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Dimanche en famille

Chapitre 2

Inceste
... Moins d’un quart d’heure s’écoulèrent lorsque ma tante reparut. Ouf, elle était habillée ! Je déchantai dans la seconde, car son entrée avait été masquée par un meuble. En fait elle avait un long t-shirt avec un énorme Mickey ce qui faillit me faire éclater de rire. Et puis, quand je dis long… il couvrait à peine ses fesses. Je sentis ma température remonter illico, et elle gagna encore quelques degrés lorsqu’elle tripota furtivement mes couilles, en passant devant moi.Mince, elle venait de me faire réaliser que j’étais encore à poil. Je me jetai sur le tablier qui me servirait de rempart, bien dérisoire, certes, mais cela me semblait, nécessaire.Ma tante resta à mes cotés à la cuisine durant un moment au cours duquel elle ne cessa de m’asticoter.
— Comment trouves-tu Gertrude. Elle est belle non ? C’est-elle que tu aurais dû sauter.
Comme si elle m’avait laissé le choix !
— Et puis, tu sais, poursuivit-elle, c’est une suceuse extraordinaire. Je l’ai déjà vue à l’oeuvre, conclut-elle en allant s’asseoir sur le canapé.
Non de nom ! Venant de ma tante, je trouvais cette discussion particulièrement déplacée, et embarrassante, d’autant que Gertrude se trouvait à quelques pas seulement. Je redoutai soudain que ces tigresses aient concocté quelque stratagème pour me croquer tout cru ! Nonobstant cette crainte, somme toute jubilatoire, je devais bien admettre que ces deux femmes me maintenaient dans une tension sexuelle fabuleuse. Je me demandais toutefois si mon gourdin serait assez vaillant pour supporter les sollicitations répétées car je ne parvenais pas à l’empêcher de se dresser à la moindre allusion érotique… et vu que je n’avais que le tablier…
— Tu viens t’asseoir avec nous ? suggéra ma tante qui se poussa afin de me faire une petite place entre Gertrude et elle. Je jugeai préférable, pour l’instant, de maintenir quelque distance avec ces irrésistibles ogresses, et je m’installai dans le fauteuil en face d’elles, résolu à demeurer sur mes gardes.
Je portai la coupe à mes lèvres, puis, lorsque je vis ma tante entrer en conciliabule avec Gertrude, je craignis qu’elle scellassent mon sort !
— Il est bon ton champagne ? me questionna ma cousine.— Heu… oui, pourquoi ?— Parce que le mien avait un peu de liqueur de pèche. Ça change le goût.
Où voulait-elle en venir ? Je le sus très vite lorsque Gertrude s’approcha et s’accroupit à mes pieds en écartant le tablier. Bon. Elle se préparait à me sucer… et je n’avais rien contre !
Elle me dérouta toutefois en pointant le doigt vers ma coupe.
— Alors je peux gouter ?
Je lui tendis le verre. Elle le saisit de la main gauche… et de la droite, trempa ma queue dans le liquide ambré… après quoi elle la porta à sa bouche.
— Hum, mais il est très bon, ce champagne. Je peux encore tremper le biscuit ?
Bien sûr qu’elle pouvait, mais le « biscuit » s’étant redressé, je dus adopter une position différente. Gertrude se délecta du champagne si lentement, que mon excitation monta jusqu’à un degré qui ne figurait pas sur l’échelle de Richter ! Puis soudain elle se mit à pomper ardemment pour, pensai-je, abréger mon calvaire… mais il ne se passa pas dix secondes avant qu’elle ne me plantât, là, et retournât s’asseoir.
— Très bon aussi nature ton champagne, déclara-t-elle en riant.
La sadique, elle me laissait en plan ! J’avais envie de lui mettre une bonne fessée ! Pourquoi pas ? Je m’éjectai de mon fauteuil comme un diable de sa boite et je fondis sur Gertrude que je malmenai un peu jusqu’à ce qu’elle se retrouvât en travers de mes genoux. Je remontai alors sa nuisette et lui administrai une solide fessée qui la fit ronronner. Lorsque je m’arrêtai enfin, elle se laissa glisser au sol puis fit disparaitre ma bite entre ses lèvres charnues…
J’accédai alors au paradis… Incroyable Gertrude. Jamais de ma vie, ma bite n’avait été chouchoutée de si délicieuse manière. Elle aspira jusqu’à la plus infime parcelle de mon énergie, et je basculai, anéanti, sur l’épaisse moquette. Lorsque je sortais enfin de ma suave léthargie, les filles barbotaient dans l’eau. Je me mus le plus silencieusement possible car je redoutai que mon apparition réveillât leurs instincts prédateurs. Non que je fusse contre, mais je préférais attendre d’avoir recouvré toutes mes forces. J’enfilai donc un slip de bain et résolus d’attendre, au moins une heure, au salon. Hélas, les fréquents éclats de rires qui me parvenaient eurent raison de ma détermination, car à la vérité, il ne m’était pas si fréquemment donné de voir d’aussi belles créatures patauger dans ma piscine.
