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Un dimanche matin aux conséquences inattendues

Chapitre 3

Un week-end à la ferme avec Claude

Zoophilie
À la suite de cette sortie en forêt, mon anus et mon rectum mirent plusieurs jours à s’en remettre. Pendant les deux jours qui suivirent, je ne fis que me vider du sperme et de l’urine, mon estomac et mon cul avaient été remplis. De plus, dans la semaine qui suivit, Claude continua à me remplir consciencieusement le cul et la bouche comme tous les jours. Chaque matin, je montais dans sa voiture, et à peine sorti de mon village, il sortait sa verge, sur laquelle je me jetais comme un assoiffé se jette sur un verre d’eau. Il ne mettait que quelques secondes à jouir dans ma gorge.
Il faut dire que ces mois passés à lui procurer des fellations et des gorges profondes baveuses à souhait plusieurs fois par jour avaient fait de moi un expert en la matière, et je pouvais garder sa verge littéralement enfoncée dans ma gorge plusieurs secondes, le temps qu’il se vide intégralement. Ensuite, je le gardais dans ma bouche alors qu’il débandait progressivement. Une fois qu’il avait la capacité d’uriner, sa verge toujours dans ma bouche, le demi-litre de café qu’il avait bu le matin se déversait sans mon estomac, je tétais sa bite comme un veau tète sa mère, et je sentais mon estomac se remplir de ce liquide bien chaud.
Il me demanda un matin, alors qu’il s’apprêtait à jouir, que j’enfonce deux de mes doigts dans son cul, afin de lui appuyer sur la prostate. Cela provoqua immédiatement une énorme giclée de sperme dans ma gorge. Comme à son habitude, il urina ensuite. Une fois intégralement vidé, il me demanda de sucer mes doigts, ce que je fis goulûment.
Chaque voyage en voiture était également ponctué d’arrêts pendant lesquels Claude me sodomisait allègrement. Mon anus béant ne nécessitait plus de lubrifiant, le sperme de la sodomie précédente faisant le job. Quand l’envie lui prenait, il urinait également dans mon cul. Au boulot, il lui arrivait également de m’envoyer un SMS pour me donner rendez-vous aux toilettes pour le soulager, même si cela était rare.
Un soir où il me ramenait chez moi, Claude légèrement saoul avait pris l’apéro avec ses collègues. Il s’arrêta comme à son habitude à la lisière de la forêt pour m’enculer. Je me mis contre le même arbre d’habitude. Il baissa son pantalon, enleva mon plug dans un bruit de succion, je sentis le sperme et l’urine du matin me couler le long du cul. Il me sodomisa sans ménagement, pendant près de 15 minutes, l’alcool lui donnant un peu de mal à jouir, malgré une énorme érection provoquée par mon petit cul blanc imberbe, comme il aimait l’appeler. Alors qu’il était en pleine action, je le sentis s’arrêter, et tournant la tête, je le vis porter une main au niveau de son cul. Je lui demandais.
— Qu’est-ce que tu fais ?— T’inquiète, retourne-toi, j’ai envie de te remplir d’une façon un peu différente.
J’obtempérais et me retournais. Je sentis alors Claude se retirer de mon cul, puis juste après, je sentis quelque chose de de la taille d’une pomme de pin, dur et un peu râpeux forcer mon anus et y entrer totalement, ce qui me fit gémir de douleur.
— Claude qu’est-ce que c’est ?— J’avais envie de mettre dans ton cul, ce qu’il y avait dans le mien.— Attends, tu viens de mettre un de tes étrons dans mon cul ? Je ne suis pas sûr d’aimer...— Mais si tu vas aimer.
Sur ces mots, Claude enfonça sa verge dans mon cul, poussant ainsi au fond de mon rectum sa pèche, que je sentis se coller aux miennes et me remonter dans les entrailles...
Il se remit à me sodomiser violemment. Chacun de ses coups de boutoir faisait remonter le contenu de mes intestins un peu plus profond, et il ne tarda pas à arroser le tout d’une énorme dose de sperme en gémissant de plaisir. Je jouis également sans même me toucher, arrosant l’arbre devant moi de mon jus.
Aussitôt après s’être retiré, il enfonça mon plug pour que rien ne sorte et me dit :

