Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 109 J'aime
  • 7 Commentaires

Un dimanche matin aux conséquences inattendues

Chapitre 2

Une promenade inoubliable

Zoophilie
Cette histoire est le second chapitre de « un dimanche matin aux conséquences inattendues ».
Après cette promenade en forêt, je rentrais chez moi, l’anus douloureux, et l’impression étrange d’avoir été sali, mais tout en ressentant une très forte excitation en me repensant à quatres pattes, le cul béant rempli par la verge de Flax. Je sentais encore son sperme dans mon ventre et celui de Claude dans mon estomac. Je m’endormis comme une souche.
Dans les semaines qui suivirent, nous continuâmes notre "routine" avec Claude, il m’amenait au travail et me ramenait le soir, et se vidait chaque matin et chaque soir dans tous mes orifices. Le dimanche, nous nous promenions en forêt, où je servais de femelle à Flax, qui plusieurs fois par promenade se vidait dans mon cul ou ma bouche.

Au bout de quelques promenades, mon anus était suffisamment habitué et Flax pouvait y enfoncer toute sa verge sans aucune résistance de ma part. Un matin, Claude arriva un peu en retard pour m’amener au travail. Je montais dans sa voiture. Au bout de quelques secondes, comme à son habitude, il sortit sa verge dressée de son pantalon, je me précipitais dessus, bavant goulûment sur sa verge, et il éjacula rapidement au fond de ma gorge. Je m’apprêtais à me redresser, quand il me dit :
— Non attends, garde-la dans ta bouche, j’ai supé envie de pisser et on n’a pas le temps de s’arrêter, et j’ai envie de pisser dans ta gorge.
Surpris, je n’osai pas me redresser, et sentis un liquide chaud se répandre dans ma bouche, à une vitesse affolante. De peur que tout se répande sur le siège de la voiture et que Claude arrive au travail trempé d’urine, je m’efforçais de tout avaler, je bus presque un demi-litre de son urine, il me fallut déglutir près de vingt fois. Je sentais mon ventre gonfler un peu plus à chaque gorgée.

Je me surpris à adorer ça, la sensation d’être encore plus rempli. Cette situation eut pour effet de refaire bander Claude qui éjacula une seconde fois dans ma bouche, mais j’étais tellement rempli qu’une partie de son sperme sortit par mon nez.

Je me redressais enfin, le ventre gonflé et le visage dégoulinant de sperme. Claude poussa un grand soupir et me dit :
— ça m’a fait du bien et m’a grave excité de te remplir comme ça. Tu as aimé ?— Oui répondis-je, je me sens plein comme une femelle enceinte...— Tant mieux. Je n’ai pas le temps de te sodomiser ce matin, mais je me rattraperais ce soir.
Quelques heures plus tard, j’allais aux toilettes uriner la pisse que m’avait fait boire Claude

Concernant la sodomie, il tint effectivement parole, et m’encula près de quatre fois pendant le trajet du retour, et conclut en urinant dans mon anus, qu’il reboucha ensuite immédiatement avec le plug que j’avais toujours dans mon cul.
Nous continuâmes ce rituel chaque matin, je ne prenais plus de petit-déjeuner pour pouvoir boire le maximum de son urine et de son sperme. De son côté, Claude buvait exprès énormément le matin, et se retenait d’uriner jusqu’à ce qu’il vienne me chercher et se vidait dans mon estomac.

Un dimanche matin, il arriva comme à son habitude me chercher pour aller "promener" Flax dans la forêt.
Sur le chemin, il me dit, après une fellation particulièrement baveuse, durant laquelle j’avais bavé sur ses testicules, car il m’avait littéralement baisé le fond de la gorge :
— j’ai une surprise pour toi, aujourd’hui, ça va être une promenade un peu spéciale...— Ah, c’est-à-dire ?— Tu verras.
Intrigué et excité, j’attendis donc la fin du trajet.
Arrivé dans le sentier où l’on se garait d’habitude, je fus surpris de voir 4 autres voitures garées. Nous descendîmes de voiture, et après quelques minutes de marche, nous arrivâmes face à un groupe de 5 personnes dont une femme d’une cinquantaine d’années, aux formes généreuses et à la poitrine proéminente. Trois gros chiens les accompagnaient, tenus en laisse. Claude me rassura :
— Ne t’inquiète pas, ce sont des amis à moi. Leurs chiens sont en rut et ont besoin de femelles. Nathalie que tu vois ici va t’aider à les soulager.— Ils ne sont pas un peu nombreux ? Je ne suis pas sûr de pouvoir encaisser tout ça...— Mais si, ne t’inquiète pas.

