Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 0 Commentaire

Dévoué au plaisir de ma maîtresse

Chapitre 1

SM / Fétichisme
C’était il y a déjà 6 ans. Je me promenais sur un chat orienté BDSM, elle y surfait avec son mari à la recherche d’une soumise pour servir leur couple. J’étais à cette époque célibataire et donc très libre de mes déplacements. Suite à plusieurs discussions sur le site, nous avons sympathisé et décidé de nous voir. Maîtresse étant femme au foyer, ces discussions se faisaient, pour une bonne part, à l’insu de son mari, durant la journée.
La première rencontre eut donc lieu en terrain neutre, dans la campagne. Elle m’avait demandé de venir nu sous mes vêtements, ce que je fis. Mais la timidité de ce premier rendez-vous fit qu’elle n’osa pas vérifier si j’avais répondu à ses attentes.Nous sommes donc rentrés chez nous ce jour-là sans avoir rien fait d’autre que discuter. Mais, même sans l’écran, le courant était passé, ce qui laissait présager une suite intéressante. Nous avons continué nos dialogues sur le site, et nous avons commencé à nous fréquenter pour qu’elle me domine.
Nous avons également passé une soirée fort agréable avec son mari, à nous occuper de Madame toute la nuit mais ça, c’est une autre histoire. Nous nous sommes donc revus régulièrement pendant ces cinq années, mais le temps entre ces rencontres s’espace depuis que, moi aussi, je suis marié de mon côté.
Elle m’a mené de plus en plus loin dans la soumission, m’a écarté le cul de plus en plus pour accepter ses godes, qu’elle aime me fourrer profondément. Avec elle, j’ai appris à aimer mon sperme qu’elle recueille dans sa bouche avant de venir m’embrasser, je me suis laissé aller à des choses que je ne pensais pas possibles pour moi.
Depuis le temps (presque huit mois), on a enfin réussi à organiser une nouvelle visite chez elle. Son mari est absent pour la journée et moi en vacances, donc je peux passer sans problème une bonne partie de la journée avec Maîtresse. Que la route me semble longue jusque chez elle !Quelques textos de temps en temps sur mon portable pendant la route ne font que monter l’excitation qui s’est emparée de moi depuis le matin. Enfin, j’arrive devant sa porte.
Comme indiqué, je rentre et trouve à la porte de sa chambre un bandeau que je mets sur mes yeux avant de rentrer. Je rentre et, suivant ses instructions, je me déshabille sans rien dire. Je me retrouve donc ainsi qu’elle le voulait, string, bas résille et porte-jarretelles. J’attends quelques secondes et elle arrive derrière moi. Elle me pousse sur le lit et je m’installe ainsi qu’elle aime, à quatre pattes sur le lit, lui offrant la vue de mon cul.Elle s’installe à son tour sur le lit et m’attire au-dessus d’elle, la tête entre ses pieds, le cul bien relevé, prêt à me donner à elle comme elle aime. Je sens enfin ses mains écarter mes fesses. Ses doigts jouent avec mon petit trou, ils le caressent, parcourent ma raie de bas en haut. C’est un vrai délice que je savoure en humant les pieds de ma Maîtresse. Cette odeur m’enivre et je bande bien dur sous ses caresses et au plaisir de l’odeur de ses pieds. Je sens quelque chose de frais sur mon petit trou. Elle vient d’y déposer du gel et je sens que les choses sérieuses vont bientôt commencer. En effet, ses doigts se font plus pressants et poussent fort sur mon cul. Je gémis sous cette caresse que j’apprécie beaucoup.
— Silence ! me dit-elle.
Maîtresse exige que je supporte ses volontés sans manifester. Je me tais et profite du plaisir qu’elle me donne. Je ne peux m’empêcher de sentir ses pieds. C’est la première fois et cela m’excite plus que tout. Entièrement à sa merci, ses odeurs intimes plein la tête, je suis dans un état second. Soudain le téléphone sonne.
— Attends-moi, m’ordonne-t-elle.
Bien obéissant je reste à quatre pattes sur le lit à l’attendre. Au bout de quelques minutes elle revient et reprend la position. Mais ce ne sont plus seulement ses doigts que je sens entre mes fesses : elle caresse mon petit trou de ses godes.
— Viens et suce, me dit-elle.
Entre ses cuisses, elle a posé un gode qui me remplit bien la bouche.
— Mouille-le bien, tu vas le prendre tout à l’heure, alors occupe-t-en comme il faut...
Je le prends en bouche et le lèche aussi loin que possible. J’ai la bouche pleine et ne peux gémir lorsque Maîtresse force l’entrée de mon cul avec son gode. Mais depuis le temps qu’elle s’occupe de moi, ce petit gode rentre facilement. Elle me l’enfonce lentement et me tire sur le sexe en même temps.
— Tu aimes ça. Tu aimes être ma petite chienne soumise... me dit-elle.
Je ne peux répondre mais essaie malgré le gode qui me remplit la bouche. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle me fait mettre à genoux sur le lit.
