Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 161 J'aime
  • 2 Commentaires

Et Dieu créa la chienne

Chapitre 4

La boîte de Pandore

Orgie / Partouze
Forcée à obéir, mais consumée par le désir et la curiosité, Annabel se jeta sur le membre dur qui s’érigeait entre les jambes de Camille. Elle le prit en bouche et le suça comme elle ne l’avait jamais fait auparavant. Le pénis de Camille était long, épais et lisse. Son gland, circoncis, était luisant. Annabel ressentait les pulsations émanant du sexe qu’elle avait en bouche. Il vibrait sous ses succions. Elle aimait ce sentiment, cette sensation d’être remplie, et s’efforça à donner tout le plaisir possible à son amante. Elle alternait entre légers coups de langue et tentait d’aspirer l’énorme queue aussi profondément qu’elle le pouvait.
Camille fit passer ses deux mains derrière la tête d’Annabel, puis la pressa contre elle pour que son sexe s’enfonce au plus profond de sa gorge. Camille baisait littéralement la bouche de la brunette, qui semblait apprécier la situation. Elle aimait être dominée. Ne pas avoir son mot à dire. Etre soumise.
Vincent fixait la scène, hagard. Un filet de salive s’écoulait de sa bouche. Il ne pouvait pas bouger mais la vision de ce qui se passait sous ses yeux lui procurait une érection telle qu’il en avait presque mal. Sa femme était devant lui, agenouillée, en train de sucer un transsexuel.
Cyrille s’approcha d’Annabel et s’agenouilla derrière elle. Il souleva sa jupe et sortit sa queue pour la prendre, en levrette, pendant qu’elle suçait Camille. Annabel sentit le membre s’insérer en elle. La remplir. Elle remarqua que Cyrille n’avait pas mis de préservatif. Trop tard. Elle était dans un état où il n’était plus question de ce qui est bien ou mal, de ce qui est juste ou injuste, de ce qui est moral ou immoral. Seul comptait le besoin impérieux d’assouvir cette pulsion bestiale qui s’était emparée d’elle. Elle se faisait prendre par un inconnu, pendant qu’elle suçait une transsexuelle, le tout sous le regard de son mari. Elle explosait littéralement de l’intérieur. Tel un big bang cosmique, la pulsion se répandait en elle, infiniment. Elle sentait les va-et-vient de Cyrille, qui lui procuraient un plaisir indescriptible. Les coups de boutoir étaient accompagnés, à intervalles irréguliers, de puissantes claques données sur ses fesses.
Chaque coup l’irradiait d’une douleur mêlée d’un plaisir aussi coupable qu’intense. Elle se sentait dévergondée. Elle était une chienne. Et elle aimait ça.Cyrille, haletant, s’interrompit puis ordonna à Camille de baiser le cul d’Annabel. Il se retira au même moment, sans avoir joui. Les rôles s’échangèrent et la rousse vint se placer derrière la brune, le sexe encore gluant de salive. Annabel, cambrée à l’extrême, lui offrit littéralement son cul. Son anus était aussi dilaté qu’il pouvait l’être. Malgré la taille de son sexe, Camille s’inséra sans grande difficulté dans le fondement de sa victime. Annabel ressentit quelques décharges de douleur aiguës qui se muèrent rapidement en plaisir. Camille commença un lent va-et-vient. Pendant ce temps, Cyrille s’assit sur le banc, et offrit ses couilles à Annabel. Elle comprit immédiatement ce qu’elle devait faire. Après les avoir léchées avec avidité, elle les goba successivement, tout en branlant le membre de Cyrille. Camille accélérait, tout en conservant un rythme compatible avec le plaisir d’Annabel. Les deux étaient sur le point de jouir.
Ce fut en premier le tour de la rousse, qui déchargea une énorme salve de sperme dans le cul d’Annabel, qui fut aussitôt prise d’une violente secousse de plaisir. Son corps se contracta, et elle fut envahie de plaisir de la tête aux pieds. Au même moment, elle expulsa de son sexe un flot de liquide, qui fit d’elle une véritable fontaine. Le cul dégoulinant de sperme, la chatte ruisselante, elle continua à sucer Cyrille jusqu’à ce que ce dernier éjacule abondamment dans sa bouche, dans un râle rauque de plaisir.
Il la fixa, puis lui ordonna d’avaler.Elle ne l’avait jamais fait, et ne souhaitait pas le faire.
— Avale ou je diffuse votre vidéo sur le Net.
Face à cette situation sans issue, Annabel avala le sperme de Cyrille.Vincent la regardait. Un très léger sourire, presque pathétique, en coin. Elle constata qu’il bandait. Cyrille et Camille le remarquèrent également. Ils se mirent à deux pour porter le corps de Vincent et l’allonger dans l’herbe. Camille lui retira son pantalon, et sourit à la vue de son sexe en érection. Sans hésiter, elle s’empala à califourchon sur le membre, en fixant Annabel dans les yeux.Cyrille la regarda, et lui ordonna :
