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un dimanche mouvementé

Chapitre 5

Erotique
Elodie se désaltère d’un verre de lait et grignote un biscuit. Personne ne vient. Christophe a trouvé plus intéressant à faire! A la fin, elle s’impatiente et décide de les rejoindre. Elle colle l’oreille à la porte de la chambre de Lisette. Ils sont là! Elle entrouvre le battant. Le quatuor est trop occupé pour prendre garde à elle. D’un simple coup d’œil elle embrasse la scène, Luc baisant Lisette et Christophe enc… Oui! Oui! Il encule Fabienne! Et qui aime cela! Ses mouvements, son rictus ne trompent pas. C’est même plus que du plaisir! Elle est déchaînée la petite Fabienne. Elle se démène comme une diablesse sur la queue que l’on voit apparaître et disparaître dans son cul. Elodie referme la porte sans bruit, prévoyant la sortie imminente de la jeune fille.
Fabienne s’affaisse sur le tapis. Christophe décroché n’a pas eu le temps de jouir. Comme il est sur le point de décharger, il termine à la main. Quelques coups de piston manuel et sa semence, peu abondante, jaillit sur les fesses de la jeune fille. Il s’accroupit épuisé. Quatre coups dans un après-midi, cela ne lui était jamais arrivé! Après quelques secondes d’inconscience, la jeune fille se relève brusquement. Elle a repris ses esprits et sa colère. Elle est furieuse! Furieuse contre Luc, auteur du guet-apens, furieuse contre Lisette qui l’a fouettée, contre Christophe qui a lâchement profité de sa faiblesse, et surtout contre elle qui a joui sans retenue dans cette étreinte bestiale. Elle jaillit de la chambre laissant robe et culotte, claque la porte et tombe dans les bras d’Elodie. — Allez! Calme-toi! Calme-toi! C’est fini. La jeune fille sanglote sur son épaule. Elodie cajole le dos, les fesses. Sa main s’englue dans une glaire poisseuse qu’elle identifie facilement: — Quel est le cochon qui a déchargé sur toi? Viens dans la salle de bain, tu me raconteras ton gros chagrin pendant que je te nettoie. En hoquetant Fabienne la suit…
Après la fuite de Fabienne, l’énormité de son acte apparaît brusquement à Christophe. Il vient de l’enculer sans son consentement, et ce n’est pas la jouissance affichée par la jeune fille qui changera grand chose. Comment osera-t-il la regarder en face? Combien de temps lui en voudra-t-elle? Luc ne s’est pas détaché de Lisette qui semble apprécier le rythme étrange donné à l’étreinte. Il fait signe au garçon de s’approcher. — Viens ici, toi. Christophe s’assied sur le lit à coté de la bonne. — Avoue que tu t’es vengé de Fabienne, hein? — Oui, un peu. Elle avait tendance à me mésestimer et me traiter en petit garçon. — Il faudra tous se faire pardonner, car je ne veux pas que cela ternisse nos relations. Je compte sur vous. Christophe joue distraitement avec un sein de Lisette. — Tu m’écoutes? — Oui, oui, je suis d’accord. Je ne tiens pas à me fâcher avec elle. — Et toi Lisette? — Oui j’irai me faire pardonner. Moi non plus je ne veux pas que Fabienne nous quitte fâchée. — C’est très bien mes enfants, mais ce n’est pas tout ça. — Qu’est-ce qu’il a encore? — Il y a que je ne t’ai pas encore fait jouir ma petite Lisette. — C’est vrai ça!
