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Je deviens lesbienne

Chapitre 2

Marie et ma soumission

Lesbienne
En rentrant pour me préparer au rendez-vous de Marie, bien évidemment, je pense à cette jeune serveuse et imagine que dans ma quête lesbienne, je la reverrai bientôt.
Pour l’instant, c’est Marie qui capte mes esprits. Comme elle me l’a demandé, je suis nue sous mon corsage et ma jupe. En enfilant mes bas devant la glace de la salle de bains, ma jupe relevée pour atteindre mon porte-jarretelles, j’ai une belle vue sur ma touffe que j’aime tant montrer dans mes exhibitions. J’ai envie de me caresser, mais je ne dois pas me mettre en retard. Je prends soin de ne pas oublier le vibreur que je m’introduis bien profond pour ne pas risquer de le perdre en marchant.
Arrivée devant l’adresse indiquée, je sonne à l’appartement 25. -« C’est Jeanne »-« Monte salope, je t’attends au 2ème étage la porte en face de l’ascenseur. Elle sera entr’ouverte ? »
Bonne mise en condition, mais mon cœur bat à 100 à l’heure. Que va-t-il m’arriver comment vais-je réagir ? En fait, c’est le premier vrai contact physique avec une autre femme. Je me suis tellement excitée avec des vidéos lesbiennes que mon appréhension s’estompe. J’ai envie !Arrivée sur le palier, je pousse la porte qui donne sur un couloir à peine éclairé.
-« Ferme la porte à clef derrière toi et viens me rejoindre au salon au fond du couloir. »
Dans une pièce à la lumière tamisée par deux très belles lampes Tiphanie qui projettent leurs couleurs sur un mur tendu de velours rouge, Marie m’attend debout, déshabillée, offrant sa splendide poitrine juste soutenue par un soutien-gorge pigeonnant sans bretelles à la broderie transparente. Porte-jarretelles assortis, bas résille noirs émergeant d’une paire de cuissardes en cuir à talons hauts. Elle non plus n’a pas de string et je constate que sa chatte offre une importante toison brune aussi fournie que la mienne.
-« Approche ma chère Jeanne. J’ai trop envie de te caresser et découvrir ton corps, mais pour l’instant, toi tu n’as pas le droit de me toucher. Comme je te l’ai dit, je souhaite que tu deviennes mon jouet sexuel. Bien sûr, tu auras ta part de jouissance et je te ferai découvrir bien des sources de plaisir. »
-« Oui, je suis venue pour ça, c’est la première fois que je fais l’amour avec une femme, mais j’ai très envie. Prends mon corps, il est à toi. Je sens que ma mouille lubrifie ma touffe »
-« As-tu rapporté le vibreur qui t’a fait jouir au café ? »-« Oui, je l’ai mis bien profond dans ma chatte »
Marie s’approche de Jeanne, lui saisit les cheveux en lui rejetant la tête en arrière pour plaquer sa bouche sur celle de sa partenaire. Après un long fourrage de langues, Marie entreprend d’embrasser puis de lécher la figure, le cou de Jeanne et mordiller les tétons qui pointent sous son corsage. Le corsage est vite dégrafé et tombe à terre. Le déshabillage continue par la jupe qui rejoint le corsage.En se plaçant derrière sa proie, la maîtresse de maison colle sa poitrine sur le dos de Jeanne, puis sa chatte sur ses fesses en ondulant comme pour la baiser par-derrière.
-« Maintenant, Jeanne, tu vas te coucher par terre sur le dos, bras et jambes écartés que je vois bien ta chatte, je vais m’exciter et t’exciter en me caressant, mais tu n’as pas le droit de te toucher, je ne te toucherai pas non plus. Je veux te voir jouir comme ça. Tu peux t’agripper aux pieds de la table »
La petite séance commence. Marie s’est positionnée, jambes écartées au-dessus du corps de Jeanne et se caresse langoureusement la figure puis les seins qu’elle sort de leurs bonnets. Elle en remonte un au niveau de sa bouche et entreprend de téter le mamelon.
— Tu vois comme ils sont beaux mes seins, regarde, ils bandent, tu auras le droit de les caresser après avoir joui une première fois.
Marie continue en descendant ses mains sur ses cuisses, caresse son cul, puis son entrejambe et prend sa touffe à pleine main pour bien découvrir ses grandes lèvres qu’elle écarte pour faire émerger son clitoris qui bande comme une petite bite. Un premier jet de cyprine jaillit et tombe sur le ventre de Jeanne. L’effet est immédiat, Jeanne commence à se trémousser et saisit les pieds de table pour résister. C’est alors que sous l’effet de la télécommande, le vibreur se met en action et là, c’est très dur. Marie a bloqué les chevilles de Jeanne qui tente désespérément de se débattre pour croiser les jambes. Les vibrations s’intensifient.