— Fais nettoyer ta chatte et ton cul à ton tendre époux.
L’idée de faire subir un tel affront à son mari fendit le cœur à Annabel. Lui faire lécher son cul rempli du sperme de Camille la dégoûtait également. A contrecœur, elle obtempéra. Elle se mit à califourchon sur le visage de Vincent, toujours éveillé mais hagard, en faisant face à Camille. A peine eut-elle posé son anus devant la bouche de Vincent qu’elle sentit une timide langue lui laper le cul. Vincent était consentant, et il semblait aimer ça. Annabel ressenti une certaine déception à l’idée de voir son mari réduit à cet état. Mais cela l’excitait également. Pour aider son mari, elle commença un léger va-et-vient, se frottant contre la bouche du pauvre Vincent. Pas si pauvre en réalité. Camille le chevauchait et sa jupe relevée laissait apparaître son sexe érigé. Et pour cela, il fallait que Vincent bande, donc qu’il soit excité.
La vue de la transsexuelle se faisant baiser par son mari excita Annabel, et elle prit l’initiative d’embrasser langoureusement la belle rousse.Les deux ondulaient sur le corps de Vincent, sous le regard lubrique et malicieux de Cyrille. Son mari lui léchait maintenant le cul sans retenue, le nettoyant de fond en comble. Il passa ensuite à sa chatte, qu’il lécha goulûment. Il n’était manifestement plus paralysé. Annabel remarqua que Camille accélérait, respirait plus fort, qu’elle était plus crispée. Elle sentit les mouvements de langue de Vincent se faire plus saccadés, et ressentit son souffle chaud sur son cul. Elle s’écarta légèrement de la rousse, qui semblait rebondir sur Vincent. Sa grosse queue bougeait en rythme et Camille fut soudain prise d’un spasme, et éjacula une nouvelle fois, sans même que son sexe n’ait été stimulé. Elle avait joui du cul en quelque sorte. La rousse se leva, et Annabel vit que son cul dégoulinait de sperme. Vincent avait aussi joui.
Annabel était presque frustrée, quand elle vit Cyrille s’approcher. Il lui ordonna de ne pas bouger, la poussant légèrement en avant. Elle s’affaissa et tomba nez à nez avec la queue de Vincent, qui n’avait pas ramolli. En position de 69 avec Vincent, Annabel senti la queue de Cyrille s’introduire en elle, alors qu’il lui serrait la nuque d’une main. Il poussa sa tête contre le sexe de son mari, et lui ordonna de le sucer. Annabel s’exécuta. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que, sous les coups de boutoir de Cyrille, Annabel soit prise d’un puissant orgasme.
Cyrille et la rousse se rhabillèrent, rajustèrent leurs vêtements, puis s’éloignèrent sans un mot en direction de l’hôtel.Annabel et Vincent se regardèrent, à la fois complices et interloqués.Annabel fut soudainement submergée par ses émotions. Ses yeux s’inondèrent de larmes. Des larmes de tristesse, de honte et de colère. A l’égard d’elle-même.Pourquoi avait-elle accepté d’être traitée ainsi ? Pourquoi avait-elle toléré de participer à l’humiliation de son mari ? Le chantage de Cyrille n’était-il finalement pas une bonne excuse pour qu’elle se libère de ses propres entraves ?
En réalité, elle savait que la graine de la luxure était déjà en elle avant ces évènements. Elle savait même que la graine avait déjà germé en elle, sans l’aide de leurs bourreaux. En réalité, Cyrille et Camille venaient à point, pour offrir un prétexte idéal qui permettra à ses vices de s’épanouir.
Vincent, quant à lui, ne se trouvait pas en mesure d’apprécier correctement la situation. Encore grisé par l’alcool et par la substance qui lui avait été administrée, il était surtout abasourdi d’avoir vécu en à peine quelques instants un concentré des fantasmes les plus inavouables qui auraient pu le hanter. Et il devait aussi accuser le coup : les images de sa femme, utilisée par d’autres que lui, l’avaient évidemment excité, mais elles l’avaient aussi choqué. La mère de ses enfants, son amour de jeunesse, soumise, prise comme une chienne sous ses yeux. Il ne la verrait plus jamais de la même façon. Mais il l’aimait. Il l’aimerait toujours.
Le lendemain, tout se passa comme si de rien n’était.Réflexion faite, le couple se dit que le chantage de Cyrille n’était pas véritablement un problème. Ils ne connaissaient ni leurs noms, ni leur adresse. Et une vidéo diffusée sur le Net... pas si grave finalement.
Ils en parlèrent longuement. Vincent avoua que la situation l’avait particulièrement excité. De son côté, Annabel, comme à l’accoutumée, resta peu loquace sur le sujet. Mais au fond d’elle, elle savait que sa nouvelle vie sexuelle ne faisait que commencer. Elle accepta l’idée qu’elle avait adoré se faire prendre sous les yeux de son mari...
Diffuse en direct !
Regarder son live