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Diane et sa maman

Chapitre 1

Inceste
En cette nuit de chaude journée d’été, l’orage commence à gronder et illuminer la nuit de ses intenses flash lumineux. Après une étouffante journée de canicule, les craquements annoncent enfin une salvatrice pluie. Et effectivement, arrivant au-dessus de la campagne clermontoise, un terrible déluge s’abat soudain, précédé de terribles bruits de déchirure. Cet orage s’annonce d’une exceptionnelle intensité.Dans la grande maison, deux femmes sont allongées dans leur lit, chacune dans un état d’esprit bien différent. D’un côté, Diane, jeune fille brune de vingt ans, se cache sous son oreiller et commence à trembler. Si l’orage n’avait pas spécialement tendance à lui faire peur, celui-ci, de par son importance, réveille en elle une peur panique. Chaque coup de tonnerre lui provoque une décharge d’adrénaline dans son corps et elle sent petit à petit monter une crise d’angoisse. Dans une autre chambre, l’ambiance est bien différente. Après avoir débranché les appareils électriques pour éviter un court-circuit et vérifié que tout était bien fermé, Florence, la mère de Diane est partie se coucher. Indifférente à l’orage, la grande et pulpeuse femme approchant la cinquantaine s’est glissée sous le léger drap, juste vêtue d’un tanga, laissant sa lourde poitrine respirer. Frustrée depuis plusieurs jours en raison d’un énième voyage d’affaires de son mari, Florence a glissé sa main entre ses jambes et commence à doucement se caresser, cherchant à évacuer son énervement dû à la chaleur et à l’absence du corps de son mari et de sa belle matraque qui lui procure tant de bien depuis tant d’années. Diane couchée, son mari absent, sa seconde fille chez des amies et pour couronner le tout cet orage qui fait un boucan d’enfer, Florence se laisse aller, fermant les yeux, titillant son bouton d’amour et se caressant les tétons. Faisant monter le désir en elle, son corps commence à suer sous la chaleur suffocante de l’été, mais Florence n’en a cure et va de plus en plus vite, sentant des pulsations de plaisir irradier en elle. Cherchant l’orgasme libérateur qui l’aiderait à s’endormir, Florence est soudainement interrompue par des coups frappés à la porte. Soupirant de frustration, elle retire ses mains de son corps et couvre son corps du drap fin.
-Oui ?
Une Diane tremblante entre dans la chambre, prise d’un violent sursaut lorsqu’un coup de tonnerre retentit à nouveau.
-Ma… maman… Je… j’ai peur.
Sa frustration aussitôt balayée par son amour maternel, Florence se redresse, essayant de maintenir le drap sur elle.
-Ma chérie, il ne faut pas, tu ne crains rien dans la maison. -Je sais mais… c’est plus fort que moi. Je… je…
Diane a du mal à respirer et articuler de manière cohérente. Lorsqu’un flash illumine soudainement la pièce d’une blancheur immaculée, la jeune fille paniquée pousse un cri et manque de tomber à la renverse. Florence se lève aussitôt, faisant fi de sa tenue pour venir soutenir sa fille.
-Ma chérie, n’ai pas peur, viens avec moi, viens…
Prenant sa fille par le bras, la mère l’entraîne vers le lit et la fait allonger, la prenant dans ses bras tout en lui caressant les cheveux. Ni l’une ni l’autre n’a vraiment pris conscience que Florence est quasiment nue, tandis que Diane est simplement vêtue d’un long tee-shirt et d’une culotte blanche.
-Chuuuut ma chérie, murmure la mère à sa fille tremblante. Maman est là, écoute ma voix… Ferme les yeux et laisse-toi aller… Ça va aller mon cœur…
L’embrassant sur le crâne, lui murmurant des paroles rassurantes, Diane commence peu à peu à cesser de trembler tout en se blottissant contre le corps chaud de sa mère.

-Merci maman… Je suis désolée…-Ne le sois pas ma chérie, on ne maîtrise pas ses peurs.
En se serrant davantage contre sa mère, Diane se rendit soudainement compte de la nudité de sa mère… et que sa tête se trouvait à quelques centimètres à peine des seins rebondis de sa génitrice. Rougissant, Diane se retourna de honte, n’osant regarder sa mère dans les yeux.
-Qu’y a-t-il ma chérie ? demanda sa mère, prenant sa fille dans ses bras, pressant sa poitrine contre une Diane tremblante. Pourquoi te retournes-tu ?-Je…
Diane bafouillait, n’osant dire la véritable raison, elle préféra botter en touche.
-Tu… tu peux me prendre dans tes bras et rester comme ça s’il te plaît ? Je devrai arriver à m’endormir comme cela…-D’accord ma chérie. Dors et ne t’inquiètes pas, maman est là.
