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un dimanche mouvementé

Chapitre 4

Erotique
Dans la chambre de Lisette, Luc jette un coup d’œil dans le couloir avant de refermer la porte. Il voit Elodie se diriger vers la salle de bain. Elle va y trouver Christophe, pense-t-il. Pourvu qu’il soit à la hauteur! Elodie après lui et Fabienne, c’est peut-être beaucoup pour la santé du garçon. Enfin, c’est leur problème, le sien se trouve sur le lit face à lui! — Ça va ma toute belle? Pas trop fatiguée? — Non, pas trop. — Raconte-moi ce qui s’est passé avec Fabienne. Il attire les jambes de la jeune fille et commence à les caresser. — Cela ne te regarde pas, tu es trop curieux. — Que si cela me regarde, et fais attention à me satisfaire sinon tu connais la punition. — Le martinet? Les mains de Luc s’insinuent entre les cuisses et caressent leur face interne. — Oui le martinet. — Je préfère alors tout dire. — Vas-y, je suis tout ouïe. — Quand je me suis réveillé, elle était là à me regarder. — Tu étais nue comme maintenant? Les doigts atteignent le sexe. Lisette efface une grimace. Luc a tiré sur les poils en s’entortillant dedans. — Oui, enfin, non, car j’étais sous le drap. Elle m’a embrassé sur les joues pour me dire bonjour. — Sur les joues? — Oui, d’abord. Puis sur la bouche. — Comme ça? Il attire la figure de la jeune fille et lui inflige un baiser profond. — Oui comme ça, sourit Lisette.— Ah! Je préfère! — Pourquoi? — Continue, je t’en prie. — Elle embrasse bien.
— Mieux qu’Elodie? — Différent. Elle est montée sur le lit et m’a caressée sur tout le corps des mains et de la bouche. Elle s’est déshabillée et s’est allongée à mes cotés. — J’aurais bien aimé vous voir toutes les deux nues sur le lit. — Elle m’a fait une caresse que je ne connaissais pas. Elle a frotté son clitoris contre le mien et c’était… c’était… formidable. J’ai j… — Chut! Attends, je vérifie quelque chose. Surtout pas de bruit! Il a entendu des pas dans l’escalier. Il se lève et glisse un œil par la porte entrouverte…
Fabienne marche de long en large sur la pelouse. Ses sandales se mouillent mais cela importe peu. Qu’est-ce qu’il lui prend? Pourquoi perd-elle ses moyens en présence de Christophe? Pourquoi est-elle incapable de se contrôler? En deviendrait-elle amoureuse? Elle? De ce blanc-bec? Ce n’est pas possible! Il n’empêche que tout blanc-bec qu’il soit, à chaque rencontre le même pincement étreint sa poitrine, la même chaleur envahie son bas ventre. Ce sont des signes ça! — Ma vieille, faut en prendre ton parti. Tu es amoureuse! S’il te demande de vivre avec lui, tu seras capable d’accepter! Et avec joie en plus! Mais on ne lui fera pas le plaisir de lui dire avant qu’il ait fait le premier pas. D’avoir pensé à voix haute, d’y voir clair, la soulage. L’esprit libre et dégagé, elle retourne à la maison. Il ne lui reste plus qu’à patienter jusqu’à ce qu’il se déclare, car elle en est sûre, elle ne lui est pas indifférente. Elle espère que ce sera pour bientôt. Le salon est vide. Elle grimpe les marches. De l’eau coule dans la salle de bain. Au bruit, deux ou trois personnes se douchent. Elle n’y retourne pas. Elle retombe en arrêt devant le martinet. Il l’intrigue. Pourquoi Luc l’a-t-il accroché là? S’en sert-il? Elle décide que oui. Elle ne pense pas qu’Elodie en soit adepte. Lisette? La jeune bonne aime peut être ça? Elle sait que certaines personnes réclament des fessées. Pas elle en tout cas. Elle se voit plutôt du coté manche. Oui, décide-t-elle, c’est pour Lisette, voilà qui explique la présence de cet engin à cette place.