-« Non, non arrête c’est trop dur »-« Tu vas voir, la jouissance est sublime. »
L’orgasme ne tarde pas à arriver et sous les cris et les torsions de son corps, Jeanne explose avec un jet de mouille digne d’une femme fontaine. Elle en expulse le vibreur.Marie s’accroupit chatte contre chatte, et les toisons archi trempes se caressent. Les clitos se frottent jusqu’à un orgasme commun. Deuxième pour Jeanne.
Les deux corps sont au repos l’un sur l’autre pendant quelques minutes. C’est Marie qui rompt le silence.
— Alors Madame Jeanne, c’est comment l’amour entre femmes ? — Pour un début, c’est éprouvant, mais tu m’as promis de te laisser caresser à ton tour, j’ai très envie de ton corps et cela aura été une vraie séance de gouinage. J’ai vu dans les vidéos que de bouffer une chatte devait être très excitant et j’ai vraiment envie de la tienne.— Viens, suce-moi, caresse-moi, mets ta langue dans mon con. Caresse-moi aussi le cul, j’adore ça.— Tu veux un doigt dans le cul ? Les hommes à qui je le faisais en redemandaient.— Oui, sers-toi de ma mouille pour lubrifier, mais je n’en veux pas qu’un, j’utilise des godes très gros, le passage est facile.
Une partie débridée s’ensuit. Jeanne fouille la chatte et le cul de Marie jusqu’à l’orgasme.Chacune des deux gouines a eu son compte, mais Marie a dans l’idée de soumettre sa partenaire à un petit jeu particulier.
— Ma chère Jeanne, je vois que tu aimes le sexe et si tu es d’accord, je vais faire de toi ma soumise, mais rassures-toi, ce ne sera que du plaisir, un peu contraint comme il se doit. — Oh oui, Marie, je veux bien essayer.
« Dans le cadre de ta soumission, je vais te mettre à l’épreuve à l’extérieur.
Cette semaine, si ton emploi du temps te le permet, au fait, tu fais quoi dans la vie professionnelle ? »
—« Je suis clerc de notaire à la Chambre des notaires pas loin d’ici »— Ah oui, je connais, la directrice m’a l’air d’une femme charmante.— Elle l’est, c’est ma patronne.
« Bon, pour notre épreuve, tu devras, trois fois dans la semaine qui vient, te faire jouir à deux reprises coup sur coup.
Lundi tes deux orgasmes successifs devront se passer au bureau pendant ton travail. Tu te feras jouir seule. Pour t’aider, je te laisserai la télécommande du vibreur. Tu devras avoir un string pour bien le garder dans ta chatte et recueillir ta mouille.Mercredi tu devras exciter un ou une partenaire avec une exhibe et lui demander de te faire jouir toujours deux fois coup sur coup. Peu importe le lieu.Vendredi, tu devras obtenir tes deux orgasmes dans un lieu insolite avec ou sans partenaire.Chaque soir tu me feras un bref SMS pour me dire que tu as respecté le contrat.Samedi vers 20h tu viendras me voir nue sous un imperméable et je te ferai découvrir une facette particulière de l’exercice sexuel.Acceptes-tu ?
— Oh oui, c’est très excitant, mais je ne sais pas si je serai à la hauteur. —Nous sommes lundi,
Je me prépare à aller au boulot. Tenue habituelle, classique, je n’ai pas d’exhibe pour aujourd’hui. Je n’oublie pas le vibreur et sa télécommande que je place dans mon sac à main. Arrivée au bureau, je commence mon travail sur mes dossiers. Ce n’est qu’à la pause-café que je pense à mon premier gage donné par Marie. Assise à mon bureau, j’extrais le vibreur de mon sac, écarte les cuisses et l’introduis bien profond dans ma chatte. Je pose la télécommande derrière une pile de dossiers à portée de mains. Je pense qu’il va quand même falloir que je trouve une source d’excitation pour mener à bien mon double orgasme. C’est alors que ma directrice entre.
