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Un dimanche de mauvais temps

Chapitre 1

Hétéro
On est dimanche et je ne bosse pas, aucune obligation et il ne fait vraiment pas beau, on traîne depuis qu’on s’est levé, tu me proposes de regarder un film après notre petit-déjeuner tardif. On s’installe tranquille sur le canapé, tu lances le film, je me blottis contre toi et tu passes un bras sur mes épaules. J’apprécie la chaleur de ton corps, ton odeur. Un de mes bras passe sur ton abdomen, ma main se glisse sous ton tee-shirt et te caresse longuement et tendrement. Tu me caresses le bras, le dos, le côté... Au bout de plusieurs minutes, je suis plutôt inspirée par ce que je pourrais te faire que par le film ; ma main continue ses caresses en descendant jusqu’à la limite de ton pantalon et le déboutonne ... Est-ce que ce film t’intéresse vraiment ? Je poursuis ma lente descente vers ton pubis... Tu t’enfonces un peu plus dans le canapé et ouvres légèrement tes jambes... Tu sembles réceptif ! Ma main arrive à se glisser dans ton slip, caresse comme je peux ton sexe encore en veille... Mais bien coincé.
Je te demande de te soulever un peu et arrive à faire glisser tes vêtements jusqu’aux genoux ; voilà qui est mieux ! J’attrape ta queue à pleine main et la sens grossir, je t’embrasse goulûment et commence à me trémousser, sentant mon clito gonfler... Ne quittant pas tes lèvres, je me déshabille comme je peux ; tu me caresses le dos, les fesses... J’embrasse ton torse, ton ventre, ton pubis, effleure ton gland et arrive sur tes testicules, je les lèche puis les gobe une par une, ma main les malaxe tandis que ma langue longe maintenant ta queue si belle et bien dressée. Je vire complètement ton pantalon et m’installe entre tes jambes, je peux te sucer et te voir en même temps, ton beau regard rempli de désir et de plaisir... Je remets ma langue le long de ton sexe, remonte, tourne autour de ton gland, je sens encore ta queue grossir et la prends dans ma bouche tout doucement, juste le gland... Ma langue déchaînée s’amuse avec... Enfin je la prends dans ma bouche humide et chaude... Tu sursautes, gémis, je monte et descends et sens tes petits mouvements de bassin pour donner le rythme... Je te suis et accélère, ma main malaxant toujours tes testicules, l’autre maintenant ton sexe dans ma bouche, j’accélère encore et sens un jet puissant éclater dans ma gorge ... Humm ce goût mon doudou, ton goût... J’adore, j’avale tout ce que tu me donnes, tu sursautes encore et moi je suis trempée... Je te laisse revenir à toi, tu as les yeux fermés, je me redresse, t’embrasse, et pose une de mes jambes sur le canapé... Ta main la caresse immédiatement mais tu gardes la tête en arrière et les yeux clos... Je te regarde, gigote un peu, me sens hyper excitée et pour vérifier je glisse deux doigts... Je suis à point, je passe sur mon clito tout tendu et commence à me chatouiller... Tu ouvres les yeux et constates ma coquinerie... Tu me regardes titiller mon entrejambe, partagé entre l’envie de me voir faire et de faire... Je te dévore du regard et tu décides de m’aider ! Tu me fais m’allonger sur le canapé, écartes mes jambes et te jettes sur mon sexe, ta langue en explore chaque endroit, tu mordilles mon clito, puis me pénètres avec ton appendice buccal redoutable, essaies de t’enfoncer au plus profond de moi puis revient vers mon petit sexe pour le chatouiller, tu en profites pour m’enfoncer tes doigts magiques ... Quelques va-et-vient déclenchent des contractions dans mon vagin, des tremblements dans tout mon corps ... Oh je jouis... Tu poursuis tes coups de langue mais chaque passage sur mon clito me fait sursauter ... Il est trop sensible là pour en supporter davantage hihi ! Je profite de cet instant magique, merci mon doudou.

Après notre après-midi productif, tu es partie prendre une douche, je me suis reposé, tu m’as vidé deux fois ; tu reviens avec ta sortie-de-bain, alors je vais à mon tour prendre ma douche, je m’essuie et mets ma robe de chambre ; à cette heure-ci plus personne ne viendra nous déranger, je vais te rejoindre, surprise, ta sortie-de-bain a volé je ne sais où, tu es nue, tu me tournes le dos... Tu sais l’effet que ça fait sur moi, tu m’as sûrement entendu, tu bouges tes jolies fesses, joue de tes jambes, les plie, les croise, les écarte doucement, me laisse entrevoir tes lèvres intimes, écartes encore, et refermes rapidement, ton petit jeu m’agace, je me mets au bout du fauteuil décidé à résister, demain boulot, tu continues ton petit jeu. Tu me proposes un petit casse-croûte, tu te lèves, wahou ta superbe poitrine m’appelle, ta toison m’hypnotise, tu passes devant moi, t’arrêtes devant un meuble où tu ranges les biscuits, tu ouvres la porte du bas, je ne sais pas ce que tu choisis, tu t’es penchée, comme par hasard tes fesses sont dirigées vers moi, tu écartes les jambes... C’en est trop, je me lève, m’approche de toi, tu ne bouges pas, ma queue réagit, je la pose sur ton sillon entre tes fesses, mes testicules se collent à toi, je me penche aussi, saisis tes seins à pleines mains, les malaxe, triture tes tétons, tu bouges ton beau cul, caresse ma queue de tes belles fesses.
Je lâche tes seins, m’accroupis, tu ne changes pas de position, tu ondules simplement, ma langue lèche tes fesses, passe sur ton sillon, titille ton anus, je descends, ma langue trouve tes lèvres intimes, les lèche, tu écartes encore plus les jambes, ton nectar s’écoule dans ma bouche, tu es à point, il faut que j’accélère un peu, je me relève, prends ma queue d’une main, la guide vers ton antre trempé, tu chantes ton air de jouissance, mon gland s’introduit entre tes lèvres. J’essaie de faire glisser mon gland jusqu’à ton clitoris, le frotte un peu, tu râles, il est hyper sensible, normal il a déjà bien reçu aujourd’hui, il est super gonflé, je guide mon gland, cette fois je te pénètre d’un coup de reins, ta liqueur, la douceur de ton vagin, c’est incroyable comme sensation, mes jambes en tremblent, soudain je sens une de tes mains attraper mes testicules, là c’est trop bon, comment te résister, tu les malaxes, les presse doucement comme pour faire monter mon sperme, mes coups de reins m’enfonce au maximum, mais je voudrais encore aller plus profondément en toi, bien sûr impossible, d’un coup mon jet éclate, mon jus te frappe au plus profond, ton vagin serre ma queue, ces contractions me font juter jusqu’à la dernière goutte, tu as joui encore une fois, je suis heureux, haletant comme après une course, c’était tellement bon.
Après m’être vidé pour la 3eme fois, je reste en toi, doucement ma queue se dégonfle, glisse et sort de ton antre, je me recule, te regarde encore, tu es restée dans la même position reprenant des forces, je suis fasciné par ton entrejambe, je regarde mon sperme qui s’écoule, mêlé à ta liqueur, le long de tes belles cuisses...
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