Il m’apparut dès lors urgent de me rincer l’oeil ! Toutefois, ne souhaitant pas une réaction trop vive de ces dames, je sortis le plus discrètement possible pour m’allonger sur un relax, sous le parasol. Tout d’abord satisfait de ma tranquillité, je me sentis bientôt vexé qu’elles me négligeassent en ne m’adressant pas même un regard. Lorsque, une heure plus tard, elles sortirent de l’eau, j’écarquillai les yeux de surprise car elles portaient, toutes les deux, un maillot identique une pièce, jaune fluo… suggestif… affolant… provoquant… ! Elles auraient fait bander un mort ! Et comme j’étais bien vivant, mais pas tout à fait ragaillardi, je fus à deux doigts d’aller leur chercher une moumoute… histoire de laisser reposer mes hormones encore un peu, car je redoutai qu’elles me refissent le coup de la crème !
Et bien non ! Elles s’installèrent sous un parasol et firent comme si elles ne m’avaient pas vu. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Je devais avoir une moue très expressives car elles éclatèrent de rire.
— Ça va mieux, Richard ? me questionna ma tante.
Je me contentai de sourire, bienheureux qu’elles ne manifestassent pas, sur l’instant, quelques pensées prédatrices. Je demeurai toutefois aux aguets, prêt à me replier en cas de danger.En fait, nous discutâmes joyeusement tout l’après midi, et lorsque le soleil commença à décliner, j’avais recouvré toute mon énergie.Bon, les filles, vous pouvez y aller, je suis prêt ! Cette pensée secrète me fit sourire. Lorsque dix sept heures sonnèrent au clocher du village, ma tante se leva.
— Bon, ben moi, je vais me doucher.
Pourquoi disait-elle cela tout haut ? pour que je la suive ?Lorsqu’elle passa à ma hauteur elle me glissa à l’oreille, avant de disparaitre :
— Gertrude aime beaucoup les cunnilingus.
Je restai sans voix. Ma tantine, tellement différente de celle de mes souvenirs, jouait les entremetteuses. Mais bon, j’avais bien reçu le message. Je regardai ma cousine. Lui faire un cunni ? Oui, volontiers, mais avec ce maillot ça n’allait pas être simple ! Quelques secondes plus tard je me demandai si je n’avais pas raisonné tout haut, car je vis Gertrude se mettre nue. Bon, c’était clair à présent : la mère et la fille étaient de connivence. Allais-je les décevoir ? C’eut été discourtois.
Je m’approchai donc, sans précaution particulière, et bien que m’ayant probablement entendu, Gertrude demeura les yeux clos. Cependant, lorsque je me positionnai aux pieds du relax, elle ouvrit les cuisses.
Mince ! quelle jolie chatte ! et elle mouillait déjà ! Je glissai les mains sous ses fesses puis je déposai de légers baisers sur ses lèvres - du bas -. Elle commença aussitôt à ronronner. Je laissai courir ma langue, repoussant l’instant où elle se poserait sur son clitoris… mais je ne résistai pas longtemps et je pris possession de son bouton d’amour, que je léchai… suçai… agaçai… offrant à ma cousine l’occasion de « décoller », ce qu’elle fit littéralement en soulevant le bassin que je peinais, tant elle bougeait, à maintenir plaqué à ma bouche. Puis soudain elle cria, me vrillant les tympans, et se souleva davantage durant quelques secondes, avant de retomber en poussant de petits cris aigus et répétés. J’embrassai encore sa chatte puis j’entendis un bruit étrange qui me fit lever la tête : Gertrude pleurait. Je ne savait plus, dès lors, qu’elle contenance prendre et je préférai la laisser, et m’éloigner silencieusement.
Quelques mètres plus loin je croisai ma tante.
— Elle pleure ? m’interrogea-t-elle.— Heu, oui, et je ne sais pas pourquoi.— Elle fait toujours ça lorsqu’elle a eu un bel orgasme.
Comment savait-elle ça ? Bien sûr je ne trouvai pas convenable de la questionner. Décidément, la mère et la fille me déroutaient de plus en plus, mais je me rangeai volontiers à l’explication de ma tante, lorsque, peu de temps après, je les entendis rire.Le soir nous nous prélassâmes sur l’herbe fraiche au pied du grand tilleul.Pas de danger immédiat. Nous étions tous habillés, légèrement certes, mais cela suffisait pour voir venir une attaque. Je ne vis rien arriver tant je fus pris au dépourvu lorsque ma tante proposa :
— Et si on dormait tous dans ton grand lit ? C’est un king Size, d’après ce que j’ai vu.— J’aime avoir de l’espace pour dormir, répliquai-je bêtement.
