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Dévorés par la luxure

Chapitre 1

Préludes

Hétéro
Ceci est une histoire qui, bien qu’en apparence banale, est pour moi une de ces histoires qui mérite d’être racontée tant elle a changé toutes mes conceptions.
Je suis casé dans une vie conjugale depuis un bon nombre d’années maintenant. Autant raccourcir au maximum mon nom, John suffira largement, ce sera plus facile pour tout le monde.
Je vais vous raconter mon histoire avec Aurélia. Ce n’est pas ma femme, mais une amie très proche, ma meilleure amie en réalité. Toutefois, pour comprendre la nature de ce qui s’est passé entre nous, il faut remonter au début de notre relation.
Notre rencontre avait tout du fruit du hasard, sur un simple campus universitaire où nous suivions les mêmes études.
Aurélia est une de ces femmes qui, lorsque vous les voyez, emballe votre coeur au point que la pression sanguine et les palpitations en deviennent autant une source de plaisir que d’inconfort. Elle avait tout à l’époque pour me plaire, mais je sortais d’une histoire qui s’était mal passée, alors elle est restée celle que j’observais de loin dans les amphithéâtres sans oser l’approcher. Et puis ensuite je me suis mis avec une autre fille. 
Je n’ai jamais vraiment été un tombeur ou un bourreau des cœurs. Je suis plutôt réservé en vérité, ou tout du moins, je suis distant des gens. La raison à cela n’est pas vraiment le sujet, mais disons juste que comme pour tout le monde, la vie a parfois eu des effets forgeant avec force un comportement.
Nous avons fini par nous croiser au détour d’une pause cigarette tout à fait ordinaire pour les jeunes gens que nous étions à l’époque. Comme souvent lors de ce genre d’échanges, nous n’avons fait qu’échanger quelques banalités tout en découvrant nos points d’accroches et hobbies partagés. Cela aurait pu être une belle histoire si elle ou moi avions décidé et eu le courage d’en proposer davantage à l’autre lors de ces conversations. Encore aujourd’hui, je me demande souvent ce que seraient devenues nos vies. Je pense que tout le monde a une histoire comme ça dans son bagage tant cela est commun et vous vous demandez sûrement en quoi cette histoire mérite d’être comptée et pourquoi ici.
Aurélia est sortie avec mon colocataire de l’époque, se trouvant par la même être mon ami le plus proche. Ils sont toujours ensembles aujourd’hui encore par ailleurs. Je préfère être clair sur ce point, vous comprendrez pourquoi plus tard.
Pour l’heure je vais vous narrer quelques histoires datant de l’époque de cette étrange collocation qui a développé chez moi quelques penchants pour Aurélia, guettant les moments où elle serait des nôtres pour la nuit.
Nos chambres avec mon ami étaient l’une contre l’autre et autant dire que c’était tout sauf rare d’entendre Aurélia gémir nuit après nuit qu’elle passait parmi nous. Dans la vie de tous les jours, elle avait ce charme de femme fatale vous savez, qui laisse à penser qu’elle appréciait le cuir et le portait à merveille. C’est ce genre de femme Aurélia. Toutefois, si vous aviez entendu ses petits gémissements plaintifs lorsqu’elle prenait ce que je supposais être une bonne claque sur le cul, c’était comme de la musique.
Une musique qui réveillait en moi des envies charnelles puissantes et fulgurantes, pour ne pas dire totalement irrépressibles. Je sortais souvent mon sexe dès les premières notes, les premiers cris, comme un animal entendant le son de l’appeau. Il ne me fallait pas plus qu’entendre quelques-uns de ses soupirs pour me retrouver en transe et avoir envie d’exulter un intense plaisir. Je passais mes mains sur mon corps et mon sexe turgescent au rythme de ses plaisirs à elle, vivant par procuration ces quelques instants qu’il m’était donné de voler.
Parfois dans ces moments, j’ouvrai légèrement ma porte qui donnait tout de suite à côté de celle de l’autre chambre, me permettant d’entendre encore mieux ce qu’il s’y passait, la porte filtrant beaucoup moins bien les sons. C’est lors de ce genre d’occasions que j’entendais parfois des sons de sucions délicieux. Ce petit claquement un peu grave que font les lèvres lorsqu’elles ont quelque chose en elles et qu’on aspire lorsque soudainement il sort et provoque un vide. Elle devait drôlement bien le sucer ces fois-là ce qui suffisait à déclencher chez moi de violents orgasmes en projetant mes envies. Je pouvais presque sentir ses lèvres sur mon gland lors de ces moments bénis. J’avais une image d’elle assez perverse à force de discuter avec elle lors de nos études et je ne pouvais qu’imaginer le bonheur que c’était de passer une nuit de plaisir en sa compagnie.
A ce stade il vaut mieux que je vous avertisse que je n’ai jamais eu de problème avec ma sexualité, même si je suis pudique sur ce genre de sujet. De précédentes relations m’ont permises d’approfondir de nombreux penchant, notamment bisexuels. Je n’ai aucun problème avec le plaisir anal donc et l’appel de mes vœux régulièrement. C’est pourquoi à l’époque déjà, j’avais déjà plusieurs jouets divers et variés que je gardais pour moi et mon plaisir que ce soit dans la chambre ou pour la salle de bain et que j’avais depuis le lycée.