Ne semblant pas se rendre compte de l’émoi que son corps nu avait provoqué chez sa fille, Florence enveloppa Diane de son bras, lovant son corps contre elle. Sa bouche à quelques centimètres de son oreille, elle se mit à fredonner un air de berceuse pour aider sa fille à s’endormir. Bougeant son bras, elle constata que la barrière des seins de Diane l’empêchait de le lever plus haut. Grands dieux, que sa fille avait poussé… se dit Florence. Hier encore c’était une enfant et désormais c’était une magnifique jeune fille, si douce et gentille, malgré sa réserve. Bientôt, ses filles quitteraient la maison et Florence se retrouverait seule durant les longues absences de son mari. A cette pensée, elle raffermit sa prise contre sa fille, l’embrassant en même temps dans le cou, d’un baiser tendre.
-Dors mon cœur, ma fille chérie… dors, maman est là… contre toi…
Le sommeil fuyant définitivement Florence, la mère se laissa aller à des pensées sur sa fille. Etait-elle toujours vierge ? Elle ne voulait jamais en parler, contrairement à Chloé, l’aînée, beaucoup plus ouverte et dévergondée. Florence se rendait compte qu’elle connaissait peu de choses sur la vie privée de son enfant, notamment si elle préférait les hommes ou les femmes ? A cette pensée, l’entrejambe de Florence chauffa soudainement. Toujours frustré de son orgasme avorté, voilà qu’il se rappelait à son bon souvenir. Et c’est là que la mère se rendit compte de la situation. Elle était alanguie contre sa fille en cuillère, son bras par-dessus Diane reposant sous sa poitrine, ses seins nus écrasés contre le dos de sa fille… On aurait dit de loin un couple de lesbiennes alanguies pour dormir. Rougissant, Florence se mit à trembler à son tour, mais pas de peur… d’un sentiment plus profond, exaltant, chaleureux et… malsain ? Bon sang, voilà que Florence se mettait à envisager sa fille comme une partenaire sexuel. Et si l’idée la gênait moralement, son intimité semblait d’un tout autre avis, s’humidifiant à toute vitesse alors que la mère s’imaginait arracher le tee-shirt de sa fille… Le cœur battant à tout rompre, Florence se mit à donner de doux baisers dans la nuque de sa fille, humant l’odeur de ses cheveux bruns. Sa main commença à se mouvoir sur le ventre de Diane, le caressant doucement. Ses doigts remontèrent doucement le tee-shirt, s’immisçant en-dessous du rempart de tissu, se mettant à caresser directement la peau de Diane.Florence ne réfléchissait plus, sa chasteté forcée couplée à son orgasme gâché mettait son corps en ébullition, annihilant toute pensée cohérente. Elle avait soif de sexe et avait dans ses bras une des personnes qui comptait le plus au monde pour elle… Sortant sa langue, elle se mit à lécher la nuque de sa fille, remontant sur les oreilles pour mordiller le lobe, sa main remontant le ventre pour caresser la rondeur des jeunes seins… Plus, elle en voulait encore plus…
-Maman ?
La voix de Diane brisa le silence, relatif compte tenu du temps à l’extérieur. Florence s’immobilisa soudainement.
-Je… euuhhh… pardon ma chérie, je… j’ai dû m’assoupir et… je ne sais pas ce qui m’a pris…-Tu… tu me caressais ?-Pardon mon cœur, je… je te l’ai dit je ne sais pas ce qu’il m’a pris. Tu étais là et je…-C’est papa qui te manque tant que ça ?
Diane avait tourné la tête pour regarder sa mère dans les yeux. Dans la pénombre les deux femmes peinaient à bien se voir mais suffisamment pour que Diane voit les yeux pétillant de désir de sa maman.
-Oui entre autres… ça fait longtemps qu’il est parti et que… que je n’ai pas eu de…-Ce n’est pas grave maman… je comprends… mais c’était bizarre.-Promis ma fille je ne le ferai plus. Oublie ça s’il te plaît et essaye de dormir.-Je…
Diane rougit et détourna la tête, n’osant prononcer les mots fatidiques. Il faut dire qu’elle tremblait de tout son être, mais à la peur s’était mêlé une autre raison…
-C’était bizarre… mais agréable… je… continue maman s’il te plaît.