— Eh bien! Allons-y! Il redouble d’ardeur. Quelle santé! se dit Christophe avec une pointe de jalousie. Il est vrai que lui-même ne s’est pas mal défendu cet après-midi! Il participe à la joute en caressant les seins de Lisette qui semble apprécier. Elle se raidit, pousse des sons inarticulés. Elle lance les jambes sur le coté, manquant d’un rien jeter le garçon en bas du lit. Luc grimace. Lui aussi jouit. Son éjaculation fait bramer la jeune bonne. En garçon attentionné, Christophe prend Lisette dans ses bras. Elle se calme. Luc se rhabille et sort de la chambre en lançant: — Reposez-vous et reprenez des forces, à tout à l’heure. Christophe berce Lisette tout en repensant à Fabienne. — Tu parles d’une aventure! Dire que je n’avais jamais osé la sodomiser. Je regrette quand même les conditions qui n’étaient pas idéales pour elle. Qu’est-ce qu’elle vous avait donc fait? La jeune fille est vexée! Ce garçon la tient nue dans ses bras et il pense à une autre fille! Elle n’en laisse rien voir. — Oh rien! Elle n’en a pas eu le temps. Elle voulait, je pense, me faire goûter du martinet, mais nous l’avons devancée. — Enfin j’espère qu’elle ne nous en voudra pas trop. Il semble découvrir ce qu’il serre contre lui. Il regarde le corps étendu à ses cotés et trouve la jeune fille adorable. Il en perd la tête et se jette dessus. — Tu sais, j’ai envie de toi, de te posséder. Je ne pense qu’à ça depuis ma dernière visite. — Je te remercie, mais je n’en crois rien à la façon dont tu as agi avec Fabienne. Elle regarde la braguette déboutonnée d’un air moqueur. — Et dans ta condition actuelle, je crois que tu te fais des illusions. C’est vrai, son désir est plus spirituel que physique. — Bon disons que je n’y ai pas pensé tout le temps depuis mon arrivée, mais je t’assure j’ai une furieuse envie de toi. Laisse-moi quelques minutes pour me reprendre et tu verras. — Et parce que tu t’appelles Christophe tu crois que tout t’est dû! Tu ne demandes pas si moi, j’ai envie de toi. Il s’agenouille au pied du lit: — Mademoiselle Lisette acceptez-vous que je vous baise céans? — C’est mieux ainsi. Allez, monte gros bêta. Évidement que moi aussi j’ai envie de toi! Mais avant, déshabille-toi. Je préfère sentir ta peau sur la mienne plutôt que tes vêtements. Elle a raison, pense-t-il, je suis pareil. Il se déshabille. Cela fait combien de fois depuis son arrivée? Il n’en a pas tenu le compte! Il grimpe à nouveau sur le lit et essaye d’enlacer Lisette. La jeune fille se dérobe et l’attrape par la queue toute ramollie. — Jeune présomptueux! Ce n’est pas avec un tel engin que tu risques d’arriver à tes fins. Je vais t’aider à retrouver la forme qui a fait ta réputation en cette maison. Dis après ça que je ne suis pas gentille! Lisette se penche sur le sexe déficient. Elle arrive à force de caresses à lui redonner de la raideur. Elle se jette dans ses bras. Ils roulent sur la couverture en s’embrassant et s’étreignant, mais Christophe a présumé de ses forces. Honteux et déconfit, il veut se redresser. Lisette le maintient serré contre elle et le console. — Ce n’est pas grave, tu sais. Tu m’as déjà montré ce que tu savais faire. Que veux-tu! Tu t’es trop dépensé cet après-midi. Reposons-nous, tu verras que bientôt ça ira mieux. — Merci. Tu as raison, j’ai eu un après-midi chargé! Il s’allonge sur le dos. Elle s’étend à ses cotés le tenant par la main…
Elodie hésite entre la cabine de douche, plus pratique et la baignoire. Vu l’état de la jeune fille, elle opte pour la baignoire et la fait asseoir dedans. — Permets-moi de me déshabiller. Je ne veux pas tremper mes vêtements. Au fait où sont les tiens? Elle n’obtient que des larmes. Elle frictionne tendrement le dos avec une éponge: — Raconte-moi ce qui s’est passé. J’ai simplement vu Christophe qui te prenait par l’arrière. Il te sodomisait? — Ou… Oui. Un hoquet secoue les épaules de la jeune fille. — C’est ça qui te fait pleurer? — Oui. Elodie ne comprend plus. Elle bramait son plaisir et voilà qu’elle pleure! — Tu pleures parce que Christophe t’enculait? — Oui. — C’est toi qui lui a demandé? — Oh! Non! — Ben dis donc! Je ne pensais pas qu’il en aurait le courage! Ne lui aurais-tu pas fait des avances, même inconscientes? — Non, non, mais… — …Mais? Allez dis-moi tout. Je suis ton amie. Elodie passe l’éponge sur son corps. Fabienne éclate en gros sanglots: — C’est… c’est… Luc. — Quoi Luc? — Ben Luc… a… mis le manche du martinet dans mon derrière après que lui et Lisette m’ont donné la fessée. — Le manche du… Elle se retient d’éclater de rire. Ce n’est pas le moment. — Et bien! C’est nouveau ça! Qui a pris le martinet? Luc ou Lisette? Pas de