— Garde tout ça dans ton cul jusque demain matin.— OK je vais essayer.— C’est bien tu vas y arriver. Suce-moi pour me nettoyer maintenant.
Je m’empressais de le faire, le goût de sa verge ayant bourré littéralement mon cul d’étron m’excitait terriblement.
Je réussis à garder le contenu de mon cul à sa place grâce au plug, avec lequel je passais la nuit. Claude revint me chercher comme à son habitude. Après la fellation rituelle, je lui dis que mon ventre gonflé avait besoin de se vider, il me dit de patienter, ce que je fis.
Nous nous arrêtâmes comme d’habitude à la lisière de la forêt pour l’habituelle sodomie. Je me mis contre l’arbre, le plus saillant et le ventre déjà plein. Claude me demanda alors de me retourner pour le sucer et juste avant que je gobe sa bite, me dit :
— Vas-y vide-toi pendant que je jouis dans ta bouche.— ah oui enfin, je n’en pouvais plus !
Il enfonça sa verge dans ma bouche, et je me mis à me vider littéralement par terre. Le mélange de sperme et d’étron se déversant de mon cul béant alors que je gémissais la bouche pleine le fit jouir instantanément.
À la suite de cette expérience étrange, je m’essuyai comme je pus avec des feuilles et des mouchoirs, puis nous allâmes au travail. Le reste de la semaine se passa normalement, au rythme des fellations et des sodomies de Claude.
Le vendredi soir, alors qu’il était en train de m’enculer, il me déclara :
— Ce week-end va être particulier, je viens te chercher samedi à 14h. Fais-toi un bon lavement avant.— Où est-ce que l’on va ?— Plusieurs de mes amis se sont réunis dans une ferme, il y aura aussi Nathalie que tu connais.— D’accord, je ferais de mon mieux...
Le lendemain, je me vidais le plus possible, et Claude passa me prendre comme prévu à 14h.
Dans la voiture, je vis une robe rouge moulante et des chaussures à talon. Claude me demanda de l’enfiler et de mettre les escarpins, ce que je fis. La robe suffisait à peine à couvrir mes fesses. Il me demanda également de mettre du rouge à lèvres, ce que je fis maladroitement. Je ressemblais à une jeune prostituée mal réveillée de sa nuit de travail.
Après 45mn de route, nous arrivâmes dans la ferme, où je reconnus certains des amis de Claude, en train de prendre l’apéro et Nathalie nue sous la table, dont les seins déjà énormes semblaient encore avoir grossi, qui les suçait allègrement.
A notre arrivée, les amis de Claude se levèrent. Nous les suivîmes dans une étable. Claude me dit :
— Certains animaux de la ferme sont en rut, toi et Nathalie allez leur servir de femelle.— Ah je ne m’attendais pas à ça...
Nathalie me regarda la bouche pleine de sperme, et me fit un clin d’œil pervers.
— Penche-toi en avant d’eux, devant les bottes de foin pour que les animaux y prennent appui.
Alors que je m’exécutais, Nathalie s’approcha de moi à quatre pattes, ses gros seins qui pendaient telles des mamelles pleines de lait, et me roula une énorme pelle pleine de sperme.
Je me penchais en avant et pris appui sur la botte de foin devant moi. Nathalie releva ma robe et se mit à m’enduire l’anus d’un liquide épais.
— Claude qu’est-ce que c’est ? — De la cyprine de jument et de vache mélangées, pour que les animaux comprennent bien où se vider.
A peine eut-il fini de me répondre que j’entendis le hennissement d’un cheval. A peine 10 secondes plus tard, l’étalon me montait dessus, son énorme verge se collait à mon anus, et il se mit à forcer pour entrer, je sentais mon anus se dilater au fur et à mesure que son énorme verge me pénétrait...
Il se mit soudain à forcer encore plus, sa verge entra profondément en moi jusqu’au bout, je sentais ses couilles taper contre les miennes alors qu’il me défonçait littéralement, il n’avait qu’une envie, me féconder comme une jument...
Mon anus totalement étiré semblait sur le point de se déchirer sous les coups de cette énorme bite, ma robe remontée jusqu’à mes tétons durcis...
Chacun de ses coups tapait contre le fond de mon ventre et me faisait crier de douleur et de plaisir. En à peine quelques secondes, il jouit et tapissa mes entrailles d’une quantité énorme de sa semence épaisse et chaude.
Il se retira et une énorme giclée de sperme sortit de mon anus totalement défoncé. Mon cul était couvert de sperme et mes escarpins également, le sperme coulant sur mes jambes.
J’étais dans un état second, alors que je sentis une main s’enfoncer dans mon cul, puis une bite. Claude se branlait littéralement dans mon cul plein du sperme de l’étalon.
Alors que je pensais en avoir terminé, je vis un énorme cochon avancer vers moi. Claude qui venait de jouir me dit :
— Passe sous lui et suce-le, recouvre sa bite de rouge à lèvres.— Je vais essayer...
Je me mis à 4 pattes, et aperçus sa verge fine, mais très longue, de près de 30 centimètres ! Je la pris dans ma bouche, et alors que je commençais doucement, il enfonça d’un coup dans ma gorge l’intégralité de sa verge, qui descendit jusqu’au fond de mon œsophage. Je réussis à ne pas régurgiter de justesse, et me mis en devoir de sucer la base de sa verge, alors que tout le reste descendait de ma gorge jusqu’à l’entrée de mon estomac. En quelques secondes, il se mit à déverser près d’un litre de jus directement dans mon estomac, que je sentis immédiatement gonfler. Je me faisais inséminer par la bouche ! Il se retira brusquement, ce qui eut pour effet de me faire régurgiter une partie du sperme, que je m’empressais de ravaler.
Le visage couvert de sperme, je récupérais mon souffle. Nathalie s’approcha alors de moi, et se mit à presser ses tétons sur ma verge. Je fus surpris de voir du lait sortir de ses énormes mamelles, et me recouvrir la bite, je ne la pensais pas capable de produire du lait.
Un veau approcha alors, et se mit à me téter la bite comme si c’était une mamelle de vache. Alors que je sentais sa grosse langue râpeuse sur ma verge, Nathalie se mise à me fister le cul avec ses deux mains, et à me défoncer littéralement, comme pour m’écarter le cul au maximum, ce qui eut pour effet de me faire jouir dans la bouche du veau qui avala tout en me tétant la bite.
Nathalie se retira, me laissant le cul endolori et littéralement béant.
Je sentis alors des vibrations sur le sol, comme un pas lourd. Je me retournais et vis un énorme taureau, la verge énorme dressée, en train de baver, les yeux fixés sur mon cul déjà défoncé.
Il se précipita sur moi et colla sa verge contre mon cul, mais celle-ci était si grosse qu’elle n’arrivait pas à entrer. Nathalie écarta alors mon anus avec ses doigts, et le taureau réussit à entrer d’un coup, m’arrachant un cri de douleur alors que mon anus et mon rectum s’étiraient au maximum pour accueillir cette verge énorme.