Je vis alors Nathalie, la femme bien en chair se mettre à 4 pattes, remonter sa robe, dévoilant un cul large et bien rebondi, et commencer à sucer goulûment un gros dalmatien.
Je me déshabillais et me mis à quatre pattes à côté d’elle, elle me fit un clin d’œil tout en suçant goulûment la verge du chien.

Je vis deux des amis à Claude se mettre devant nous deux et commencer à se masturber, alors qu’un chien commençait à me saillir. Sa verge énorme me ramonait le cul et je sentais sa bave me couler dans le cou. Alors qu’il s’agitait frénétiquement dans mon rectum, j’entendis Nathalie à côté de moi pousser un cri, et me rendit compte que le chien qui lui défonçait la chatte était entré accidentellement dans son anus. Cela ne l’arrêta pas pour autant, et il lui défonça littéralement le cul.

Je voyais ses gros seins bouger au rythme des coups de boutoir de la bête. Elle était rouge et criait de plaisir et de douleur. Durant les deux heures qui suivirent, les maîtres et les chiens se succédèrent dans nos orifices respectifs, et je fus rapidement incapable de savoir qui ou quoi me sodomisait. Chaque bite qui sortait de mon anus ou de celui de Nathalie venait aussitôt jouir une deuxième fois dans ma bouche, de sorte que je fus capable de distinguer le goût de mon cul de celui de Nathalie, à force de le goûter sur les bites successives qui venaient jouir dans ma bouche.
Au bout de deux heures, tous les chiens et leurs maîtres s’étaient vidés en moi et Nathalie, nous étions alors à quatre pattes dans une mare de sperme. Le gros cul de Nathalie rouge et béant semblait plein à craquer, son ventre était aussi gonflé que le mien.
Épuisé, je m’allongeais sur le dos. Nathalie vint alors poser son cul béant sur ma bouche et je n’eus pas le temps de réagir qu’elle poussa et vida son anus et son vagin dans ma bouche, qui se remplit d’un mélange de sperme, de cyprine et d’urine. J’eus à peine le temps d’avaler qu’elle vint m’embrasser goulûment, plaquant ses énormes seins contre moi.

Alors qu’elle enfonçait sa langue dans ma bouche pleine du contenu de son rectum, je sentis ses doigts s’enfoncer dans mon anus, et elle força jusqu’à y entrer sa main et son avant-bras gras et musclé tout entier. Elle se mit à faire des va-et-vient très brutaux avec son bras, au point de faire remuer mon estomac plein de sperme, tout en enfonçant ses gros tétons dans ma bouche, comme si elle voulait me donner la tétée.
Ça devait être sa manière à elle de prendre du plaisir, car elle jouit sur moi, et je jouis en même temps sans me toucher, sous l’effet de ses coups dans mon rectum, qui bavait de sperme.

Une fois ce violent orgasme terminé, tout ce beau monde se rhabilla, puis Claude me ramena chez moi. Durant le trajet, j’étais complément épuisé et nous n’échangeâmes que quelques mots :
— Alors ça t’a plus Benjamin ? Tu vois tu as été à la hauteur !— Oui, mais ça m’a épuisé, j’ai l’impression que mon anus ne va jamais se refermer, car Nathalie y est allée un peu fort... — Ne t’inquiète pas, tu vas t’en remettre. Oui c’est une sauvage, c’était un mec avant comme toi, mais elle a subi un traitement et quelques opérations qu’ils l’ont fait devenir une femme. J’ai vu que tu regardais ses gros seins jalousement, si tu aimes être une femelle, tu pourrais avoir droit à ce changement aussi.— D’accord, je garde ça dans un coin de ma tête...— J’ai aussi pu voir que ton anus s’est clairement élargi. Du coup si tu as aimé cette petite expérience, la semaine prochaine, tu vas avoir droit à quelque chose de très différent, mais qui devrait satisfaire tes pulsions de femelle en chaleur...— Tu peux m’en dire plus ?— Tu verras...
La semaine suivante s’écoula alors comme les autres, puis vint le dimanche tant attendu...
Diffuse en direct !
Regarder son live