C’est ainsi qu’il m’est arrivé en l’imaginant très coquine et perverse, au son des soupirs de mon ami, à la voir me sucer tout en m’introduisant doucement un doigt dans l’anus, puis un autre et faire des va et viens très doux et tendre, comme un délicat massage. J’accompagnais ces rêveries avec l’utilisation d’un jouet, parfois vibrant et parfois non, juste pour moduler un peu le plaisir. Il était d’autant plus excitant que lorsqu’ils se montraient plus discrets, j’étais obligé d’ouvrir ma porte, ce qui me laissait nu et étendu sur mon lit à pouvoir être facilement vu en train de me caresser et me goder. S’ils en finissaient avant moi et sortaient pour gagner les toilettes à côté de ma chambre également, les forçant à passer et avoir dans un angle de vue ma porte ouverte fatalement. Cela, bien très risqué, mais parfois j’étais surpris à espérer que ce soit elle qui sorte et me vois dans ces postures, comme une invitation à autre chose.
Tant et tant de fois j’ai visualisé cette scène où elle sortait l’air de rien et me voyait, puis franchissait la porte pour me regarder avant de la refermer derrière elle. Combien de fois n’ai-je pas souhaiter qu’elle approche du lit pour saisir ma verge à pleine main et remplaçant les miennes à l’ouvrage pour me mettre au supplice.
Cela n’est jamais arrivé, même si mon esprit a travaillé à fantasmer sur elle de nombreux mois durant lesquels la collocation a perduré.
Je ne sais pas vraiment si beaucoup de monde a déjà pu voir ce que cela donnait qu’une vie en collocation avec deux de ses amis, une vraie colocation entre mecs. Ce n’est pas toujours une porcherie, cela n’est pas obligé de sentir le musc, bien évidemment. En revanche, il y a généralement peu de partager au niveau sexuel. Contrairement à l’image reçu, passé les blagues salaces, les histoires sont rarement évoquées dans leurs détails, tout comme les préférences de chacun, ce qui pousse à ruser pour satisfaire certaines envies douteuses parfois.
Comme je le disais plus tôt, j’aime le plaisir anal. Ce n’est pas une honte, mais malgré la confiance envers ses amis, parfois le jardin intime le reste malgré tout. À l’époque j’avais un gode à ventouse, comme beaucoup de personnes. C’est très pratique pour s’amuser sous la douche. Il faut juste veiller à ne pas l’oublier lorsqu’on partage la douche avec d’autres. Lorsqu’Aurélia était là, cela réveillait beaucoup d’envie en moi, comme je l’imaginais dominatrice parfois, j’aimais beaucoup la visualiser en train de me prendre et je sais que beaucoup plus d’hommes aiment ça que ce qu’ils voudraient l’admettre. Peut-être qu’un jour j’en viendrais à livrer des bribes de mon passé et vous expliquer comment j’en suis venu à une expérience déjà bien achalandée malgré l’âge que j’avais. Mais c’est une autre histoire.
Il m’arrivait parfois d’aller spontanément à la douche quand ils passaient à l’action ensemble et que je les entendais. Une petite séance avec le bruit de l’eau pour couvrir mes soupirs et gémissements tout en l’imaginant tout près de moi. Dans ces moments-là, je ressentais ses caresses sur mes hanches et mes fesses avant de passer sur mon sexe, comme si mes doigts n’existaient tout simplement pas et qu’il s’agissait seulement des siens.