N’osant croire ses oreilles, Florence regarda sa fille. Avait-elle bien entendu ? Sa fille venait-elle de lui demander de continuer de la caresser ? Cela lui fut confirmé lorsqu’elle sentit un baiser fugace sur ses lèvres. Diane s’était enhardie et avait osé poser sa bouche sur celle de sa maman. La jeune fille était dans un état étrange. Angoissée par l’orage, pétillante de désir suite aux caresses de sa mère, honteuse de demander à sa propre maman de continuer… Diane avait elle aussi arrêté de trop réfléchir, l’esprit submergé d’informations contradictoires. Et en réponse à son baiser, Florence se pencha et posa à son tour ses lèvres sur celles de sa fille… Le temps sembla s’immobiliser. Les bouches fusionnées, ni l’une, ni l’autre ne semblait vouloir franchir le prochain pas. Mais finalement, Florence entrouvrit ses lèvres et Diane en fit de même. La mère et la fille se mirent à s’embrasser avec tendresse, de simples baisers sur les lèvres, mais qui se firent de plus en plus appuyés. Les respirations s’accélérèrent et bientôt, les langues se touchèrent, se joignirent, dansèrent l’une contre l’autre. Ce baiser d’abord doux se fit passion, les corps en ébullition remuèrent… Diane se mit sur le dos, sa mère au-dessus d’elle. Prenant les mains de son enfant dans les siennes, Florence les leva au niveau de la tête de Diane et appuya encore son baiser, envahissant de sa langue devenue féroce la bouche de sa fille, faisant couler sa salive en elle. Durant de longues minutes, elles s’embrassèrent avec une passion dévorante, dans un baiser animal, redevenant doux par moment, avant qu’une lèvre ne soit mordue, une langue aspirée… Se sentant désormais folle de désir, Florence remonta le tee-shirt de sa fille, dévoilant ses adorables seins, plus petits que les siens, mais néanmoins ronds et fermes, aux petits tétons saillants. S’en emparant de sa bouche vorace qui quitta à regret celle de sa fille, Florence se mit à dévorer les tétons, les faisant pointer, tandis que ses doigts venaient agacer celui que la bouche ne torturait pas. Alternant entre chaque, Florence fit gémir sa fille de désir.
-Oooooh maman… maman c’est bon ce que tu me fais aux seins… mes tétons sont tous durs… oooooooh !!!!
Ravie de la réceptivité de sa fille, mais désireuse d’en goûter davantage, Florence quitta les deux petites collines et descendit le sillon, embrassant le nombril de son enfant, avant d’arriver au niveau de la culotte. Aussitôt, Florence comprit que sa fille était en émoi. De puissantes effluves transperçaient le tissu et une tâche se faisait voir au centre…
-Ma fille adorée attend sa maman on dirait… susurra une Florence qui se léchait les lèvres d’avance.
Cela faisait des années qu’elle n’avait pas dégusté un jeune abricot juteux, et voilà qu’elle s’apprêtait à dévorer celui de sa propre fille qui gémissait et se tortillait, prise par le feu du désir.
-Tu veux que maman s’occupe de ton petit minou ma chérie ? Que ta maman te fasse des bisous sur ta petite chatte mouillée ?-Oui maman… répondit Diane, la voix hachée par ses spasmes de désir. Je t’en prie maman… je n’ai jamais ressenti un tel besoin… pitié délivre moi, ça me fait presque mal !
Souriante, Florence huma un grand coup à travers la culotte, goûtant les saveurs qui émanaient, avant de lécher l’intimité de sa propre fille à travers le tissu, arrachant un cri à Diane.Arrachant d’un geste brusque la culotte, Florence redonna un profond coup de langue, partant du périnée jusqu’au clitoris, s’enfonçant profondément entre les lèvres intimes. Sa bouche fut aussitôt envahie par le jus intime abondant de son enfant. Légèrement acide, la maman se délecta de ce nectar d’amour, avant de se mettre à littéralement dévorer la petite chatte de sa fille, plongeant sa langue dans la grotte intime, le nez agaçant et soufflant sur le jeune clitoris. Plus habituée aux fellations, Florence n’en restait pas moins une experte du cunni, et elle s’employa à le démontrer à sa fille qui n’arrivait plus à se contenir. Elle tressautait, empoignait les draps, criait, gémissait, enfermait la tête de sa mère entre ses cuisses…
-Maman… Maman… Mamaaaaannnnn !!!! C’est trop boooon !!! Continue par pitié je t’en supplie, ne t’arrête pas !
N’en ayant aucune intention, Florence continua à se régaler de la cyprine de sa fille d’amour, le jus de chatte rendu encore meilleur par son aspect incestueux. Quittant la grotte intime, Florence donna un assaut en règle au Mont de Vénus de Diane, l’encerclant de sa bouche, l’assiégeant de sa langue, le torturant de ses dents… Par d’habiles succions, la mère jouait avec le petit bouton sensible de son enfant, ce qui la fit redoubler de plaisir. Et lorsque Florence plongea deux doigts dans la cavité trempée de Diane, celle-ci se mit à hurler sa jouissance, arquant son corps à l’extrême alors qu’un terrible orgasme la submergeait, le premier de sa vie de jeune fille.
-Maaaaaammmaaaaaaaaaannnnn !!!!!!!! hurla Diane, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, la respiration saccadée…
Son orgasme fut si violent qu’elle perdit presque connaissance. Florence, pour sa part, lécha encore doucement l’entrejambe détrempé de son enfant pour se repaître d’un maximum de liqueur, avant de remonter et de s’adosser contre la tête de lit. Soulevant délicatement la tête d’une Diane extenuée, elle la porta à son sein, embouchant son téton dans la bouche de son enfant.
-Repose-toi mon amour, ma fille chérie. Tête mon sein et repose toi. Tu as besoin de te ressourcer après tout cela.
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