Je faillit manquer le clin d’oeil que ma tante adressa à Gertrude. Et voilà, j’étais cuit ! Mais allai-je m’en plaindre ? Quant à dormir dans une autre chambre, cela me parut pour le moins, discourtois. D’autant que, à présent ragaillardi, je me sentais, de taille à affronter ces tigresses. Enfin, je l’espérais ! J’étais tout à mes pensées lorsque ma tante bailla.
— Bon ben moi j’ai sommeil. Je vais me coucher, dit-elle, en se levant.
Un quart d’heure plus tard c’était le tour de Gertrude. Taquin, je les laissai mariner près d’une heure avant de me glisser entre elles le plus délicatement possible. Elles ne bougèrent pas. Endormies peut-être ? Mince, pas de bol. Je plaçais les mains sous la nuque pour contempler du plafond que je venais de repeindre méticuleusement, lorsque je sentis quelque chose glisser sur ma cuisse. C’était la main de Gertrude.
— Je voulais juste voir si tu étais en forme.
Tu parles, quand on me chatouille les couilles du bout des doigts… ça ne traine pas ! A ce moment précis, ma tante bougea. Elle se tourna, dos à moi, en « chien de fusil ». Gertrude saisit l’occasion. Elle me fit basculer sur le côté, vers ma tante, et me poussa afin que je fusse bien « collé », puis elle me murmura à l’oreille :
— Prends-la dans les fesses, elle adore ça.
Je faillis crier « Hein ! quoi ? » tellement j’étais surpris… puis je me lovai contre ma tante. Zut, j’avais pas de lubrifiant à proximité. Gertrude calma mon embarras, en me soufflant :
— Prends-la sans rien, c’est comme ça qu’elle aime.
Bon, alors, si c’est comme ça qu’elle aime…De la main gauche j’écartai sa fesse… gauche, histoire de bien visualiser, puis j’appuyai mon gland. Ça « forçait » un peu et je faillis renoncer pour ne pas lui faire mal, lorsque ma tante passa le bras derrière moi pour poser la main sur mes fesses et m’inciter à poursuivre.Bon, et bien ma chère tante, si tu insistes… allons-y !Je poussai lentement et soudain mon gland fut comme aspiré, ce qui inspira à ma tante un « Ho ! » de surprise. Mais pas que, car il me sembla que l’intonation était très proche d’une exclamation de plaisir. Et je ne me trompai pas. Elle se mit aussitôt à ronronner… puis à gémir… puis à haleter avant de crier régulièrement. Je trouvai le vocabulaire, dont elle m’abreuva, très imagé, et non de nom, ça m’excitait bigrement ! J’étais tout à mon affaire lorsque je sentis quelque chose me chatouiller le fondement. Je tournai la tête. Gertrude était penchée sur moi. Elle murmura :
— Chut, continue. Ne t’occupe pas de moi.
J’allais répondre lorsque je sentis qu’elle entrait un doigt. Nom d’un chien, c’était pas désagréable ! On m’avait jamais fait ce truc, mais bon sang, je voulais qu’elle continue ! Entre son doigt qui me fouillait et les mots et les plaintes de sa mère, je sentis ma queue durcir encore, et je fus pris par l’envie d’intensifier mes coups de reins. Tout allait bien. C’était aussi bon devant… que derrière, puis soudain je sentis que Gertrude retirait son doigt. Oh non ! eus-je envie de crier. Tant pis, je me contenterai de ma tante qui soudain se mit à bouger. Je cherchai à rester en elle mais le contact fut rompu lorsqu’elle se positionna à quatre pattes. Qu’à cela ne tienne… je replongeai aussitôt entre ses fesses, finalement satisfait, car j’allais pouvoir la pilonner plus ardemment.
Soudain Gertrude me claqua une bise sur la joue puis je sentis qu’elle se plaçait derrière moi. Dans les secondes qui suivirent, quelque chose de dur glissa sur ma raie… puis força mon anus. Il me fallut encore deux secondes pour comprendre : elle me sodomisait. Avec un gode, probablement. Et ça n’avait même pas fait mal en entrant… et maintenant c’était… troublant… et très… agréable.
Mince, je vais quand même pas virer pédé ! Je ne m’accrochai pas à cette pensée homophobe ridicule et je reprenais mon ouvrage avec plus de vigueur. Gertrude parvint assez facilement à synchroniser ses mouvements avec mes coups de boutoirs et j’emmenai ma tante au septième ciel où je la rejoignis peu après. Lorsque je me retirai, Gertrude fit de même… et je constatai, abasourdi, qu’elle avait fixé autour de sa taille un gode ceinture.