J’ai arrêté un jour de faire ça quand il y avait d’autres gens partageant ma demeure. La raison à cela est simple. Un jour, j’étais tellement euphorique et soulagé que j’ai oublié d’enlever le gode qui était resté fixé au carrelage mural de la douche. En entendant la porte de mon colloc s’ouvrir j’ai percuté que j’avais oublié mon jouet. Mon cœur s’est emballé, comme s’il allait exploser dans ma poitrine. J’ai bondi de mon lit pour me précipiter à la porte et dans le couloir, juste à temps pour voir la porte de la salle de bain être refermée avec Aurélia à l’intérieur. J’étais stupéfait et en même temps terrifié à l’idée qu’elle ne le trouve à l’intérieur et en parle à son compagnon et que mes deux amis partageant l’appartement ne le sachent. Mais je ne pouvais pas non plus frapper à la porte alors que l’eau coulait pour dire que j’avais oublié un truc important pour le récupérer sans qu’elle ne sache ce que c’était.
Pourtant c’était mon jour de chance. Alors que je m’étais résolu à accepter l’inévitable vérité sur le point de m’exploser au visage, j’ai entendu la porte s’ouvrir et je l’ai vu passer de la salle de bain à la chambre de mon ami, sans doute ayant oubliée de prendre quelque chose. J’ai couru à la salle de bain, tiré le rideau de douche et arraché du mur le jouet avant de me précipiter dans ma chambre.
Nous sommes donc souvent deux personnes au moins. Celle que nous voulons faire paraître et celle que nous sommes. J’avais dit plus tôt que j’assumais, comme beaucoup d’entre vous qui lirez ces mots, mais soyons honnêtes, n’auriez-vous aussi pas prié pour ne pas être découvert à cet instant ? On ne peut jamais prévoir la réaction de ses amis ou de ses connaissances et c’est ce doute qui nous pousse à demeurer raisonnable et discret sur certaines de nos actions ou pensées.
Là où je veux en venir, c’est qu’il y a eu une occasion où Aurélia aurait pu me voir nu, en train de me faire du bien, cela aurait été possible, mais au dernier moment, je me suis ravisé et caché de peur que cela ne change tout.
C’était un soir où j’étais dans le salon et je ne me doutais même pas que mon colocataire était avec Aurélia dans sa chambre. J’étais venu chercher un jeu avant de retourner dans ma chambre. Comme je me pensais seul, je n’ai pas pris la peine de m’habiller, mais je m’épancherai sur mes tendance naturiste une autre fois sûrement. Je venais de regarder un porno et de me branler, mais le piquet était toujours tendu. J’en ai profité pour me prendre une bière dans le frigo et en le refermant et éteignant la lumière, j’ai entendu la porte de la chambre de mon colloc s’ouvrir. Un frisson de peur a parcouru ma colonne avant que mes jambes ne me propulsent dans le salon en face. Je me suis rabattu derrière l’ouverture et c’est là que j’ai vu Aurélia surgir pour aller dans la cuisine et se préparer un thé. Elle était en pyjamas et moi nu. Du coin de l’œil, je regardais la femme sujet de mes secrets désirs. Ce n’était pas un pyjama sexy ou autre, à vrai dire, je ne saurais plus vraiment dire ce que c’était avec précision maintenant. Je me souviens juste que je pouvais dévorer ses courbes et voir parfois que ses tétons étaient durs et saillant, étirant son haut. Alors même que je m’étais satisfait quelques minutes plus tôt, mon dard était de nouveau dur et prêt à l’emploi, implorant que je ne le dégorge à nouveau. J’ai commencé à me caresser à nouveau, ne pouvant résister à cette envie me submergeant. Ces douces caresses où l’on est subjugué par le plaisir montant à toute allure car on espère en même temps ne pas être découvert. Je ne voulais pas qu’elle me voit le moins du monde et ce fut un profond soulagement lorsqu’elle est parti avec son thé en direction de la chambre et que la porte a claqué. Je me suis précipité à mon tour dans la chambre et j’ai refermé la porte tout doucement et cela en est resté là.