-« Jeanne, je vous ai apporté le dossier Durand, il y a des recherches à faire auprès des banques, je vous en laisse le soin »
Depuis ma découverte d’un certain penchant lesbien, je ne regarde plus les femmes du même œil. C’est le cas pour ma directrice dont l’habillement strict « bon chic bon genre » tailleur bleu marine, minijupe sur bas noirs, corsage blanc, talons hauts le tout mettant en valeur une silhouette aux formes bien marquées. Postée à côté de moi pour détailler le dossier « Durand », son parfum m’enivre, en se penchant sur le bureau, sa poitrine effleure ma joue et si ce n’était pas ma patronne, je lui caresserais les jambes et la croupe. C’est donc elle qui sera ma source d’excitation pour mon premier gage.
La regardant sortir du bureau je fantasme. Discrètement, je mets une main sous ma jupe et je constate que mon string est bien mouillé. C’est le moment d’enclencher le vibreur. C’est bon, je sens que je mouille de plus en plus, je me caresse les seins à travers mon corsage et rapidement un premier orgasme m’envahit. Je me retiens pour ne pas crier de plaisir.
Sur les ordres de Marie, il faut que j’entame une nouvelle montée de jouissance. Je me lève en empoignant les bords du bureau et me branle le clito sur l’angle de table, j’ai mis le vibreur au maximum. Les effets conjugués des vibrations et du frottement à travers le tissu de mon string sont tellement puissants que la deuxième salve d’orgasmes me terrasse littéralement et me fait m’affaler sur ma chaise.
Contrat rempli pour aujourd’hui.En rentrant à l’appartement en fin d’après-midi, je rédige mon premier SMS.
— Bien joui deux fois de suite au bureau, j’étais excitée par la vue de ma patronne que je trouve très canon.
Une réponse est quasi immédiate :« Bonne élève ! pour ta patronne, il faudra peut-être que tu la baises un jour lol !!!
—Nous sommes jeudi.
J’ai attendu la fin de ma journée de travail pour rentrer m’habiller avec une tenue provocante. Pas de soutien-gorge, seins nus sous un corsage presque transparent, minijupe très courte laissant apparaître de temps en temps en marchant le haut brodé de mes bas et leur attache à mon porte-jarretelles. J’ai envie d’aller provoquer la jeune Myriam du café restaurant. Je m’installe au fond de la salle de bar derrière une table en verre qui doit laisser voir ma jupe relevée naturellement par ma position assise.Myriam est là, elle m’a vu entrer et se dirige vers moi pour prendre ma commande.
—« Bonjour Madame, je pensais que vous étiez choquée de mon attitude la semaine dernière. J’attendais un coup de fil, mais rien. Pourtant j’ai fantasmé sur vous. Je voulais découvrir votre corps »—« Non, Myriam je suis pas fâchée. Si je suis venue aujourd’hui c’est que j’ai envie de vos caresses. J’ai envie que vous me fassiez jouir. »— C’est très excitant ce que vous me demandez, mais je suis en service. Nous pourrions nous voir ce soir après mon travail.— Non, je suis chaude, je vais aller aux toilettes et vous viendrez me rejoindre pour un rapide petit plaisir.— OK je vous suivrai. Qu’est-ce que je vous sers en attendant ?
« Un Mojito.
En revenant avec ma boisson, la petite salope a dégrafé deux boutons de son corsage et a visiblement sorti un sein de son bonnet.
— Regardez, mes tétons bandent en pensant à vous, j’aimerais tant que vous les suciez. J’ai dit à mon chef que j’allais faire la propreté aux toilettes. Vous pouvez me suivre.
Arrivées dans l’édicule hygiénique, Myriam se rue sur moi en me pelotant les seins et en introduisant son genou sous ma jupe pour me masturber la chatte.
— Tu me fais mouiller Myriam, bouffe-moi, suce mon clito. Tu dois me faire jouir deux fois coup sur coup, continue, je sens que je monte. Vas-y suce, aspire, tu es bonne, ça y est je pars. Reprends-moi, fiste-moi avec ta main entière dans mon con. Oui c’est bon, plus fort en frottant bien mon clito. Là c’est sublime, je me sens monter pour la deuxième fois. —« Je voudrais votre bouche, votre langue Madame »— Prends-la, tu le mérites, tu peux m’appeler Jeanne, c’est mon prénom. — Jeanne, je voudrais faire l’amour avec vous, être votre soumise, vous m’excitez terriblement, mais il faut que je revienne au travail en salle. — Je te promets que je t’appellerai pour te proposer une bonne partie de baise.