réponse. Elodie insiste. — Alors? — C’est moi au début. Elodie commence à entrevoir une explication. - Et que viens faire Christophe là dedans? De nouveau les pleurs. — Il… il… m’a… enc… enc… — Enculé, j’ai compris. Elle lâche l’éponge et joue avec la poitrine. Les tétins répondent à ses sollicitations. Elle enjambe la baignoire. Elle embrasse la figure, lèche les larmes qui coulent sur les joues. Tout en la caressant, elle récapitule: — Reprends-moi si je me trompe. Tu prends le martinet et tu entres chez Lisette histoire de discuter, n’est-ce pas? Ses mains glissent sur les fesses. — Tu ne veux pas répondre. C’est donc que tu voulais t’amuser un peu à ses dépens. — Aïe! — Quoi aïe? — Tu m’as fait mal. Elodie a touché l’anus. L’endroit est fragile après le traitement subit. - Excuse-moi. Je disais que tu voulais t’amuser aux dépens de Lisette, mais cela n’a pas tourné en ta faveur. Luc s’en est mêlé. — Ou… ou… oui. Gros sanglot étouffé d’un baiser. La jeune fille laisse la langue explorer sa bouche. Ses mains tentent de timides caresses, elle va mieux. — C’est là que tu t’es retrouvé avec le martinet dans le cul. — C’est… Ils… ils m’ont fessé d’abord… puis… c’était horrible. — Dis, tu n’exagères pas un peu? Le doigt d’Elodie explore le sexe. Fabienne ouvre la bouche puis la referme. Au lieu de répliquer, ses cuisses s’écartent, s’offrant à la visite digitale. Cela vaut toutes les dénégations. — C’est alors que Christophe qui passait par là… Les cuisses se referment sur la main qu’elles gardent prisonnière. — Ou… oui… — …a profité des circonstances favorables. — Je… Je… ne voulais pas. — Je te crois, mais cela ne t’a pas empêché de jouir… Ne mens pas, je t’ai vue! — Oh, j’ai honte! — Mais non, mais non. — Je m’en veux d’avoir joui. Voilà ce qui la tracasse, d’avoir joui d’une étreinte non désirée, honte d’avoir pris du plaisir malgré les circonstances, et peut être pire, à cause des circonstances. Elodie accentue la pression sur le clitoris. — Caresse-moi aussi, cela te fera du bien. Pour oublier ses déboires, Fabienne se jette à corps perdu dans les caresses. Jamais elle n’a autant eu besoin des baisers d’Elodie…
Les deux femmes sont encore dans la baignoire. — Tu vas mieux? La jeune fille cache sa figure dans la pliure du cou.— Oui, bien mieux. — Tout est oublié alors? — Oh non! J’ai encore le… fondement douloureux. — Fais voir. Elle hésite à montrer son cul. — N’aie aucune crainte, je vais te passer de la crème. Fabienne accepte de se mettre à quatre pattes et présente ses fesses. L’anus est congestionné. Pas étonnant après la sarabande menée par la jeune fille! Elodie ouvre un pot sur l’étagère, y prélève une noisette de crème qu’elle étend sur le trouffignon rougi. — Et comme ça, ça va ? — Ou… oui. — Il t’a fait mal, Christophe? — Non, mais… — Mais, tu es vexée qu’il se soit pour ainsi dire, servi avant que tu lui donnes la permission, n’est-ce pas? — Oui. Oh je lui en veux! Et pourtant… Elle suspend sa phrase. Son amie l’encourage à poursuivre. — Oui? Que veux-tu dire? — Je me demande… Est-ce que j’aurais autant joui si c’est moi qui le lui avais demandé? Elodie pense la même chose mais n’ose pas l’exprimer. Elle sait par expérience que le plaisir résulte d’une alchimie complexe. Elle est persuadée que la jouissance de la jeune fille provient en partie de la correction subie et de la brutalité de Christophe. Cela ne veut pas dire que Fabienne soit une adepte de la fessée, mais aujourd’hui, les circonstances… — Si tu veux, je le gronderai. — Non, pas la peine. Je me rends compte à présent que j’en avais envie. Tout compte fait, il a eu raison d’en profiter. — J’aime te voir dans cet état d’esprit. — Mais qu’il ne croit pas être quitte à si bon compte! — Je te fais confiance pour concocter une petite vengeance. Elodie frisonne. Le soir tombe, il fait plus frais même à l’intérieur. — Si on sortait? — Je veux bien, mais où sont mes affaires? — Je n’en sais rien, je t’ai récupérée nue à la porte de la chambre de Lisette. — Ma robe et mon slip doivent s’y trouver. — Écoute, je te propose de te reposer dans la chambre du fond, que tu connais déjà. Je récupérerai tes affaires. Tu resteras dormir ici ce soir, ça te va? Elle réfléchit une seconde avant d’accepter: — Tu as raison, je n’ai pas le courage de reprendre la route pour rejoindre mon appartement. J’accepte ton invitation. Elodie l’accompagne à la chambre. Pour ne pas la gêner, elle reste nue. — Repose-toi, tu en as besoin. Tu nous rejoindras tout à l’heure. Tu ne leur en veux plus? — Non. Même à Christophe, je n’en veux pas. Sois sans crainte…
A suivre…
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