J’étais avec ma compagne actuelle déjà à l’époque et comme aujourd’hui, toute allait parfaitement entre nous, mais je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sur la copine de mon meilleur ami pour autant. Qui ne saurait pas être troublé lors d’une rencontre dans la pénombre, au faible éclairage d’une lumière vacillante d’une ampoule bas de gamme d’un logement d’étudiant dont on ne prend pas vraiment soin.
Je n’ai jamais été pudique comme je le disais et pour tout dire, l’ambiance décontractée d’une colocation avec mon meilleur ami et un autre ami, le tout enrobé par un appétit très présent pour les jeux vidéo, autant dire que vous vous doutez bien que cela ressemblait à une colocation des plus clichée entre mecs finalement. Si vous avez déjà regardé ce genre de sitcoms comiques, dites-vous que je pouvais avoir des faux airs de ce gars, très décontracté et zen qui se balade en caleçon sans prêter vraiment attention à qui d’autre se trouve dans l’appartement, y compris devant les conquêtes de ses amis ramenées à la maison. Je ne suis pas du genre vantard ou fanfaron, mais je suis conscient que je dégage assez d’assurance pour pouvoir être à l’aise dans cette tenue malgré quelques kilos en trop.
Toutefois, je dois bien avouer que lorsqu’Elle entrait dans la cuisine quand j’y étais pour faire à manger ou juste faire mon tour de vaisselle, je ne pouvais empêcher mon érection de se manifester. C’était alors la croix et la bannière pour éviter que ces yeux ne se posent dessus et ne perce mon désir secret. Quand j’y repense parfois, je me dis qu’elle devait trouver ça bizarre de ne pas dénier la regarder pour parler alors que nous étions à quelques centimètres l’un de l’autre et le tout devait me faire passer un peu plus pour l’homme bourru que je parais souvent être au premier coup d’œil.
J’espérai presque faire un “faux mouvement” rien que pour qu’elle puisse voir ou juste toucher par erreur le fruit de sa présence auprès de moi, mais cela aurait été tellement déplacé, que j’aurais sans doute eu du mal à la regarder en face après une telle chose et n’osait même pas essayer d’anticiper sa réaction, car dans mon esprit elle n’aurait pu être que très mauvaise.
Ce long prélude n’était là que pour mieux vous préparer à entendre les révélations qui sont les nôtres. Notre attirance pulsionnelle l’un pour l’autre. Vous avez une meilleure idée de qui vous parlez au travers de ces mots et de l’étendu de sa perversion. Mais croyez-moi lorsque je vous assure qu’Aurélia n’est en rien plus angélique que moi car ce sont bien nos passions communes qui nous ont unis davantage et non moi qui aurait déteint sur elle…
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J’ai commencé à étudier dans la fac de la région il y a quelques années, je venais d’une autre grande ville et ne connaissais personne ici. Le semestre avait déjà débuté lorsque je suis arrivée. Étant timide j’ai pas mal observé les gens avant de me faire un groupe d’amis.


