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Diane intelectuelle et coquine

Chapitre 2

Prise sur le fait

Voyeur / Exhibition
Diane sort les clefs de son petit magasin et rentre l’une d’elles dans la serrure. Elle est heureuse de rentrer au chaud. La fraîcheur matinale avait fait frémir sa poitrine, laissant apercevoir aux regards habitués deux petits tétons que l’air frais avait fait tendre. La jeune femme réajuste sa jupe que le mistral a semblé vouloir voir s’envoler pour découvrir le dessous transparent. Frémissant en sentant la bise de l’aurore sur sa culotte, elle sent déjà son intimité se mouiller. Diane met tout en place et aperçoit, au-delà de la vitre, ce qu’elle espérait secrètement. Les joues rougies par l’effort et l’air encore frais de cette belle matinée qui s’annonce, la joggeuse est là. Elle fait une pause non loin de sa boutique, dans un petit renfoncement entre deux constructions. La sportive regarde autour d’elle, sans voir Diane qui se dissimule dans un coin. Cela lui permet de voir sans être vue, une situation que Diane apprécie. La jeune propriétaire réajuste ses lunettes pendant que ses joues se colorent, gênée par ce désir de voyeurisme qu’elle ne peut réfréner. La joggeuse glisse alors une main dans son legging. Il ne semble faire aucun doute que, comme la veille, elle va s’adonner à un plaisir solitaire. Diane continue de l’observer, relevant sa jupe discrètement.Heureusement pour elle, les clients ne sont pas près d’arriver. A son tour, sous sa jupe, elle glisse ses doigts qui passent sous l’élastique de sa petite culotte et commence à caresser le poil court de son intimité. Elle sait qu’elle va jouir elle aussi en solitaire, mais pour le moment, c’est la joggeuse qui, dehors, semble se complaire à se toucher l’abricot et à y trouver un plaisir troublant. Diane l’observe, son souffle chaud forme une légère buée sur la vitrine. Puis désireuse d’aller plus loin, elle réajuste ses lunettes avant de glisser ses doigts sur son chemisier. Ce dernier s’ouvre suffisamment pour que Diane puisse passer une main sur sa poitrine. Elle abaisse son soutien-gorge sous ses seins et joue alors avec ses tétons qui durcissent encore plus. Elle tourne ses doigts autour, les pinçant avec une certaine candeur. La jeune fille pousse alors un petit cri en se tenant son bureau, sans s’arrêter alors que sa mouille tâche sa culotte et que sa jouissance est proche. Il est trop tard pour la retirer, Diane reprend ses esprits alors que quelqu’un entre dans sa boutique. La joggeuse semble être partie, dommage ; la jeune femme brune avait espérer voir la fin de ce spectacle. Une prochaine fois, elle l’espère. Remettant en ordre ses idées Diane reprend alors son travail et la journée s’écoule, entre rangements, clientes et clients et parfois ses rêveries et son envie pressante de retrouver la joggeuse.Le soir venu, elle regagne son appartement à l’autre bout de la grande avenue. Chez elle, Diane passe une première fois devant son miroir sans réellement se soucier de l’image qu’il lui renvoie. Puis comme si une mouche venait de la piquer, la jeune brune revient devant la glace, elle ne saurait dire pourquoi. Le rouge lui monte aux joues voyant son chemisier bien plus ouvert que la décence ne le commande et qu’elle-même n’aurait osé le faire. Elle peut se rendre compte soudainement que cette ouverture laisse largement entrevoir la naissance de ses seins, ce qui, à n’en pas douter, a pu donner des idées aux clients du jour. En s’observant totalement, Diane remarque alors l’érotisme de sa tenue. Bizarrement elle en retire un certain plaisir, et il lui plaît de savoir que d’autres ont pu ressentir une certaine excitation à la vue de cette poitrine offerte sous le chemisier, elle n’est pas sans imaginer qu’à un instant ou à un autre, ses tétons se sont tendus. Ses doigts font glisser sa jupe au sol. Elle se regarde, sans être narcissique, elle se trouve plus que jolie. Ses sous-vêtements ne tardent pas à rejoindre, sur le parquet, le reste de ses vêtements. C’est nue devant ce miroir qu’elle continue à se regarder, jaugeant la grosseur de ses seins et la rondeur ferme de son fessier. Des idées coquines traversent son esprit. Elle ne sait si elle doit céder à l’envie qui, déjà, stimule son petit fruit. De ses doigts Diane écarte ses lèvres intimes.Puis de sa main libre elle fait de petit cercles autour du clitoris avant de glisser dans son antre deux phalanges.Cet acte lui arrache un doux gémissement de plaisir. Pensant alors à la joggeuse, sa poitrine enfermée dans sa brassière, ses fesses joliment dessinées, enfermées dans ce legging. L’orgasme la transperce et elle va s’asseoir sur son lit. Le rouge lui monte aux joues alors que Diane continue de masser son petit bouton sensible. Avant de reprendre ses airs de première de la classe. ***Le lendemain, Diane retourne à sa petite boutique. L’arrange de son mieux pour qu’elle soit attractive et qu’au premier regard les clients soient attirés par les articles qu’elle présente..Puis, lorsque le soir arrive tout comme la journée arrive à son terme, tout bascule, la joggeuse repasse alors. Mais au lieu de sa tenue habituelle, elle porte une robe d’été qui semble vouloir exhiber ses fesses et sa poitrine joliment dessinées.
— Bonsoir c’est encore ouvert ? Dit-elle d’une voix qui fit frissonner Diane.— Oui bien sûr, que recherchez- vous ? Réplique la propriétaire d’une voix qui se veut assurée mais dans laquelle un certain tremblement est perceptible..— Rien de spécial, je passe souvent par ici et je n’ai jamais osé franchir la porte.
La propriétaire lui sourit avant de faire semblant de ranger ses produits. Tout est bien en ordre cependant il faut qu’elle s’occupe les mains. Mais en même temps Diane jette, de temps à autre, des regards innocents. Elle admire les courbes sveltes et féminines de la joggeuse. Le cœur de Diane semble vouloir sortir de sa poitrine, elle ne peut ralentir ses battements, nulle personne n’avait déclenché chez elle une si chaude attirance. Elle remarque alors que la magnifique sportive semble tout faire pour attirer l’attention, aidée par le vent qui entre doucement par la porte et qui donne à ce soir d’été une tiédeur particulière. La propriétaire détourne le regard pour ne pas se faire démasquer dans son voyeurisme. Toutefois l’opération est ratée, la jeune sportive revient vers elle et lui chuchote :
— J’espère que le spectacle des derniers jours t’a plu. Dit-elle avec un sourire avant de se rapprocher de Diane.
Rouge de timidité, elle ne sait que faire. C’est alors que la sportive glisse un papier dans la paume de Diane avant de sortir…
A suivre…
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