il reste debout devant le lit sans s’approcher de moi. Je fronce les sourcils, inquiet. Pourquoi ne vient-il pas me démonter ? C’est ce qu’on attend tous les deux depuis deux mois.
Je gémis, comme un animal en chaleur appelant son mâle pour une saillie, mais toujours rien. Je deviens rouge d’impatience. "Je vais pas te féconder aujourd’hui Sacha". Je me fige, ces mots rudes m’excitent, mais le sens qu’ils ont m’émoustille moins. Je regarde, toujours dans la même position, le suppliant du regard, ne comprenant pas pourquoi il ne vient pas mettre sa grosse queue au fond de mon fondement qui n’attend que ça, mon trou en mouillerait presque. Mais son regard ne laisse pas place au doute, il ne va pas me toucher, du moins, pas comme je l’aurais voulu.
Je suis déçu, je ne l’excite pas assez ? Je ne suis pas assez attirant pour lui ? La réalité me frappe au visage, je suis un garçon. Mon père a toujours était homophobe, bien sûr qu’il n’allait pas coucher avec un garçon, qui en plus est son fils. Mon père voit mon visage se décomposer, et il aborde alors un regard neutre, mais rassurant. " J’ai dit non pour aujourd’hui. Mais ne t’inquiète pas, quand le temps sera venu, je te démontrai comme un animal". Ses paroles me font frissonner d’impatience, je gémis comme un chaton demandant son lait à sa génitrice. Il s’approche de moi et dépose une main douce sur ma fesse droite, il écarte ma peau, lui donnant une vue sur ma rosace, qui est censée être couvert de la fine ficelle du string bleu de ma maman. Avec son index, il pousse la ficelle et avec son pouce, il commence à faire des cercles autour de mon trou qui palpite comme une chatte en extase pour lui. Mes yeux tremblent dans leur orbite, le sang palpite dans mes tempes, j’essaye de continuer à soutenir son regard, la tête collée au lit. j’halète et gémis, je tends un peu plus mon cul vers mon père, le suppliant d’atténuer la chaleur qui me brule de l’intérieur. Je deviens fou, je veux qu’il fasse quelque chose, n’importe quoi. "Papa ...". Je dis silencieusement en fermant les yeux, la voix tremblante et suppliante. Je ne peux pas attendre un autre jour, j’ai déjà attendu deux mois.
Il arrête ses mouvements, apporte sa deuxième main et écarte mon deuxième lobe. J’ouvre à nouveau les yeux, et vois un sourire fier sur son visage. "Tu as préparé ton sale trou, tu pensais que je mettrais ma queue dedans aujourd’hui?"

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