Il se mit à me sodomiser sauvagement, chacun de ses coups provoquant un bruit de succion alors que ses énormes boules frappaient les miennes. Mon ventre totalement distendu et déjà plein du sperme des précédents animaux était secoué à chaque coup du taureau.

Il me sodomisa ainsi plusieurs minutes, mon cul s’étirant un peu plus à chaque coup et menaçant de se déchirer tant il était étiré.

Alors que la bête me baisait comme il aurait baisé une vache pour la mettre enceinte, j’entendis Nathalie pousser un cri, et la vit, sous un cheval de trait, en train de se faire saillir comme une jument, le cheval lui défonçant le cul. Elle bavait de plaisir, les yeux révulsés, alors qu’une machine de traite branchée sur ses tétons était en train de traire ses énormes seins telle une vache...
Le cheval gicla dans un hennissement, lui remplissant le cul, ses énormes seins branchés à la machine de traite ballotant sous l’effet des coups de boutoir et des giclées de sperme.Le cheval se retira, on l’emmena hors de l’étable et on amena un cochon à sa place. Sa verge longue et fine comme celle qui m’avait inséminé s’enfonça dans la chatte de Nathalie, qui cria quand la verge, longue et fine, s’enfonça jusque dans son utérus et y déversa en quelques secondes sa semence. Elle fut elle, pour le coup, littéralement inséminée par un porc telle une truie.
Pendant ce temps, le taureau qui me soulevait à chacun de ses coups s’enfonça d’un coup plus profond et se mit à jouir, mais sa verge me bouchant littéralement le cul, tout le sperme remonta le long de mes entrailles, et mon ventre se mit à gonfler à vue d’œil sous l’effet de cette semence chaude. Je criais de plaisir et de douleur, des giclées de sperme jaillissant de ma bite, jusque dans les cheveux de Nathalie.
Le taureau se retira dans un bruit de succion, et je m’écroulais le cul complément ouvert, avec la sensation d’être une femelle qui vient de se faire féconder et qui est désormais enceinte. Je sentis un énorme plug me boucher le cul, ne laissant pas une goutte s’échapper. Alors que j’apercevais Nathalie allongée dans une mare de sperme, ses trous béants remplis d’une semence blanche, ses tétons totalement distendus et ses seins affalés par terre vidés de tout leur lait, Claude me dit alors :
— J’espère que tu es prêt, car ce n’est que le début du week-end...
Fin de ce chapitre, n’hésitez pas à me dire si vous l’avez apprécié.
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