Par l’interstice de la porte, Luc observe. Il voit Fabienne sur le palier, contempler le martinet et le prendre en main. Il savait bien que c’était une bonne idée de l’accrocher là. Sans bruit, il laisse la porte juste entrebâillée. Il emprunte la ceinture d’un peignoir qui pend à une patère et se place de façon à être caché par le battant quand il s’ouvrira. Par signe il invite Lisette à s’allonger… Non, pas sur le dos!… Oui! Sur le ventre, et de faire semblant de dormir.
Fabienne essaye le martinet sur son avant bras. Elle grimace, cela fait mal. Elle va le remettre en place, mais hésite. Et si Lisette aimait cela? Si elle allait vérifier le bien fondé de ses suppositions? Cette pensée l’excite. Si la bonne est encore dans sa chambre, tant pis ou plutôt tant mieux pour elle! La porte est entrouverte. Fabienne écoute, pas de bruit dans la chambre. Lisette dort ou est absente. Elle pousse le vantail. La jeune bonne est étendue sur le ventre les yeux fermés. Ses fesses luisent dans la lumière de l’après-midi. C’est de la provocation sourit Fabienne! Elle s’approche à pas de loup, lève le martinet et… se retrouve brusquement ceinturée par des bras robustes. La jeune fille est trop abasourdie pour réagir. Lisette se lève, elle ne dormait pas! Fabienne réalise qu’elle est tombée dans un guet-apens. La bonne lui arrache le martinet des mains, ce qui lui rend ses esprits. Elle se tortille en vain pour se libérer. — Lâchez-moi, lâchez-moi donc! — Pas question, au contraire tu vas rester bien tranquille! La voix de Luc, pas aimable du tout résonne à ses oreilles! Elle persiste dans ses tentatives de libération. Une torsion du bras, la force à l’immobilité. Lisette que sa nudité ne gêne pas, s’avance un sourire narquois aux lèvres. La présence de Luc lui donne du courage. Elle pense qu’elle pourra user de Fabienne à sa guise, la jeune fille ne s’apprêtait-elle pas à la fouetter? Cela mérite une compensation! Elle défait un à un les boutons de la robe, écartant les pans sur les seins de Fabienne et commence à sucer les tétons. La jeune fille pense que le jeu va continuer et se détend dans les bras de Luc. — Aïe! Elle recule brutalement, Lisette l’a mordu, Oh! Pas très fort, mais suffisamment pour faire mal. — Non, pas de ça Lisette! Luc intervient. Il surveillait la bonne dont le sourire narquois l’avait alerté. Il n’est pas dans ses intentions de martyriser Fabienne, tout juste lui appliquer une petite correction. Sans la lâcher, il la débarrasse de la robe. Avec le cordon qu’il tient en main, il lie les mains dans le dos. Fabienne est inquiète et se demande ce que ses bourreaux lui réservent. — Ah! Tu voulais essayer le martinet sur Lisette! Elle ne t’avait pourtant rien fait! — Je t’en prie, lâche-moi! — Je sais bien que Lisette n’a rien contre une petite fessée… L’intéressée se rebiffe: — Non, ce n’est pas vrai! Luc m’a fouetté une fois et je n’ai pas apprécié! — Que si! Même que tu étais drôlement excitée! Mais Fabienne ne le savait pas! Lisette n’ose plus rien dire. D’avoir pressenti la vérité ne console pas Fabienne. Elle n’avait pas prévu la tournure prise par les événements. — Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je regrette, je ne le ferai plus. — Il est bien temps de regretter. C’est toi qui as décroché le martinet. Tant pis pour toi si cela ne s’est pas déroulé comme tu voulais, il faut assumer les conséquences de tes actes! Luc n’est pas fier de ses répliques dignes d’un mauvais film. Heureusement les filles ne s’en rendent pas