— C’est bien, tu es une bonne petite chienne... Montre-moi comment tu utilises tes mains maintenant...
Elle porte une combinaison en résille ouverte à l’entrecuisse. Ma main droite se pose sur son sexe. Il est déjà trempé. Je le caresse et glisse un doigt entre ses lèvres. Aussitôt, une réprobation se fait entendre de la part de Maîtresse.
— T’ai-je demandé de glisser tes doigts là ?
Je les retire aussitôt.
— Vas-y, continue comme ça...
Je m’exécute et continue à la caresser. Je sens sa mouille de plus en plus abondante sur mes doigts. Soudain je sens sa main appuyer sur ma tête.
— Lèche.
Elle m’a guidé vers ses seins que je dois lécher et téter. Je sens ses tétons durcir sous ma langue à travers la résille. Elle les sort de sa combinaison et me les fais bien lécher et sucer pour que ses tétons soient bien excités. Je l’entends gémir. J’aime l’entendre prendre son plaisir avec moi, sa petite chienne dont elle peut faire ce qu’elle veut. Mon sexe est bien tendu dans mon string, il doit être plein de jus qui perle de mon gland. Pendant que je la suce, ses doigts viennent entre mes fesses et se glissent dans mon petit trou bien dilaté. Elle les retire, puis y glisse des boules de geisha. Elle joue avec, lentement, les fait rentrer en moi. Je me sens m’écarter à leur passage puis me refermer sur elles. J’en ai deux bien enfoncés dans le cul. Elle les laisse un moment, puis recommence à jouer avec, m’en retire une, puis la glisse à nouveau en moi. Je suis aux anges, mais je reste concentré sur mes caresses et mes coups de langue sur ses seins. Nouveau coup de téléphone, nouvelle interruption. Maîtresse revient bientôt.
— Allez.
Je mets quelques secondes à réagir et Maîtresse me gifle.
— Alors, que faisais-tu avant d’être interrompu ?
Aussitôt je replonge la main entre ses cuisses et recommence à caresser sa chatte toujours aussi trempée. J’ai droit à quelques tapes sur les fesses pour m’encourager à continuer mes caresses, qui semblent lui plaire à entendre ses gémissements. Elle pousse maintenant ma tête vers son ventre. Je comprends instantanément : Maîtresse veut que je m’occupe de sa chatte avec ma langue et ma bouche. Je ne me le fais pas dire deux fois et me glisse entre ses cuisses. Je pose ma langue sur son clito puis la lèche de bas en haut le long des lèvres. Son sexe détrempé coule alors sur ma langue. Quel plaisir de boire le jus de Maîtresse ! Elle mouille beaucoup et je ne peux tout boire. Je sens son jus couler entre ses cuisses. Quel gâchis, tout ce bon jus perdu ! Elle sort rapidement les boules de geisha de mon cul et les remplace par le gros gode que j’avais sucé auparavant. Ça passe moins facilement, mais Maîtresse m’a bien préparé et je sens mon cul s’écarter lentement. Ma queue est de plus en plus dure et Maîtresse coule toujours autant dans ma bouche. Je m’applique pour en boire le plus possible. De plus en plus écarté, Maîtresse m’ordonne soudain ;
— Rentre en moi.
Une fois de plus je ne me fais pas prier et j’écarte bien ses lèvres des deux mains pour glisser ma langue le plus loin possible. Son jus abondant inonde ma bouche et mon menton.
— Les mains aussi.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je glisse deux doigts dans la chatte de Maîtresse.
— Encore.
J’en glisse un de plus, mais sentant Maîtresse de plus en plus excitée j’en glisse un quatrième et je les remue en frottant bien les parois de son vagin du bout des doigts. Je la sens frémir de tout son corps sous cette caresse. Quelques minutes suffisent, puis elle m’ordonne de la prendre. Je m’exécute et elle ne tarde pas à jouir, ma queue bien profond en elle. Je viens à mon tour, sous l’effet de son vagin qui emprisonne mon sexe et se contracte de plaisir autour. Je reste ainsi quelques minutes, bougeant légèrement de temps en temps et la sentant se contracter à chaque mouvement de ma part. Je me retire enfin, sentant une dernière fois son sexe se contracter autour du mien. Quelques minutes plus tard, elle se remet à me caresser puis me prend en bouche. Une fois bien dur, elle colle ses fesses contre ma queue et je me glisse entre elles pour lentement les pénétrer. C’est la première fois que je prends une femme ainsi. Je commence de légers mouvements de bassin pour m’enfoncer de plus en plus en elle, bien serré entre ses fesses. Je la sens frémir et je l’entends gémir de plaisir. Nous jouissons après quelques minutes dans cette position et je gicle dans son petit trou. Nous pourrions continuer encore quelques heures à nous donner du plaisir, mais la famille est arrivée. J’attends quelques instants dans sa chambre que tout ce petit monde s’en aille avant de dire au revoir à ma Maîtresse, en attendant de revenir m’offrir à elle.
Diffuse en direct !
Regarder son live