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Et je devins adulte

Chapitre 5

Maman et moi

Inceste
Vers vingt heures, nous passâmes à table, mangeant un peu silencieusement, non sans échanger des regards tendres et complices maman et moi ; elle savait que j’avais encore une chose à faire avec elle pour boucler la boucle de notre relation incestueuse... je n’avais pas encore repris le chemin de son vagin dont j’étais sorti quelque dix-huit ans plus tôt. En bref, nous n’avions pas encore fait l’amour avec nos sexes respectifs comme si maman voulait que cet acte se passe sous seing privé!
Elle n’avait nul besoin d’en parler, je lisais son désir dans ses yeux. Comme elle devait également lire le mien dans mon regard. Nous étions tous deux en peignoir de bain, nus dessous, car après nos douches salvatrices, il était très agréable de rester légèrement vêtue dans notre maison. Je pouvais voir ses gros seins ballotter par la légère ouverture du peignoir et déjà mon sexe réagissait légèrement comme s’il savait qu’il allait bientôt servir.
La conversation se déroulait banale comme dans tout foyer au repas du soir, la fac, le sport, les prochaines vacances aux USA, sa prochaine publication dans le journal. Après avoir pris le repas et avoir tout rangé, nous passâmes au salon où l’on buvait souvent une tisane en parlant de tout et de rien devant une télé parfois allumée.
Ma mère sortit sans me demander deux verres à Scotch et nous servit une rasade légère d’un bourbon d’origine de notre pays natal... bien que très sportive comme moi par osmose, elle buvait de temps en temps un verre d’excellent vin ou de whisky selon l’inspiration du moment et cela, le soir, après dîner en général...
Nous sirotions tranquillement le regard vers une télé muette qui passait un documentaire géographique ; maman se leva, éteint la télé et mit une bande magnétique longue durée de jazz, sa passion.
Elle se rassit à mes côtés et commença de me faire quelques bisous dans le cou amoureusement que je lui rendis en prenant sa bouche doucement avec tendresse, mes mains se posant sur les magnifiques globes de ses seins arrogants. Ma queue fit un bon immédiat pour me dire qu’elle était prête...
Maman la caressait par l’ouverture de mon peignoir bien débraillé. Elle me masturbait lentement comme pour me faire comprendre que l’on avait toute la nuit devant nous ; je lui repoussais son peignoir vers l’arrière pour dégager ses seins déjà tendus de plaisir...
Elle se releva et laissa son peignoir tomber au sol tandis que j’ôtai le mien en restant assis dessus, ma bouche était à la hauteur de son magnifique sexe, je passais mes mains derrière elle sur ses deux fesses et la tirais vers moi, posant ma bouche sur sa vulve odorante et tiède. Elle posa son pied gauche sur le canapé de manière à offrir encore plus ouvert son sexe en feu à ma bouche gourmande.
Je saisis de suite le clitoris entre mes lèvres pour lui appliquer une succion intense qui la fit gémir alors qu’elle tenait ma tête pour l’écraser sur sa fente d’amour.Je continuais ainsi en mettant un doigt dans son vagin déjà très humide tant elle mouillait d’envie de sexe.Brutalement, elle s’arracha à moi, se mit à genoux les coudes sur le canapé :
— Prends-moi par derrière, mais dans la chatte, le reste on verra plus tard.
Une seconde, qui me sembla une éternité, se passa, car son regard sombre et son langage très cru me surpris, mais l’excitation de voir sa croupe offerte de manière si impudique me fit balayer toute éducation. Je me mis à genoux derrière elle, guidais ma queue sur son vagin glissant, la saisis par les hanches et la pénétrais d’un coup si brutal que je touchais le fond. Elle hurla ; je compris qu’elle orgasmait déjà tant son excitation était forte...
Je me mis à la prendre, et encore, et encore, entrant et ressortant et entrant à nouveau dans ce couloir d’amour par lequel j’étais arrivé au monde : je découvrais le symbole si fort et si culpabilisant pour certains, que peut-être l’inceste. Je prenais conscience que je n’avais aucun remords, mais que du respect et de l’amour indéfectible pour cette femme, ma chère maman à qui je faisais l’amour.