compte. Fabienne pleure à chaudes larmes. Elle tente ainsi de les apitoyer, en vain. La bonne s’agenouille à ses pieds. Elle baisse le slip, le fait passer sous les pieds. Fabienne se sent humiliée. Lisette ouvre le sexe des doigts. En d’autres circonstances, la jeune fille adorerait ce traitement, mais là, avec la menace du martinet, elle reste sur le qui-vive. Lisette approche la bouche et lèche le clitoris à petits coups de langue. Fabienne se relâche et avance le ventre. La bonne brusquement mord dans les poils pubiens. — Aïe! D’un coup de genou, Fabienne la déséquilibre. Elle tombe à la renverse jambes écartées sur son sexe écarlate. Luc a rarement été à pareille fête! — Quel joli spectacle! Furieuse, Lisette empoigne le martinet et assène deux coups sur les cuisses. Luc, le pressentant bâillonne Fabienne qui n’exprime qu’un gargouillis. Il tente de reprendre la situation en main. — C’est assez, Lisette ! La bonne est vexée et fait la sourde oreille. Les lanières sifflent une nouvelle fois. Fabienne se cabre sous le choc. Luc se fâche. Il arrache le martinet des mains de Lisette et cingle les fesses d’un coup violent. — Aooouu! — Cela t’apprendra à obéir! Lisette frotte son postérieur endolori. La douleur lui a remis les idées en place. Elle baisse la tête confuse et regrette de s’être laissé aller. Luc accepte la contrition de la bonne, mais pense que la punition de Fabienne n’est pas suffisante. Il faut que la jeune fille reconnaisse qui est le maître dans cette maison! — Bon, ça va. Approche-toi de Fabienne… Plus près… Oui, tout près! Les deux filles sont de la même taille. Leurs tétons se frôlent. Luc force sur les bras liés de Fabienne et l’oblige à s’agenouiller, la figure à la hauteur des poils bruns de Lisette. — Fais une langue à Lisette pour la remercier de ne pas avoir poursuivi la punition. Fabienne a un réflexe de recul. — C’est un ordre! Et ne lui fait pas mal sinon c’est moi qui te fais goûter du martinet. Les poils chatouillent son nez. Elle éternue. — Aide-la, Lisette. La jeune bonne écarte son sexe, fait saillir le clitoris que Fabienne peut happer entre ses lèvres. La jeune fille le suce avec application dans l’espoir que sa bonne volonté sera récompensée. Lisette vacille sous l’intensité du plaisir. Elle s’agrippe aux cheveux pour maintenir son ventre à portée de la bouche et pousse des râles de bonheur. Cela met du baume au cœur de Fabienne de la voir quémander sa ration de jouissance…
Luc est satisfait, il adore voir les filles se caresser. Il les laisse s’amuser un moment, mais n’en a pas terminé avec Fabienne. — Bon, cela suffit, tu es assez remerciée ma petite Lisette. Elle s’éloigne à regret, n’osant désobéir au seigneur et maître. Fabienne pensait en avoir fini, mais elle doit déchanter. Il la force à baisser la tête jusqu’au tapis qui couvre le sol et à appuyer la joue par terre. Elle est morte de honte car ses fesses pointent en l’air. Pour ajouter à sa confusion, il tape sur les cuisses avec le manche du martinet pour qu’elles s’écartent. Son sexe et l’anus sont impudiquement exposés aux regards. Luc promène les lanières sur les rondeurs. Elle frémit de crainte de ce qui va arriver. Elle sait qu’il va frapper. Elle attend le coup, tremblante. Vlan! Elle serre les lèvres pour ne pas crier. Vlan! Un autre coup sur l’autre fesse. Heureusement, ils n’étaient pas très forts. Luc semble satisfait du comportement de la jeune fille. — Lisette! — Oui? — Viens ici à coté de moi et écarte les jambes s’il te plaît. Il passe le