Elle m’avait sodomisé comme un homme ! C’était encore plus troublant.Je sautai du lit pour me glisser sous la douche puis je revins dans le cocon. Ma tante semblait dormir. Pas Gertrude. Bon, c’est vrai qu’elle avait été un peu délaissée, mais il me fallait encore quelques minutes pour digérer mes émotions. Je me tournai néanmoins face à elle.
— Ça va cousin, me souffla-t-elle à l’oreille ?
Je lui souris et elle ondula aussitôt pour venir placer son sein droit… près de ma bouche. La demande ne pouvait-être plus explicite et je pressai son téton entre mes lèvres. Nom de non ! ce fus comme si j’avais appuyé sur un détonateur. Elle se mit à gigoter… à me présenter l’autre sein… à bloquer ma tête… et elle ne se calma que lorsque survint un frisson qui, tel un tsunami, l’agita de la tête aux pieds. Et moi je ne voulais pas m’arrêter de chouchouter ses beaux nichons. Je les pressai… je les malaxait… je ne parvenais pas à abandonner ces deux globes époustouflants ! jamais mes mains n’avaient tripotés pareilles merveilles.
Je ne pris pas garde à l’élévation de la température de ma cousine, qui, subitement se mit à genoux dans le lit et… me gifla ! Surpris, il me fallut quelques secondes pour comprendre que cette gifle n’était qu’un préambule érotique. D’un geste félin, Gertrude m’enjamba puis elle bloqua mes poignets sous ses tibias pour m’immobiliser. Je voyais ses yeux briller d’excitation. Une belle couleur or qui se mêlait à sa pupille émeraude. Elle plongea ses yeux dans les miens et ne les lâcha plus. Puis, brutalement elle s’empala sur ma bite tendue à l’excès et lança :
— T’as intérêt à assurer, cousin.
Elle commença à bouger très lentement… puis la cadence augmenta crescendo. Je commis l’erreur de vouloir bouger et je reçus une nouvelle baffe !
— C’est moi qui te baise, reste tranquille déclara Gertrude d’une voix trop forte, ce qui réveilla sa mère, laquelle se tourna aussitôt vers nous.— Je te conseille de la laisser faire, me glissa ma tante dans le creux de l’oreille.
Je jugeai ce conseil superflu car je n’avais nullement l’envie de m’opposer à une telle cavalière et je reçus encore quelques gifles qui décuplèrent l’excitation de ma cousine qui bientôt se déchaina.
— Oh mon salaud, elle est bonne ta grosse bite, hurla-t-elle plusieurs fois.
Son vocabulaire paillard n’avait vraiment rien à envier à celui de sa mère. Mais nom d’un chien qu’est-ce que c’était bon de la sentir s’empaler de la sorte ! Sans compter qu’elle avait un véritable don pour percevoir l’instant critique. Elle s’arrêtait dès que j’étais au bord d’exploser… attendait un peu puis reprenait sa chevauchée. C’était fabuleux mais j’ignorais combien de temps j’allais tenir.
— Le record est de trois quart d’heure, me précisa ma tante. Et si tu la laisses gérer, y’a rien à craindre.
Bien sûr que je la laissais gérer ! Qu’est-ce que j’aurais pu faire, d’ailleurs, avec mes poignets bloqués ? Et pourtant, j’avais sacrément envie de peloter les mamelles qu’elle agitait devant mes yeux. Elle était sportive ma cousine pour maintenir un tel rythme… et elle ne semblait même pas essoufflée. Seuls les cris, les gémissements et les mots, s’échappaient de ses lèvres. Bon, ça devait bien faire une demie heure maintenant et j’avais la queue qui commençait à chauffer. Soudain je crus rêver en entendant ma tante lancer :
— Aller, Gertrude, encore cinq minutes.
Et les cinq minutes s’écoulèrent : rien ! je n’arrivais pas à jouir. Elle non plus. Tant pis, ça sera pour une autre fois. Mais Gertrude ne l’entendait pas ainsi. Elle s’arc- bouta légèrement puis se déchaina à nouveau en hurlant :
— Fais moi jouir, salaud !
Salaud ? j’en avais autant à son service !Elle activa encore, tel un coureur du tour de France qui sprinte pour arracher la victoire et enfin elle explosa :
— Haaa ! Ouiiiiii !!
Puis je reçus une rafale de gifles au moment où je déchargeai.Gertrude retomba, inerte, sur le côté, et nous demeurâmes tous trois silencieux jusqu’au moment où elle lança :
— Merci, mon cousin. Puis s’adressant à sa mère : combien ?— Cinquante trois minutes.— Ah ouais, pas mal. T’es un champion cousin.
Puis elle se mit sur un coude pour couvrir de baisers mes joues martyrisées…
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