Je l’ai repéré dès les premiers jours, grand, brun ténébreux, avec une voix qui ferait fondre de la glace en plein hivers.
Trop timide pour me faire connaître, je l’ai simplement regardé de loin. Me sentant comme complètement électrisée les rares fois où nos regards se croisaient.
Un jour en arrivant à la fac j’ai vu qu’il en embrassait une autre... Ça m’a foutu un coup, je me suis donc résignée et suis restée à le regarder de loin en regrettant de ne pas m’être manifestée.


Nous avons commencé à discuter après un partiel. Il m’a parlé naturellement me demandant comment je m’en étais sortis... dire que cet homme a du charisme est un euphémisme, j’étais totalement soufflée. Il était là tranquille en train de me dire qu’il avait probablement foiré fumant sa clope, pendant que je rêvais de le choper par le col, le plaquer contre le mur, l’embrasser et … bref je ne pouvais pas penser à ça, ce mec avait une copine ! J’ai donc cessé mes rêveries pour me reconcentrer sur la conversation.


Suite à cela nous avons commencé à discuter régulièrement, devenant peu à peu amis. Ce qui me permis de rencontrer son meilleur ami avec qui on a bien accroché.
Il était célibataire et plutôt entreprenant.
J’ai toujours eu des penchants sexuels particulier... A cette époque-là je cherchais quelqu’un qui pourrait me soumettre, je cherchais un maître. Ce prétendant ne semblait pas réfractaire à mes envies et plutôt réceptif à mon univers. Je me disais que j’avais enfin rencontrer quelqu’un capable de faire s’agenouiller la dominante que j’étais.
Je me suis donc mise en couple avec lui.
Très vite j’ai compris qu’il ne pourrait jamais prendre le pas sur moi, ni accepter mes envies les plus déviantes. Néanmoins les sentiments s’étant développés, j’ai laissé tout ça de côté pour une sexualité plus rangée et une vie de couple heureuse.


Même si au fond, je sais que ce n’est pas bien mais, je n’ai jamais pu m’arrêter de fantasmer sur Lui pour autant... Surtout à partir du moment où j’ai été vivre avec mon copain qui évidemment vivait en colocation avec Lui. Notre lit était collé au mur donnant sur sa chambre. Quelle douce folie, le simple fait de le savoir tranquillement posé devant son pc alors que je me faisais prendre me faisais mouiller abonnement.
Vous savez je n’ai jamais été discrète au lit. A cette époque avec mon cher et tendre c’était plutôt bestiale, vu qu’il essayait de me faire plaisir.
Alors croyez-moi que quand j’aime, j’ai déjà du mal à retenir mes gémissements même avec un truc dans la bouche alors là, le sachant si proche. 
Alors quand il m’arrivait de me demander si mon grand brun ténébreux m’entendait derrière son mur je m’enflammais instantanément. Cette pensée me faisait toujours gémir plus que de raison, voir même jouir rien qu’à l’imaginer m’entendre et peut être même aimer ça ? J’aurais tant aimé qu’il entre dans la chambre pour se masturber en nous ..non en me regardant me faire prendre.


Cette période de colocation a été des plus douce et animée. Nous passions tous beaucoup de temps ensemble ayant les mêmes cours, les mêmes hobbies et la même maison... Tout cela ne m’aidait pas à le chasser de mes pensées, c’était un petit supplice au quotidien. Surtout que j’ai une imagination plutôt florissante et Lui une vilaine tendance à se balader à moitié nue.
Mes nuits étaient donc souvent emplies de fantasmes le mêlant Lui, sa copine, mon copain, d’anciens partenaires...
Tous ses songes finissant par être envahissant m’ont poussés à me permettre quelques écarts de conduite... des décolletés, des sorties de la chambre à peine vêtue...
J’ai toujours été pudique mais comme toutes femmes j’aime parfois être regardée. Et Lui j’ai toujours voulu qu’il me voit malgré nos situations respectives.
Parfois je réussissais à capter un de ses regards fugaces dirigés vers mes courbes, qu’ils aient été intentionnels ou non, ça me poussait à continuer. J’ai toujours aimé jouer, j’ai un caractère à la fois enfantin et provoquant pour ce genre de choses faisant l’ingénue puis sortant la pire des obscénités. C’est le genre d’ambivalence que j’aime conserver, beaucoup me donneraient le bon dieu sans confession.  Alors qu’au fond je ne suis rien de plus qu’une perverse frustrée. Aimant à se toucher longuement après s’être gentiment exposée au meilleur ami de son mec. La fréquence de mes petits plaisirs solitaires a grandement augmentée à cette période. Touchant mes seins comme avec ses mains, mon clitoris comme avec sa langue et m’enfonçant mes doigts ou mon gode comme s’il s’agissait de sa verge dressée d’excitation jouissant toujours un peu plus fort quand je savais qu’il était à la maison...
Il faut dire que c’est tellement meilleur quand on sait qu’il s’agit d’un jeu interdit, vous ne trouvez pas ? Surtout quand il ne fait de mal à personne.
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