manche entre ses cuisses, le lubrifiant au contact de la vulve trempée. — Écarte-lui les fesses. Fabienne sent deux mains tirer sur les lobes de son cul. — Non, je vous en supplie! Pas ça! — Quoi pas ça? Tu ne sais pas ce que je projette! — Ne me fais pas mal! — Mais non, tu verras, ne bouge pas! Luc présente le manche sur le trou. — Pitié! Je regrette d’avoir voulu m’amuser de cette façon, pardon, je ne le ferais plus. — Allez, allez, laisse-toi faire, va. Tu ne veux pas que je me fâche, hein! Il enfonce, avec précautions, le manche luisant. La lubrification est parfaite et il glisse sans difficulté. — Aïe! — Ce n’est pas vrai, je ne te fais pas mal, cesse de geindre à la fin! C’est vrai, il ne fait pas mal mais elle est horrifiée par ce qu’elle devine : le martinet s’enfonce dans son cul! Elle sanglote de honte. Avec des gestes doux, il manœuvre le manche. La rude caresse la calme un peu. — Tu vois? Ce n’est pas terrible! Fabienne étouffe un sanglot qui la secoue. — Là, bien! Tu restes ainsi! — Oh non! Pas dans cette position! — Si! Dans cette position. Regarde comme tu es jolie! Il fait tourner la porte de l’armoire à glace jusqu’à ce que Fabienne y aperçoive son reflet. Elle se trouve ridicule, les fesses proéminentes, le martinet dont les lanières pendent comme une queue de cheval, fiché dedans. Luc, satisfait du résultat, commande: — Ne t’avise pas de bouger sans ma permission. Je m’occupe de Lisette. Si tu veux, tu peux admirer, mais sans bouger, compris? Ce qui gêne le plus Fabienne c’est la présence de la bonne. Aussi entend-elle avec plaisir Luc donner ses ordres: — Toi, couche-toi sur le lit… Non pas ainsi!… Les jambes pendantes… Oui… Écarte bien les cuisses… C’est ça, montre ton sexe… Tu vois? Cette dernière injonction s’adresse à Fabienne. Celle-ci se tourne pour trouver une position plus confortable. — Je t’ai interdit de bouger! — Mais… Luc prend pitié. Il dénoue le cordon qui lui lie les mains. — Tu restes dans cette position, n’est-ce pas? Elle peut poser les avants bras sur le tapis. Elle soupire de soulagement. A chacun de ses mouvements, le manche joue dans le cul. Elle en éprouve une étrange langueur et tangue sur les genoux pour que la sensation ne cesse pas. Elle en prend conscience. Cela la rend furieuse! Elle ne va pas aimer ce traitement? Non! Pourvu que Luc ne se rende compte de rien. Lui admire sa bonne. Il dégrafe sa ceinture et extrait un sexe long et conquérant. Tous ces préparatifs l’ont émoustillé. Il s’adresse à nouveau à Fabienne: — Regarde comme il est joli le sexe de Lisette, comme il mouille en espérant la queue qui va le perforer. Fabienne mange du regard cette chatte rose qu’elle a léchée au début de l’après-midi, il y a une éternité. Son champ de vision se rétrécit pour se limiter à la vulve exposée et à l’orifice vaginal que Luc s’apprête à combler. Une ombre, elle ne distingue plus que des fesses masculines qui s’acharnent à grands coups de reins sur Lisette…
Dans la salle de bain, Elodie et Christophe s’habillent. — Viens te restaurer, tu en as besoin. — Ce n’est pas de refus. Sur le palier, ils entendent des voix en provenance de la chambre de Lisette. Christophe tend l’oreille. — Qu’est-ce qui se passe? — Je n’en sais rien! Cela ne m’intéresse pas. Tu viens manger? — Non, je vais voir de quoi il retourne. — A ta guise. Moi, je vais à la cuisine. Elodie descend les marches. Le garçon hésite. D’un coté, il a faim de l’autre il brûle de savoir, d’autant qu’il a cru reconnaître la voix de Fabienne. La