Cette Indienne "pur sang" qu’était ma mère, descendante reconnue d’un grand chef rebelle, jouissait et hurlait de plaisir.Je savais que moi le "sang-mêlé", j’étais de sa race et que ce lien invisible qui nous reliait à notre terre baignée du sang de nos ancêtres venait de devenir encore plus fort et immortel de par cette relation intime.
Jamais plus ma vie ne serait pareille "qu’avant" nous étions des amants liés pour la vie.
Quelle qu’en soit la durée de mon existence, toutes mes autres futures femmes, ne seraient jamais "Elle" : ma superbe Indienne.Tandis que je lui donnais du plaisir, je comprenais que mon père ne serait jamais un rival pour moi... jamais mon père ne l’avait fait hurler comme elle hurlait sous mes coups de reins. Il fut un homme, parfait à mon égard, et je lui en suis reconnaissant, mais avec elle, il ne fut jamais "son mâle" comme je l’étais à cet instant.
Cette nuit-là, je l’ai "prise" cinq fois, alternant des moments de force pure et d’autres moments de douceur et d’affection. Je découvris le potentiel de puissance sexuel qui était en moi et que n’avaient pas révélé mes cinq petites aventures passées avec des gamines de mon âge – je n’inclus pas Suzie et Charlène bien sûr.
Ma mère se révéla la parfaite incarnation de ce que, selon mon cœur, devait être une femme, un complément indispensable fort et puissant chargé d’amour et de générosité sans qui un homme n’est jamais achevé psychologiquement...
La suite de ma vie sera imprégnée à jamais de l’éducation qu’elle m’aura donnée et mes études et ma vie professionnelle en seront marquées pour toujours. Aujourd’hui à 65 ans, je sais que son esprit m’a rejoint après sa disparition et qu’il est toujours vivant en moi ; mes origines sioux y sont sans doute pour quelque chose...
Cet état fusionnel fit de moi un homme qui devint responsable et quitta l’adolescence du jour au lendemain...
Mes futures compagnes seront toujours des femmes fortes, jamais soumises à une quelconque autorité, elles seront toujours des femmes accomplies libres et indépendantes ou elles ne seront qu’un "simple coup d’un soir".Epuisés, le sommeil nous a tenus dans ses bras jusque tard le matin, car vers onze heures, la sonnette insistante nous a mis hors du lit...Suzie, sourire ironique aux lèvres et paquet de croissants à la main...
— Je viens juste pour voir si tout va bien, ce dont je suis persuadée, vu la nuit passée qui marque vos yeux les amis. Allez, préparez-vous, je fais le petit-déj. Et je vous amène à la maison, ma mère est là et veut absolument voir quelques amis à moi, elle s’inquiète que je ne suis pas mariée...— OK dit ma mère, une petite douche et on passe à la cuisine, tu sais où tout est rangé!
Nous primes rapidement un énième douche et vite fait habillé nous bûmes un café et mangeâmes un croissant qui me parut régénérant ; j’avoue que j’étais un peu dans le coma, la tête pleine d’images érotiques de la nuit passée...Suzie nous regardait d’un air très fraternel en fait, plutôt heureuse de nous voir si bien... je découvris au fil du temps que c’était une vraie amie de maman, sans jalousie aucune de notre bonheur et le partageant quand l’occasion se faisait sentir, mais jamais envahissante malgré un long passé saphique avec maman. Son affection pour moi suivit, du fait que nous fîmes connaissance "en profondeur" à de très nombreuses reprises.
— Bien sûr ma mère ne doit rien savoir de "nos vies secrètes" elle ne comprendrait pas de toute façon.— Tu m’étonnes s’esclaffa maman !
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