Myriam partie, je ne peux m’empêcher de me caresser et de me faire jouir une troisième fois même si ce n’était pas le contrat. Je regagne ma place pour payer ma consommation. En m’apportant mon ticket de caisse, Myriam me regarde fixement en passant sa langue sur ses lèvres et se caressant un sein sous son corsage. Cette jeune femme est une vraie salope, elle devrait plaire à Marie.
Comme prévu, je lance un SMS à Marie :
— Deuxième gage accompli, je me suis fait jouir deux fois par une serveuse du bar où nous nous sommes rencontrées. Je te raconterai.— Bien ! Continue, il te reste vendredi.—Nous sommes vendredi après-midi, j’ai un demi-repos.
Mon idée de lieu insolite sera l’église, j’irai me faire jouir dans le confessionnal. Je réécoute en rêvant la chanson de Brassens « Mélanie »
« Ancienne enfant de Marie-salopeMélanie, la bonne au curéDedans ses trompes de Fallope,S’introduit des cierges sacrés. »
Je remets la tenue que j’avais pour aller voir Myriam. Je n’ai personne à exciter sauf peut-être le Père Jean si je le rencontre. J’ai vu les quelques rares fois où je suis allé confesser mes pêchés de chair, sans passer par le confessionnal qu’il matait avec insistance mes cuisses bien visibles sous ma minijupe et surtout mon décolleté provocateur.
J’entre dans l’église. A l’ouverture, la lourde porte grince sur ses gonds. Personne en prière. A la table des cierges, quelques flammes vacillent. L’offre de candélabres est bien pourvue dans plusieurs dimensions. J’en saisis trois des plus gros, je mets ma contribution dans la boîte prévue à cet effet et me dirige vers le confessionnal. Là encore, la porte grince à l’ouverture. Je m’assois sur le prie-Dieu. Ma position a relevé ma jupe laissant libre l’accès à ma chatte que je caresse pour me faire mouiller et préparer l’introduction des cierges.
Il me faut trouver une source d’excitation. Je pense à nouveau au corps de ma patronne, probablement inaccessible, pourtant, ce sein qui a frôlé ma joue lundi au bureau cette présence tout près de moi, me font rêver. Je commence à m’introduire deux candélabres du côté le plus gros, je garde le troisième pour mon cul. J’ai complètement ouvert mon corsage et de ma main restée libre, je me caresse les seins. En plein pilonnement de ma chatte par des allées et venues et des mouvements de rotation, je sens l’orgasme monter et sans précaution, je lâche des râles sonores de plaisir.C’est alors que soudain, la porte s’ouvre. C’est le père Jean.
— Eh bien, Madame Jeanne, je vous ai vu entrer dans le confessionnal et comme ce n’est pas votre habitude, je suis venu voir. Quel spectacle ! Vous m’aviez habitué à quelques exhibitions provocantes pour lesquelles je ne vous avais jamais sermonnée, mais là, vous masturber dans la maison de Jésus, vous exagérez.
Je ne me démonte pas, je pense que je n’ai même pas rougi.
— Oui mon père, j’aime m’exhiber et voir l’excitation de mon vis-à-vis. Je suis sûr que vous bandez.— Je ne peux pas dire que vous ne me faites pas de l’effet, vous semblez avoir un très joli corps.— Montrez-moi votre queue, je vous autorise à vous branler, ça m’émoustille et j’ai envie de jouir une seconde fois.
Sans se faire « prier !! » le Père ouvre sa braguette d’où émerge un imposant phallus, il dégage également ses couilles et s’astique vigoureusement.Ma position assise dans ce local exigu ne me permettant pas de m’occuper de mon cul, j’introduis le troisième cierge dans ma chatte inondée de cyprine. A force de me ramoner et à la vue de l’activité du Père Jean, je sens l’orgasme monter.
— Je vais jouir, me prévient Jean.— Dans ma bouche mon Père, j’ai envie de votre jus. Moi aussi je sens que je pars.
Jean s’approche de ma bouche grande ouverte et y laisse échapper une impressionnante quantité de sperme. Cela fait longtemps que je n’avais pas eu ce cadeau. Je suce goulûment ce membre encore raide avant qu’il ne se retire. Les cierges expulsés de ma chatte tombent à terre. Je vais les garder en souvenir. Ils n’iront pas au chandelier.
— Merci Jeanne pour ce moment délicieux. J’espère que vous viendrez souvent vous confesser.
Sur ces paroles, le Père Jean se dirige vers la sacristie et moi vers la sortie.
Dernier SMS à Marie :— Troisième épreuve accomplie. Le lieu était l’église, le confessionnal et incidemment le prêtre. A demain 20 heures.
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