curiosité est la plus forte, il mangera plus tard. Il pousse la porte et reste figé sur le seuil à la vue du spectacle. — Que fabriquez-vous ici? Luc arrête ses coups de rein, mais ne quitte pas Lisette. — Entre ou sort, mais ne reste pas entre les deux. — J’entre. Il referme la porte. Fabienne est horriblement vexée que Christophe la surprenne dans cette posture ridicule. Elle espère, sans trop y croire, que le garçon bravera Luc et se portera à son secours. Celui-ci, veille au grain et la rappelle à l’ordre: — Eh là! Je ne t’ai pas encore autorisée à bouger. Pour mieux la surveiller, il se penche sur Lisette toujours épinglée: — Agrippe-toi à moi, je te déplace. Elle se colle à lui comme un petit singe à sa mère. Il la transporte au pied du lit d’où il peut voir le reste de la chambre. Christophe n’en revient pas. Fabienne dans cette position prête à se faire enculer! A sa merci! Il est aussi surpris de sa passivité. Que s’est-il passé pour que la jeune fille soit matée? Cette soumission affole ses sens tout comme la vision du manche disparaissant entre les fesses. Lui aussi fait la comparaison avec une queue de cheval. Ses excès passés ne sont plus qu’un souvenir. La vue du cul de Fabienne enfin à sa portée suffit à lui faire oublier la fatigue. Luc pistonne lentement, juste pour maintenir la raideur de sa queue. Il se demande si le garçon osera profiter de la situation. Le pourra-t-il? Elodie a du le vider! Non! Tout est bien, une bosse éloquente déforme le pantalon! Christophe s’approche de Fabienne. Il caresse les fesses. La verge qui grossit dans son slip lui donne du courage. Il jette un coup d’œil à Luc pour quêter son approbation. Il a besoin de son assentiment. Il s’apprête à sodomiser Fabienne contre son gré. Il faut qu’il soit épaulé. Luc le comprend bien et donne son accord: — Si tu veux! Inutile d’en dire plus. Ils ont tous compris, même Fabienne, que Christophe va l’enculer! Elle n’a plus la force de se rebeller bien qu’elle tremble d’appréhension. Le manche vibre dans son cul. Il lui procure un délicieux frisson qui fait un curieux mélange avec la crainte qui l’étreint. La courte phrase de Luc vaut toutes les absolutions pour Christophe. A la hâte, il baisse pantalon et slip. Quelques coups de main sur la verge pour la durcir et le voilà fin prêt. Il fait jouer le manche dans son étui naturel, tournant pour élargir l’orifice. Fabienne gémit: — Non, non, pitié, je ne veux pas. Il retire le martinet. Fabienne soupire, on dirait presque du regret. Avant que les chairs se rétractent, il pose le bout du gland sur l’anus dilaté et pousse. — Non, pitié, laisse-moi, pas toi! Trop tard, il est engagé. Elle n’a pas eu mal. La verge qui la transperce est plus douce que le manche, mais elle ne peut arrêter ses gémissements, accompagnant chaque coup de rein d’une litanie de: — Je ne veux pas… pas toi… Je veux pas… Laisse-moi… Je veux pas… Luc rassuré, se remet à la tâche sur Lisette qui trouve le temps long. Après quelques va et vient, la surprise l’arrête. Il n’en croit pas ses yeux. Fabienne répond avec ferveur aux coups de queue de Christophe. C’est elle maintenant qui s’empale sur la verge que Christophe maintient immobile en psalmodiant sans cesse: — Je veux pas… Je veux pas, haa… Je veux pas, haa… Je veux paaaha… Le garçon éberlué s’efforce d’empêcher son gland de sortir. Luc hilare les regarde. Il baise distraitement Lisette, prenant son temps. Il attend la fin de la chevauchée…
A suivre…
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